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Même aspect, plus un dédoublement de l

Dans le document Kyste hydatique compliqué chez l’enfant. (Page 101-116)

Figure28 : Aspect échographique du k

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Classification échographique de Gharbi : [3,26,38]

Formation liquidienne pure, de forme arrondie, transsonore, anéchogène:

Figure 27:Lésion kystique pure de type I. [38] aspect, plus un dédoublement de la membrane.

Aspect échographique du kyste hydatique de type II

Formation liquidienne pure, de forme arrondie, transsonore, anéchogène:

Type III : Formation liquidienne cloisonnée avec de multiples échos en cercle, correspondant aux parois de vésicules filles, aspect en nid d’abeille : kyste multivésiculaire.

Figure29 : Échographie. Nombreuses vésicules éparses, de tailles diverses, classique image en « nid d’abeille »

Type IV : Formation hétérogène, avec des plages anéchogène et échogène, aspect pseudo-tumoral.

Figure 30:Aspet é

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liquidienne cloisonnée avec de multiples échos en cercle, correspondant aux parois de vésicules filles, aspect en nid d’abeille : kyste

. Nombreuses vésicules éparses, de tailles diverses, classique image en « nid d’abeille » [3]

Formation hétérogène, avec des plages anéchogène et échogène, aspect

Aspet échographique du kyste hydatique de type 4. [38

liquidienne cloisonnée avec de multiples échos en forme de cercle, correspondant aux parois de vésicules filles, aspect en nid d’abeille : kyste

. Nombreuses vésicules éparses, de tailles diverses, réalisant la

Formation hétérogène, avec des plages anéchogène et échogène, aspect

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Type V : Formation hyperéchogène à antérieur visible, fortement échogène avec ombre acoustique postérieure : kyste calcifié partiellement ou totalement.

L’échographie permet le diagnostic de manière quasi pathognomonique dans les stades II et III. Le type V est également évocateur mais en revanche le kyste de type I peut poser un problème diagnostique avec le kyste biliaire et Le kyste de type IV avec les tumeurs solides et l’abcès hépatique. Dans ces cas, le recours à la TDM et/ou IRM s’avère nécessaire. [17,26]

 L’aspect échographique de la fistule biliokystique :

Plusieurs images échographiques peuvent évoquer une éventuelle rupture dans les voies biliaires:

o Des signes directs :

-La visualisation de la communication kyste–voie biliaire qui se traduit par un pertuis entre le kyste et la voie biliaire.

-La visualisation d’un hiatus entre le kyste hydatique du foie et la VBIH dilatée.

o Des signes indirects : il peut s’agir de

-Dilatation des voies biliaires intra ou extra hépatique. -Présence de matériel échogène au sein de la voie biliaire. -Décollement de la membrane hydatique.

-L’aspect non tendu et remanié du kyste -L’halo hypoéchogène périkystique.

-Présence de matériel très échogène sans cône d’ombre postérieur intra vésiculaire. [32]

Dans notre série :

La dilatation des voies biliaires intrahépatiques a été observée dans 3 cas. La dilatation de la voie biliaire principale dans 2 cas.

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 La tomodensitométrie :

Il est surtout indiqué en cas de difficultés diagnostiques à l’échographie. Il donne de meilleures informations sur l'emplacement et la profondeur du kyste dans le foie. Il permet la détection des kystes de petit volume. Il a aussi l’avantage de mieux préciser les rapports du kyste avec les pédicules vasculobiliaires. Enfin le scanner est devenu probablement indispensable pour la prise en charge chirurgicale.

Les différents stades décrits en échographie sont bien mis en évidence en TDM : décollement de la membrane, les vésicules filles apparaissant comme de multiples cloisons au sein de la cavité kystique ou aspect plus dense, pseudo-tumoral dans le type IV. [26,39]

 L’aspect de la rupture intra-biliaire :

La tomodensitométrie représente la méthode de choix dans l’exploration de la rupture kysto-biliaire. Réalisée avant et après injection de produit de contraste, elle permet de préciser la topographie, les rapports et de faire la différence avec les ruptures dans d’autres sites. Une communication kysto-biliaire peut être reconnue sous forme d’une dilatation biliaire à proximité d’une lésion kystique. Les débris hydatiques peuvent être visibles dans la voie biliaire principale.

Elle peut mettre en évidence directement la communication bilio-kystique se traduisant par une interruption de la paroi kystique à proximité d’un canal biliaire dilaté.

