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180 Voir Encyclopedia Judaica, vol. 5 p. 1551-1552, s.v. «Derekh Erez » , Steinschneider, M., op. cit., note 130, p. 41, Sperber, D., Massekhet Derekh Ereṣ Zutaʾ u-Fereq ha-Šalom, (hébreu), Jérusalem, Ṣurot, 1994 (3e édition) et l’édition imprimée des Traités Derekh ʾEreṣ de Higger, M., Massekhtot Derekh ʾEreṣ, 1935.

181 En réalité la qualification de « zutaʾ » (« petit ») est trompeuse dans ce cas et les deux sous-traités n’ont rien avoir l’un avec l’autre. De plus, l’emploi du mot « zutaʾ » dans le titre semble être plus tardif (voir Encyclopedia Judaica, vol. 5, p. 1552).

182 Voir l’édition de Hurwitz, S., op. cit., note 143, vol. 2, p.721-723.

183 Comme il a été précisé à la fin du chapitre II de ce travail, p. 31, le manuscrit Add. 27200-01 (B) a été relié dans un grand désordre et le traité Derekh ʾEreṣ a été séparé entre le manuscrit Add. 27200 et Add. 27201. L’on trouve le début de ce Traité dans Ms Add. 27201 (signe 530, לקת jusqu’au début du signe 531, אלקת) et la suite et fin dans Ms Add. 27200 (signe 531, אלקת). Cependant, Salomon Hurwitz a placé le traité en entier dans le volume 2 (p.721-734) de son édition, où il aurait dû se trouver à l’origine, c'est-à-dire à la fin de Ms Add. 27201.

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Hilkhot Derekh ʾEreṣ pour les manuscrits G, J, O1, sous le nom de Massekhet Derekh ʾEreṣ au début du manuscrit Mich.569 et à la fin des manuscrits B184 et C185. A la suite du Massekhet Derekh ʾEreṣ Zutaʾ se trouve six chapitres tirés du Massekhet Derekh ʾEreṣ Rabah dans les manuscrits G (92v-95v), O1 (247r-250v), C (115r-117r) et Mich 569 (108v-110v). Tous commencent par les mots « …רמוא יאזא ןב » (« Ben Azai a dit… ») qui correspondent au début du troisième chapitre de ce Traité selon l’édition imprimée186.

Sefer Ḥasidim (םידיסח רפס)187 : Œuvre traditionnellement attribuée à Judah ben Samuel ben Qalonymos he-Ḥasid (c.1150-1217)188, le maître spirituel principal du courant des Piétistes ashkénazes (Ḥasidei Ashkenaz) avec son père Samuel ben Qalonymos he-Ḥasid. On connaît très peu sur sa vie. Il serait né à Spire, puis aurait vécu un temps à Regensburg, comme il est mentionné dans des sources contemporaines189. Judah he-Ḥasid est majoritairement connu pour ses enseignements dans les domaines de la théologie ésotérique et dans l’éthique. Le Sefer Ḥasidim ou le « Livre des Pieux » est considéré comme le Volksbuch 190 de l’homme

‘pieux’ et fournit une source historique importante sur les mœurs et coutumes des juifs dans la région germano-ashkénaze entre la fin du XIIe et début du XIIIe siècle. C’est sous forme de morales et d’anecdotes populaires que sont formulés les enseignements de nature éthique, où plusieurs sujets sont traités: l’humilité, l’altruisme et avant tout l’ascétisme, le piétisme et la pénitence191. Sous-jacent à cela, l’on trouve aussi de nombreux enseignements plus

184 Le début de ce Traité est intitulé « םימכח ידימלת לש ןכרד תוכליה » (« Lois pour être dans la voie des Sages »).

185 En revanche le titre du début de ce Traité est intitulé « ידימלת לש וכרד » («la voie des hommes d’étude»).

186 Dans tous les manuscrits l’ordre des chapitres est différent de celui des éditions imprimées (voir supra note 180) : 1e chapitre dans les manuscrits = III, 2e chapitre= IV, 3e chapitre = V, 4e chapitre = VI, 5e chapitre = VII et 6e chapitre = VIII.

