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Probabilité de transition de la raie 61S0 - 63 P0 du mercure

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(1)

HAL Id: jpa-00206486

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Submitted on 1 Jan 1967

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Probabilité de transition de la raie 61S0 - 63 P0 du mercure

M.C. Bigeon

To cite this version:

M.C. Bigeon. Probabilité de transition de la raie 61S0 - 63 P0 du mercure. Journal de Physique,

1967, 28 (1), pp.51-60. �10.1051/jphys:0196700280105100�. �jpa-00206486�

(2)

51.

PROBABILITÉ

DE TRANSITION DE LA

RAIE 61S0 - 63P0

DU MERCURE

Par Mlle M. C.

BIGEON,

Faculté des Sciences de Caen, Laboratoire de

Spectroscopie

atomique (Laboratoire associé au C.N.R.S.).

Résumé. - La raie interdite

(61S0

2014

63P0)

du mercure est émise par les

isotopes impairs 199Hg

et

201Hg

de

spin

nucléaire non nul. La

probabilité

de transition a été calculée

théorique-

ment

puis

déterminée

expérimentalement

par des mesures

d’absorption

de la raie interdite

par la vapeur de mercure. L’accord est convenable entre les valeurs calculées

(03C4199

= 1,51 s ; 03C4201 = 2,22

s)

et les valeurs mesurées

(03C4199

= 1,7 s ; 03C4201 = 2,6

s).

Abstract. 2014 The forbidden line

(61S0

2014

63P0)

of mercury arises from the odd

isotopes (with

nuclear

spin) 199Hg

et

201Hg.

The transition

probability

has been

theoretically

calculated, and

experimentally

determined

by absorption

measurements of the forbidden line

by

mercury vapour. The calculated values

(03C4199

=1.51 s ; 03C4201 = 2.22

s)

are in

good agreement

with the

measured ones

(03C4199

= 1.7 s ; 03C4201 = 2.6

s).

LE JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 28, JANVIER 1967,

Nous nous proposons d’etudier la

probabilité

de la

transition

(6lSo

-

63PO)

du mercure de

longueur

d’onde dans le vide X = 2

655,6 A.

Cette transition

est « interdite »

puisque

le moment

cinetique

total est

nul dans les deux 6tats

concern6s,

mais pour les

isotopes impairs

du mercure

(199

et

201)

les

spins

nucl6aires non nuls se combinent avec le vecteur J

et on aboutit aux transitions

permises

Pour obtenir cette

raie,

il faut

peupler

le niveau

63Po.

Le

proc6d6 classique

decrit par Wood et Gaviola

[1]

et divers autres auteurs

[2]

consiste a

porter

un certain nombre d’atomes dans le niveau

63P1

par

absorption

de la raie de resonance

(6lSo

-

63P1) (À

= 2 537

A) ; puis

a faire subir a ces atomes excites des chocs de seconde

espece

en introduisant de l’azote dans la vapeur de mercure

le nombre

quantique v indiquant

le niveau vibra- tionnel de la molecule d’azote. Examinons les

pheno-

m6nes

plus

en detail.

a)

EXCITATION OPTIQUE DE MERCURE PUR. - Parmi les transitions

possibles,

nous ne mentionnerons que celles

qui

conduisent a des raies voisines en

longueur

d’onde de la raie interdite ou

qui

influencent son

intensite. Dans la vapeur de mercure irradiee par un

arc a vapeur de mercure,

l’absorption

de la raie de resonance

(6180

-

63P1)

conduit au niveau

63Pi.

A

partir

de ce

niveau,

on observe

[3]

une

absorption,

assez

faible,

de la raie 4

358,3 A (63P1- 7351)

suivie de

1’emission de 4

358,3 A, 4 046,6 A

et 5

460,7 A.

11

existe de meme une

absorption

et une r66mission du

triplet :

qui

est tres voisin de la raie interdite

(6lSo

-

63Po)

de

longueur

d’onde X = 2

655,6 A;

la raie

X,

en par- ticulier n’en 6tant

separee

que par

0,48 A.

Ceci fait

deja prevoir

les difficultes de resolution a attendre pour isoler la raie interdite.

