TS MARINE 2016-2017 DEVOIRS DE MATHEMATIQUES
CORRIGES
DS1 27/09/2016 page 2 DV 10/10/2016 page 10 DS 08/11/2016 page 12 DV 17/11/2016 page 19 DV 02/12/2016 page 20 BB 11/01/2017 page 22 DV 30/01/2017 page 29 DS 14/02/2017 page 31 DV 20/03/2017 page 37 DS 04/04/2017page 39 DS 16/05/2017 page 47
DEVOIR DE MATHEMATIQUES TS
Jaune, Marine, Rouge, Pervenche, Turquoise27/09/2016
4
H CorrigéEXERCICE I : (4,5 points) 1° 1,25 2° 1,5 3° 1,75 D’après ASIE Juin 2016 1. a.
représente la masse en grammes de bactéries dans la cuve n jours après l’instant initial.
D’une journée sur la suivante cette masse augmente de 20 % et le changement de milieu occasionne la perte de 100 g d’où pour tout entier naturel n, = , − .
1. b. On cherche la valeur de à partir de laquelle > 30000.
A l’aide de la calculatrice, on a : ≈ 28103 ≤ 30000 et ≈ 33624 > 30000 C’est donc au bout de 23 jours que, pour la première fois, la masse dépassera les 30kg.
1. c.
Variables : u et n sont des nombres u prend la valeur 1 000 n prend la valeur 0 Traitement : Tant que u≤30000 faire
u prend la valeur , − n prend la valeur n +1 Fin Tant que
Sortie : Afficher n
2. a. Démontrer par récurrence que, pour tout entier naturel n, ≥ 1000
*Initialisation : Pour = 0 ∶ = 1000 ≥ 1000 donc l’égalité est vérifiée pour = 0
*Hérédité : On suppose que pour un certain rang arbitrairement fixé dans , on a : ≥ 1000 et on montre qu’alors ≥ 1000
On a : ≥ 1000 Donc 1,2 × ≥ 1200 Donc 1,2 × − 100 ≥ 1100
Donc ≥ 1100 ≥ 1000
! " ≥ 1000 .
*Conclusion :
D’après le principe du raisonnement par récurrence, pour tout entier naturel n, on a : ≥ 2. b. Pour tout de :
⋆ − = 1,2 − 100 − = 0,2 − 100.
⋆ ≥ 1000 (d’après la question précédente) Donc 0,2 ≥ 200
Donc 0,2 − 100 ≥ 100 ≥ 0
Donc − ≥ 0
Ainsi la suite ( ) est croissante.
3. On définit la suite (& ) par : pour tout entier naturel , & = − 500 3. a. Pour tout entier naturel :
& = − 500
& = 1,2 − 100 − 500
& = 1,2 − 600
& = 1,2 ( −600 1,2 )
& = 1,2( − 500)
* = , × *
Ainsi la suite (* )est une suite géométrique de raison + = 1,2 et de 1er terme. * = − , = , . Démarche à APPRENDRE !!!!!
3. b. Comme (& ) est une suite géométrique de raison . = 1,2 et de 1er terme. & = 500.
On a : * = * × + = , × , 3. c. On a : & = − 500
Donc = & + 500
Donc = , × , 0+ ,
1,2 > 1 ⟹ lim→ 61,2 = +∞ ⟹ lim→ 6500 × 1,2 = +∞ ⟹ lim→ 6500 × 1,2 + 500 = +∞
Ainsi limite de la suite ( ) est +∞
EXERCICE II: (6 points)
Partie A : 0,5 Partie B : 1°: 1,25 2° :2,25 3° 1 4° 0,5 5° 0,5 Partie A : Lecture graphique
Par lecture graphique, déterminer 8′(0) et 8′(3).
8′(3) est le coefficient directeur de la tangente à la courbe au point d’abscisse 3 8:(3) = Δ<
Δ= = −3 1 = −3
De même au point d’abscisse 0, la tangente à la courbe est parallèle à l’axe des abscisses donc 8′(0) = 0
Partie B : Etude de la fonction
La fonction 8 est définie sur ] − ∞; 2@ ∪]2 ; +∞@ par 8(=) =BCDEBBD 1°Dérivée
a) 8 est une fonction rationnelle
donc 8 est dérivable sur son ensemble de définition ] − ∞; 2@ ∪]2 ; +∞@
Pour tout = de ] − ∞; 2@ ∪]2 ; +∞@ , on a : (=) = = − 6= + 12 :(=) = 2= − 6
&(=) = = − 2 &:(=) = 1 On applique : FGHI:= GJ.HDHHCJ.G
8:(=) =(2= − 6)(= − 2) − 1 × (= − 6= + 12)
(= − 2)² = ⋯ = =² − 4=
(= − 2)² Donc pour tout = appartenant à ] − ∞; 2@ ∪]2 ; +∞@, 8:(=) = (==−22−4=)2 b) Signe de la dérivée
Pour M(=) = =² − 4= = =(= − 4), les racines sont évidentes : 0 et 4 Tableau de signe :
= −∞ 0 2 4 +∞
= − 4=
(= − 2)²
+ 0 - - 0 + + + 0 + + 8′(=) + 0 - ∥ - 0 + c) Sens de variation
D’après le signe de sa dérivée,
la fonction O est strictement croissante sur P−∞ ; 0P , strictement décroissante sur Q0 ; 2Q, strictement décroissante sur ]2 ; 4] et strictement croissante sur @4; +∞@
N’oubliez pas l’ensemble de dérivabilité.