187 Il existe plusieurs éditions du Sefer Ḥasidim, énumérées par ordre chronologique: Sefer Ḥasidim, Bologne, 1538; Bâle, 1580, Sefer Ḥasidim, J., Wistinetzki (éd.), avec introduction par Jacob Freiman, Francfort-sur-le Main, Wahrmann, 1924 (basé sur Ms Parm.3280 (De Rossi 1133), Parme, Biblioteca Palatina); Sefer Ḥasidim, R. Margoliot (éd.), Jérusalem, Mossad ha-Rav Kook, 1964 et Medieval Jewish Mysticism : Book of the Pious, traduit par S., A., Singer (éd.), Northbrook, Illinois, Whitehall, 1971, Marcus, I., G., Piety and Society, the Jewish Pietists of Medieval Germany, Leiden, E.J. Brill, 1981 et Sefer Hassidim, le guide des Hassidim, traduit de l’hébreu par E. Gourévitch, (éd.), Paris, Les éditions du Cerf, 1988. Voir aussi l’article de Haïm Soloveitchik base sur l’édition de Bologne (op. cit., note 94, p. 455-493) et le chapitre essentiel à la compréhension de ce courant intitulé « Hasidism in Medieval Germany » par Gershom G., Scholem dans son œuvre Major Trends in Jewish Mysticism, New York, Schocken Books, 1961, p. 80-118, ainsi que l’article de Baer, I, E., « The Socio-religious Orientation of Sefer Hasidim », in Binah: Studies in Jewish Thought and Culture, J., Dan (éd.), New York, Praeger, 1989, p. 57-95.

188 Voir Encyclopedia Judaica, vol. 10, p. 352, s.v. « Judah ben Samuel he-Ḥasid ».

189 Voir en l’occurrence Ms Mich. 569, folio 74r, voir supra chapitre IV, note 139.

190 Voir Schäfer, P., «The Ideal of Piety of the Ashkenazi Hasidim and its Roots in Jewish Tradition», in Jewish History, vol. 4, n° 2, (automne) 1990, p. 9.

191 A ce sujet, voir Marcus, I., G., « Ḥasidei ‘Ashkenaz Private Penitentials : An Introduction and Descriptive Catalogue of their Manuscripts and Early Editions », in Studies in Jewish Mysticism, Proceedings of Regional Conferences Held at the University of California, Los Angeles and McGill University in April 1978, Cambridge (Mass.), Association for Jewish Studies, 1978, p. 57-61.

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profonds de type théologique-ésotérique et homilétique principalement basés sur des passages bibliques192. Le Sefer Ḥasidim tel qu’il est arrivé jusqu’à nous est une œuvre avant tout composite193 et anonyme194. En effet, il n’y a aucune mention explicite d’auteur(s), même si certaines sections seraient bien de la main de Judah he-Ḥasid, de son père Samuel he-Ḥasid, ainsi que d’Eleazar ben Judah ben Qalonymos de Worms (ca.1165-1230), dont le Sefer Roqeaḥ, son œuvre halakhique magistrale195, ressemble de manière idéologique et linguistique à certains passages du Sefer Ḥasidim. Une mention de cette œuvre se trouve dans le manuscrit Mich 569, folio 71v, en relation avec la prière. Des extraits s’y trouvent également au folio 104v, en lien avec la prière, les tefilin et la synagogue.