Puisqu’il n’y

a pas de chocs de seconde

espece

dans la vapeur de mercure pur, le niveau

63Po

ne se

peuple

pas directement à

partir

du niveau

63Pl’

b)

EXCITATION OPTIQUE DU MGLANGE MERCURE +

AZOTE. - Les chocs de seconde

espece

amenant de

nombreux atomes dans le niveau

63Po,

on

observe,

notamment vis-h-vis de

a),

les modifications suivantes

(fig. 1) :

-

Emission

de la raie interdite 2

655,6 A [1, 2].

-

Absorption

de 4

046,6 Å [4, 5]

et réémission

accrue de 4

046,6 A,

4

358,3 A,

5

460,7 A.

-

Absorption

de 2

967,3 Å (63PO

-

63D1) .

- Absorption

de 2

534,8 A (63Po - 73D,),

d’ou 6mis-

sion accrue de la raie 2

653,68 A

du

pseudo-triplet.

Ceci montre que l’observation de la raie interdite necessite

1’emploi

d’un tube de resonance dans

lequel

on devra introduire de la vapeur de mercure et de

1’azote,

et

exige 1’emploi

d’un

syst6me dispersif a grande

resolution.

Nous nous proposons dans ce

qui

suit de calculer

theoriquement

la duree de vie radiative du niveau

63Po,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:0196700280105100

(3)

FIG. 1. - Transitions observ6es par excitation

optique

du

m6lange

vapeur de mercure

plus

azote.

puis

de la determiner

expérimentalement

en mesurant

l’absorption

selective de la raie interdite par de la vapeur de mercure. La

probabilite

de transition 6tant

faible,

la mesure sera difficile et

l’absorption

ne sera

notable que pour de fortes

pressions

de vapeur de

mercure.

Enfin,

nous montrerons dans une

prochaine publication

que les atomes dans le niveau

63Po

sont

d6truits non seulement par radiations mais aussi par chocs avec les atomes de mercure et d’azote.

I. Calcul

theorique

de la durde de vie du niveau

63PO

pour les

isotopes impairs

du mercure. - Nous avons

repris

le calcul de

Garstang [6]

en utilisant des donnees

num6riques plus recentes,

en

particulier

sur les facteurs de Land6.

L’interaction

spin-orbite melange

les niveaux du

couplage

L. S de

m6me j

et de meme

Mj .

Le

spin

nucleaire

melange

a son tour les niveaux de meme moment

cinetique

total F et de meme

MF.

Nous

devons donc 6tudier tous les niveaux

qui

contribuent a former la fonction d’onde du niveau reel

63Po.

Nous

n’6tudicrons que les

isotopes impairs,

car pour les

isotopes pairs

le

spin

nucleaire est

nul,

ce niveau est

pur et la transition

(6lSo

-

63Po)

strictement interdite.

I . 1. CALCUL EN COUPLAGE INTERMÉDIAIRE. - En

ne tenant pas

compte

du

spin nucl6aire,

L’hamiltonien d’un

syst6me

a deux electrons s’ecrit

[7] :

ou

symboliquement :

H0 represente

l’interaction des deux electrons de valence avec le

potentiel

central cree par le noyau et les autres

electrons ;

les deux derniers termes 6tant trait6s comme une

perturbation.

Aux deux limites on

obtient :,

a)

le

couplage L. S ( U(rl, 2) >> S. 0).

Les fonctions propres en

couplage

L. S seront

notes 12’B’+lLJ >;

b)

le

couplage j. j (U(rl, 2) S. 0).

Les fonctions

propres en

couplage j. j

6tant notees

I jl’ j2’ J).

La

configuration (6s, 6p)

du mercure

correspond

en fait

a un cas interm6diaire et les fonctions propres de 1’hamiltonien seront obtenues en

diagonalisant

la per- turbation dans son ensemble sur une base convenable-

ment

choisie,

soit celle des fonctions L . S pures

I ip, >, 13P2), 3P1 > et 13Po).

Nous noterons ces

fonctions propres

I 2S + 1L’ > -

En comparant les resultats obtenus pour les

energies

des niveaux avec leurs

positions

reelles relev6es dans les tables

[8],

nous avons calcule les valeurs

num6riques

des elements de matrice de la

perturbation.

