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Photographie
Sdenœs
Corporation
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23WEST MAINSTREET WEBSTER,N.Y. 14580
(716) 872-4S03
i/jL
CIHM/ICMH
Microfiche
Séries.
CIHM/ICMH
Collection de microfiches.
Canadien Institute forHistoricalMicroreproductions/Institutcanadien de microreproductionshistoriques
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Couvarturaandommagéa
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•ion,andandingonthaiaatpagawith aprintad oriiiuatratadimprasaion.
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Laa axamplairaaoriginauxdontlacouvarturaan papiar aatimpriméasontfilmésancommançant parlapramiarplatatan tarminantsoitparla darniérapagaquicomporta unaamprainta d'imprassionoud'illustration, soitparlasacond
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Thalastracordadframaon aachmicroficha shallcontain thasymbol•-^(maaning "CON- TINUED'),orthasymbol
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Laacartaa,planchas, tablaaux,atc,pauvantétra filmés édaatauxdaréductiondifférants.
Lorsqualadocumantasttropgrandpourétra raproduitan unsaulcliché, ilastfilmé àpartir
dol'anglaaupériaurgaucha,dagauchaédroita, atdahautanbaa. anpranantlanombra d'imagasnécassaira. Lasdiagrammassuivants illustrantla méthoda.
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LE CORDON
*^^°*^^'e de Q^
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f:. GUE.
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Québec 2;Décembre
1876.t
E. A. AROH
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ayant ne vosière;
vre (:<
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Un dema
nion, (
lin de porta Frêre-
çois. 1
francî!
de saij fut sui désirei
leurai
Le
c lequatms
à f d'Assisla Praj
raierit-
m
ceigLE CORDON DE BAIM l'lA^((>îb
11
L^
Séraphiqiie saint F^rani^ois d*Aftsi^é;'
ayant pnibraisé la pauvreté évaiigéliq^ie,
ne voultit avoirpourv^^leùJentqu'une gro»- ra' sièrè ttinique, et pour ceinture qu^uue paù- ,
vre ôo^de : cette conie itait
un
symbole dé pénitence, de pauvreté et ie chasteté.Un
jour, sonami
saintDominique
luidemanda,
entémoignage de
leur intime u- nion, de lui îîonner sa corde; et,jusqu'à la lin de sa vie, lebienheureux Dominique
porta toujours, sous sa robe blanche de ^ Prêre-Prôcheur, cette corde:de saint Pran-, çois. 11 fut ainsi, en dehorsde
la ftimill<5 ^'jfranciscaine, le premier qui porta la corde^ '^
de saijit François d'Assise. Son
exemple'
fut suivi d'une multitude de pieux fldëles, '
désireux de porter ainsi
pne marque
de leuramour
envers saint François./ "Le
cordon de saint François éj,ait, dèslequatorzièmesiècle, quatre-vingts ou cent ans à peine après la mort
du
patriarche d'Assise,une
des dévotions populairesde
la France. Les Princes et les Rois s'hono- raierit.de le porter, l^es ducs de
Bretagn»
n ceignaient leurs armes. François 1er le
MU
substitua au Cordon dfî Saint-Mich«'l ;et
«a m«>ro, la reine Louise (\v Savoie, l'in- troduisit
dans
!e blason de sa maison.Par une
bulle en datedu
19novembre
1585, logrand
Pape
Sixl»^V
érigea cepieux visage onune
Archiconfréi-ie, qui prit leftom {\,Archiconfréric
du
cordon de sainl François, Il Tenrichit de nomljreuses In- dul|?ences cl lui accorda eu outreune
plei-ne et entière participation à toutes les Xk-
veup
spirituelles dont jouissaient les Frè- res-Mineurs.L*Archiconfrérie
du
cordon estune
affi- liation à la famille religieuse fondée parlepatriarche séraçhique, elle n'oblige à rien sous peine de p!?cbé, et apporte a tous ses meoibres, des grAces vrannent merveil- leuses.
