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ROBINETTERIE POUR HÔPITAUX Etablissements de santé & Maisons de retraite

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Academic year: 2022

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(1)

Gamme Chavonnet

ROBINETTERIE POUR HÔPITAUX

Etablissements de santé & Maisons de retraite

(2)

• Robinetterie SECURITHERM

- Mitigeurs thermostatiques monocommande - Mitigeurs thermostatiques bicommande - Mitigeurs à équilibrage de pression

• Robinetterie SECURITHERM - Kits de douche thermostatique

- Mitigeurs thermostatiques bicommande - Kits de douche à équilibrage de pression - Mitigeurs à équilibrage de pression

• Robinetterie à cartouche céramique - Kits de douche mécanique

- Mitigeurs mécaniques

• Robinetterie à cartouche céramique - Mitigeurs et robinets mécaniques

- Mitigeurs mécaniques à douchette extractible

Sommaire

• Robinetterie électronique

• Robinetterie à commande au pied ou genou

MITIGEURS THERMOSTATIQUES CENTRALISÉS

LAVE-BASSIN, BÂTI-SUPPORT ET WC

PIÈCES DÉTACHÉES NORME NF

LAVABO

LAVE-MAINS, EVIER, AUGE

DOUCHE

BAIN

139/141 142/143 6/17 18/35

40/53

54/71

90/103 72/89

Solutions spécifiques aux contraintes des établissements de santé & maisons de retraite

36/39

• Mitigeurs PREMIX Securit & Confort

104/117

• Mitigeurs PREMIX Compact

• Lave-bassin

108/122

• Bâti-support

123/130

• Robinetterie pour chasse WC

131/138

Gamme Chavonnet

INTRODUCTION

Présentation

Gamme Chavonnet

SIEGE SOCIAL ET SITE DE PRODUCTION : 18, rue du Maréchal Foch

80130 Friville - FRANCE Tél. : 00 33 (0)3 22 60 22 72 Fax : 00 33 (0)3 22 60 22 82 e-mail : export@delabie.fr Site internet : www.delabie.fr Directeur Commercial : Luc DELABIE

Chefs de zones export : - Sébastien JEUX - Loïc PIQUARD - Vincent ROBINET - Nicolas VÉLU Assistantes export : - Vanina DECAYEUX - Vanessa HIBON - Stéphanie JOOSTENS - Pamela LUQUIN

Assistance Technique : Laurent Boutleux Tél. 00 33 (0)3 22 60 22 74

e-mail : sav@delabie.fr

Contacts DELABIE plus de 80 ans de passion pour l’eau

ACS

: Attestation de Conformité Sanitaire.

Tous nos produits sont conformes à la directive CPDW, à l'arrêté du 29/05/1997 modifié, et à la circulaire du Ministère de la Santé DGS/SD7A2002 n° 571 du 25/11/2002.

DELABIE dans le monde

Le site internet : www.delabie.fr

Les documentations disponibles

Doc. 609FRST Doc. 950FRST Doc. 900FRST Doc. 200 Doc. 600

Robinetterie pour Collectivités

Cuisine

Professionnelle Rénovation

Accessibilité, Accessoires inox

Robinetterie pour Hôpitaux

Fondé en 1928, DELABIE est un groupe familial indépendant, dont le site de production se situe dans le bassin de la robinetterie française, à Friville (Picardie).

Leader européenen robinetterie et équipements sanitaires pour collectivités, DELABIE a renforcé sa position et élargit son offre produits avec l’acquisition des sociétés Chavonnet (leader Français de la robinetterie pour hôpitaux), Sogeprove (fabricant de barres de sécurité, de sièges de douche et d’équipements d’hygiène en inox) et Douglas (fabricant de mitigeurs thermostatiques pour collectivités au Royaume-Uni).

Les produits DELABIE sont reconnus pour leur endurance inégalée, offrant ergonomie, sécurité, hygiène totale et poursuivent un objectif permanent d’économie d’eau.

