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Universit´e des Sciences et Technologies de Lille U.F.R. de Math´ematiques Pures et Appliqu´ees IP-1 Ann´ee 2004-2005 ´El´ements de corrig´e de la Fiche n

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Texte intégral

(1)

IP-1 Ann´ee 2004-2005

El´´ ements de corrig´e de la Fiche no4

Ex 2. Soit (Ω,F, µ) un espace mesur´e et (fn)n≥1 une suite d’applications Ω → R+, mesurables F-Bor(R+). On suppose que fn converge sur tout Ω vers une fonction f et que la suite des int´egrales R

fndµconverge vers un r´eel c > 0.

1) Montrer queR

fdµest bien d´efini et appartient `a [0, c], mais n’est pas forc´ement

´egal `ac.

2) Montrer par des exemples que toutb∈[0, c] est une valeur possible pour R fdµ.

Indications.Pour le 1), utiliser le lemme de Fatou. Pour le 2), examiner l’exemple suivant avec Ω =R, µ=λ (mesure de Lebesgue) :

fn=1[0,b]+n(c−b)1]c−1/n,c[. Faire un dessin.

Ex 3. Identification de mesures finies

SoitCb l’ensemble des fonctions continues born´ees surR. Soient µetν deux mesures finies sur (R,Bor(R)). Montrer que si pour toute f de Cb, R

Rf dµ = R

Rf dν, alors µ=ν.Indication : interpr´eter la fonction indicatrice d’un intervalle ouvert ]a, b[ comme la limite d’une suite croissante de fonctions continues et born´ees sur R.

Solution. Fixons un intervalle ouvert non vide ]a, b[ quelconque et consid´erons la suite (fn)n≥n0 d´efinie par la figure 1. Ici n0 est choisi de sorte que pour n ≥ n0, a+ 1/n <

b−1/n.

On voit facilement que1

∀x∈R, fn(x)−−−−→

n→+∞ 1]a,b[(x).

1. Remarquons qu’il est important ici d’avoir la convergence pour tout xR et pas seulementµ- presque partout. En effet la construction defn ne d´epend aucunement de la mesureµet le r´esultat doit ˆetre valable pour n’importe quelle mesure finieµ. S’il y avait ne serait-ce qu’un pointx0tel quefn(x0) ne converge pas vers1]a,b[(x0), il suffirait de prendre une mesureµ ayant une masse ponctuelle enx0

pour que la convergenceµ-p.p. defn vers1]a,b[ soit en d´efaut.

(2)

- 6

x

a a+ 1n 0 b− n1 b

C

C C

C C

C C

C C

C CC

y 1

Fig. 1 – Fonctionfn

Remarquons de plus que la suite (fn) est croissante. Comme chaque fn est continue born´ee sur R, on a par hypoth`ese :

∀n≥n0, Z

R

fndµ= Z

R

fndν. (1)

Comme les fn sont mesurables positives, on a par le th´eor`eme de Beppo Levi2 (ap- pliqu´e avec chacune des mesures µet ν)

Z

R

fndµ↑ Z

R

1]a,b[dµ=µ(]a, b[), Z

R

fndν ↑ Z

R

1]a,b[dν =ν(]a, b[).

En passant `a la limite dans (1), on en d´eduit que µ(]a, b[) =ν(]a, b[). Comme ]a, b[ ´etait quelconque,µ etν co¨ıncident sur la classe P de tous les intervalles ouverts ]a, b[. Cette classe engendre la tribu bor´elienne de R et est stable par intersections finies (c’est une π-classe). On peut donc appliquer le th´eor`eme d’unicit´e des mesures (cf. cours d’IFP 2003–04, chapitre 1, Th. 1.34) dont voici l’´enonc´e.

Th´eor`eme 1. Soient µet ν deux mesures d´efinies sur le mˆeme espace mesurable (Ω,F) et qui co¨ıncident sur une π-classe P (P ⊂F).

a) Si µ(Ω) = ν(Ω) < +∞, alors µ et ν co¨ıncident sur σ(P) (qui est une sous-tribu de F).

b) Si µ(Ω) = +∞ et s’il existe dans P une suite (An)n∈N de r´eunion Ω et telle que pour tout n∈N, µ(An)<+∞, alors µ et ν co¨ıncident sur σ(P).

Ici on est dans le cas a) et on conclut que µ et ν co¨ıncident sur le tribu bor´elienne deR.

2. On peut aussi utiliser dans cet exercice le th´eor`eme de convergence domin´ee avec fonction domi- nante1]a,b[ qui est int´egrable surRrelativement `a n’importe quelle mesure finie.