On en

deduit le

d6veloppement num6rique

des 6tats en

couplage

intermediaire sur la base des etats L. S.

Seule cette m6thode

peut

nous fournir le

signe

des

coefficients

a, fi

de ce

d6veloppement (voir 6qua-

tion

(1) plus bas),

mais sa

precision num6rique

est

douteuse car les

positions

des niveaux sont sensibles a des interactions de

configuration

dont nous ne

tenons pas

compte.

Des resultats

plus precis

sont

obtenus a

partir

des facteurs de Lande

gJ(3Pl)’ gJ(lPl)

et gj

(3Pl) [9],

mais on n’obtient ainsi que la valeur absolue des coefficients. On trouve finalement :

avec

Enfin, 3Po

et

3P2

6tant des niveaux purs :

En

exprimant

les etats

precedents

sur la base des

états j. j,

il vient :

avec

I.2. INFLUENCE DU SPIN NUCLEAIRE. - Tenons

compte

maintenant du

spin

nucléaire. Il intervient alors les coefficients d’interaction

(a’, a",

a"’ et

a.)

entre

le

spin

nucleaire et les

électrons p

et s

[10].

A l’int6-

rieur d’un niveau de

J donne,

l’effet de structure

hyperfine

est

equivalent

a l’introduction dans I’hamil- tonien d’un terme

supplémentaire :

2f’ = A. I. J.

Les constantes d’interaction A de structure

hyperfine

(4)

53

dans les niveaux

3P2’ 3P1

et

1P’1 s’expriment

par les relations

Nous d6duirons les valeurs de a’ a" a"’

et as

des donn6es

exp6rimentales

suivantes

[11] :

Les corrections relativistes F et G relev6es dans les tables

[12]

determinent les

rapports :

On

dispose

donc de

cinq

relations pour determiner les

quatre paramètres a’

a" a’" et as. On obtient une

compatibilite

satisfaisante en

prenant :

1. 3. CAS DU MERCURE 199. - Examinons le cas du

mercure 199.

Notons I n2’ + 1L, F >

les fonctions pro- pres de F. La structure

hyperfine melange,

pour un meme

MF,

le niveau

63PO, F = -

avec

61P’, F = 1

et

63P’,

F

= 2

Le calcul

des coefficients

de

mélange

necessite la connaissance des elements de matrice.

et

£hfs

est I’hamiltonien de structure

hyperfine.

On

en tire les coefficients de

mélange i r"i! >. n20132013p

En

notant - les fonctions d’onde

perturbées,

on pose :

On trouve :

Tous les

param6tres ayant

ete calcul6s dans les

paragraphes precedents,

il vient :

Il est commode d’introduire les fonctions L. S pures

I.4. CALCUL DE LA PROBABILITE DE TRANSITION. -

Soit a calculer la

probabilite

de transition

(6180 - 63Po) d’apres

Schiff

[13].

A

partir

de

1’expression

de

63Po,

le seul element de matrice non nul avec les fonctions d’onde L. S 6tant

, il

vient donc :

Nous calculerons

r(63PO)

par

comparaison

avec

la transition

(6180 - 63P;) (2 537 k)

dont r est

connu

[14]

1. 5. CAS DU MERCURE 201. - Le cas du mercure 201

se deduit du

precedent a

1’aide des remarques suivantes :

- L’intervention du moment

quadrupolaire

ne

change

pas le

r6sultat,

car les

operateurs

contenant le

moment

quadrupolaire électrique

ne

couplent

le

niveau

63Po qu’au

niveau

63P2

de

probabilite

de

transition nulle vers le niveau

61SO.

(5)

- En

appelant

yI le

rapport gyromagn6tique

nu-

cl6aire,

T varie comme

(1/y,)2,

or

[15] :

- I valant

3/2

au lieu de

1/2,

le calcul des 616-

ments de matrice de

12z

introduit un

facteur ill(I + 1 ) qui

vaut

V1512

au lieu de

N/3/2.

Soit

globalement :

II.

Principe

de la determination de la durde de vie radiative du niveau

63P0.

- Lors de son passage a travers une cuve contenant de la vapeur de mercure naturel

port6e

a une

temperature suffisante,

la radia-

tion interdite

(6lSo

-

63Po)

subit une

absorption qui permet

de calculer la duree de vie du niveau m6ta- stable

63Po.