Dès la page d’accueil, l’espace provous présente des services et fonctionnalités personnalisés.

Divers modes de recherchepermettent de trouver rapidement votre produit :

- par référence produitpour accès direct à la fiche technique correspondante.

- par gamme de produitprésentant un aperçu de chaque solution produit.

Des fiches produit exhaustives permettent de retrouver toute l’information sur une seule page.

DELABIE exporte dans plus de 60 pays, depuis son usine en France et à travers ses filiales dans le monde : Royaume-Uni, Allemagne, Pologne, Emirats Arabes Unis (Dubai), Chine (Hong Kong) …

Certifications

(3)

3

Réalisations récentes

Gamme Chavonnet

2

Réalisations récentes

Gamme Chavonnet

HOPITAUX

FRANCE

AP-HP (Necker, Cochin...), Paris AP-HM, Marseille

HCL, Lyon

CH Sud Francilien, Corbeil Essonnes CH de Lagny Jossigny

CH de Castres Mazamet CH de Valenciennes CH de Saint-Nazaire CHU de Caen CH du Havre CHU d’Amiens

CHR de Castres-Mazamet, Castres CH de Boulogne-sur-Mer

CH Intercommunal Toulon/La Seyne- sur-Mer, Toulon

CH de Jossigny

CH de Niort, Pôle Femme-Mère-Enfant CHR d’Orléans

CH de Calais

Hôpital Privé de Villeneuve d'Ascq Hôpital Privé Robert Schuman, Metz Polyclinique Saint Côme, Compiègne Polyclinique de Francheville Pôle de santé d’Arcachon

GUADELOUPE CH Les Abymes CH de Basse Terre

CH Beauperthuy, Pointe Noire

MARTINIQUE

CH du Lamentin, Le Lamentin CH Louis Domergue, La Trinité CHU Fort de France

GUYANE FRANCAISE CH Cayenne

Centre Médico-Chirurgical de Kourou

LA RÉUNION

CH Felix Guyon, Saint-Denis A.S.F.A., Saint-Denis CHR Saint-Paul

BELGIQUE CHR de Namur HUDERF, Bruxelles

Hôpital de Notre-Dame, Tournai

ROYAUME-UNI

Hôpital Stoke Mandeville, Aylesbury Hôpital Addenbrooks,Cambridge Hôpital Général de Newcastle Hôpital Leaf, Eastbourne Hôpital St. Thomas, London

Hôpital Queen Alexandra, Portsmouth Hôpital North Teeside, Hartlepool

IRLANDE

Hôpital St. John, Limerick Hôpital Général Tralee, Cork

ESPAGNE

Hôpital de la Orden de San Juan de Dios, Burgos

Hôpital de Alta Resolución Valle del Guadalhorce, Malaga

Hôpital Sant Joan de Reus, Catalunya Hôpital de Móstoles, Madrid

GRÊCE

Hôpital Metropolitan, Athènes Hôpital Ygia, Athènes

PORTUGAL

Hôpital Da Luz, Lisbonne Clinique Dos Poetas, Oeiras Hôpital da Santa Luzia, Elvas Hôpital Universitaire de Lisbonne Hôpital San Joao, Porto

POLOGNE Hôpital de Raciborz Hôpital de Myszkow Hôpital de Piekary Hôpital de Limanowa

HONGRIE

Clinique Dr Rose,Budapest Clinique de Baktalórántháza Clinique de Nyergesujfalu

QATAR

Hôpital Hamad, Doha

CHYPRE

Hôpital Général Famagusta

ARABIE SAOUDITE Hôpital Saad, Al-khobar Hôpital militaire de Al kharj Hôpital civil de Khamis Mushayt