(3)

Post scriptum.Le th´eor`eme d’unicit´e des mesures ne figurant pas sous cette forme dans le cours d’IP1 2004–05, voici une variante. En utilisant l’´egalit´e deµetν sur la classe des intervalles ]a, b[, on en d´eduit qu’elles co¨ıncident aussi sur le semi-anneau de Boole des intervalles ]a, b] (noter que ]a, b] = ∩k≥1]a, b+ 1/k[ et utiliser la continuit´e s´equentielle d´ecroissante pour les mesures finies). On en d´eduit ensuite que µ et ν co¨ıncident sur l’anneau de Boole des r´eunions d´enombrables d’intervalles ]a, b] deux `a deux disjoints.

On conclut en utilisant la partie«unicit´e du prolongement»du th´eor`eme 1.9.1. du cours d’IP1.

Ex 6. Variations sur l’in´egalit´e de Markov

3) In´egalit´e de Chernoff.SoitX une variables al´eatoire r´eelle sur (Ω,F,P) telle que pour un certain a >0,E eaX

soit finie. Montrer que

∀t∈R, P(X ≥t)≤e−atE eaX .

Solution.Pour a >0, l’applicationx7→eax est croissante surR, on a donc l’implication X(ω)≥t⇒exp (aX(ω))≥exp (at). Ceci se traduit par l’inclusion d’´ev`enements3

{X ≥t} ⊂ {exp (aX)≥exp (at)}, d’o`u l’in´egalit´e

P(X ≥t)≤P(exp (aX)≥exp (at)).

En appliquant l’in´egalit´e de Markov `a la variable al´eatoire positive Y := exp (aX), on en d´eduit l’in´egalit´e de Chernoff.

Ex 8. Borel-Cantelli et la majoration asymptotique des records

Dans tout l’exercice, (Xk)k≥1 d´esigne une suite de variables al´eatoires r´eelles d´efinies sur le mˆeme espace probabilis´e (Ω,F,P). On ne fait aucune hypoth`ese sur la structure de d´ependance de cette suite. On s’int´eresse au comportement de la suite de variables al´eatoires

Mn:= max

1≤k≤nXk. 1) On suppose dans cette question que

∀k∈N, ∀t ∈R+, P(Xk≥t)≤e−t. (2) 1. a) Montrer que pour tout n≥1 et tout c∈R+,P(Mn≥clnn)≤n1−c.

1. b) On fixe une constante c > 2. Montrer que l’in´egalit´e Mn ≤ clnn est v´erifi´ee presque sˆurement pour tout n `a partir d’un certain rang (al´eatoire).

1. c) Montrer que lim sup

n→+∞

1

lnnMn ≤2 p.s.

3. En fait on a mˆeme ici une´egalit´e d’´ev`enements; `a vous de la justifier proprement.

(4)

Solution. On part de l’´egalit´e d’´ev`enements :

∀x∈R, {Mn≥x}={ω ∈Ω; ∃k ≤n, Xk(ω)≥x}= ∪n

k=1{Xk ≥x},

dont on d´eduit par sous-addidivit´e de P

∀x∈R, P(Mn≥x) =P n

k=1{Xk≥x}

n

X

k=1

P(Xk≥x). (3) Cette in´egalit´e est v´erifi´ee pour n’importe quelle suite finie (Xk)1≤k≤n de variables al´ea- toires r´eelles d´efinies sur le mˆeme (Ω,F,P). Compte-tenu de l’hypoth`ese (2), on en d´eduit en prenant x=clnn dans (2),

∀c∈R+,∀n≥1, P(Mn≥clnn)≤ne−clnn =n1−c. (4) Pourc > 2 fix´e, posons An,c:={Mn≥clnn}. D’apr`es (4) et puisque 1−c <−1, la s´erie de terme g´en´eralP(An,c) converge dansR+. Par le premier lemme de Borel-Cantelli, on en d´eduit que l’ensemble Ac des ω qui appartiennent `a une infinit´e de An,c est de probabilit´e nulle, donc que P(Ω\Ac) = 1. Or ω ∈ Ω\Ac si et seulement si l’in´egalit´e Mn(ω)≥clnn n’est plus jamais v´erifi´ee `a partir d’un certain rangn0(ω), autrement dit si et seulement si l’in´egalit´e Mn < clnn est v´erifi´ee pour tout n ≥ n0(ω). On a donc bien presque sˆurement Mn < clnn `a partir d’un certain rang.

