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LIVEING et DEWAR. — Notes on the absorption of the ultra-violet rays by various substances (Notes sur l'absorption des rayons ultra-violets par diverses substances); Proceedings of the Royal Society, vol. XXXV, p. 71; 1883

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00238223

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00238223

Submitted on 1 Jan 1884

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LIVEING et DEWAR. - Notes on the absorption of the ultra-violet rays by various substances (Notes sur

l’absorption des rayons ultra-violets par diverses substances); Proceedings of the Royal Society, vol.

XXXV, p. 71; 1883

G. Foussereau

To cite this version:

G. Foussereau. LIVEING et DEWAR. - Notes on the absorption of the ultra-violet rays by various substances (Notes sur l’absorption des rayons ultra-violets par diverses substances); Proceedings of the Royal Society, vol. XXXV, p. 71; 1883. J. Phys. Theor. Appl., 1884, 3 (1), pp.218-219.

�10.1051/jphystap:018840030021801�. �jpa-00238223�

(2)

218

TITO MARTINI. 2014 Dei suoni prodotti dall’efflusso dei liquidi ( Des sons produits

par l’écoulement des liquides); Atti del R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed Arti, t. II, série VI, 1883.

Ce nouveau travail fait suite à celui que nous avons

analysé (1).

L’eau arrive dans un

tuyau

vertical de verre ou de métal ter- miné soit en

haut,

soit en bas par un

disque métallique percé

à

son centre d’un trou dont le diamètre

égale l’épaisseur

du

disque.

La

périodicité

de l’écoulement détermine la

production

d’un son.

Le son ne s’établit que s’il est à l’unisson de celui que

peut

rendre la colonne

liquide

ou de l’un de ses

harmoniclues.

Un robinet à

large

orifice

placé près

du

disque permet

de

régler

la vitesse d’écoulement et d’obtenir avec le même

tuyau

un son

grave fondamental et des

harmoniques.

Ces sons semblent être ceux d’un

tuyau

fermé. Ils son t les

mêmes, quelle

que soit la

place

du

disque. Deux:cylindres liquides qui vibrent,

soit par suite de l’afflux de

1"eau,

soit par suite de son

écoulement,

donnent des sons dont les nombres de vibrations sont

inverses de leurs dimensions linéaires. Si le

disque

est du côté de

l’arrivée de

l’eau,

les nombres de vibrations rendus par un même

cj lindre

sont

proportionnels

à la racine carrée de sa

charge.

La nature du

tuyau

est sans influence sur la hauteur du son.

E. GRIPON.

LIVEING et DEWAR. 2014 Notes on the absorption of the ultra-violet rays by

various substances (Notes sur l’absorption des rayons ultra-violets par diverses

substances); Proceedings of the Royal Society, vol. XXXV, p. 71; 1883.

Les auteurs

emploient

comme source de lumière l’étincelle d’une bobine d’induction

produite

entre des électrodes de

fer,

avec in-

terposition

d’une bouteille de

Leyde

dans le circuit. Les raies très nombreuses du fer fournissent des

repères

très

précis.

On a fait

usage de

prismes

et de lentilles de

quartz

et de cuves à

parois

de

quartz

ou de sel gemme pour contenir les

liquides

et les gaz. On

photographiait

les

spectres.

(1) Journal cle Physique) 2e série, t. l, p. 514

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018840030021801

(3)

219 Les

expériences

ont

porté

sur des corps très

nombreux,

entre

autres, le

chlore,

le

brome, l’iode,

l’acide

sulfureux, l’hydrogène sulfuré,

le sulfure et le chlorure de

carbone,

le

peroxyde

de

chlore,

l’alun de

chrome,

le

mica, l’argent, l’or,

le

spath

d’Islande.

G. FOUSSEREAU.

ABNEY et FESTING. - Atmospheric absorption in the infra-red of the solar spectrum (Absorption atmosphérique de la partie infra-rouge du spectre so- laire); Proceedings of the Royal Society, vol. XXXV, p. 80; 1883.

En

photographiant

le

spectre

solaire

infra-rouge

dans diffèrentes conditions

atmosphériques,

les auteurs ont reconnu que si l’air

est à peu

près

saturé

d’humidité,

le

spectre

est entièrement couvert

d’une bande noire à

partir

de Y == 8330. L’intensité et l’étendue de

cette bande diminuent avec l’humidité. Par un

temps

très sec

l’absorption

ne se

produit guère

que de Y ==

9420

à Y -

9800.

Aune

grande altitude,

par un vent froid du

nord-est,

cette dernière ab-

sorption disparaît

à son tour presque entièrement. On rend aux

spectres

des

jours

secs

l’apparemce

des

spectres appartenant

à des

jours plus

ou moins humides en

plaçant

en avant de la fente du

spectroscope

une

épaisseur

d’eau

liquide

convenablement déter- minée.

L’aspect

des

photographies peut

donner une mesure de I’hLlmidité

atmosphérique.

G. FOUSSEREAU.

S. KALISCHER.2014 Ueber die Frage, ob bei der Condensation von Wasserdampf

eine Electricitätserregung stattfinde (Sur la question de savoir si la condensa- tion de la vapeur d’eau peut être une source d’électricité) ; Wied. Ann., t. XX, p. 614; 1883.

L’auteur a

placé

douze

grands

vases de verre recouverts de feuilles d’étain et

remplis

de

glace

sur une

plaque

de tôle étamée

reposant

sur une

épaisse plaque

de verre; le tout était

placé

dans

une

grande

caisse

métallique

isolée dont le couvercle était formé par une tôle

permettant

l’accès de l’air. Un fil entouré d’un tube de laiton isolé reliait la

plaque

de tôle à une des

paires

de dua- drants dBm électromètre de Kirchhoff dont l’autre

communiquait

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