Une dilatation des VBIH et VBP sont retrouvés dans la plupart du temps. Deux signes sont plus rarement observés :

- la présence d’air dans le kyste produit par le passage de débris hydatiques à travers la papille.

- et l’existence d’un niveau liquide-liquide dans le kyste hydatique avec membrane flottante. [32]

Figure31 : Le scanner après injection de produit de contraste qui montre hydatique du foie gauche multivésiculaire avec une dilatation des intrahépatiques et de la voie biliaire principale avec un contenu

cholédoque évoquant une rupture du kyste hydatique dans les voies biliaires  L’imagerie par résonnance magnétique

Normalement le couple échographie

diagnostic ; cependant, lorsque des communications biliaires complexes, car prévisibles, la bili- IRM avec reconstruction

examen très intéressant.

L’IRM peut être utile pour mieux caractériser certains kystes ou la composante liquidienne s’accompagne du décollement des membranes (type II de Gharbi).

La Bili-irm recherche la migratio avec l’arbre biliaire.

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Le scanner après injection de produit de contraste qui montre

hydatique du foie gauche multivésiculaire avec une dilatation des voies biliaires intrahépatiques et de la voie biliaire principale avec un contenu dense au niveau du

cholédoque évoquant une rupture du kyste hydatique dans les voies biliaires gerie par résonnance magnétique :

Normalement le couple échographie–tomodensitométrie est suffisant pour établir le diagnostic ; cependant, lorsque des communications biliaires complexes, car

IRM avec reconstruction d’images en trois dimensions constitue un

L’IRM peut être utile pour mieux caractériser certains kystes ou la composante liquidienne s’accompagne du décollement des membranes (type II de Gharbi).

irm recherche la migration de vésicules filles et une éventuelle communication Le scanner après injection de produit de contraste qui montre un gros kyste

voies biliaires dense au niveau du cholédoque évoquant une rupture du kyste hydatique dans les voies biliaires. [40]

tomodensitométrie est suffisant pour établir le diagnostic ; cependant, lorsque des communications biliaires complexes, car proximales, sont

d’images en trois dimensions constitue un

L’IRM peut être utile pour mieux caractériser certains kystes ou la composante liquidienne s’accompagne du décollement des membranes (type II de Gharbi).

 La cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique

La cholangiopancréatographie rétrograde par voie endoscopique reste la méthode de choix dans le diagnostic ainsi que le t

hépatique.

Elle permet de détecter la rupture du kyste dans les voies biliaires en objectivant une fistule kystobiliaire et des images lacunaires dans la voie biliaire principale en rapport avec la présence de matériel hydatique. Elle permet sur le plan thérapeutique la réalisation d’une sphinctérotomie endoscopique, associée ou non à un drainage naso

drainage des voies biliaires [6,26

Figure 32 : La cholangiographie pe

produit de contraste au niveau  La radiographie du thorax

Elle est systématique à la recherche de localisations pulmonaires associées. b- La rupture du kyste hydatique d

 Echographie abdominale

Devant l’urgence diagnostique que constitue la rupture du kyste hydatique dans le péritoine, l’échographie abdominale représente le meilleur examen complémentaire

de ses apports sus-décrits, elle permet

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La cholangiopancréatographie rétrograde endoscopique :

La cholangiopancréatographie rétrograde par voie endoscopique reste la méthode de choix dans le diagnostic ainsi que le traitement des complications biliaires du kyste hydatique

Elle permet de détecter la rupture du kyste dans les voies biliaires en objectivant une fistule kystobiliaire et des images lacunaires dans la voie biliaire principale en rapport avec la présence de matériel hydatique. Elle permet sur le plan thérapeutique la réalisation d’une sphinctérotomie endoscopique, associée ou non à un drainage naso-biliaire, permettant le drainage des voies biliaires [6,26]

cholangiographie peropératoire montrant la fistule biliaire (extravasation du produit de contraste au niveau de la cavité résiduelle). [38

La radiographie du thorax :

Elle est systématique à la recherche de localisations pulmonaires associées. La rupture du kyste hydatique dans le péritoine :

abdominale :

Devant l’urgence diagnostique que constitue la rupture du kyste hydatique dans le péritoine, l’échographie abdominale représente le meilleur examen complémentaire

elle permet de poser le diagnostic de rupture

La cholangiopancréatographie rétrograde par voie endoscopique reste la méthode de choix raitement des complications biliaires du kyste hydatique

Elle permet de détecter la rupture du kyste dans les voies biliaires en objectivant une fistule kystobiliaire et des images lacunaires dans la voie biliaire principale en rapport avec la présence de matériel hydatique. Elle permet sur le plan thérapeutique la réalisation d’une

biliaire, permettant le

biliaire (extravasation du [38]

Elle est systématique à la recherche de localisations pulmonaires associées.

