• Aucun résultat trouvé

5. Récolte de données

5.3. Instrument

5.3.2. Épreuves

Nous allons détailler les onze tâches cognitives qui ont été proposées aux enfants de notre recherche. L’ordre de présentation suit l’ordre standard d’administration. N’ayant pas été administrés, les quatre subtests optionnels Barrage, Information, Arithmétique et Raisonnement verbal ne sont pas décrits. Le facteur CHC supposé être évalué par le subtest sera également indiqué.

Pour chaque subtest, des règles de départ, de retour et d’arrêt sont précisées.

Ces règles ont été établies pour réduire la durée de passation et prévenir un effet de lassitude (Wechsler, 2005a). La règle de départ stipule à quel item commencer selon l’âge du sujet. Les items de départ ont un faible degré de difficulté pour les individus de la tranche d’âge correspondant. Étant donné que les items sont ordonnés en difficulté croissante, la réussite aux deux items de départ implique la réussite aux items précédents plus faciles. Ces derniers ne sont pas administrés, mais leurs points sont accordés. Si le sujet n’a pas obtenu une note parfaite (c.-à-d. maximum de points) à l’un des deux premiers items administrés, la règle de retour s’applique et stipule de revenir sur les items précédents en ordre inverse jusqu’à l’obtention de deux notes parfaites consécutives. Conçue pour éviter la fatigue ou le découragement, la règle d’arrêt stipule l’arrêt du subtest après un certain nombre d’items échoués consécutivement. La difficulté des items étant croissante, la réussite à un item qui survient après le nombre d’échecs consécutifs établi par la règle d’arrêt est supposée relever du hasard.

5.3.2.1. Cubes

Dans le subtest Cubes (CUB), l’enfant doit utiliser des cubes bicolores pour reproduire une configuration en un temps déterminé à partir d’un modèle présenté devant lui ou dans le livret de stimuli (voir Figure 33, p. 182). Ce subtest comporte 14 items de difficulté croissante. Pour l’item 1, l’enfant dispose de deux cubes. Puis pour les items 2 à 10 de quatre cubes, et enfin les quatre derniers items sont à réaliser à l’aide de neuf cubes.

Règle de départ : à l’item 1 pour les 6 – 7 ans et à l’item 3 pour les 8 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 3 notes 0 consécutives.

Cotation : les trois premiers items comportent deux essais possibles et sont cotés 0, 1 ou 2 points. Les items 4 à 8 sont cotés 0 ou 4 points. Puis les items suivants

sont au bénéfice d’une bonification de temps et sont cotés 0, 4, 5, 6 ou 7 points en fonction de la rapidité d’exécution et si la construction est réalisée correctement dans le temps imparti. Le score brut maximum est de 68 points, ou de 50 points sans bonification de temps. La possibilité de calculer un score sans bonification de temps permet de tenir compte de la pression du chronométrage sur les stratégies de résolution de la tâche.

Figure 33. Illustration de l’épreuve Cubes.

Cubes est un subtest obligatoire de l’IRP. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la capacité à analyser et à synthétiser des stimuli visuels abstraits ainsi qu’à la coordination visuomotrice (Wechsler, 2005b). Il évalue l’analyse et le raisonnement visuospatial, l’habileté de coordination visuomotrice et la pression du temps. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Traitement visuel Gv et plus précisément, l’aptitude restreinte Visualisation VZ.

5.3.2.2. Similitudes

Dans le subtest Similitudes (SIM), le psychologue lit oralement des paires de mots à l’enfant. Pour chaque paire, l’enfant doit trouver la similitude soit entre deux objets soit entre deux concepts. Par exemple à l’item 4, on demande à l’enfant : En quoi un CHAT et une SOURIE se ressemblent ? (voir Figure 34, p. 183). Ce subtest comporte 23 items de difficulté croissante avec des paires de mots concrets (p. ex., item 3 : chemise – chaussure) et des paires de mots abstraits (p. ex., item 12 : colère – joie).

Règle de départ : après l’item d’exemple, départ à l’item 1 pour les 6 – 8 ans, à l’item 3 pour les 9 – 11 ans et à l’item 5 pour les 12 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 5 notes 0 consécutives.

Cotation : Les deux premiers items sont des items d’apprentissage, et sont cotés 0 ou 1 point. Les 21 items suivants sont cotés 0, 1 ou 2 points. La note parfaite est attribuée aux réponses correspondant à une catégorisation générale pertinente et avec un degré d’abstraction, tandis que les réponses plus concrètes et qui font référence à des caractéristiques communes à la paire de mots sont cotés 1 point. Le score brut maximum est de 44 points.

