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Évolution et Diversité du Vivant (101-NYA-05)

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Texte intégral

(1)

Bernadette Féry Automne 2007

Évolution et Diversité du Vivant

(101-NYA-05)

Sourc e

Chapitre 14 Campbell, 3

e

édition

MENDEL, SES TRAVAUX ET

GÉNÉRALISATIONS

(2)

1. Introduction Deux

définitio ns

Hérédité

Transmission des

caractères héréditaires (héritage génétique)

Génétique

Science qui étudie l'hérédité (étudie la transmission des caractères

héréditaires)

Mendel ne parlait pas de gènes mais d'unités

héréditaires (facteurs héréditaires).

HÉRÉDITÉ PAR MÉLANGE Avant l'époque de Mendel Les parents apportent du matériel génétique qui se mélange ; ceci donne des résultats

intermédiaires qu’on ne peut plus séparer par la

suite (comme deux pots de peinture qui se mélangent).

Deux concepts de

l'hérédité

HÉRÉDITÉ PARTICULAIRE À partir de Mendel

Les parents

transmettent des unités héréditaires distinctes qui restent distinctes chez les descendants (comme les billes que l'on retire de deux seaux et que l'on

place dans un troisième seau).

(3)

2. Les travaux de génétique de Mendel : préambule

Johann Gregor Mendel (biographie)

Botaniste autrichien (1822-1884) Élabore une théorie

particulaire de l'hérédité.

Basée sur des expériences

menées sur des pois, à partir de 1857, sur une dizaine

d’années.

1865 . Présente ses résultats à la Société d’histoire naturelle de Brno mais sans beaucoup de succès.

Publie un article l’année suivante.

Peu de gens le lise et encore moins le comprenne. (texte intégral de l'article)

Cesse graduellement ses

recherches. Devient occupé par ses fonctions

administratives.

Ses résultats seront redécouverts, quelques années plus tard,

vers 1900, par 3 chercheurs de 3 pays différents.

L’homme

Campbell : 271 (3eéd.) — Figure 14.1

(4)

Comment a-t-il obtenu ses pois de lignées pures ?

Il a cultivé des pois durant plusieurs générations et a sélectionné les lignées dont les pois

produisaient toujours des plants semblables à eux-mêmes. (Fleurs violettes donnant toujours fleurs violettes, graines jaunes donnant toujours graines jaunes …)

Le matériel de Mendel : des pois de lignées pures

Pourquoi des pois ?

• Le pois a des caractères

faciles à observer : couleur des fleurs, longueur de la

tige, forme des graines …

• Chaque caractère n’a que deux formes «deux

variations» : fleurs blanches ou violettes, tiges longues ou courtes …

• La fleur est fermée (à l’abri de la pollinisation extérieure) ce qui permet le contrôle

possible de la fécondation

Pourquoi des

pois de

lignée pure ? Afin d’évaluer le résultat des manipulations qu'il prévoyait faire sur ces lignées lors de leur

reproduction.

(5)

Campbell : 266 (2eéd.) — Tableau 14.1

Les sept caractères du pois

Fleur violette ou blanche

Fleur axiale ou terminale

Graine jaune ou verte Graine ronde ou ridée

Gousse gonflée ou monoliforme

Tige longue ou naine Gousse verte ou jaune

(6)

La méthode de Mendel

Génération F2

Semi des graines

Génération F1

Pollinisation croisée

(intervention de Mendel)

Suivi de la fécondation des gamètes et de la production des graines (se fait naturellement)

Pollen mâle Fleur femelle

Génération P

DEUXIÈME GÉNÉRATION PARENTALE (P2)

La génération F1 devient adulte et se reproduit à son tour (F1 devient P2)

Il laisse les plants s’autopolliniser puis s’autoféconder

Il récolte les graines puis les sème.

Les graines deviennent des plants adultes.

Il observe la génération fille F2.

• A observé et noté tous les résultats.

• A fait de nombreux croisements du même type afin d'obtenir un vaste échantillon.

Campbell : 272 (3eéd.) — Figure 14.2

PREMIÈRE GÉNÉRATION PARENTALE (P1)

Il pollinise, lui-même, deux

variétés pures de pois différant par :

(1) caractère : croisement monohybride

(2)caractères : croisement dihybride

Il récolte les graines puis les sème.

Les graines deviennent des plants adultes.

Il observe la génération fille F1.

(7)

A- Son

croisement

Il obtient le même rapport pour tous ses croisements monohybrides.

Mendel a étudié les caractères génétiques sur trois générations.

Parents

Enfants

Petits enfants

En F1, il observe la disparition d’un des deux

caractères parentaux.

En F2, il observe la réapparition du

caractère parental

disparu chez 25% des descendants.