2° a) Limites :
Limite à l’infini : 8 est une fonction rationnelle, elle a même limite à l’infini que le quotient de ses termes de plus haut degré.
⋆ limB→D6=² − 6= + 12
= − 2 = limB→D6=²
= = limB→D6= = −∞
⋆ limB→ 6=² − 6= + 12
= − 2 = limB→ 6=²
= = limB→ 6= = +∞
R:Sù UVWX→D6O(X) = −∞ YZ UVWX→ 6O(X) = +∞
Limite en 2
B→lim(= − 6= + 12) = 4
limB→ (= − 2) = 0 [ \]^ !^ _`a ^ b ⟹ limB→Bc d= − 6= + 12
= − 2 e = −∞ ^[ limB→
Bf
d= − 6= + 12
= − 2 e = +∞
= −∞ 2 +∞
= − 2 − 0 +
Conclusions limB→
Bc
8(=) = −∞ ^[ limB→
Bf
8(=) = +∞
b) Les limites infinies à gauche et à droite de 2 permettent de déduire que la droite d’équation = = 2 est une asymptote verticale à la courbe 8. On trace cette droite
3° a) Tableau de variation de 8
= −∞ 0 2 3 4 5 + ∞ 8:(=) + 0 − − 0 +
8(=) -6 +∞ +∞
3 7/3
−∞ − ∞ 2 b) Démarche importante.
D’après le tableau de variation, complété avec 8(3) = 3 ^[ 8(5) =g< 3 : Sur @ 3 ; 5], le minimum est 8(4) = 2 et le maximum est 8(3) = 3 Donc pour = ∈ @ 3 ; 5], on a : 8(=) ∈ @2 ; 3]
4° Equation de la tangente jk à lmau point A d’abscisse 1.
< = 8:(1) × (= − 1) + 8(1) ⟺ < = −3(= − 1) + (−7) ⟺ < = −3= − 4 Donc jka pour équation< = −3= − 4
5° On donne une copie d’écran de calculatrice que l’on ne demande pas de justifier
Aleth BERGER MATHEMATIQUES TS 2016/2017 5 / 56
☺ p
pBq8(=)r = 8′$=%
Interpréter graphiquement l’information donnée sur la copie d’écran.
L’écran indique que l’équation 8’$=% 0,75 a deux solutions -2 et 6
Graphiquement, il existe deux tangentes à la courbe lm dont le coefficient directeur est égal à 0,75 : ce sont les tangentes aux points d’abscisses -2 et 6
EXERCICE III : ( 4,5 points ) 1° ) a : 0,5 b 0,75 c : 0,5 d 0,75 e : 0,5 2°) : a : 0,5 b 1 pt 1° On considère la fonction 8 définie sur @0 ; +∞@ par 8(=) = √= − = + 1
a) Justifier que la fonction O est bien définie sur @ ; +∞@
√= − = + 1 existe si et seulement si =² − = + 1 ≥ 0. On pose (=) = =² − = + 1 = ∈ @0 ; +∞@
Δ = (−1) − 4 × 1 × 1 = −3 < 0 (=) n’a pas de racine, donc (=) > 0 sur @0 ; +∞@
Ainsi O est bien définie sur @ ; +∞@
b) Justifier que O est dérivable sur @ ; +∞@, puis déterminer O′(X) 8 = √
Or la fonction est dérivable sur @0 ; +∞@ et (=) > 0 sur @0 ; +∞@
donc O est dérivable sur @ ; +∞@
Pour tout = de @0 ; +∞@ :
(=) = = − = + 1 :(=) = 2= − 1 q√ r:= : 2√
O:(X) = X −
√X − X +
c) Etudier le signe de O′(X).
= 0 ½ +∞
2= − 1 2
u= − = + 1
− 0 + + + + + O′(X) − 0 + d) Calculer X→ 6vwxO(X).
Décomposons la fonction 8 = √ 1ère fonction :
est une fonction polynôme, on a : B→ 6]`y (= − = + 1) = ]`yB→ 6=² = +∞
2ème fonction : la fonction racine carrée
On pose z = = − = + 1 ainsi z tend vers +∞
Or {→ 6]`y √z = +∞
donc par composition B→ 6]`y u=² − = + 1 = +∞
Ainsi B→ 6]`y 8(=) = +∞.
e) Tableau de variations de la fonction O.