Sefer Ḥaye ͑Olam (םלוע ייח רפס): œuvre éthique de Jonah ben Abraham « Gerondi » (« de Gérone ») (ca.1200-1263)196 appelé aussi Sefer ha-Yirah. Auteur, prêcheur et moraliste, Jonah ben Abraham Gerondi était l’élève le plus important de Salomon ben Abraham de Montpellier (XIIIe siècle), l’instigateur de la controverse sur certaines œuvres de Moïse ben Maïmon

‘Maïmonide’197. Dans sa jeunesse, Jonah ben Abraham étudia à l‘académie talmudique de Moïse et Samuel ben Šneur d’Evreux et c’est grâce au temps passé dans cette académie qu’il s’inspira du contenu du Sefer Ḥaye ͑Olam, œuvre comportant des coutumes et sujets d’éthique issus du milieu franco- et germano- ashkénaze. Il a été démontré dans les dernières décennies que Jonah ben Abraham Gerondi était un disciple fervent des Piétistes ashkénazes (Ḥasidei Ashkenaz), qu’il a côtoyés à Evreux et était une des branches de ce courant au Nord de la France198. Dès lors, il apparaît que l’œuvre éthique du Sefer Ḥaye ͑Olam est un véritable programme de comportement piétiste et ascétique, ayant de nombreux parallèles avec le Sefer

192 Voir Encyclopedia Judaica, vol.7, p.1389, s.v. «Ḥasidim, Sefer».

193 Voir Marcus, I., G., “The Recensions and Structure of Sefer Ḥasidim”, in Proceedings of the American Academy for Jewish Research, 45, (1978), p. 131-153.

194 Voir Dan, J., op. cit., note 93, p. 4.

195 Voir Encyclopedia Judaica, vol.7, p.1388, s.v. « Ḥasidim, Sefer ».

196 Voir Encyclopedia Judaica, vol.10, p.179-181, s.v. « Jonah ben Abraham Gerondi ».

197 Salomon ben Abraham de Montpellier (première moitié du XIIIe siècle), et ses deux principaux disciples Jonah ben Abraham Gerondi et David ben Saul, cherchèrent le soutien des rabbins du Nord de la France contre le rationalisme et la philosophie maïmonidienne. Ces derniers prononcèrent le ban de certaines de ses œuvres en 1232. En contre-offensive, les rabbins de Provence, qui soutenaient la philosophie maïmonidienne ont excommunié Salomon et ses deux disciples; voir Ta-Shma, I., « Rabbi Jonah Gerondi : Spirituality and Leadership », in Creativity and Tradition: Studies in Medieval Rabbinic Scholarship, Literature and Thought, Cambridge (MA) et Londres, Harvard University Press, 2006, p. 212-227, voir Encyclopedia Judaica, vol. 15, p.

121-122, s.v. « Solomon ben Abraham of Montpellier » et vol. 11, p. 745-746, s.v. « Maimonidean Controversy ».

198 Voir Kanarfogel, E., op. cit., note 40, p. 62 et Ta-Shma, I., « Ḥasidut Aškenaz ašer bi-Sefarad, Rabenu Yonah Gerondi ha-iš u-fo ͑alo », (Entre le Hasidisme Ashkénaze et Séfarade, Rabenu Yonah Gerondi, l’homme et son œuvre), (hébreu), in Galut ʾaḥar Golah, A. Mirsky et al.(éds.), Jérusalem, Hebrew University of Jerusalem, 1988, 165-193.

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Ḥasidim, œuvre fondamentale de ce courant, dont les doctrines ont dû rejoindre le Nord de la France probablement par des canaux livresques199. De plus, le seul nom de maître rabbinique mentionné dans cette œuvre par Jonah ben Abraham Gerondi est celui de Samuel ben Šneur d’Evreux200. En outre, le Sefer Ḥaye ͑Olam a été plus largement diffusé en Ashkenaz (comprenant les régions franco- et germano-ashkénazes) qu’en Sefarad, puisque, selon les quarante-trois manuscrits conservés et vérifiés, vingt-six sont ashkénazes, huit sont italiens, deux sont des régions byzantines et sept sont séfarades201. Dans le corpus des manuscrits étudiés dans ce travail, cette œuvre est présente dans un manuscrit du Maḥzor Vitry, le manuscrit C (f.215v-221r) et dans trois manuscrits comparatifs, à savoir, Ms Mich. 569 (f.101r-104v, lacunaire au début), Ms Add. 3127 (intitulé Seder ͑Olam, f. 55v-56v, f. 60v-62r et marges f. 57r-60r) et Ms Parm. 1902 (f. 223r-232v). Ajouté à la suite du Sefer Ḥaye ͑Olam dans le manuscrit Mich. 569, on découvre le Sod ha-Tešuvah (« Le secret de la repentance ») (f. 103v-104r), une supplication de pénitence composée par Moïse ben Jacob de Coucy que Jonah ben Abraham Gerondi a copié et ajouté à son œuvre202.