Figure 34. Illustration de l’épreuve Similitudes.

Similitudes est un subtest obligatoire de l’ICV. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel aux capacités de penser les concepts, ainsi qu’aux capacités de formation de concepts et de catégories hiérarchisées (Wechsler, 2005b). Il évalue donc la capacité d’abstraction verbale de conceptualisation et de catégorisation. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur l’aptitude étendue Intelligence cristallisée Gc et plus précisément, l’aptitude restreinte Connaissances lexicales VL.

5.3.2.3. Mémoire des chiffres

Dans le subtest Mémoire des chiffres (MCH), le psychologue énonce au rythme d’un chiffre par seconde une suite de chiffres (de plus en plus longue) à l’enfant, qui doit les répéter dans le même ordre, ou dans l’ordre inverse (voir Figure 35, p. 184). Par exemple à l’item 3 en ordre direct, on énonce à l’enfant : 3 – 4 – 1 – 7. L’enfant devra

répéter cette suite dans le même ordre. Pour la partie en ordre inverse, à l’item 2, on énonce à l’enfant : 3 – 5. L’enfant devra répéter cette suite dans l’ordre inverse, soit 5 – 3. Ce subtest comporte 8 items pour la partie en ordre direct et 8 items pour la partie en ordre inverse.

Règle de départ : à l’item 1 pour les 6 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 2 notes 0 consécutives aux deux essais d’un même item.

Cotation : chaque item comporte deux essais. Les items sont cotés 0, 1 ou 2 points selon le nombre d’essais réussis. Le score brut maximum est de 32 points.

Figure 35. Illustration de l’épreuve Mémoire des chiffres en ordre direct.

Mémoire des chiffres est un subtest obligatoire de l’IMT. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la mémoire auditive à court terme, à des capacités de séquençage, à l’attention et à la concentration (Wechsler, 2005b). Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Mémoire de travail Gwm et plus précisément, l’aptitude restreinte Empan mnésique MS (ordre direct) ou Mémoire de travail MW (ordre inverse).

5.3.2.4. Identification de concepts

Dans le subtest Identification de concepts (IDC), l’enfant doit identifier les images (une par rangée) qui s’associent autour d’un concept commun parmi deux, puis trois rangées d’images (voir Figure 36, p. 185). Ce subtest comporte 28 items au total.

Règle de départ : après deux items d’exemple, départ à l’item 1 pour les 6 – 8 ans et à l’item 5 pour les 9 – 11 ans et à l’item 7 pour les 12 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 5 notes 0 consécutives.

Cotation : les items qui sont cotés 0 ou 1 point. Le score brut maximum est de 28 points. D’abord sur deux rangées, puis à partir de l’item 13, les images sont sur trois rangées.

Figure 36. Illustration de l’épreuve Identification de concepts.

Identification d’images est un subtest obligatoire de l’IRP. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel aux aptitudes de raisonnement catégoriel et de raisonnement abstrait (Wechsler, 2005b). Il évalue le raisonnement inductif, les capacités perceptives visuelles, la (re)connaissance des objets, l’inhibition et la flexibilité mentale. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Intelligence fluide Gf et plus précisément, l’aptitude restreinte Raisonnement séquentiel général RG.

5.3.2.5. Code

Dans le subtest Code (COD), des chiffres sont appariés à des symboles. En dessinant le symbole correspondant au chiffre, l’enfant doit compléter le plus de cases en un temps défini de 2 minutes (voir Figure 37, p. 186). Deux versions sont à disposition, le Code A pour les 6-7 ans et le Code B pour les 8-16 ans.

Règle de départ : après des items d’entraînement, départ à l’item 1 pour tous.

Règle d’arrêt : après 120 secondes ou si tous les items sont complétés avant le temps imparti.

Cotation : pour le Code A, il y a des points de bonification du temps si l’enfant termine avant les 2 minutes. Chaque signe correct donne un point. Le score brut maximum est de 65 points pour le Code A et de 119 points pour le Code B.

Figure 37. Illustration du feuillet de passation de l’épreuve Code B.

Code est un subtest obligatoire de l’IMT. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la vitesse de traitement, à la capacité d’apprentissage, à la perception visuelle, à la coordination visuomotrice, à la capacité de balayage visuel, à l’attention et à la motivation (Wechsler, 2005b). Il est influencé par la mémoire à court terme visuelle. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Vitesse de traitement Gs et plus précisément, l’aptitude restreinte Rate-of-test-taking R9.