Devant l’urgence diagnostique que constitue la rupture du kyste hydatique dans le péritoine, l’échographie abdominale représente le meilleur examen complémentaire. En plus de poser le diagnostic de rupture intrapéritonéale en

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montrant un kyste hydatique affaissé avec une membrane décollée, associé à un épanchement péritonéal. Elle permet aussi de se renseigner sur le nombre, les localisations et les rapports des kystes avec les organes, facilitant ainsi la tactique opératoire.

 TDM abdominal

La tomodensitométrie confirme les données échographiques en montrant une formation liquidienne hétérogène hépatique contenant une structure dense, serpigineuse correspondant au kyste rompu et associée à un épanchement péritonéal. Rarement, le scanner permet la visualisation directe de la solution de continuité, signe direct de la rupture.

En cas de fissuration intra-péritonéale méconnue : Ensemencement du péritoine avec développement d’une hydatidose péritonéale : un ou plusieurs kystes péritonéaux en imagerie.

Figure33 :TDM en coupe axiale: hydatidose hépatique, intra péritonéale et pelvienne multivésiculaire. [42]

 IRM abdomo-pelvienne :

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) permet parfois de mettre en évidence la solution de continuité qui apparaît en hyposignal avec diffusion à travers la rupture de liquide hydatique apparaissant en hyper-signal en T2 en péri-hépatique et dans la cavité péritonéale. [39,43]

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c- L’embolie pulmonaire hydatique :  Radiographie standard :

Sur la radiographie standard, les mêmes images que celles d’une embolie cruorique sont observées : images d’amputation, images d’atélectasies planes ou discoïdes, de modifications de la silhouette cardiaque, d’ascension de la coupole diaphragmatique. Cependant, dans l’embolie hydatique, quelques particularités peuvent être notées telles que des opacités arrondies sur le trajet de l’artère pulmonaire évoquant l’hydatidose intra-artérielle, des images disséminées de l’échinococcose métastatique caractérisées par un semis diffus de petits nodules de taille à peu près semblable aux deux champs pulmonaires, d’aspect inhomogène. [44]

 TDM thoracique :

L’angioscanner thoracique peut poser le diagnostic en montrant des images en chapelet intraartérielle pulmonaire. Il peut également mettre en évidence des images d’ectasie, de dilatation, une masse de densité liquidienne, à contour bien limitée avec rehaussement de la paroi après injection du produit de contraste iode.

Figure34 : Tomodensitométrie thoracique en coupe axiale : lésion kystique intra-artérielle correspondant à une embolie hydatique avec un kyste hydatique au sein de la lumière de

Figure 35 : Angioscanner montrant une obstruction de

 Imagerie par résonnance magnétique L’IRM représente actuellement l’examen bilan des lésions cardiaques et vasculaires segment rétro-hépatique de la VCI et son

Figure36 : IRM thoracique en coupe coronale en séquence pondérée en T2 a montré´ un kyste hydatique (KH) multivésiculaire au niveau de la veine cave inferieure responsable d’emboles

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: Angioscanner montrant une obstruction de l’artère pulmonair hydatiques. [45]

Imagerie par résonnance magnétique

eprésente actuellement l’examen radiologique le plus performant surtout pour le sions cardiaques et vasculaires pulmonaires; elle permet de mieux visu

hépatique de la VCI et son contenu.

: IRM thoracique en coupe coronale en séquence pondérée en T2 a montré´ un kyste hydatique (KH) multivésiculaire au niveau de la veine cave inferieure responsable d’emboles

hydatiques. [46]

l’artère pulmonaire par des kystes

plus performant surtout pour le e permet de mieux visualiser le

: IRM thoracique en coupe coronale en séquence pondérée en T2 a montré´ un kyste hydatique (KH) multivésiculaire au niveau de la veine cave inferieure responsable d’emboles

Figure37 : IRM : coupe axiale T2 montrant des images kystiques en hypersignal dans l’artère pulmonaire et le parenchyme droits avec des cloisons et un contour en hyposignal

L’échographie abdominale

permet de localiser les kystes hydatiques et d’analyser leurs rapports anatomiques avec la veine cave inférieure et les veines hépatiques.