Elle subsiste? encore aujourd'hui, et tout le
monde
peut en faire partie,mAme
le»enfrfnts,
môme
les religieu.v el religieuses de n'importe quel Ordre.—
Saint Benoit- JosephLabre
regut leCordon
à Assiseniônie, sur le
tombeau
de Saint François,, le *2Pnovembre
1770.Pour
faire partie de rÀrchîconfrérie, ilfuffit de recevoir le cordon de ia
main
d'un Supérieur franciscain tu d'un prêtre#Hélf:giS^ îi cette effet, et de.pcrter c«,> ci;r:,
•\im
^mr
4*t mît. Il est d'ùrag^e, mai» siiii-r
3
ie. il
d'un
sim-
pltfinonl d^u^.'ige, du reciter
chaque
Jour,en suuvtuiir «Ioa ciuii piuies
du Sauveur
etd"^ sAiiil Fruti;ois, et aussi
aux
lutentiunsdu
Pape, poiir les besoinsde
l'église, six Paiei\ Ave et Gloria Palri,Ou
p'^ut p >rter id oordun sur la chemise.Il peut être dt? til. de coton,
de
laineou
de chanvre, de couleur blanche ou ecrue ;on
ne doit le quitttTquVn
cas de nécessité, pour le reprendre tiô:»que
cela re<levient possible.Une
petiio ilc»*lle ne suifirait pas, mais il n'est pas necee^sairoque
ce soitune
grosse corde.On
peut réciter les six Pater,Ave
et Gloria, iriiuporte à quelmoment du
Jour, soit en marchant, soit àgenoux,
com- me
on le i^réftre.On
n'yest pasobligé, cVstun
simple conseil de pieté.Si l'on ne portait pns ib uordon, on
ne
gagnerait pas les t'avfurs spirituelles con- cédées par le SaintrSiege. pour les gagner,il faut, non-seulement porter le cordon, et
accomplir ce qui est prescrit par la con»
c(%si in apostolique, mais encore remplir
les conditions ordinairement exigéespour
lesindulgencesplenlères.
—
Ces conditions sontcomme chacun
sait, d'abord d*ôtreen
état de grâce, sincèrement contrit de ses péchés, et
fermement
résolu à les éviter et à les expier: puis, à moinsque
le contraire. ne soit spécifié, de se confesser et decorn-
l
^il
manier
et d»? prierdans un
oratoire public, pour !^.Pape
•t à sos intentions.Pour
les•personnes pieuse^ qui ont l'habitude d*â[).
prochef sôuVenl <te la Sainte-Table, la c<3a- fession <lo tous l^5s quinze jours dans cer- tains diocèses suffit.
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FîAVKïJliB
SPIHÏTUELLBS
'/Il
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4
AUathéè.t
au
do rdon
séraphique.'Nous
dtsioiîs tout-à-rheure qu'elles é- taiènt nr^rveiM^uses.En
eflTet, «^llescom-
prertrtëîVtde trr^^or incomparable<les Indul- gence*^et'Absolutions gén<^rales, qui Ton^^
d'e-'larfamillei rriin^isctèine
Une
merveille unique en son genre.ÎAfi' eOhfrères
du
Cordon seraphique ontilrï)fl i\ toutes ces ffrAees.
On
peut en voir'ffl' détail dans le catnlogU'^ (|ue nousjol-
.*gnonïi a c^Hto petite Notice et
dans
cellede
VArchirmifrêrindu Cardon
publiée^ en!87l, par le li P. Laurent, anci«Mi Provin-
cial des (lipucins de France (I).