Le calcul

d6velopp6

dans Mitchell et

Zemansky ([16],

ch. III

la, 1 b, lc, 2a, 4d )

conduit

aux resultats suivants :

Si

ko

est le coefficient

d’absorption maximum,

cor-

respondant

au sommet de la raie

d’absorption,

pour la radiation emise par un

isotope unique,

sans structure

hyperfine,

et si l’on suppose que la seule cause d’61ar-

gissement

soit due a Ferret

Doppler,

on obtient :

:

Longueur

d’onde au centre de la raie

(xo

=

C /’Jo) .

: Nombre d’atomes par cm3 dans la vapeur absorbante.

: Poids

statistiques respectifs

de 1’6tat inferieur

et de 1’6tat

superieur.

: Duree de vie du niveau.

Av,

est la

largeur Doppler qui

vaut :

: Masse

atomique

du mercure.

: Cte des gaz

parfaits.

:

Temperature

absolue de la cuve

d’absorption.

: Vitesse de la lumière.

La

quantite

mesurable 6tant

l’absorption,

c’est-a-

dire :

nous utiliserons le

proc6d6

de calcul donne par

Zemansky [17]

l :

Longueur

de la cellule

d’absorption.

oc =

Av, /Av,, rapport

des

largeurs

de la raie à 1’emission et de la raie

d’absorption.

Dans notre cas

(ou

la source de la radiation inter- dite est une

lampe

a

resonance),

les

élargissements

sont

pratiquement thermiques :

a =

N/To/T (To

=

temp6-

rature absolue de la cellule a

resonance). L’absorption

sera d’autant

plus importante

que I et N

(donc T)

seront 6lev6s. Nous constatons

qu’aux

basses

absorp-

tions A est sensiblement

proportionnel

a

ko l

ou

plus

N 1

.

précisément

a - . Ý- . ous

ne considérons donc que

T

le

premier

terme du

d6veloppement

de A en fonction

de

k0l, l’erreur qui

en resulte est tout à fait

n6gligeable

vis-h-vis de

l’impr6cision

de nos mesures. Nous pose-

rons donc : A N

kol/ý1

+ a2.

FIG. 2. - Schema du tube de resonance et du biti de pompage.

(6)

55

FIG. 3. - Schema du montage

optique

et du monochromateur. - T : tube de resonance. -

L1, I,2,

L3 : lentilles de silice. -

Fl, F2 :

fentes courbes d’entree et de sortie du monochroma- teur. - R : reseau de diffraction. - M : miroir. - PM :

photomultipli-

cateur.

III.

Dispositif expdrimental.

- III.1. DISPOSITIF

DE PRODUCTION DE LA RAIE INTERDITE. - Le montage

a ete decrit en detail par ailleurs

[18].

Le groupe de pompage, sch6matis6 sur la

figure 2,

est derive de

celui de G. Laroze

[19].

Le tube de resonance se compose d’un

cylindre

en

silice fondue de 245 mm de

longueur

et de 40 mm de

diametre,

termin6 a l’arri6re par une

partie

effilée et

recourb6e,

il est relie a un groupe de pompage

qui permet d’y

faire le vide

puis

de le

remplir

d’un

m6lange

de vapeur de mercure et d’azote. Un mano-

m6tre

metallique,

une

jauge

de Pirani et une

jauge

de

Penning

mesurent les

pressions depuis

une atmo-

sph6re jusqu’a

10-6 mm de mercure. L’excitation

optique

est obtenue par un arc a mercure basse

pression

en silice fondue enroule en

spirale

autour

de la cuve.

La

figure

3 schematise le monochromateur

qui

uti-

lise le

dispositif d’Ebert-Fastie,

et la

conjugaison optique

des elements du montage.

Le reseau

compte

2 160 traits par mm, il mesure

76 mm de

largeur

sur 65 mm de hauteur. Il est

« blaze », donc une serie d’ordres est bien

plus

intense

que 1’autre. Les fentes courbes decrivent un arc de cercle dont le centre est le

foyer

du

miroir;

leur

largeur

est

reglable.