Autofécondation Fécondat

ion croisée

3.Le croisement monohybride de Mendel et ses déductions

Campbell : 273 (3eéd.) — Figure 14.3

Proportion de 3 : 1

(8)

Campbell : 266 (2eéd.) — Tableau 14.1

B- Les résultats des croisements monohybrides de Mendel

On arrondit à 3 : 1

Les probabilités théoriques de résultats sont 3 : 1Les résultats ne sont jamais

parfaits car il y a une erreur

d’échantillonnag e des gamètes lors de la

reproduction.

3 : 1

(9)

C- Ses (4) hypothèses explicatives de ces résultats

Un caractère peut

présenter deux formes différentes (deux

variations).

Les variations des caractères héréditaires s'expliquent par les formes différentes que peuvent avoir les facteurs héréditaires (par exemple, fleur violette ou fleur blanche).

Les facteurs de Mendel sont les gènes.

Les formes différentes de Mendel sont les allèles c’est-à-dire les gènes situés sur les chromosomes homologues.

Un

organisme hérite de deux

facteurs pour chaque

caractère.

Pour chaque caractère, tout organisme hérite de deux facteurs (deux unités héréditaires), un de chaque parent ; un caractère particulier est donc contrôlé par deux facteurs.

Aspect particulaire de l'hérédité.

Le facteur dominant masque le facteur récessif.

Si les deux facteurs diffèrent, le facteur dominant s'exprime pleinement dans l'apparence de

l'organisme ; l'autre, le facteur récessif, n'a pas d'effet notable sur l'apparence. L'allèle dominant

« notation majuscule » masque l'allèle récessif « notation minuscule ».

Les deux facteurs se séparent durant la formation des gamètes.

Il y a ségrégation des deux facteurs de chaque caractère au cours de la formation des gamètes.

Ceci correspond à la séparation des paires de chromosomes homologues à la méiose ou LOI DE SÉGRÉGATION

(10)

D-Interprétation du croisement

monohybride de Mendel à la

lumière de ses hypothèses

Génotype Formule

génétique du caractère étudié (les gènes)

Phénotype Apparence

déterminée par les protéines exprimées des gènes

Génotypes et rapport

génotypique de la F2

1/4 VV : 2/4 Vv :

1/4 vv Rapport phénotypique 3 : 1

(11)

Notation

de Mendel Notation de l'allèle dominant

Par la première lettre désignant le caractère, en majuscule

Violet domine blanc donc allèle violet = V (grand V) Notation de l'allèle récessif

Par la même lettre désignant l'allèle dominant, en minuscule

Blanc est récessif donc allèle blanc = v (petit v) Homozygo

te ou pur Individu ayant deux allèles identiques pour un caractère donné

Homozygote dominant VV Homozygote récessif

 vv Hétérozyg

ote Individu ayant deux allèles différents pour un caractère donné

Hétérozygote  Vv  Grille de

Punnett Méthode pour croiser les gamètes et prédire les résultat (tableau de fécondation)

Phénotyp

e Apparence de l'individu (fleurs violettes ou blanches)

Génotype Constitution génétique de l'individu (VV, Vv ou vv) Phénotyp

e et

rapport phénotypi que

Proportion de chacun des des phénotypes ; en % ou en chiffre.

75% violettes : 25% blanches ou 3 violettes : 1 blanche

Génotype et rapport génotypiq ue

Proportion de chacun des génotypes.

50% V v : 25% V V : 25% v v ou 2 V v : 1 V V : 1 v v

4. Notation de Mendel et vocabulaire génétique

(12)

A- Croisement et

interprétati on

6. Le croisement dihybride de Mendel et sa déduction

Deux caractères parentaux

disparaissent en F1 et réapparaissent chez 1/16 des descendants en F2.

Les deux facteurs (pour chaque

caractère) se

séparent de façon indépendante les unes des autres lors de la formation des gamètes.

LOI DE LOI DE

SÉGRÉGATION SÉGRÉGATION INDÉPENDANTE INDÉPENDANTE B- Son

hypothèse

Correspond à l’assortiment

indépendant des paires de

chromosomes homologues à la métaphase 1 de la méiose.

(13)

7. Croisement de contrôle

Le croisement de contrôle est effectué lorsque l’on a besoin de savoir si un individu est pur ou non pour des besoins d’élevage ou autre. On croise un individu de phénotype dominant et au génotype inconnu avec un individu de génotype connu, un récessif pour le

caractère.

Campbell : 276 (3eéd.) — Figure 14.7

Le phénotype récessif est nécessaireme nt homozygote pour le gène étudié (sinon il serait du

phénotype dominant puisqu’il aurait un allèle

dominant).