Šulḥan Šel ʾArb ͑a (עברא לש ןחלוש)203: Œuvre de l’auteur et mystique séfarade Baḥya ben Ašer ben Ḥlava (XIIIe siècle)204. Cet ouvrage constitue une des sources juives majeures sur l’éthique de l’alimentation médiévale, portant sur les manières et l’étiquette de table, destiné aux juifs séfarades du XIIIe205, qui devaient garder ce manuel avec eux pendant les repas206. L’objectif était de dignifier les repas en ayant un comportement adéquat et en récitant des paroles des Ecritures Saintes207, afin de rendre le repas ‘authentique’ en conformité avec ce que Baḥya ben Ašer ben Ḥlava appelle « תידו הליכא » (« akhilah vadayit »), où manger devient

199 Voir Kanarfogel, E., op.cit., note 40, p. 63-64 et 66-67.

200 Voir Kanarfogel, E., ibid., p. 63 (note 85).

201 Sur les sept manuscrits séfarades, au moins un a été copié à partir d’un manuscrit ashkénaze. Par conséquent, il se trouve que seul six manuscrits de cette œuvre sont d’origine séfarade ; voir Richler, B., « ͑Al kitvei ha-yad šel Sefer ha-Yirah ha-Meyuḥas le Rabenu Yonah Gerondi », (Sur le manuscrit du livre de la Crainte attribué à notre Rabbin Yonah Gerondi) (hébreu), in ͑Alei Sefer, n° 8, 1981, p. 52. En outre, Benjamin Richler attribue le Sefer Ḥaye ͑Olam à un anonyme, qui l’aurait rédigé entre le XIIe et le XIIIe siècle (voir Richler, B., ibid., p. 57 et Kanarfogel, E., ibid., p. 63 (note 84).

202 Voir Kanarfogel, E., ibid., p. 72.

203 Voir Bahya ben Asher ben Hlava, « Shulhan Šel Arba’ », in Kitve rabenu Baḥya, (hébreu), Ch., B., Chavel (éd.), Jérusalem, Mosad ha-Rav Kook, 1969, p. 453-514.

204 Voir Encyclopedia Judaica, vol. 4, p. 104-105, s.v. «Baḥya ben Asher ben Ḥlava».

205 Voir Assis, Y.,T., The Golden Age of Aragonese Jewry ; Community and Society in the Crown of Aragon, 1213-1327, London, Portland (Or.), Littman Library of Jewish Civilization, Vallentine Mitchell 1997 et Brumberg-Kraus, J., « Meat-Eating and Jewish Identity; Ritualization of the Priestly Torah and Beast and Fowl (Lev 11:46) in Rabbinic Judaism and Medieval Kabbalah », in Association of Jewish Studies Review (AJS), 24, 1999, p. 227-262.

206 Voir Chavel, Ch., B., (éd.), ibid., p. 460.

207 Voir Gries, Z., Siferut ha-Hangaot : Toldotekhah u-Meqomah be-Ḥaye Ḥasidei R. Israel Ba ͑al Šem Tov, (hébreu), Jérusalem, Mosad ha-Bialik, 1989, p. 18-22.

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une expérience à la fois physiologique et spirituelle pour servir le divin208. Baḥya divise son manuel en quatre chapitres ou portails, d’où le nom de « Šulḥan Šel ʾArba ͑ » (« la table de quatre »). Le premier portail porte sur les bénédictions et l’ablution des mains selon les prescriptions rabbiniques avant les repas. Le deuxième portail renferme une discussion mystique sur la nature de manger, où le terme du repas ‘authentique’ (« תידו הליכא ») apparaît.