En inclinant le

r6seau,

on fait defiler le

spectre

sur la fente de sortie.

L’etendue de faisceau

imposee a priori

est celle du

monochromateur,

inferieure a celle du tube de reso-

nance. Celui-ci ne

diaphragmera

pas le faisceau si

l’ optique

est convenablement choisie.

La raie interdite et la raie

À1

6tant distantes de 8X =

0,48 k,

leur

separation complete exige

une fente

de

1,2

X 10-1 mm. La limite de resolution de ces raies

correspond

a une fente d’environ

2,4

X 10-1 mm.

Nous avons

adopte

des fentes de

1,5

X 10-1 mm,

ce

qui

concilie au mieux la resolution et la luminosite.

Le courant fourni par le

photomultiplicateur

est

envoye

sur un

galvanometre enregistreur

par l’inter- m6diaire d’un circuit R.C. et d’un

adaptateur

d’im-

p6dance.

FIG. 4. -

Enregistrement

du

spectre

obtenu par exci- tation

optique

du

m6lange

vapeur de mercure

plus

azote.

III .2. INTENSITE DE LA RAIE INTERDITE EN FONCTION DE LA PRESSION D’AZOTE. - La

figure

4

reproduit

un

enregistrement

obtenu avec une

pression

d’azote

P =

2,5

mm. Les resultats sont resumes par la courbe de la

figure

5.

(7)

FIG. 5. - Intensite de la raie interdite en fonction de la

pression

d’azote.

L’unite de mesure d’intensité 6tant de toute

faqon arbitraire,

nous avons

pose No

=

Poxo, No designant

le nombre d’atomes de mercure dans 1’etat

63Po

par

unite de volume et xo l’intensit6

mesur6e,

normalis6e

de

façon

que xo = 1 pour P = 1 mm. Ces resultats

recoupent

bien ceux de G. Laroze et

J.

L.

Cojan [19]

et de Kimbell et Le

Roy [20].

Pour nos

experiences ult6rieures,

nous avons utilise de 1’azote sous une

pression

de 2 mm de mercure

qui permet

d’obtenir la raie interdite avec une bonne

intensité,

tout en rendant

possible

une diffusion

rapide

du mercure dans

1’azote lors des

remplissages

de la cellule a resonance.

111. 3. INTRODUCTION DU TUBE D’ABSORPTION. - Nous avons interet a utiliser un

long

tube

d’absorption.

L’étendue du monochromateur ne nous limitant pra-

tiquement

pas, nous ne tiendrons

compte

en fait que des

questions

d’encombrement. Le tube

d’absorption

est un

cylindre

en silice fondue de 500 mm de

longueur

dont les deux extrémités sont

planes

et

paralleles

et

qui porte

en son milieu un queusot contenant une

goutte

de mercure naturel distille sous vide. Ce tube

est

place

dans un four chauffe

electriquement.

A

chaque extremite,

une ouverture, fermee par une double fenetre en silice

fondue,

laisse passer la lumi6re.

Un

camouflage

en

clinquant empeche

la cellule de recevoir directement le

rayonnement

de la resistance chauffante. Un

thermocouple

ATE-BTE mesure la

temperature.

11 est entour6 d’un tube de verre et

maintenu aussi voisin que

possible

de la

goutte

de

mercure.

Le

montage optique

a 6t6 modifie selon le schema de la

figure

6. 11

permet

l’introduction de la cellule

d’absorption

et

s6pare

le faisceau en deux

parties

avant cette cellule. Un defilement tres lent du

spectre

a

permis

d’utiliser une constante de

temps

de

12,5

s.

FIG. 6. - Schema du

montage optique.

(8)

57

Nous avons atteint un

rapport signal

sur bruit au

moins

6gal

a

100, quand

on observe la raie interdite transmise par la cuve froide donc non absorbante.

Enfin,

des essais

pr6liminaires

ont montre 1’existence d’une

absorption

simultanee de la raie interdite et de la raie voisine

Àl =

2

655,1 A

due a

1’elargissement

de la raie

d’absorption

2 537

k.

Nous en avons tenu

compte

dans le calcul de

l’absorption.

IV.