= 0 ½ +∞
8′(=) − 0 +
8(=)
1 +∞
√
Les images doivent être des valeurs exactes !!!!
Aleth BERGER MATHEMATIQUES TS 2016/2017 7 / 56 2° On considère la courbe l d’équation < = √= pour =∈ @0 ; /∞@. On place |$ 1; 0%.
Soit M un point quelconque de l, on note = son abscisse. On veut déterminer la position du point M sur l qui rend minimale la distance |}.
a) Démontrer que la distance |} est donnée par |} √= = / 1 pour = ∈ @0 ; /∞@.
☺ Cette démarche est à mémoriser : on exprime les coordonnées des points, puis on calcule la distance ! Coordonnées des points |$1 ; 0% } ∈ l ⟹ }q=; √= r &^" = ∈ @0 ; /∞@.
Formule de la longueur :
|} ~$ = 1% / $√= 0%² u $= 2= / 1% / = u= = / 1 Donc on a bien •€ √X X / pour X ∈ @ ; /∞@.
b) En réinvestissant les résultats obtenus dans la question 1, déterminer la position du point } pour lequel la distance |} est minimale et préciser cette distance.
On observe que |} 8$=%
On a montré que la fonction 8 admet sur @0 ; /∞@ un minimum pour = égal à √
Le point M associé a pour abscisse =• et appartient la courbe l d’équation < √= donc <• ~ Ainsi, c’est le point € d ; ~ e qui rend la distance •€ minimale.
Cette distance minimale est égale à √‚ . ƒ., c’est-à-dire , „ . ƒ. à , près
EXERCICE IV : (5 points) A : 1° : 0.75 2° : 0.75 B : 1° : 0.75 2° : 1.75 3° : 1 Pour tout réel strictement positif, on définit sur l’intervalle @0 ; /∞@ la fonction a… par : a…$=% =†/ 2= 3 = / 2
=†/ 1
On note l… la courbe représentative de la fonction a… dans un repère du plan.
Partie A :
1. Démontrer que la droite ‡ d’équation < 1 est asymptote à la courbe l…. La fonction a… est rationnelle donc :
B→ 6lim
=†/ 2= 3 = / 2
=†/ 1 B→ 6lim =†
=† B→ 6lim 1 1 ! " limB→ 6a…$=% 1
On en conclut que la droite d’équation < 1 est une asymptote à la courbe l… au voisinage de / ∞.
2. On a construit dans le repère ci-dessous les courbes l , ; l ,ˆ ; l ; l ; l ,ˆ et la droite ‡.
Emettre une conjecture sur le nombre de point(s) d’intersection de l… et de ‡, suivant les valeurs du réel . On conjecture que :
`%‰ Š ∈>0; 1@, l…^[ ‡ n’ont pas de point d’intersection.
ii) Pour 1,l…^[ ‡ ont un unique point d’intersection.
iii) Pour ∈>1; /∞@, l…^[ ‡ ont deux points d’intersection.
Partie B :
On considère la fonction ‹… définie sur @0 ; /∞@ par ‹…$=% 2= 3 = / 1.
1. Justifier que = est l’abscisse d’un point d’intersection de l… et de ‡ si et seulement si ‹…$=% 0
= est l’abscisse d’un point d’intersection de l… et de ‡ si et seulement si : a…$=% 1 ⇔=† / 2= 3 = / 2
=†/ 1 1
⟺ =†/ 2= 3 =² / 2 =†/ 1 ^[ =†/ 1 • 0 ⇔ 2= 3 = / 1 0
⇔ ‹…$=% 0
2. Justifier toutes les données figurant dans le tableau de variation de la fonction ‹… , donné ci-dessous.
= 0 /∞
‹…$=%
1 /∞
/ 1
La fonction ‹… est dérivable sur @0; /∞@ en tant que fonction polynôme.
Pour tout réel = !^@0; /∞@ , ‹…:$=% 6=² 6 = 6=$= %
Calcul des racines de Ž•: (X) ! _ @0 ; +∞@ : 6= = 0 ⇔ = = 0 ∈ @0; +∞@
= − = 0 ⇔ = = ∈ @0; +∞@ " Š > 0
Signe de Ž•:(X): ℎ…:(=) est un polynôme du second degré avec dont le coefficient en =² & [ 6 > 0.
Variation de la fonction Ž• :
= 0 +∞
Signe de ℎ…:(=) 0 − 0 + Variations de
ℎ…
1 +∞
− + 1 Image :
ℎ…( ) = 2 − 3 + 1 = − + 1 Limite en +∞
la fonction ℎ…est une fonction polynôme donc
B→ 6lim (2= − 3 = + 1) = limB→ 62= = +∞
Ainsi
B→ 6lim ℎ…(=) = +∞
Toutes les informations ont été validées
3. Dans cette question, on suppose = 0,5.
3. a. Déterminer le minimum de la fonction ℎ ,ˆ sur @0 ; +∞@. ℎ ,ˆ(0,5 ) = − (1
2) + 1 = −1
8 + 1 =7 8
Donc d’après la question B2) et le calcul ci-dessus, le minimum de la fonction ℎ ,ˆ est égal à g
‘. 3. b. Que peut-on en déduire concernant l’intersection de l ,ˆ et ‡.