5.3.2.6. Vocabulaire

Dans le subtest Vocabulaire (VOC), le psychologue montre des images que l’enfant doit nommer ou lit oralement des mots que l’enfant doit définir. Par exemple à l’item 8, on demande à l’enfant : qu’est-ce qu’un gant ? (voir Figure 38, p. 187). Ce subtest comporte 36 items de difficulté croissante.

Règle de départ : à l’item 5 pour les 6 – 8 ans et à l’item 7 pour les 9 – 11 ans et à l’item 9 pour les 12 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 5 notes 0 consécutives.

Cotation : les 4 premiers items sont des images à nommer et sont cotés 0 ou 1 point. Les 32 items verbaux sont cotés 0, 1 ou 2 points. La note parfaite est attribuée s’il y a une bonne compréhension du mot (p. ex., bon synonyme, caractéristiques fondamentales). La note 1 est attribuée pour les réponses correctes, mais dont le contenu est pauvre et peu élaboré. Le score brut maximum est de 68 points.

Figure 38. Illustration de l’épreuve Vocabulaire.

Vocabulaire est un subtest obligatoire de l’ICV. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel aux connaissances du lexique, aux capacités de formation de concepts verbaux, à la capacité d’apprendre, à la mémoire à long terme et au niveau de développement du langage (Wechsler, 2005b). Il évalue les connaissances sur les concepts verbaux et la capacité d’élaboration du langage oral. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Intelligence cristallisée Gc et plus précisément, l’aptitude restreinte Connaissances lexicales VL.

5.3.2.7. Séquence Lettres-Chiffres

Dans le subtest Séquence Lettres-Chiffres (SLC), le psychologue énonce une suite mélangée de chiffres et de lettres (de plus en plus longue) à l’enfant, qui doit restituer en premier les chiffres, en ordre croissant, puis les lettres dans l’ordre alphabétique (voir Figure 39, p. 188). Par exemple à l’item 6, on énonce à l’enfant : D – 8 – M – 1. L’enfant devra redonner 1 – 8 – D – M. Ce subtest comporte 10 items avec trois essais différents chacun.

Règle de départ : pour les enfants de 6 – 7 ans, on leur demande de compter jusqu’à trois et de réciter l’alphabet jusqu’à C. Pour les 8 – 16 ans, on les exerce sur deux exemples, puis on démarre à l’item 1.

Règle d’arrêt : après 3 notes 0 consécutives aux trois essais d’un même item.

Cotation : les items sont cotés 0, 1, 2 ou 3 points selon le nombre d’essais réussis. Comme la difficulté de la tâche demeure la même, le point est également accordé si l’enfant donne d’abord les lettres dans l’ordre alphabétique, puis les chiffres dans l’ordre croissant. Le score brut maximum est de 30 points.

Figure 39. Illustration de l’épreuve Séquence Lettres-Chiffres.

Séquence Lettres-Chiffres est un subtest obligatoire de l’IMT. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel au séquençage, à la capacité à manipuler mentalement, à l’attention, à la mémoire auditive à court terme, aux représentations visuospatiales et à la vitesse de traitement (Wechsler, 2005b). Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Mémoire de travail Gwm et plus précisément, l’aptitude restreinte Mémoire de travail MW.

5.3.2.8. Matrices

Dans le subtest Matrices (MAT), l’enfant doit choisir la partie manquante parmi cinq propositions dans une matrice incomplète (voir Figure 40, p. 189). Ce subtest comporte 35 items.

Règle de départ : après trois items d’exemple, départ à l’item 4 pour les de 6 – 8 ans, à l’item 7 pour les 9 – 11 ans et à l’item 11 pour les 12 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 4 notes 0 consécutives ou 4 notes 0 à cinq items consécutifs.

Cotation : les items sont cotés 0 ou 1 point. Le score brut maximum est de 35 points.

Figure 40. Illustration de l’épreuve Matrices.

Matrices est un subtest obligatoire de l’IRP. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel aux capacités de traitement de l’information visuelle ainsi que de raisonnement abstrait (Wechsler, 2005b). Il évalue l’intelligence fluide et visuospatiale, et dans une certaine mesure la mémoire de travail et le raisonnement déductif. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Intelligence fluide Gf, et plus précisément l’aptitude restreinte Induction I.