L’échographie cardiaque transthoracique fonction cardiaque, chercher

cardiaque. [46]

d- Le kyste hydatique rompu dans le thorax

La radiographie du thorax, montre généralement une surélévation de la coupole diaphragmatique droite, des niveaux hydro

L’échographie abdominale permet de retrouver le

taille, ses contacts vasculaires et biliaires et permet dans certains cas d’objectiver la transdiaphragmatique. Elle est d’un grand intérêt dans l

en visualisant la solution de continuité diaphragmatique ainsi que l’origine, le trajet et la terminaison de la fistule, la recherche d’une collection hépatique et une éventuelle d

des voies biliaires.

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IRM : coupe axiale T2 montrant des images kystiques en hypersignal dans l’artère pulmonaire et le parenchyme droits avec des cloisons et un contour en hyposignal

L’échographie abdominale s’impose à la recherche du foyer emboligè

permet de localiser les kystes hydatiques et d’analyser leurs rapports anatomiques avec la veine cave inférieure et les veines hépatiques.

L’échographie cardiaque transthoracique permet d’évaluer le retentissement sur la fonction cardiaque, chercher des shunts anormaux, et surtout d’éliminer

Le kyste hydatique rompu dans le thorax :

La radiographie du thorax, montre généralement une surélévation de la coupole diaphragmatique droite, des niveaux hydro-aériques ou un épanchement pleural.

L’échographie abdominale permet de retrouver le kyste, de préciser son siège, sa taille, ses contacts vasculaires et biliaires et permet dans certains cas d’objectiver la

Elle est d’un grand intérêt dans le diagnostic de la

en visualisant la solution de continuité diaphragmatique ainsi que l’origine, le trajet et la terminaison de la fistule, la recherche d’une collection hépatique et une éventuelle d

IRM : coupe axiale T2 montrant des images kystiques en hypersignal dans l’artère pulmonaire et le parenchyme droits avec des cloisons et un contour en hyposignal.[47]

à la recherche du foyer emboligène. Elle permet de localiser les kystes hydatiques et d’analyser leurs rapports anatomiques avec la

permet d’évaluer le retentissement sur la des shunts anormaux, et surtout d’éliminer une localisation

La radiographie du thorax, montre généralement une surélévation de la coupole épanchement pleural.

de préciser son siège, sa taille, ses contacts vasculaires et biliaires et permet dans certains cas d’objectiver la fistule e diagnostic de la fistule biliobiliaire, en visualisant la solution de continuité diaphragmatique ainsi que l’origine, le trajet et la terminaison de la fistule, la recherche d’une collection hépatique et une éventuelle dilatation

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La tomodensitométrie permet une étude plus précise des lésions hépatiques, pleuropulmonaires et même la brèche diaphragmatique. [39,48]

e- Autres : La compression :

L’échographie permet de visualiser une compression biliaire.

L’écho-doppler permet d’évaluer les rapports du kyste hydatique avec les axes vasculaires (veine porte, veines sus-hépatiques, Veine cave inférieure) et permet donc de bien détecter la compression des branches vasculaires intra-parenchymateuse, et à l’extrême une hypertension portale ou un syndrome de Budd-Chiari engendré par un kyste comprimant. [26] L’infection :

La radiographie de l’abdomen sans préparation debout peut montrer un niveau hydro-aérique sousphrénique droit et l’analyse bactériologique du contenu puriforme du kyste isole un bacille à Gram négatif ou anaérobie. Ce tableau complet ne se rencontre que rarement.

La surinfection du kyste hydatique est suspectée à la tomodensitométrie devant un contenu dense, endokystique et éventuellement la présence d’air suggérant le développement de germes anaérobies. [10,39]

b- Le kyste hydatique compliqué du poumon  Radiographie de thorax

L’examen radiographique est la démarche essentielle qui permet de poser le diagnostic, d’apprécier l’état évolutif et de faire le bilan des lésions. [34]

Les aspects radiologiques sont variables et dépendent du stade évolutif des kystes et du type de complications.