D’après 3a), le minimum de ℎ ,ˆ sur @0 ; +∞@ est égal à g
‘ donc pour tout = de @0; +∞@, ℎ ,ˆ(=) ≥g‘ > 0
donc pour tout = de @0; +∞@, ℎ ,ˆ(=) ≠ 0
donc d’après la question B1), l’équation a ,ˆ(=) = 1 n’a pas de solution dans @0 ; +∞@
donc l .ˆ et D n’ont pas de point d’intersection.
DV TSM 10/10/2016 1h D’après sujet national juin 2013
1° 2 +0.5 2° 2.5 1.5+ 2.5 3° 2 + 2 +2 4° 1.5 + 2 +1.5
1.a. = + + 1.
= 2
3 +1
3 × + 1 = ⋯ = 7
3 ; =2
3 +1
3 × + 1 = ⋯ = 26
9 ; = ⋯ =97
27 † =356 81 Valeurs approchées à D près
= 2 ≈ 2,33 ≈ 2,89 ≈ 3,59 † ≈ 4,40
1. b. Conjecture : la suite ( ) semble croissante.
2.a. Montrons par récurrence que : pour tout entier naturel n, ≤ + 3 Initialisation : = 0
On a = 2 ^[ 0 + 3 = 3 donc ≤ 0 + 3 L’inégalité est vraie pour = 0 Hérédité : On suppose que pour un entier , on a : ≤ + 3
et on prouve que ≤ ( + 1) + 3, c’est-à-dire ≤ + 4
≤ + 3
⟹ 2
3 ≤ 2
3 ( + 3)
⟹ 2
3 +1
3 + 1 ≤2
3 ( + 1) +1
3 + 1
⟹ ≤ + 3
Or 3 ≤ 4 ⟹ + 3 ≤ + 4
D’où ≤ + 4
Conclusion :
D’après le principe du raisonnement par récurrence, pour tout entier naturel n, ≤ + 3 2.b. Pour tout de
− = F + + 1I − = + + 1 − = ⋯ = ( + 3 − ).
2.c. Pour tout de
⋆ − = 1
3 ( + 3 − )
⋆ ≤ + 3 ⟹ 0 ≤ + 3 − ⟹1
3 ( + 3 − ) ≥ 0 ⟹ − ≥ 0
D’où pour tout de , on a ≥ ainsi la suite ( ) est croissante. La conjecture est validée.
3.a. Pour tout de
& = − ( + 1) = (2
3 +1
3 + 1) − ( + 1) =2
3 −2
3 =2
3 ( − ) =2 3 &
Pour tout de , & = & donc la suite (& ) est géométrique de raison 3.b. formes explicites
• la suite (& ) est géométrique de raison et de premier terme & = − 0 = 2 donc & = & × F I = 2 × F I
• on a & = − donc = & + d’où = 2 × F I +
3.c. limite
⋆ −1 < 2
3 < 1 ⟹ ]`y→ 6(2
3) = 0 ⟹ ]`y→ 62 × (2
3) = 0
⋆ ]`y→ 6 = +∞
D’où ]`y→ 6F2 × F I + I = +∞ ⟹ ]`y→ 6 = +∞
4. Pour tout entier naturel non nul n, on pose : a. Calcul de somme
1 + (2
3) + (2
3) + ⋯ + (2
3) =1 − F23I
1 − 23 = 1 − F23I 13
= 3 d1 − (2
3) e
b. Exprimer “ en fonction de n.
” = • –
–—
= +–— + ⋯ +
= d2 × (2
3) + 0e + d2 × (2
3) + 1e + d2 × (2
3) + 2e + ⋯ + d2 × (2
3) + e
= 2 d(2
3) + (2
3) + (2
3) + ⋯ + (2
3) e + (0 + 1 + 2 + ⋯ + )
= 2 × 3 d1 − (2
3) e + ( + 1) 2
= 6 d1 − (2
3) e + ( + 1) 2
b. Déterminer la limite de la suite (˜ ). j =” = 1 × ” = 1 ™6 d1 − (2
3) e + ( + 1) 2 š
= 6
d1 − (2
3) e + ( + 1) 2
= 6
d1 − (2
3) e +1 2 + 1
2
⋆ −1 < 2
3 < 1 ⟹ ]`y→ 6(2
3) = 0 ⟹ ]`y→ 6d1 − (2
3) e = 1
⋆ ]`y→ 6 = +∞ ⟹ ]`y→ 6 6
² = 0
D’où ]`y→ 6 EC(1 − F I ) = 0 De plus ]`y→ 6 = 0
Ainsi : ]`y→ 6j =
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Jaune, Marine, Rouge, Pervenche, Turquoise08
/11/20164
H UNE SEULE CALCULATRICE AUTORISEE AUCUN DOCUMENTEXERCICE I : (5 points) POUR TOUS 1° 1.5 2° 0.75 3° 0.75 4° 1.25 5° 0.5 Figure 0.25 Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormé (› ; œ• ; &• %.