Expdriences

sur le mercure naturel. - IV .1. IN-

TERET DE L’EXPERIENCE. - La source à resonance 6met les deux raies interdites

correspondant

au

199Hg

et au

2olHg.

Elles n’ont manifestement pas de struc- ture

hyperfine

et les

previcions theoriques

indi-

rectes

[21]

et

[22]

aussi bien que les mesures de Mrozowski

[23]

et les notres

[24]

montrent

qu’elles

sont bien

s6par6es,

la distance de leurs centres de

gravite

6tant de l’ordre de 200

mK,

tres

grande

devant

leur

largeur Doppler (30

mK

environ).

Par contre, si les chocs avec 1’azote semblent peu efficaces pour

ramener les atomes

63Po

sur le niveau

6180 (quenching),

il est

possible qu’ils produisent

des

perturbations

non

destructives de ces niveaux

provoquant

un effet Lorentz

qui 61argit

chacune de ces deux radiations. Dans la suite de nos mesures, il conviendra donc

d’extrapoler

les résultats a

pression

d’azote nulle pour

pouvoir

s’affranchir de cet effet a 1’emission.

Les intensites

respectives

de ces deux raies

peuvent

s’evaluer

grossi6rement

de la mani6re suivante : elles

sont

proportionnelles

aux nombres d’atomes de

chaque espece portes

par excitation 2 537

k

sur le niveau

63pl.

Compte

tenu de la forte ventilation de

1’arc,

la

raie 2 537

Å qu’il

emet

presente

la structure

hyper-

fine du

type

« narrow line »

( fig. 7).

FIG. 7. - Structure

hyperfine

de la raie 2 537 A.

Les

rapports

des

poids statistiques

du niveau

hyperfin

de 1’etat excite

63P1

et de 1’etat fondamental

6lSo

sont

proportionnels

a :

Dans le mercure

naturel,

les

isotopes

199 et 201 ont

une abondance relative de

0,164

et

0,136.

Les nombres

d’atomes 199 et 201

port6s

sur 1’etat

63P1

sont donc

dans le

rapport :

On

peut

donc estimer que la raie interdite 6mise dans nos

experiences

se compose par

parties

sensible-

ment

egales

de chacune des deux composantes

hyper-

fines

199Hg

et

201Hg.

Nous avons admis que, pour un

isotope donne, l’absorption,

si elle reste

faible,

est

proportionnelle

a

N/,r.

Les abondances relatives de

199Hg

et

201Hg

dans le mercure naturel 6tant sensible-

ment

egales,

la

probabilite

de transition

apparente

mesur6e sur le mercure naturel sera voisine de la moyenne

arithm6tique

des

probabilites

de transition

199Hg

et

20lHg

Des mesures

d’absorption

sur le mercure naturel

permettent

donc de choisir les conditions

exp6rimen-

tales

convenables,

en

particulier

la

pression

d’azote

dans le tube de resonance. Comme il est facile de faire varier cette

pression, l’expérience

nous

permettra

d’extrapoler

les resultats a

pression

nulle.

Remarque :

Nous serons amenes a utiliser dans la

cuve

d’absorption

des

pressions

de vapeur de mercure

correspondant

a N = 1018 atomes par centimetre cube.

Nous verrons dans une

prochaine publication

que pour N de l’ordre de 1013 cm-3 le nombre de chocs

Hg (63Po), Hg (6lSo) depeuplant

le niveau

63Po

est de

l’ordre de 102 par seconde. Dans nos

experiences

d’ab-

sorption,

il serait de l’ordre de 107 par seconde. Il en

r6sulte un

elargissement

Holtsmark de la raie

d’absorp-

tion

n6gligeable

devant sa

largeur Doppler (109 s-1),

ce

qui justifie 1’emploi

des formules utilis6es.

IV. 2. RESULTATS EXPERIMENTAUX. - Nous avons

choisi successivement trois

pressions

d’azote afin de d6tecter d’eventuels

élargissements

de la raie interdite

sous 1’effet de 1’azote. Pour

chaque pression

nous avons

mesure

l’absorption

pour differentes

temperatures

du

four. On mesure en realite la

temperature

T’ de la

goutte

de mercure. La

temperature

T de la cellule

d’absorption

est

superieure

a T’ car la cellule est

plus proche

des resistances chauffantes que le

queusot.