En
voici trois qui brillent entre toutes lesautres; el- les ont f^tA conllrmées par N. T. S. P. lePawî
Pie IX, par dei\x décrets en datedu
12
mars
m5r> etdu
IV avril 1856.l® Toutes les fois qu'on récite les six Palfr, Ave
H
Gloria ci-dessus indiqués, on*Q public,
Pour
lesî, la c*Ja-
ans ctîr-
S
ue.'
elles é-
«s corn-
as Indul*
[ijî ^on^^
erveille rue ont en voir oiis joi- celle (Je i'^tV on Provin-
iln voici
;res; el-
^. P. le
iate
du
les six ués, on
gagne
tt;uleei les Inclulg4^nces, pKniêrts et partielle,de
Ita, Terre-Sainte;toutes les In- dulgences, plenièrts et paitielies, de tou- tes Ihs basiliques et de tous leb sanctuai- res de Home.; toutes les Indulgences, plé»nières et partielles, des sanctuaires d'As-
sise, etc. , c'est-à-dire des millier^ d'Indul- gences plénièrt'S et certainement plus die cent rnillr années d
Indulgences
partielles;i Il y a làun
océan presque inlini4e
miséri-ccrdcs ; il y a là de quoi délivrer
chaque
jturs «les milliers de pauvres
âmes du
pur-^gatpire. Et l'on peut gagner ces trésors autant de fois par jour qu'on le veut : li
nVst pas nécessa
We
d'avoir eommtfnié lematin ; il suflit d'élre (?ïiétat de grâce,con-
trit
de
ses pèches, et décidé à rester fidèle à notre Seigneur2®
Toutes les fois qu'on^communie.
In- dulgence pifniére ; et en outre, lorsqu'a- près lacommunion on
récite lepsaume
Eaalidiat avec quelques courtes prières
que Ton
trcuvoru l'i-après, ongagne
(grâce aiiimral^le ! ) loules les Indulgences plé- niéreis et partielles de tous J*'s sanctuaires de la terre.Ceux
quine
saventou
ne peu-vi'Ul i>as lire, récitentà la place de cepsau- me^et de ces prières trois Pater et trois Ave,
aux
intentionsdu
Pape.3
9
Mais ce qui est plus précieux enco-I.»
..n
l
re, les •ontrèrcs
du Cordon
jouisf5(5ni d'unefuviîttf uniqtip, accordée dftns TEglise à l'humble famille de saint François, «t qu'on appelle rAbsolution généralf". Cette grande Absohillon franciscaine consiste,
dans
la restitution de Kinnocencedu
Bap- tême. C'est làune
grdce qui d^^p&sse tou- tes lf»8 autres.Dans
cettegrâce toute frnncipcaine, il y d'abord ce qu'on pourrait appelrT le côté génén^l,c'est-à dire l'exempiion, des peinesdu
purgatoire, en d'autres termes l'Indul-gence
pléniôr*^ ; ptii-a, l'^ côté spécial, qui consiste dansun nouvellement
miséricor- dieuxde
rinnocencodu Baptême
propor-tionné
aux
dispositions'du
Adèle qui ren'Mt la susdite Absolution.Ce
n'est pas la griV-^e sacramentelle
du
Bnpt.ô'n»^ laqu«^ll»î ïirtsaurait être renouvelé* c'est la niôuie ple- nitune
de
pardon,que
nousavons
r»'^ueau
jour sacré de notre Baptémf^, et l'entière restitution de la sainteté et de TinTn cence baptismal*^.
— — La
première partie *W lagrâc»^
de
l'absolution générale. l'InduIgc^f- ce plénière est applicable,aux âmes du
purgatoire, par
mode
de suffrage ;t?iml
is
que
la seconde est ioiito porsonnelle «'tpar conséquent incommunicable.
Quwl
tré- sorque
cette rfiStit\ition de l'innocence de notreBaptême
!Comme
ellenous
renddi
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lel
Ull
ml ml
ri
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-,la ^*-»**'-4.*'•
d'une
flise à
s, et
Cette
isiste,
Bap.
tou«
»3 tJM
e
au
f!^
digne des
regdHs du bon
Dieu iGomme
elJe attire en
npus
Jesus-Christ, avec-tousleh iresiora de son
Sacre-Cœur
!Comme
ellepermet à la Vierge
immaculée de nous
contempler ave""un
maternelamour!