La figure page 5 sera complétée au fur et à mesure.
A tout point } d’affixe ž du plan, on associe le point }: d’affixe ž′ définie par : ž: ž² / 4ž / 3.
1. a. On considère le point Ÿ d’affixe 2` . Déterminer l’affixe de son image Ÿ′.
ž J $2`% / 8` / 3 4 / 8` / 3 1 / 8`
donc ¡¢J / £w
1. b. On considère le point ¤ d’affixe 3. Déterminer les affixes des antécédents de ¤ }$ž% est antécédent de ¤ si et seulement si ž•J ž¥ (1)
Or (1)⇔ ž / 4ž / 3 3 ⇔ ž / 4ž 0 ⇔ ž$ž / 4% 0 ⇔ ž 0 ž 4
Donc L a deux antécédents : l’origine O du repère d’affixe 0 et le point ¤ d’affixe 4
1. c. Déterminer et représenter l’ensemble $¦ % des points } d’affixe ž tels que : |ž 2`| |ž 3|
}$ž% ∈ $¦ % ⇔ |ž 2`| |ž 3|
⇔ |ž• ž | |ž• ž¥| ⇔ Ÿ} ¤}
⇔ } é. `!`_[ [ !^ Ÿ ^[ ¤ avec Ÿ • ¤ Donc l’ensemble $¦ % est la médiatrice du segment @Ÿ¤>
2. Un point } est dit invariant lorsqu’il est confondu avec le point }′ associé.
Démontrer qu’il existe deux points invariants. Donner l’affixe de chacun de ces points sous forme algébrique.
}$ž% est invariant si et seulement si ž: ž (2) Or (2) ⇔ ž / 4ž / 3 ž
⇔ ž / 3ž / 3 0 : ∆ \ 4 " 9 12 3 q`√3r ⟺ ž 3 `√3
2 ž 3 / `√3 2
Donc Il existe bien deux points invariants d’affixes −‚− w √‚ et −‚+ w√‚
3. Soit | le point d’affixe D Dª√ et « le point d’affixe D ª√ .
On remarque A et B sont les points invariants (pré-placés sur la figure) donc que leurs affixes sont conjuguées l’une de l’autre
Pour montrer que ›|« est un triangle équilatéral il suffit de montrer que les 3 cotés ont la même longueur
›| = |žk| = ¬−3 − `√3
2 ¬ = -(−3
2) + d−√3
2 e =-9 4 +3
4 = -12 4 = √3 Donc ®• = √‚
Or ž¯ = ž°k et par propriété un nombre complexe et son conjugué ont le même module donc ›« = |ž¯| = |ž° | = |žk k|=√3
donc ®± = √‚
|« = |ž¯− žk|
|« = ¬−3 + `√3
2 −−3 − `√32 ¬ = ¬−3 + `√3 + 3 + `√3
2 ¬ = ¬2`√3
2 ¬ = ²`u3² = |`| × ²u3² = 1 × u3 Donc •± = √‚
Ainsi ›| = ›« = |«
donc le triangle OAB est équilatéral
4. a. Pour } d’affixe ž, on pose ž = = + `< avec = et < réels. On note }′ d’affixe ž′ son image.
Déterminer la forme algébrique de ž′ et montrer que : ³y(ž:) = 2=< + 4<
Soit } d’affixe ž avec ž = = + `< et = et < réels ž:= ž + 4ž + 3
ž:= (= + `<) + 4(= + `<) + 3 ž:= = + 2=<` − < + 4= + 4`< + 3
¡:= (X − ´ + µX + ‚)¶···¸···¹
º•»ZwY »éYvvY
+ w ( X´ + µ´)¶···¸···¹
º•»ZwY wx•¼w •w»Y
C’est la forme algébrique de ž: et la partie imaginaire de ž’ est ½x(¡:) = ( X´ + µ´) 4. b. }:(ž′) appartient à l’axe des réels si et seulement si ž′ est réel.