Le kyste fissuré : il s’agit d’une image de pneumo kyste se traduisant radiologiquement par un ménisque gazeux situé au pôle supérieur de l’opacité kystique entre

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la paroi externe du kyste et la paroi interne du périkyste. Cet aspect pathognomonique du kyste hydatique est rarement observé. [34,49]

Le kyste vomiqué : se traduit radiologiquement par des images hydroaeriques résultant de la communication du kyste avec l’arbre bronchique, toutefois deux aspects sont évocateurs :

- Le signe hydroaerique de la membrane flottante ou l’aspect en nénuphar : opacités irrégulières apparaissant au-dessus du niveau horizontal, qui traduit la présence de membrane surnageant dans le liquide hydatique.

- Le signe de double arc d’Ivassinevitch : réalisée par la superposition de deux épanchements gazeux l’un intra-kystique et l’autre intra-adventitiel séparés par la membrane flétrie de l’hydatide. [34,49]

Selon le degré de l’évacuation du contenu kystique, on peut observer :

- L’aspect de rétention de membrane : Il arrive que la totalité du liquide hydatique soit évacuée et seule persiste la membrane mère incarcérée dans la cavité résiduelle réalisant une opacité ronde a limites floues, entourée d’une fine clarté en anneau, image « en cocarde ».

- L’aspect de cavité résiduelle : Elle apparaît sous forme d’une clarté finement cerclée. Cette image est plus rare et correspond à l’expulsion complète du liquide hydatique et de la membrane proligère. [50]

Figure 38 : Radiographie de thorax de face

aérique ondulé évoquant une membrane flottante

La rupture du kyste dans la cavité pleurale - Une opacité pleurale évoquant u

- Une opacité pleurale surmontée d’un niveau hydro pneumothorax.

De plus, la radiographie du thorax après drainage thoracique est très évocatrice d’une rupture du kyste dans la plèvre en montrant un niveau liquidien ondulé évoquant une image de membrane hydatique tassée au niveau du cul de sac pleural.

L’association d’une cavité résiduelle avec ou sans membrane hydatique ou une opacité évocatrice d’un kyste hydatique sain homo ou controlat

[35]

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Radiographie de thorax de face montrant une opacité siège d’un aérique ondulé évoquant une membrane flottante. [22]

La rupture du kyste dans la cavité pleurale se traduit radiologiquemen ne opacité pleurale évoquant un épanchement pleural simple

ne opacité pleurale surmontée d’un niveau hydro-aérique réalisant un hydro

De plus, la radiographie du thorax après drainage thoracique est très évocatrice d’une pture du kyste dans la plèvre en montrant un niveau liquidien ondulé évoquant une image de membrane hydatique tassée au niveau du cul de sac pleural.

L’association d’une cavité résiduelle avec ou sans membrane hydatique ou une opacité hydatique sain homo ou controlatéral argumente le diagnostic

montrant une opacité siège d’un niveau

hydro-se traduit radiologiquement soit par :

aérique réalisant un

hydro-De plus, la radiographie du thorax après drainage thoracique est très évocatrice d’une pture du kyste dans la plèvre en montrant un niveau liquidien ondulé évoquant une image de membrane hydatique tassée au niveau du cul de sac pleural.

L’association d’une cavité résiduelle avec ou sans membrane hydatique ou une opacité éral argumente le diagnostic

Figure 39 : Hydropneumothorax gauche avec image de memb

Dans tous ces cas, il faut rechercher par l’échographie ou la tomodensitométrie

- L’image d’une membrane ou de vésicule hydatique surnageant le liquide pleural ou noyées dans l’épanchement ou tassées dans un cul

- L’image du kyste rompu, souvent invisible sur la radiographie de thorax car masquée par l’épanchement pleural. [

 L’échographie thoracique

Elle est considérée actuellement comme un complément à la radiographie du thorax dans l’exploration de l’hydatidose pulmonaire.

Il s’agit d’un examen fiable et non invasif mais peu sensible .Ce manque de sensibilité peut s’expliquer par la taille, l’aspect et le siège des lésions. En effet un kyste de petite taille ou profond est plus difficile à visualiser par l’échographie. En plus de ces éléments, l’enveloppe ostéo-articulaire et cartilagineuse thoracique ainsi que l’air alvéolaire

des obstacles à cet examen. Elle permet cependant

- D’affirmer la nature kystique d’une image ronde à la radiographie de thorax.

Dans le document Kyste hydatique compliqué chez l’enfant. (Page 101-116)

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