Corn*me eUe nous
prômire à recevoir digne-ment
la très-punt Euctiaristie! Enfin,com-
me
elle nous rendbeaux aux yeux
de rBglisede
la terri» IUne dme
ainsi pu-ritiee, ainsi enrichie, est
un
ciel vivant où règne et vit pleinement Jêsus-Clirist, avec son père céleste et l'Esprit sanctiHcateurOn
^eut recevoir l'Absolution générale trente-six fois par ans, par le ministèred'ufi
Frère-Mneur ou
d'un directeurdu
Tiers-Ordre ou d'un prêtre quelconque, ap- prouve pour les confessions.
D'abord aux
jours de fête qui suivent : le jourde
rimmaçulée-Conception, à Noël, à la Cir- concistoii à l'Epiphanie, à la PuriOcation, à la s-ùrti Joseph, k r Annonciation,au
di^manche
desRameaux,
àchacun
des jours de ia 8eiiul!i(3-sainte,au Dimanche
dePîVqueï*, à l'Ascension, à la Pentecôte, à
la Trinité, à la Fôt?^Dieu, à la fête,
du
Sacre-Gœur, le 21. juin, (enmémoire du
ciàiquaiitième anniv Msaire de l'enlree du.
Pape
Pie IX.dans
le Tiers-Onire), à la Siint-Plerro. à la Visitation,à
la fèie de sainte Claire (le 12 août) à l'Assomption,lAiâattaMiiKuiB
m
^^-je 25
novembre
à l'I?J
'^i'^"» et ea].,^thenne Vierge
et
m ^e^ ^
'*^"*^^-
:
'••« foisencor. par
«n
"^••'' '"*••'«'•"'«^u^,"
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sainte Ca- outre,
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jum
: eninnocence ble ! (Tu^l sanctinc'i- B confrère
tout prô-
'esser. eu
soit, ost ulte gé- saiut
<Je
ribunal.
els frari-
ur cotle
bon
(J.)s indis- coril'Hs- oxpri-
le a
un
nfant
confr-ère
du
Cordon, il n'est pasdu
toutné.;<'ssaire
que
le confesseur Soit aflllié àla nnuilie Iranciscaine.
Au
jour de fèteaiiniiquêes, ci-<lessus; on peut recevoir T
Ab-
solutien générale, à partir
de
la veille àniedi, et le jour ie là fête jusqu'à minuit.
Par une
concession récente, les prêtresque
les devoirsdu
saint niinîsièream-
pêcheraient de recevoir lAbâolùtion géné- laleau
jour indiqué, ont potir aller la de-mander, une
latitude de nuit jours avantlu fèti?.
Enfin, à l'article de îa mort, les con- frères du
Cordon
séraphiqufe reçoivent cet- temême
grâce de la Bénédiction Papale,d<? l*indulgencé plénière et de la restitu- tion de rinpocence de leur baptême, de
la
main du
prêtre qui les assiste.Cos trois admirables fliveurs spirituelles ne doivent-elles pas rendre bien chère à notre foi 1'Archiconfrérie
du
Goirdon de Siiint-FrançoLS, ainsiqne l'Œuvre
deSaint François de Sales, quinous
lesapportent ?Tous
les vrais chrétiénMevraiént en faire partie, tantpour eux-mêmes que
pour lesoulagement des
âmes du
purgatoire.La
corde
du
patriarche séraphique leur *rap«pellerait sans cesse les vertus
de
Saint François, la protection dont il les entou- reM
l'esprit de pénitence, de pauvreté,p
10
d^ chAÀteté el de chanté qui doivent ei
bnumer
leur vie.I1.B8
TROIS NQBUU8
DU pOiy>ON 8ÉHAPRIQUE.