Si le mâle est hybride, la moitié des descendants sont du phénotype

dominant et l’autre moitié, du phénotype récessif.

Si le mâle est pur tous les descendants sont du phénotype

dominant.

(14)

8. Complément sur les allèles

Campbell : 275 (3eéd.) — Figure 14.4

Allèle «fleur violette»

Allèle «fleur blanche»

Les

allèles sont les gènes homolog ues, des versions alternati ves d’un gène.

Locus =

Lieu précis sur le chromosome

Les allèles sont situés sur les

chromosomes homologues (au

mêmes locus)

(15)

9. Relation entre les allèles et les phénotypes qu’ils déterminent

(3 types)

Dominance complète d’un allèle sur l’autre

(chez la fleur du pois)

La dominance complète se manifeste par deux phénotypes !

L'allèle normal code la version fonctionnelle de la protéine en quantité

suffisante pour assurer le

phénotype normal.

L'allèle récessif est un allèle mutant qui ne code pas de

protéine ou qui

code une protéine inactive.

La

présence des deux allèles produit un

phénotyp

e normal.

(16)

La dominanc e incomplèt e se

manifeste par trois phénotyp es !

R R r r

R r

R r

R r

R r

r R R R

r r R

r

R r

Campbell : 273 (2eéd.) — Figure 14.9

Dominance incomplète d’un allèle sur l’autre

(chez la Gueule- de-loup)

L'allèle normal code la version fonctionnelle de la protéine en quantité insuffisante

pour assurer le phénotype

normal.

L'allèle récessif est un allèle

mutant qui ne code pas de

protéine ou qui code une

protéine inactive.

La

présenc e des deux allèles produit un

phénot ype

inter-

médiair

e.

(17)

La codomina nce se

manifeste par trois phénotyp es !

Codominance de deux allèles

(chez les groupes sanguins A et B )

Les deux allèles codent pour une version

fonctionnelle de la protéine.

Campbell : 275 (2eéd.) — Figure 14.10 Une

personne de génotype AA est du

groupe A.

Une

personne de génotype BB est du groupe B.

Une personn e de génotyp e AB est du

groupe AB.

L’allèle A

code pour un enzyme qui permet au glucide A de s’attacher à la membrane.

Le sucre A est un

antigène.

L’allèle B code pour un enzyme qui permet au glucide B de

s’attacher à la membrane.

Le sucre B est un

antigène.

La

présence des deux allèles

produit un phénotype intermédia ire.

(18)

10. Les allèles multiples ou polyallélie (polymorphisme génique)

C’est le fait qu’il existe plus que deux allèles pour un gène donné dans une population. Une personne n'a jamais plus que de (2) allèles à la fois car elle n'a que (2) locus

homologues pour les porter.

Exemple des (3) allèles du système ABO des groupes sanguins

A et B sont codominants et dominent tous deux O qui est un gène récessif, en fait, un gène absent.

GÉNOTYPES PHÉNOTYPES

A A groupe A

A O groupe A

A B groupe AB

B B groupe B

B O groupe B

O O groupe O

Ce sont les mutations

(modifications de l’ADN) qui font apparaître les nouveaux allèles d’un gène. On estime qu’un tiers des gènes chez l’homme serait polymorphe.

Exemple des (4) allèles qui gouvernent la

pigmentation de la robe du chinchilla

C domine ch domine h domine GÉNOTYPES a

PHÉNOTYPES

C C pigmentation normale C ch pigmentation normale ch h type chinchilla

h a type himalayen

a a albinos ch ch type chinchilla

h h type himalayen

h a type himalayen

ch a type chinchilla

etc.

(19)

11. La pléiotropie (gène pléiotropique)

C’est le fait qu’un gène, situé à un locus donné, influence plusieurs aspects du phénotype (plusieurs caractères). De tels gènes impliquent une voie biochimique commune dans plusieurs organes.

La drosophile

possède un gène provoquant une tête aplatie, des petits yeux, le thorax et

l’abdomen tordus ainsi que des ailes chiffonnées.

Le chat possède un gène qui influence la couleur de sa robe, de ses yeux et son appareil auditif.

Gène de la fibrilline 1

La fibrilline est une protéine qui fait partie de la matrice des

tissus de soutien, les tissus les plus abondants de l’organisme.

Le gène de la fibrilline subit parfois des mutations qui ont pour conséquence d’affaiblir le tissu conjonctif (syndrome de Marfan).

Cette mutation d’un seul gène

entraîne de graves conséquences pour le squelette, le cœur et les vaisseaux sanguins, les

poumons, les yeux et la peau.