Le troisième portail porte sur l’étiquette sociale à table et donne une brève anthologie des traditions entre un invité et son hôte, issues des Traités mineurs du Talmud du « Derekh ʾEreṣ Zutaʾ » et du « Derekh Ereṣ Rabah »209 et finalement le quatrième et dernier portail porte sur des discussions sur les banquets eschatologiques réservés aux Justes dans le monde à venir210. Ce petit manuel a été conservé dans de nombreux exemplaires manuscrits et imprimés211, ce qui atteste de sa popularité non seulement séfarade, mais aussi ashkénaze, comme il apparaît dans les manuscrits Add. 3127 (f.217r-247v) et Parm.1902 (f.231v-264v) du corpus des manuscrits comparatifs dans ce travail.

208 Voir Brumberg-Kraus, J., « Real Eating : A Medieval Spanish Jewish View of Gastronomic Authenticity », in Authenticity in the Kitchen: Proceedings of the Oxford Symposium on Food and Cookery, R., Hosking (éd.), Totnes, Prospect Books, 2006, p.119-131.

209 Voir supra note 180.

210 Voir Brumberg-Kraus, J., op. cit., note 208.

211 Ce manuel a été très diffusé parmi les cercles des Ḥasidim en Europe de l’Est au XVIIIe siècle, voir notes introductives dans Chavel, Ch., B., (éd.) op. cit., note 203, p. 456.

158 sur les lois et coutumes pour un officiant de synagogue (šaliaḥ ṣibur/ḥazan). De nombreuses autorités franco- et germano- ashkénazes y sont citées214. Cette œuvre se trouve dans deux manuscrits comparatifs Add. 3127 (marges, f.1r-33r) et Parm.1902 (marges, 203v-223r).

Seder Troyaš (שייורט רדס)215: œuvre sur les coutumes liturgiques et ordre des prières de la ville de Troyes, par Menaḥem ben Joseph de Troyes216 (XIIIe siècle), petit-fils de Judah le Ḥazan (officiant synagogal) de Troyes, compilateur liturgique et Ḥazan, comme son père et son grand-père. Menaḥem ben Joseph de Troyes a en outre rassemblé quelques lois et coutumes issues du Sefer ha-Makhḥim dans son Seder Troyaš217. Ce manuel de coutumes et de prières est conservé dans deux manuscrits comparatifs, à savoir Ms. 8259JTS (f.160v-171r), où il est nommé ha-Seder mi-Troyaš et Ms. Parm.1902 (marges, f.187v-203r), sous le titre de Minhag Troyaš.

Sefer ha-Tašbeṣ (ץבשתה רפס)218 : œuvre par Samson ben Ṣadoq (2e moitié XIIIe siècle)219 un des plus fervents disciples de Meir ben Barukh de Rothenburg (MaHaRaM, ca.1215-1293),

212Voir Freiman, J., (éd.), « Sefer Ha-Maḥkhim », in Haeschkol, Cracovie, 1909, n° 6, p. 94-162.

213 Voir Gross, H., op. cit., note 64, p.580 et Zunz, L., Die Ritus des Synagogalen Gottesdienstes, vol. 2, Hildesheim, Georg Olms Verlagsbuchhandlung, 1967 p. 28.

214 Voir Freiman, J., (éd.), ibid., p. 94-161.

215 Voir l’édition imprimée de M., Z., Weiss (éd.), Seder Troyes, Francfort sur le Main, 1905 et Zunz, L., ibid., p.

28, 134, 202-203.

216 Voir Gross, H., op. cit., note 64, p. 240.

217 Voir Freiman, J., (éd.), op.cit., note 212, p. 106.

218 Aussi appelé le Tašbeṣ Koton (voir une édition récente du Tašbeṣ ha-Koton, Israel, Makhon Torah še-bi-ketav, 2005). A ne pas confondre avec l’œuvre de l’auteur judéo-provençale Simon ben Ṣemaḥ Duran (ca.1361-1444) les Responsa Tašbaṣ, couvrant de nombreux aspects de la vie juive.