Il estd'us<iâ^^ de faire trois
nœuJs
aCordon
séraphiaue en signt) d^ Puni )spirituelle avec les trois Ordres
que
saiFrançois d'Assise a
eu
lebonheur
d'ii tituer danis TEglise, pour Tauiour d»^ tsus^hrist et la sanctincation den A
m
G^s trois
Ordres
sont si précieuxnu\
yedu
Sauveur, 11^ sont si chers à sotiSac Cœur,
qu'il a forineilemenl promis à sgrand
serviteur FraD<;ois, snr W.mont
1verne, quMls subsisteraient tous trois ji ^r^ç^^
j:.i
qu'à la fin
du monde.
Le
premierde
ces Ordres est celdes Frères-Mineurs,
communémont
ap|>e Franciscains 011 Capucins, ou C>rdelieou
Récollets suivant les dinereiil^s bra ches de lagrande
lamille do saint Pj-m Sois.Au
fond» c'estun
soûl <!tmôiu»
t ré: legrand
arbre serapiiiqu» Ji'.i |i'itronc ; mais il y a des
nuances
dans l'iterprétatîpn et l'application de la rô.^l 5 '
patriarche d'Assise; et ces nuariiicî^
.
comqie
on dit, ces reformes oit !inissai tre f iciin-
Les
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issance à plusieurs branches» distincte»
trri elles f]uoiqu*unies par le tronc et la iciiif.
L*!is Frères-Mineurs sont avant toiitles
'l'gieux
de
la pauvreté évangélique-^as leur Règle, dans la forme
de
leurinU^te, tout converge vers la première
atliud'.* ; < Bienheureux ceux
qui
ont iprildê pauvrMéy car leroyaume
desux
estpour eux
! • C'estdans
lapau
•té dt? Jesns-Christqu'ilstrouvent riiumi»
^ etet ladouceur^ la patience, la péniteii-
•'"lanu»rtinc»tion, la paix, la joie, la çha^
i, Tespril
de
sacrifice, enup mot
la sàirt- ê parfaiteIlsvoiitnu-pieds
coinme
des pàuVres ;ils^
t
une
rob*' grossière, tropchaude
enéié0^
)p froide en hiver; ils jeûnent tous los îidredisde l'année, et presqùe'sànsînter- ptioii, depuis la Toussaint jusqu'à Pâ-
s. Ils ne possèdent rien ici-bas, absolu-
mt
rien : ilsneviventque
de charité ; ce ov
us leurdonnez
continue à vous ap- rl«nîr aus^i longtempsque
cela subsis*aussi longtemps
que
cela n'est point isommé.Quant
à leurs pauvres couventsiii»x njrrci
»ux
de terre quien dépendent, appartiennentau
Pape. Les Frères-Mi- urs n'ofît rien, rienque
Jésus-Christ, quttout. L'hiver
comme
Tété, ils se lèventI*
12
à minuitipQur psaliuvxi^ei VofTiçm divin ; et aprèd t^olàco, ils v^gtigjfi^^i leurs pauvres
cellules, et se rendormeut,
comme
iU peu- vent, sur Içurspopche^es
deplanch^,
gar- nies d*upô rnéçhau^e .paillasse qui n est guèr9, n^oias d^reque
le bols.Us
pré>*.herit JfVsus cruciilé çt çonamour
; ils prient. il,sfont pônitenôe,
une
pénitence rude, mais joyeuse.Tel est le premior
Ordre
de saint Praa-çois- le saint Qr^re des Prères-Minieiirs,
aux
mérites,,^ux
pénitences é(aux
prières desquelsppus
ayons le i):)iiheurde
particir Eer.i^r^ce à la concession récente de notreien-aimé
Pape
Pie IX.L«iisecond QirdrQ
delà
famille sf^i^apM- iiih^ri^piiéseAté'par le secondnœud
dii Cor- dody.est celui des ,Dames
de la pauvretéou ^uvros
Darnes^cpipme on
les appelaitjadis:^^'Aujour(i*bui
pn ne
les connaît guèreque 3WS
le uoàide
Glarissiy^s, qui leur vient do sainteGlaire d'AM^|)> }^ première nite spirUjuellQde
saint Pr^ng^uis,,et la fondatri- cedu
prpmi^r couvent d,e3Pauvn^spâmes.