Soit k ∈N et posons Bk := Ω\A2+1/k (c.-`a.d. c= 2 + 1/k dans les notations pr´e- c´edentes). Nons venons de voir que P(Bk) = 1 pour toutk ∈N. NotonsB =∩k∈NBk. On sait qu’une intersection d´enombrable d’´ev`enements de probabilit´e 1 est encore de probabilit´e 1 (v´erification facile en passant aux compl´ementaires), donc P(B) = 1. Or

∀ω ∈B,∀k∈N,∃n0,k(ω)∈N; ∀n≥n0,k(ω), Mn

lnn <2 + 1 k. On en d´eduit que

∀ω∈B,∀k ∈N, lim sup

n→+∞

Mn

lnn ≤2 + 1 k.

Comme la limite sup´erieure ci-dessus ne d´epend pas de k, on conclut en faisant tendre k vers +∞ que

∀ω∈B, lim sup

n→+∞

Mn

lnn ≤2. (5)

Or B a pour probabilit´e 1 et d’apr`es (5), B ⊂n

lim sup

n→+∞

Mn lnn ≤2o

.

On en d´eduit que ce dernier ´ev`enement est lui aussi de probabilit´e 1, ce qui ´etait la conclusion recherch´ee.

(5)

Ex 9. Th´eor`eme de convergence d´ecroissante

Soit (fn)n≥1 une suite d´ecroissante de fonctions mesurables positives sur (Ω,F, µ) telle que f1 soit µ-int´egrable. Montrer que (fn) converge simplement vers f, que f est int´egrable et que lim

n

R

fndµ=R

f dµ.

Trouver un contre-exemple dans le cas o`u l’on omet la condition f1 µ-int´egrable.

Indications. Par d´ecroissance de (fn)n≥1, cette suite converge simplement sur Ω vers une fonction mesurable positive f. V´erifier que toutes les fn sontµ-int´egrables. Ensuite appliquer le th´eor`eme de Beppo Levi `a la suite croissante (gn)n≥1d´efinie pargn:=f1−fn. Conclure en utilisant la finitude des R

fndµ. Pour le contre exemple, on peut prendre Ω =R, µ=λ mesure de Lebesgue et pourfn la fonction constante 1/n.

Ex 10. Interversion limite int´egrale et convergence uniforme

Soit (fn)n≥1 une suite d’applications int´egrables de (Ω,F, µ) dans (R,Bor(R)) o`u µ est une mesure finie.

1) Montrer que si (fn) converge uniform´ement vers f sur Ω, alors f est int´egrable et limn→+∞

R

fndµ=R

fdµ.

2) Le r´esultat subsiste-t-il si µ n’est plus suppos´ee finie ? Solution. Ecrivons la convergence uniforme de´ fn vers f sur Ω :

∀ε >0,∃n0,∀n ≥n0,∀ω ∈Ω, |fn(ω)−f(ω)| ≤ε.

Remarquons que n0 ne d´epend pas de ω, ce qui nous permet de r´e´ecrire l’in´egalit´e ci- dessus comme l’in´egalit´e fonctionnelle|fn−f| ≤ε. Par int´egration de cette in´egalit´e sur Ω relativement `a µ, on obtient donc :

∀ε >0,∃n0,∀n ≥n0, Z

|fn−f|dµ≤ε. (6) En utilisant (6) avec par exempleε= 1 et en int´egrant l’in´egalit´e|f| ≤ |fn0|+|fn0−f|, on obtient :

Z

|f|dµ≤ Z

|fn0|dµ+ Z

|fn0 −f|dµ≤ Z

|fn0|dµ+µ(Ω)<+∞, ce qui prouve l’int´egrabilit´e de f.

Maintenant4, on peut exploiter l’in´egalit´e R

fndµ−R

fdµ ≤R

|fn−f|dµpour d´eduire de (6) que

∀ε >0,∃n0,∀n ≥n0, Z

fndµ− Z

fdµ ≤ε, ce qui ´etablit la convergence de R

fndµ vers R

fdµ.

Comme contre exemple si µ(Ω) = +∞, on peut recycler celui de l’exercice 9.

4. Puisque l’on sait que f est int´egrable,fnf l’est aussi et par lin´earit´e de l’int´egrale R

fn R

f =

R

(fnf) dµ

. On utilise ensuite R

g R

|g|pour touteg µ-int´egrable en prenant g=fnf.

(6)

Ex 11. Caract´erisations de l’int´egrabilit´e

Soit µ une mesure finie sur (Ω,F) et f : Ω → R une application finie µ-presque partout. Montrer que les quatre conditions suivantes sont ´equivalentes :

a) f estµ-int´egrable b) limn→+∞R

{|f|>n}|f|dµ= 0 c) P

n≥1

nµ({n <|f| ≤n+ 1})<+∞

d) P

n≥0

µ({|f|> n})<+∞.

Indications. Une fa¸con de faire est de montrer que a) ⇔ b), a) ⇔ c) et c) ⇔ d). Il y a peut-ˆetre plus ´economique, mais ce qui suit reste instructif.