Donc }(ž) ∈ (¦ ) ⇔ ž′ est réel ⇔ ³y(ž:) = 0 ⇔ 2=< + 4< = 0 ⇔ 2<(= + 2) = 0
⇔ < = 0 = = −2 : on reconnait deux équations de droites du plan Donc l’ensemble (¦ ) est la réunion de l’axe des abscisses et de la droite d’équation = = −2 5. L’affirmation porte sur l’implication : « si … alors… »
Prouvons qu’elle est fausse avec un contre-exemple
D’après 1°, l’image du point Ÿ d’affixe ž = 2` est Ÿ’ d’affixe ¡¢J = − + £w Or Ÿ appartient à l’axe des imaginaires purs
Mais ž J = −1 + 8` a pour partie réelle −1 ≠ 0 donc Ÿ’ n’appartient pas à l’axe des imaginaires purs.
Il existe un point qui appartient à l’axe des imaginaires purs mais dont l’image n’appartient pas à l’axe des imaginaires purs.
Donc l’affirmation « si M est sur l’axe des imaginaires purs, alors son image }′ est sur l’axe des imaginaires purs » est fausse
EXERCICE II : (5 points) NON SPECIALITE
Barème : 1) 1,25 2) 1,25 3) 0,5 4) 0,75 5) 0,5+0,25 + 0,5 On considère la fonction 8 définie sur ]0 ; +∞@ par 8(=) =(BD )BC ¾. 1. a. Calculer O′(X) et montrer que : O:(X) =(X− ) (X‚X+ )
La fonction 8 est dérivable sur ]0; +∞@ en tant que quotient et puissance de fonctions dérivables sur ]0; +∞@, le dénominateur ne s’annulant pas sur ]0; +∞@.
OU 8 est une fonction rationnelle, donc 8 est dérivable sur son ensemble de définition ]0 ; +∞@
Pour tout = !^ ]0; +∞@, on pose (=) = (= − 1) ^[ &(=) = =² . On a donc :(=) = 3(= − 1) ^[ &:(=) = 2=.
Avec FGHI:= GJHDGHHC J, on obtient : 8:(=) =3(= − 1) × = − 2=(= − 1)
=† = =(= − 1) @3= − 2(= − 1)]
=† =(= − 1) (3= − 2= + 2)
= 8:(=) =(= − 1) (= + 2)
=
Conclusion : pour tout X > , O:(X) =(XD ) (X )X‚ .
☺ On peut aussi développer (=) = = − 3= + 3= − 1 :(=) = 3= − 6= + 3 Avec FGHI:= GJHDGHHC J, on obtient :
8:(=) =(3= − 6= + 3) × = − 2=(= − 3= + 3= − 1)
=† = 3=†− 6= + 3= − 2=†+ 6= − 6= + 2=
=†
= =†− 3= + 2=
=† = = − 3= + 2
De plus : (= − 1) (= + 2) = (= − 2= + 1)(= + 2) = = + 2=² − 2= − 4= + = + 2 = = − 3= + 2= Ainsi :
8:(=) =(= − 1) (= + 2)
=
1. b. Etudier le signe de O:(X)
X + ∞ (= − 1)²
= + 2
=
+ + + +
0 + + Signe de O:(X) || + +
2. Limites de la fonction O aux bornes ouvertes de son ensemble de définition
¤`y`[^ !^ 8 ^ 0 à !Š `[^:
B→lim(= − 1) = −1 < 0
De plus, pour tout = !^ ℝ , = ≥ 0 ! " ]`y=→0=² = 0+ Donc par quotient : ]`yB→
Bf
(BD )¾
B² = −∞
Ainsi ]`yB→
Bf
8(=) = −∞
Interprétation graphique : La droite d’équation = = 0 (c’est-à-dire l’axe des ordonnées) est une asymptote à la courbe représentative de 8.
Limite de O Y + ∞:
(= − 1) est un polynôme de degré 3 de terme de plus haut degré = donc la fonction 8 est une fonction rationnelle.
On obtient donc en + ∞:
B→ 6lim
(= − 1)
= = limB→ 6= − 3= + 3= − 1
= = limB→ 6=
= = limB→ 6= = +∞
Ainsi ]`y
B→ 68(=) = +∞
3. Tableau de variation de la fonction O.
X + ∞ Signe de O:(X) + +
Variations de O + ∞
0 − ∞
4. On considère la droite Á d’équation ´ = X − ‚.
Etudier la position relative de la courbe ÂO et de la droite Á. Pour tout = !^ ]0; +∞@:
8(=) − (= − 3) =(= − 1)
= − (= − 3) =(= − 1) (= − 1) − = + 3=
= = = − 3= + 3= − 1 − = + 3=
= 8(=) − (= − 3) =3= − 1
=
= 0 1
3 + ∞ 3= − 1
=² − 0 + 0 + + Signe de 8(=) − (= − 3) || − 0 + Conclusion :
Pour = ∈ ]0; @ , 8(=) − (= − 3) < 0 ! " 8(=) < = − 3 donc la courbe lm est strictement en dessous de la droite Δ _ Š ]0; @ .
La courbe lm coupe Δ au point d’abscisse .
La courbe lm est strictement au-dessus de Δ sur ] ; +∞@.