Les<îliirisse$ sont cloîtrées ; leur piuvreié
est extrémd* abso^ue,
coihme
ç(?lle des Prè- res-W
ineur^ ,Elles yoj^X pÎQc^s-«,us, vivi^ 11
exclusivement d^s ^lamônes !qu'6n veut
i>ieu,,leur apporter<f car elles ne peuvent
aller mendier,
comme
les Frères-Mi ueurs,pf on
m.,
ai
n
divin ; et
; pauvre9
3 lis p«M-
[ui a e»l
l>rô'îh0rtt )rieiit. il,s
de, mais nt Pnia-
lin/rtiirs,
X prièpQS
» pariioiT
de notre
-. t
sArapM-
i dù'Cur-
ÙUVFMté
appelaitit guèp(^
»ur vient ère flite
indatri- parui^s
.
fuvreié les Frè-
vivj^ it
n vont peuvent ineurs.
18
Leur
vietoutentière est ùiiliolocaUste d*a- nioiir, de péhil«nco, etd'immdlatbn
per- pfùieile.Gomme
les Frèl^àrMlfteiir^, elles ont ui\e dévotion toute pàrtiéiiliére à\ixmystères de la Ofôcl^e et de fa Croix,
au
ail Stacff-dœ\ir ei ^ti; SAirii-Saèrfmebt à rimtpncu^é^-Cencëptibifi de là^SaîiiVe Tier- ge,
aux
saints aiï^eé, & Siîâiht Jpieph et àl'autorité de l^/'CKAii^e Atesloliqùe.
Le
trbisîème
fiôetidde
notre cherÇi^
onnous
rappe|fé 113 troiViî&nàe Ûtâré,on
fiers- ûràrtf institué par saiiit PiraiiÇois lui-mè- àiepour
faire jouir dés bîetiJDiiis'dé.la vie religieuse tous Ici chrftiens, ecèlé^iasti- qiiesbu Ulqueé/
qui vfvent'dans lémôpde.
Le Tiers-Oi^drc dé la Pénitence,
comme
on rappelle encore, estliii' véritable Ordre, et
non
pas ^eulétneiçit iiné bôrifr^^c- Q'^un
Ordre
qui a iiiie ftègle, approuvéepan
le Saint-Siège ; qui ii uii
n^mt
religieux,de forme et de cbtilettr'déterminée» ; qui est astreint à cértalÀ^é j^ifAttqMè^ ^^
V^^*
à èerta
mes
jjétiiteni^i à certaines prières.Il y a le Tlers-OWrè régulier, cômpiosé de tertiaires dui^ yiyerit en çbtnmùnatite^
comme
de vràié itéligiéupt «jt/qui ôritun
Superièur-géneraï ré'sIdMntrl^^e;
etle tiers-Ordre séôiiller. (ibhi feé méinbj^es*ecclésiastiques
où
laïques, célibatairesou
mériés, continuent à viVre dans le
mond
«^14
^f
ehacun
suivant sa vocation. Il serai p'^l trop long de détailler ici les divers obli»;*-- jations des Tertiaires; qiril suffisede
(f>*i^*'W que
le Tiers-Ordre estunn
source liijnpM éiensede
grâces et de saactiflcation , qif^^^i'dans
la pensée de saint François el m^^^ ,SjEiinjt-Siége, il est ifail pour tout le
mol
fr»'tfe, accessible à toutes les comjitions^
ï"^
I
toutes les santés,,
à
tous hi» tenipéramentii^» l lussi bien faitpour
les Princes et pour If^
^ Princessesque
pour les pauvres,quo ppJ
^^"^les servantes, \our les prêtres
que
poiï^-/* ^ les personiies mariées,pour
les jeunes g»!*»»***'at les Jennés filles aussi bien
que pour
I«f* *'.'viellards. La^ Hègle elle-n^ème dispiBjjsl''*'^*^
de toutes les austérités qu'elle pn's<Ti|î^fi^"
lorsque
pour
des raisons légitimes, eu iiPres.peut les
embrasser Du
reste, la règU^ dti^cis Tiers-OrdreQ*obl^e
pas sous neine dep*s
pijché,
même
de péché véniel.C
estune
inl'^^s re source de grâces etde
méritas, sani*'* ^aucun
inconvénient^ sansaucun
dangeiP^''^Le Cordon
de saiat Françoisnous
àppofrï^^*- te si nous levoulons, toutes les immcrisel^^.^'[Indulgences, les Absolutions générales e|**^é lesautres faveursspirituellesoctroyées 'piilN'^^
le SiégeTAposlpU()ue à la famille fraarisl^ ^^
caine.