1. Pour a) ⇒ b), utiliser le th´eor`eme de convergence domin´ee avec la suite (fn) d´efinie parfn:=|f|1{|f|>n} et comme fonction dominante |f|. C’est essentiellemnt le mˆeme argument que dans l’in´egalit´e de Markov «am´elior´ee» vue `a la question 1) de l’exercice 6.

2. Pour b) ⇒ a), commencer par v´erifier que pour tout entier n0, R

{|f|≤n0}|f|dµ <

+∞ (ceci marche avec n’importe quelle fonction mesurable f). Ensuite ´ecrire la d´efinition de la convergence b) avec ε, n0 et recoller les morceaux.

3. Pour a) ⇒ c), partitionner Ω en les ensembles An := {n < |f| ≤ n + 1} et A−1 ={f = 0}, puis minorer chaque int´egraleR

An|f|dµpour n∈N. 4. Pour c) ⇒ a), noter que la s´erie S := P

n≥1(n+ 1)µ({n < |f| ≤ n + 1}) est de mˆeme nature que celle intervenant dans c) (justifiez proprement cette affirmation en prenant garde au fait que certains termes peuvent ˆetre nuls et donc qu’on ne peut manipuler les ´equivalents directement). DoncS est convergente ici et comme S majore R

|f|dµ(pourquoi ?), . . .

5. Pourc)⇔d), d´ecouper{|f|> n}en tranches disjointes, reporter ceci dans la s´erie P

n≥0µ({|f|> n}) et intervertir les sommations dans la s´erie double ainsi obtenue (en faire une vraie s´erie double en utilisant des indicatrices).

Pour les trois exercices suivants, il est conseill´e de revoir au pr´ealable la d´efinition de l’int´egrale de Riemann `a partir des sommes de Darboux, soit dans le polycopi´e d’IFP 2003–04 chapitre 4, ou pour un document plus complet l’annexe du polycopi´e d’IPE 2004–2005 accessible sur la page web IP1 `a l’URL suivnte

http://math.univ-lille1.fr/~suquet/ens/IP1/Cours/Riemann1.pdf Ex 12. Int´egrabilit´e des fonctions monotones

Soit f une fonction monotone [a, b]→R (−∞< a < b <+∞).

1) Montrer qu’elle est Riemann int´egrable.

2) Montrer qu’elle est aussi Lebesgue int´egrable (i.e. relativement `a λ) sur [a, b] et comparer R

[a,b]fdλ etRb

a f(x) dx.

Indications. Pour la question 1), voir par exemple le cours d’IPE cit´e ci-dessus, Prop.

A5. Pour la question 2), noter quef est bor´elienne (d´ej`a vu dans une fiche pr´ec´edente) et born´ee, donc int´egrable relativement `a n’importe quelle mesure finie sur [a, b].

(7)

Ex 13. Pourquoi la fonction1Q∩[0,1] n’est-elle pas Riemann int´egrable sur [0,1], mais Lebesgue int´egrable ?

Indications. Pour la non int´egrabilit´e Riemann, cf. cours d’IPE, exemple A2 p. 153.

L’int´egrabilit´e Lebesgue vient de la mesurabilit´e (indicatrice d’un sous-ensemble d´enom- brable de R, donc bor´elien) et de la bornitude.

Ex 14. Soit (fn) la suite de fonctions [0,1]→Rd´efinies par : fn(x) =

1 six=k2−n, o`u k∈N 0≤k ≤2n, 0 sinon.

1) Montrer que pour tout n, fn est int´egrable au sens de Riemann et calculer son int´egrale (de Riemann).

2) Montrer que la suitefnest born´ee par une fonction int´egrable au sens de Riemann et que fn converge simplement vers une fonction f non int´egrable au sens de Riemann.

Conclusion ?

Indications.f est Riemann int´egrable (cf. exemple A.1 p. 153 du cours d’IPE qui pr´esente une situation analogue) et Rb

a f(x) dx = 0. fn converge simplement vers l’indicatrice des nombres dyadiques de [0,1] qui n’est pas Riemann int´egrable (mˆeme preuve que pour l’indicatrice des rationnels de [0,1]). Cette convergence est domin´ee par la fonction constante 1 sur [0,1] qui est Riemann int´egrable sur cet intervalle. Ceci montre que si l’on voulait ´etablir un th´eor`eme de convergence domin´ee pour l’int´egrale de Riemann, il faudrait obligatoirement rajouter dans les hypoth`eses l’int´egrabilit´e de la fonction limite ponctuelle f. Alors que dans la th´eorie de Lebesgue, cette int´egrabilit´e r´esulte de la domination de la suite (fn) par une fonction int´egrable.

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