5.3.2.9. Compréhension

Dans le subtest Compréhension (COM), l’enfant répond à des questions relatives à des situations de la vie quotidienne, sociale ou interpersonnelle. Par exemple à l’item 3, on demande à l’enfant : pourquoi devons-nous manger des légumes ? (voir Figure 41, p. 190). Ce subtest comporte 21 items.

Règle de départ : pour les enfants de 6 – 7 ans, on leur demande de compter jusqu’à trois et de réciter l’alphabet jusqu’à C. Pour les 8 – 16 ans, on les exerce sur deux exemples, puis on démarre à l’item 1.

Règle d’arrêt : après 4 notes 0 consécutives.

Cotation : les items sont cotés 0, 1 ou 2 points. La note parfaite est attribuée aux réponses de qualité qui indique une bonne compréhension de l’idée générale recherchée. La note 1 est attribuée des réponses qui vont dans le sens de l’idée générale, mais pas suffisamment élaborée. Le score brut maximum est de 42 points.

Compréhension est un subtest obligatoire de l’ICV. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la connaissance des conventions, à l’aptitude à utiliser des expériences passées ainsi qu’à la capacité à expliquer des problèmes de la vie quotidienne, sociale et interpersonnelle (Wechsler, 2005b). Il évalue les connaissances sociales et générales de l’enfant. Cependant, il ne permet pas d’évaluer si l’enfant saurait appliquer adéquatement ces connaissances en situation réelle. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Intelligence cristallisée Gc et plus précisément, l’aptitude restreinte Information verbale générale KO.

Figure 41. Illustration de l’épreuve Compréhension.

5.3.2.10. Symboles

Dans le subtest Symboles (SYM), l’enfant doit repérer dans une série de 5 symboles, si OUI ou NON, l’un des 2 symboles isolés en début de série s’y retrouve (voir Figure 42, p. 191). S’il retrouve l’un des deux symboles isolés dans la série de symboles isolés, il coche OUI et, s’il ne retrouve aucun des symboles isolés, il coche NON. L’enfant

dispose d’un temps défini de 2 minutes. Deux versions sont à disposition, le Symboles A pour les 6-7 ans et le Symboles B pour les 8-16 ans.

Règle de départ : après des items d’entraînement, départ à l’item 1 pour tous.

Règle d’arrêt : après 120 secondes.

Cotation : chaque réponse correcte donne un point. Les éventuelles erreurs sont soustraites du total des points. Le score brut maximum est de 45 points pour le Symboles A et de 60 points pour le Symboles B.

Figure 42. Illustration du feuillet de passation de l’épreuve Symboles B.

Symboles est un subtest obligatoire de l’IMT. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la vitesse de traitement, à la coordination visuomotrice, à la discrimination visuelle et à la concentration (Wechsler, 2005b). Il met en jeu des capacités de traitement perceptif visuel, de discrimination visuelle et de rapidité cognitive sur une tâche simple. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Vitesse de traitement Gs, et plus précisément, l’aptitude restreinte Vitesse perceptive P.

5.3.2.11. Complètement d’images

Dans le subtest Complètement d’images (CIM), le psychologue montre une image à l’enfant qui doit, dans un temps limité (20 secondes maximum), nommer ou pointer la partie importante manquante. Dans l’exemple de la Figure 43 (p. 192), on attend que le sujet relève qu’il manque une oreille au renard. Ce subtest comporte 38 items.

Règle de départ : après un item d’exemple, départ à l’item 1 pour les 6 – 8 ans, à l’item 5 pour les 9 – 11 ans et à l’item 10 pour les 12 – 16 ans.

Règle d’arrêt : après 6 notes 0 consécutives.

Cotation : chaque réponse correcte et dans le temps imparti donne un point. Le score brut maximum est de 38 points.

Figure 43. Illustration de l’épreuve Complétement d’images.

Complètement d’images est un subtest optionnel de l’IRP. Selon le manuel du WISC-IV, il fait principalement appel à la perception et à l’organisation visuelle, ainsi qu’à la concentration et à la reconnaissance visuelle des détails essentiels des objets (Wechsler, 2005b). Il évalue les capacités de discrimination, de reconnaissance visuelle et d’identification, la représentation visuelle en mémoire à long terme et la flexibilité mentale. Selon le modèle CHC, ce subtest est un bon indicateur de l’aptitude étendue Traitement visuel Gv et plus précisément, l’aptitude restreinte Flexibilité de fermeture CF.