Mais
prenons garde etne nous
iûial ^^ffinons pas
que
pour cela noussommes'suffs
^ Temême
pied qu.6jes FrèresrMj^nuu/^'ew^^^
15
—
Il serdivers oh mfBse
de
aH source 1
Icalion , q nçois el i>ut le
mo
>n(jlitî(.n8^
inpéi*ament
^ et pour 1(
»,
qno
ppis qiie pcn
jeunes ^f;i f|ue pour;Il
^ dispejiî le pN*î5<*ri inie», <!ij 1)
Clarisses» et
môme quo
les simples Ter-»ires. 81 les faveurs Hont les
mêmes,
les rites seuls constituent !« sainteté et nptent i)our la vie éternelle. » »'ous autres» avec les mag^nlflqucii fa- rs
de
notre Cordon, récoltws à sipeu
frais,
nous mmgeons
les confitures da^int François, mais nous n'avons pas le in, le pain qui nourrit ; les- Tertiaires
l, av» c les Gonlitures, la
mie^du
pain,^^h
que Ton donne aux
enfants / les ans*•es Frères-Mineurs etet le^ généreuses niientes de sainte (Clairereçoivt>nt lépain *
it entier, arec les forteset nourrissantes retes d'une croûte bien cuite, et les '^
nfitures ne sont pour
eux
(|ne les accès*ires. Aussi,
combien de
fo^s, leCordon
Ja régit» ri mciscain n'a-t-il pas servi à iaint Pran- peine
de
jit is pour attirerau
Ti^rs-Ordre f^ep Apiea estune
ï^i 'désde mieux
faire ; et, à son tour^com-
rites, sani*n de fois le
Tiers^rdre
n'a-t-il pas été un dan|:e| porte par laq.;ell^ l'Ilspl'itde Dieua fait lous appoij^ttter desâmes
plus généreuses encore^ imm«'rise|pqtj'«ux deuxigr«(Dd8!OFdr^.,4«l la pau-
[énérale.» tf«^é sérai^ique f
royées |>.j N'bublion s pasi» |)auvres petites viole!
le fraoris ^
du
parterrede
saint François d*Assise . 'nous
iina de saintFrancis de
Saies, n'oublions .c^:)mmes,sui is que
nous
ne f»ommes rien en compa--. <tinourç e is^on
de
cesnobles pénitents; auprès ds '16
ces zou(ive$ de la pénitenco,
nous ne
soin-mes que
des enfants de troupe ; et si,de
vantbieu
et son Egliae, .noussommes
re- TÔtusdu môme,
uniforme tout resplendis*tant d'Indulgences et de grdces inesti-
mables, nous n'en
sommes
pasmoins
dt^s enfants, qui ne doivent se réjouirque
très-modestemenL
, -.^r n . t >T&chons du moms, avecTaide
de Dieu et d,e.nosdeux
boassaints François, de siQien profiter «e cet inépuisable trésor d<^
pardon
et d'amour,que
noue serons tou- jours debons
enlants, bien innocents, bien dociles bien recopnaissants, bie^fidèlesàJési|«y' .
IMPRIMATUR: Fr.