5. On considère l’algorithme suivant Entrée Affecter la valeur 1 à =
Traitement Tant que 8(=) − (= − 3) ≥ 0,5 Incrémenter la variable = de 1 Fin Tant que
☺ cela signifie : Affecter à = la valeur = + 1
Sortie Afficher la valeur de = 5. a. Faire fonctionner l’algorithme.
Valeur de X 1 2 3 4 5 6
Valeur de
8(=) − (= − 3) 2 1,25 8
9 11
16 14
25 = 0,56 17
36 ≈ 0,47
Test tant que vrai vrai vrai vrai Vrai Faux : arrêt
5. b. Préciser l’affichage final et interpréter cet affichage.
Affichage final : = = 6
Interprétation : 6 est la plus petite valeur entière de = pour laquelle l’écart entre 8(=) ^[ = − 3 est strictement inférieur à 0,5.
Ainsi 6 est la plus petite valeur entière de = pour laquelle la distance AM est strictement inférieure à 0,5.
En effet :
Soit | (=; = − 3)^[ }q=; 8(=)r où = appartient à @ ; +∞@.
|} = ~(= − =) + q8(=) − (= − 3)r = |8(=) − (= − 3)| = 8(=) − (= − 3)
" Š 8(=) ≥ = − 3 Ã Š = ≥1
3 !: Êè_ 4).
Remarque : on peut montrer que ]`y
B→ 6q8(=) − (= − 3)r = 0
Donc cela signifie que la droite Δ est une asymptote oblique à la courbe lm.
EXERCICE III : (5 points) POUR TOUS 5 fois 1 point 1. Soit ž et ž′ deux nombres complexes quelconques.
On rappelle et on admet que : ž × ž′ÅÅÅÅÅÅÅ = ž̅ × ž′° . Montrer par récurrence que pour tout entier naturel non nul, on a : (ž̅) = žÅÅÅ Voir votre cours.
2. Les affirmations suivantes sont –elles vraies ou fausses ? Justifier votre choix Affirmation 1 : (1 + `) est un réel.
(1 + `) = 1 + 2 × 1 × ` + ` = 1 + 2` − 1 = 2`
Donc @(1 + `) ] = (2`) = 2 × ` .
Or `† = (` ) = 1 ! " `‘ = (`†) = 1 ^[ ` = −` ! " ` = `‘× ` = −`
Ainsi ( + w) = × (−w) = − w = − µ£ w qui est un imaginaire pur donc pas un réel. FAUX Affirmation 2 : Si une fonction 8 définie sur ]0 ; +∞@ est décroissante sur ]0 ; +∞@
alors : =→+∞]`y8(=) = −∞. FAUX
La fonction inverse est décroissante sur ]0 ; +∞@ mais B→ 6 B]`y = 0 ≠ −∞
3. Dans chaque cas, retrouver la proposition vraie.
Aucune justification n’est demandée. Une réponse juste rapporte un point ; une réponse fausse ou une absence de réponse ne rapporte ni n’enlève de point.
Sur votre copie, recopiez le n° et la proposition choisie.
3. a. On considère une fonction 8 telle que, pour tout = de ]0 ; +∞@ : 3 − 1
= ≤ 8(=) ≤ 3 + 1
=
On a de plus limB→ 6 BC = 0 ! " limB→ 6(3 −BC) = limB→ 6(3 +BC) = 3 donc d’après le théorème des gendarmes on a : UVWX→ 6O(X) = ‚
3. b. La somme ” = + F I + ⋯ + F I est égale à :
C’est la somme de termes consécutifs d’une suite géométrique de raison . = et de 1er terme . On a alors : ” = F I + F I + ⋯ + F I = (1ÇÈ [^Šy^) DÉÊË ÌÍÎÏÍÐDÉ
” = 1
3 × 1 − F13I 1 − 13 =1
3 × 1 − F13I 23
=3 2 ×1
3 × d1 − (1
3) e =1
2 × d1 − (1 3) e Or (1 − 3 F I ) = F −‚‚Ñ I = F −‚ I = × F1 − F I I
Ainsi la bonne réponse est : ( − ‚ F‚I )
La justification n’est pas demandée, on peut « choisir » à la calculatrice On teste avec = 2
EXERCICE 4 (5 points) Nouvelle Calédonie Novembre 2015 1° : 0.25 2° : 0.75 3° : 1.5 4° : 0.5+0.75 5° : 0.5+0.75 1. Ò ! = ! + 100 = ,
= ! + + 70 = µµ, 2. a. Pour = 1
‡ = 300 | = 450
Ó = 1 + 100 = 250 → ‡ †ˆ + ˆ + 70 = 420 → |
On obtient en sortie ‡ = 250 et | = 420.