Nous en avons tenu

compte

dans le calcul de

N,

nombres d’atomes de mercure par cm3 dans la cuve

d’absorption.

L’ensemble des resultats pour différentes

pressions

d’azote est resume sur la

figure

8 ou l’on a

porte

les

marges d’incertitude et les droites obtenues par la m6thode des moindres carres. Nous constatons en effet

une

importante dispersion

des resultats

provenant

du fait que l’on mesure en realite

(1 - A). Compte

tenu

du calcul des valeurs du coefficient de

1/-c

dans 1’ex-

(9)

FIG. 8. -

Absorption

selective de la raie interdite 6mise par le

m6lange

mercure naturel

plus

azote en fonction

du nombre d’atomes de mercure par cm3 dans la cuve

d’absorption,

pour trois

pressions

d’azote différentes dans le tube source.

pression

de

ko,

nous avons pu tracer les courbes

theoriques A(N)

pour

plusieurs

dur6es de vie enca-

drant la valeur

probable;

aux faibles

absorptions correspondant

a nos conditions

expérimentales,

A est

sensiblement

proportionnel

a

N,

soit A = U.N.

La m6thode des moindres carr6s

appliqu6e

aux

mesures

pr6c6dentes

donne alors les resultats du tableau I :

TABLEAU I

IV. 3. CALCUL DE LA DUREE DE VIE. - Nous devons

tout d’abord

extrapoler

les resultats

precedents

pour

une

pression

d’azote nulle. En

traçant U(P)

il vient

pour P = 0 :

Uo

=

5,33

X 10-2° cm3.

Pour une

temperature déterminée,

la connaissance de

Uo

nous fournit une valeur de

l’absorption qui, jointe

au calcul de a, conduit au terme

k0l,

donc

a

k°.

Enfin on en déduit ’t’.

Nous avons

approximativement

évalué :

Nous avons calcul6 la

quantite I /A/ 1

+ a2 pour des

temperatures T,

variant de 100 en 100.

Nous calculons de meme

systématiquement

la quan- tit6

Av,

sachant

qu’elle

est

proportionnelle

a

’Joýr

et

que pour la raie 2 537

A

a 20 OC :

Av,

= 109 s-1.

Donc pour 2 650

k

et a T OK :

Enfin,

en

posant ko

=

GNjT,

nous calculons :

Le facteur

0,15 represente

sensiblement l’abondance

relative,

dans le mercure

naturel,

de chacun des deux

isotopes

donnant naissance aux deux

composantes

isotopiques parfaitement

resolues. Considerons par

exemple

la

temperature :

T’ = 537 OK. Nous avons

calcule alors : T = 578

°K,

N =

1,77

X 1018

cm-3,

1 /, ,/ 1 + OC2

=

0,805,

d’ou :

D’après

les notations

pr6c6dentes :

Nous avons calcul6 :

Ce resultat est entach6 d’une forte incertitude pro-

venant d’une

part

du manque de

precision

de la

m6thode de mesure et d’autre

part

des

approximations

faites au

depart

que l’on

peut

estimer a : 25

%

sur

les mesures; 10

%

sur le facteur

0,15 (concentration

moyenne admise pour

199Hg

et

2°lHg

dans la cuve

d’absorption);

7

%

sur

1’approximation lineaire,

soit

plus

de 40

%.

V.

Emploi

des

isotopes impairs

199 et 201 du mer-

cure dans la source a rdsonance. - V .1. RESULTATS EXPERIMENTAUX. - Afin d’6tudier

s6par6ment

les

probabilites

de transition pour chacun des deux iso-

topes impairs

du mercure, nous avons utilise comme source des

melanges

d’azote et d’un

isotope impair

soit

N2

r

199Hg,

soit

N2

+

2olHg,

contenus

respective-

ment dans deux tubes scell6s. La

pression

d’azote

choisie est de 2 mm de mercure. Nous avons effectu6 trois series de mesure pour

chaque isotope.

Le calcul

(10)

59

FIG. 9. -

Absorption

selective de la raie interdite emise

respectivement

par les

melanges 199Hg +

N2 et

20’Hg

+ N2

en fonction du nombre d’atomes de mercure par cm3 dans la cuve

d’absorption.