AtlSBNEi
I ")
Fn LEON,
Capucin, Provincial Provincial des Pran- de Parik . cisçains
de
l,Observ.REPONBES
A QUELQUES DIFFICULTES Gomment
fait«on les corvlonsde
saint-François f
^
Il n'y, aaucune
règle obli- gatoire pour la formedu
cordon. Il doitseulement être
de
chanvre, de lin oude
laine, de couleur blanche
ou
écrue ; une' sonM
|Q' iÙ\
lOll IU)I
îorl la
lei
Iplai
|ein<
8
ne
soin-; et si, de
)minûs re- Bsplondis*
as inesti- Qoins dt^s
'
que
très-de Dieu
ois, de si trésor de yoiis tou-
3nts, bien
;fidèles à
tri:t
ON,
des Fran- l,Observ.
TES saint e oblt- Il doit
ou de
e; une"
17
)etltrt flceih^
ne
suffirait pas ^^line fçrotse lorde n*esl pas nf*c»!SSMir6. Il est d*ufMige\n'\\ soit terminé d'un cdto par
un
noBUidvoulant, et de Tautre partrois nœuds,
sym-
3ole des tiKiis Ordres de sAint Fr^iaçoi^, uxquplst setrouvent unis les confKtres
du
ordoir, ou bien encore des trois
vœux da
a consécration roligivuse.—
Quelquesuns
ett«*nt cin^
nœuds
, *n souvenirdes cinqIplaies de Nctre-S4*igii(*ur orucifté
M« 4ea
|einq stigmates de saint François. »
On
p«'ni pcrtiT iii< irfT»«QiUient le cordon eur la chf'Hiise ou j^ar-det^sous.Quand
il est usé ou sali, on le'briile, et or> le remplace parun
autn^ qui n*a pL» besoin d*une nou«velle bénédiction.
Tout
prêtre approuvé rwur les conffs- ïions {)out-ildonner
TAbsolulion généralem
dehorsdu
Tribunal d«) la Pénitence ?-—Oui
; cela est certain désormais.Peut-il la
donner
à d'autres qu'à ses pé- nitents, et à plusieurs fidèles à la fois ?-Oui
;.mais
tonjfurs d'une façon pri- vée,dans une
sacristie, par exemple, dans- une petite chapelle, dansun
appartement,etc. pour avoir le droit de ladonner en pu-
blic,
du
hautde
Tautelou de la chaire, ilfiiudrait en avoir reçu le pouvoir
du
Pro- Tincial des Frères-Mineurs.Kn
quoi rA.bâoiation générale francis-18
caine diffèrre-t-elle de rindulgence plénière
—Comme
lious l'avons in<liquf plus hau^^*Ab8aliition générale ne renn^i p«is seule tnent,
ioomme
l'Indulgence plé.iière, lepeines temporelles d«ies à nos pèches par donnés;
mais
en outre, et ceci est trè»-con«iderable.ellfî
nous
retrempe, av«^cun
Êuissance extraordinaire, d us la grâce d aptème, dans la grâce qui fait l«?s chr<tiens et les Saints. Elle renouvelle, imi leî
«ence
môme de
notreâme
baptisée, ledons
infus de la foi. de l'esptfranc»' »^i d la charité,nous
unissant très-uitimemeudans
(amesure
de nosdispositions, à Jcsu:Christ, notre Soigneur et Sauveur, qui v en nous, en l'unité de TEsprit-Sairii et ri Père. Elle renouvelle en nous la grâce q\
fait les chrétiens, non-soulerheùt
au
poiiidé vue
généraldu
pardon, mais encore a point devue
spécial et très-excellent de 1 parfaite sainteté etdu
parfaitaniuUK
Pour
avoir droit à l'Absolution gênerai i^ut-il se confesser lejour ou on la reroU-*«*•
Oui, si l'on a le
malheur
de n'tHrê pa|«n bon
étatde
conscience. Oui, s'il«
plusde
huit (ou quinze) jours (ju'on c'est pas confessé.—
Autrement, celj•«n'est pas nécessaire.
Est-il nécessaire de
communier
? -a.