Ces résultats ne sont pas cohérents avec ceux obtenus à la question 1, pour la valeur de A. cela signifie que l’algorithme proposé ne permet pas de calculer les termes de la suite ( )
2.b. Le problème de l’algorithme proposé est qu’il réutilise la variable D pour le calcul de A alors qu’elle a été modifiée : en effet lors du premier passage dans la boucle pour Ó = 1, une fois la première ligne
effectuée la valeur de D contient ! ^[ Ã] _ ! ce qui rend le calcul de faux.
1ère modification possible :
il suffit de permuter simplement les deux lignes d’affectation de la boucle POUR.
Cela suffira car l’ancienne valeur de A ne sert pas dans le calcul de la nouvelle valeur de D.
Pour k variant de 1 à n
A prend la valeur k+Ô+ 70 D prend la valeur Ô+ 100 Fin pour
2ème modification possible : On corrige cela en utilisant une variable auxiliaire M, déclarée « nombre réel » dans l’initialisation. Cette valeur de M sert de mémoire de la valeur de D avant réaffectation de celle-ci pour le calcul de A à chaque passage dans la boucle.
Variables : n et k sont des entiers naturels D et A sont des réels
Initialisation : D prend la valeur 300 A prend la valeur 450 Saisir la valeur de n Traitement : Pour k variant de 1 à n
M prend la valeur D D prend la valeur Ô+ 100 A prend la valeur k+€+ 70 Fin pour
Sortie : Afficher D
Afficher A
3. a. Soit entier naturel quelconque : Y = ! − 200 =1
2 ! + 100 − 200 =1
2 ! − 100 = 1
2 (! − 200) = Y
Ainsi la suite (Y ) est géométrique de raison + = et premier terme Y = R − = Seule l’égalité : pour tout de , on a : Y = Y permet d’affirmer que la suite (Y ) est géométrique de raison
b. En déduire l’expression de ! en fonction de . On en déduit que ^ = ^ × . = 100 × F I .
Puis R = Y + = × F I +
c. La suite (! ) est-elle convergente ? Justifier.
On a : ∈] − 1 ; 1@ donc lim→ 6F I = 0 donc lim→ 6100 F I = 0 donc lim→ 6F100 F I + 200I = 200 Donc la suite converge et lim→ 6! = 200
4. a. Montrer que pour tout entier n supérieur ou égal à 3, on a 2 ² ≥ ( + 1)² On calcule la différence :
On étudie le signe de cette différence :
∆= (−2) − 4 × 1 × (−1) = 8 = 2√2. = D √ = 1 − √2 < 0 et = 1 + √2 ≈ 2,4 < 3
−∞ 3 +∞
2 ² − ( + 1)² 0 0 + = 1 > 0
Le signe du trinôme du second degré avec = 1 > 0 nous assure que pour entier supérieur ou égal à 3
− 2 − 1 ≥ 0
Ainsi l’équivalence est vérifiée pour ≥ 3.
Donc pour tout entier n supérieur ou égal à 3, on a ² ≥ ( + )²
b. Montrer par récurrence que pour tout entier n supérieur ou égal à 4, 2 ≥ ² On travaille avec ≥ 4
2 ≥ 2 ² ≥ ( + 1) : "2 ≥ ²" ;
# Initialisation : Pour n = 4:
2† = 16 ^[ 4 = 16. \`^ 2† ≥ 4 donc l’inégalité est vraie pour = 4
# Hérédité : Supposons que la propriété pour un certain entier arbitrairement fixé supérieur ou égal a 4, on a : 2 ≥
et montrons que : 2 ≥ ( + 1) On a : 2 ≥ ²
Donc 2 × 2 ≥ ² × 2 car 2 > 0 Donc 2 ≥ 2 ² .
or d’après la question a) : pour tout entier n supérieur ou égal à 3, on a ² ≥ ( + )² Donc 2 ≥ 2 ² ≥ ( + 1)
Donc 2 ≥ ( + 1) .
# Conclusion : Ainsi, d’après le principe du raisonnement par récurrence, pour tout entier n supérieur ou égal à 4, ≥ ² .
c.
Soit un entier n supérieur ou égal à 4 On a : 2 ≥ > 0
donc 0 < Ê≤ C (par application de la fonction inverse strictement décroissante sur ]0 ; +∞[ donc 0 < 100 × Ê ≤ 100 × C ( en multipliant par 100 > 0)
Donc 0 < 100 F I ≤ " Š Ê = F I
Ainsi pour tout entier n supérieur ou égal à 4, ≤ F I ≤ d. D’après la question précédente
pour ≥ 4 :
0 < 100 F I ≤ lim→ 6100
= 0 ^[ lim→ 60 = 0
Donc d’après le théorème des gendarmes : on a : lim→ 6 100 F I = 0 De plus ∈] − 1 ; 1@ donc lim→ 6F I = 0 donc lim→ 6110 F I = 0 d’où lim→ 6F100 F I + 110 F I + 340I = 340
donc UVW→ 6 • = ‚µ et la suite (• ) converge vers 340