Par exemple, l’aorte peut se rompre suite à une activité

physique exigeante. Avant des récents progrès, les gens

mourraient avant l’âge de 50 ans.

De

nombreux

gènes sont

pléiotropiqu

es !

(20)

12. La polygénie (gènes cumulatifs ou quantitatifs)

C’est le fait que plusieurs gènes «situés à des locus

différents» influencent un seul aspect du phénotype (un seul caractère). Les effets de ces gènes s'additionnent et produisent différents résultats intermédiaires (variation continue d'un caractère).

La taille des

individus d’une

population est aussi déterminée par

plusieurs paires de gènes.

La couleur de la peau dépend de (3) paires de gènes.

Albinos Très noir

Campbell : 276 (2eéd.) — Figure 14.12

(21)

13. L’épistasie (un cas de super-dominance) C’est le fait qu’un gène «situé à un locus donné»

masque l’expression d’un autre gène situé à un autre

locus.

ie dominaÉpistas

Un seul nte gène

épistasique est requis pour

produire l’effet

épistasique . Le gène est noté en majuscule.

Si on

analysait le problème des souris en supposant une épistasie dominante, alors

toutes les souris ayant un ou deux gènes

«grand C»

seraient albinos et celles qui ont deux gènes

«petits c»

seraient colorées.

Épistas ie

récessi ve

Deux gènes épistasiques sont requis pour produire l’épistasie. Le gène épistasique est noté en minuscule.

Deux gènes « petit c » donc les souris sont albinos.

Un seul gène « petit c » donc les souris sont colorées.

(22)

Escargots albinos

Tigre albinos

Kangourous albinos

Cheval albinos

Source

Boa albinos

(23)

Deux gènes épistasiques

différents peuvent masquer la couleur de la peau.

Un cas d’épistasie

«récessive» complexe

Copyright

©The

McGraw-Hill Companies, Inc.

aaBB AAbb

Cas 2

Parents albinos

Enfants pigment

és

AaBb AaBb AaBb AABb AABb

AAbb AAB_

Cas 1

AAbb AAB_

Parents pigmen tés

(2) enfan ts albin os

(24)

14. Notions minimales de statistiques

Chaque allèle a une chance sur deux d’être tiré lors de la formation des gamètes.

Règle de l’addition

Si un événement génétique peut se produire de

plusieurs manières, il faut additionner la probabilité de

chacune des manières.

L’événeme nt Rr peut se produire de deux manières.

1/4 + 1/4 = 1/2

Règle de la multiplication

La probabilité d’un événement

génétique se trouve en multipliant la

probabilité des gamètes de cet événement.

Un

événement génétique 1/2 x 1/2 = 1/4

(25)

15. Étude des lignages (arbres généalogiques) Lignage

Regroupement, dans un arbre généalogique, de l'histoire d'un caractère particulier d'une famille

Symboles utilisés pour l’établissement d’un arbre généalogique

1 2 3 4

Femm e

Union

Enfants de l’union, en ordre de naissance

Individus présentant le caractère étudié

Sexe non précisé

I, II, III, IV, … Générations

Homme

(26)

d’étudier la génétique humaine sans faire les nombreux accouplements que l’on fait parfois pour d’autres espèces

de déceler les porteurs d'une maladie dans une famille

de prédire la probabilité d'apparition de cette maladie chez les futurs enfants

de déduire si le caractère étudié est dominant ou récessif et s’il est lié aux

autosomes (chromosomes ordinaires) ou aux hétérosomes (chromosomes sexuels) Utilité de faire un arbre

généalogique ?

Il permet :

(27)

Lignage d’un caractère dominant lié aux

autosomes : pousse en pointe

Lignage d’un caractère récessif lié aux

autosomes : lobe attaché

Campbell : 278 (2eéd.) — Figure 14.14

Les parents n’ont pas les lobes attachés mais ils ont un enfant

montrant ce caractère. Les parents cachent donc, chacun, un gène lobe attaché qu’ils transmettent à cet enfant. Si le gène «attaché» avait été dominant, au moins un des parents montrerait ce caractère.

Aa Aa aa A_

Les parents de ces deux filles ont tous deux les cheveux en pointe mais l’une ne montre pas ce

caractère. Les parents ont donc un gène «cheveu non en pointe»

masqué, par leur gène dominant, qu’ils transmettent à leur fille. Si le gène «cheveu en pointe» avait été récessif, les deux filles auraient eu ce caractère.

Pp Pp P_

pp

Lobe libre Lobe attaché

Cheveu en pointe

Cheveu en rond

(28)

FIN

Lectures obligatoires et exercices à faire (édition no 3)

Chapitre 14

Révision du chapitre, p. 292

Retour sur les concepts : 14.1 et 14.3

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