Pression d’azote dans le tube source : 2 mm de

Hg.

des moindres carr6s nous a conduits aux valeurs suivantes de U :

Mercure 199 :

Mercure 201 :

Les valeurs moyennes pour U sont donc :

Ces resultats sont d’ailleurs resumes sur la

figure

9.

On voit imm6diatement que les mesures sont nette- ment

plus pr6cises

que celles effectu6es avec le mercure

naturel,

ce

qui

est normal car le

signal

est

beaucoup plus important.

V . 2. CALCUL DES DURIES DE VIE RESPECTIVES DE

199HG ET 20lHG. - La

premiere operation

a realiser

est d’estimer

1’extrapolation

a

pression

d’azote nulle des coefficients

U0199

et

U0201

a

partir

de leurs valeurs

experimentales

a la

pression

de 2 mm d’azote. Soit

respectivement : 6,6

X 10-2° et

4,0

X 10-2°. Pour y

parvenir,

nous admettrons

qu’il

suffit de les

multiplier

par le

rapport

des valeurs de U a

pression

nulle et

a 2 mm d’azote obtenu

pr6c6demment, quand

la

cellule

d’absorption

renfermait du mercure naturel.

Soit :

On obtient ainsi :

Un calcul

analogue

a celui utilise pour le mercure naturel conduit pour T = 578 OK aux valeurs :

Le passage aux durees de vie se fait par

comparaison

avec le calcul pour le mercure naturel

qui

donnait

pour

ko l

=

0,117

et un

isotope

d’abondance

0,15

une

duree de vie : r =

2,2

s. En introduisant les abon- dances relatives de

199Hg

et

2olHg,

soit :

0,164

et

0,137,

il vient :

V. 3. CORRECTION DUE AU MANQ,UE DE PURETE DES

ISOTOPES. - L’examen des

interferogrammes

que nous

avons realises avec chacune des deux sources isoto-

piques

montre que leur excitation par du mercure naturel fournit pour

199Hg

une raie tres pure

qui

ne

necessite aucune

correction,

mais que la source

2olHg

emet environ 10

%

de son rayonnement « interdit »

sur la

composante

199. Cela est du a la

presence

dans

l’isotope

utilise d’une fraction

appreciable

de

199Hg melange

au

2olHg.

Appelons Io

l’intensit6

globale.

Elle peut etre d6-

compos6e

en ses fractions 6mises par

199Hg

et

201Hg

respectivement.

(11)

En

presence

de la cuve

d’absorption,

on observe :

Or pour T = 578 OK on tire des valeurs de

Uo donnees en §

V. 2 :

A199 = 0,130

et pour

2olHg

la valeur appa- rente : A =

0,079.

D’ou :

A20l === 0,0733 et "t’201 = 2,6

s.

VI. Conclusion. - Les

probabilites

de transition mesurees individuellement pour chacun des deux iso-

topes impairs

du mercure sont :

Leur moyenne

arithm6tique

est

0,47 s-1,

ce

qui

cor-

respondrait

a une duree de vie T =

2,1

s effectivement voisine de la valeur

(r

=

2,2 s)

mesur6e lors de

1’expe-

rience

pr6liminaire

utilisant une source a resonance

remplie

de mercure naturel. Ceci

justifie a posteriori

nos

hypotheses

de

depart

pour cette

experience.

Les

calculs

theoriques

de

Garstang [15]

fournissent :

Nos propres calculs conduisent i :

On

peut

conclure que nos resultats

experimentaux :

sont en accord fort convenable avec les

previsions theoriques compte

tenu de

l’impr6cision

6lev6e des deux

procedes.

Notons que les

rapports

des dur6es de vie

exp6rimentales

et

th6oriques

pour

2olHg

et

199Hg sont tous

deux voisins de

1,5,

ce

qui

est satisfaisant

puisque,

si les valeurs absolues

th6oriques

des deux

durees de vie

reposent

sur les calculs dont la

precision

est

mediocre,

leur

rapport,

directement lie aux mo- ments

magn6tiques

nucl6aires de

2olHg

et

199Hg,

est

certainement connu avec une bonne

precision.

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