MAROC

Hôpital Al Faradi de Oujda

CAMEROUN Hôpital Sangmelina

PAKISTAN

CH de Cancérologie de Shaukat Khanum

EGYPTE

Hôpital Railway, Caire

SYRIE

Hôpital Ghraiwatie

SÉNÉGAL

Hôpital Dalal Jamm, Dakar

INDONÉSIE

Hôpital Gouvernemental de Banyumas Hôpital Hermina, Jakarta

MALAISIE

Institut National de Cardiologie Jantung Negara, Kuala Lumpur

CHINE

Clinique dentaire Prince Philip, HK

VIETNAM CHU de Hue, Hue

CENTRES SPÉCIALISÉS

FRANCE

EPSM Saint-André, Saint-André- Lez-Lille

CHS Sainte-Anne, Paris CHS de la Sarthe, Allonnes CHD Georges Daumezon, Fleury- les-Aubrais

GUADELOUPE CHS de Monteran

LA RÉUNION

Etablissement Public de Santé Mentale de La Réunion, Saint-Paul ROYAUME-UNI

Hôpital Bethlem, London Hôpital Manchester Royal Countess de Chester

GRÊCE

Centre Psychiatrique, Athènes

ACCUEIL DES PERSONNES AGÉES

FRANCE

EHPAD intra CH de Guéret EHPAD de Douai EHPAD de Seclin

EHPAD Léonce Bajart, Caudry Résidence Sainte Emilie, Maubeuge

GUADELOUPE

CH Gérontologique du Raizet, Les Abymes

Centre médical René Lacrosse, Le Gosier

LA RÉUNION

EHPAD Roquefeuil, St Gilles, EHPADRavine Blanche, St Pierre, EHPADFondation Père Favron, Entre-Deux

ROYAUME-UNI

Maison de retraite Darland House, Gillingham

(4)

Sélection Douche, bain-douche & WC

Gamme Chavonnet

Sélection Lavabo, évier & auge

Gamme Chavonnet

> p.27 > p.27

ROBINETTERIE SECURITHERM

ROBINETTERIE À CARTOUCHE CÉRAMIQUE

> p.25 > p.26

ROBINETTERIE ELECTRONIQUE

ROBINETTERIE À COMMANDE AU PIED OU GENOU

ROBINETTERIE À CARTOUCHE CÉRAMIQUE

> p.24 > p.25

ÉQUIPEMENTS COMPLÉMENTAIRES

> p.24

ÉQUIPEMENTS COMPLÉMENTAIRES

NOUVEAU NOUVEAU

Mitigeurs et robinets électroniques Kits de douche thermostatique Kits de douche avec EP Mitigeurs avec EP

Mitigeurs de lavabo

Mitigeurs et robinets à commande au pied ou genou

> p.26 > p.28

> p.66 > p.67

> p.59 > p.60

> p.59 > p.59

> p.58 > p.60 > p.66

Piles Lithium 6V.

Secteur 230/12 V.

> p.32 > p.34 > p.35

> p.36 NOUVEAU

> p.32 > p.33 > p.33 > p.31

> p.31

> p.34 > p.35 > p.76 > p.77 > p.84 > p.84 > p.85

> p.85

> p.79

> p.37 > p.37 > p.37

> p.36 > p.37 > p.38 > p.38 > p.38

ROBINETTERIE SECURITHERM

Mitigeurs thermostatiques monocommande

Mitigeurs thermostatiques bicommande

Mitigeurs avec cartouche céramique à équilibrage de pression

> p.47 > p.52 > p.53

> p.45 > p.45 > p.46 > p.52 > p.53

NOUVEAU NOUVEAU

Evacuations Distributeurs

de savon

Alimentation en eau mitigée

> p.71 > p.71

> p.69 > p.70

> p.69 > p.69

> p.68 > p.71

Mitigeurs d’évier et auge

> p.64 > p.64

> p.62

> p.61 > p.61

> p.61 > p.62 > p.64

Becs sur table ou muraux

> p.63

NOUVEAU

Raccords Robinets électroniques Robinets temporisés

> p.135 > p.137 > p.128

> p.78 > p.78

> p.78

NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU NOUVEAU

Mitigeurs thermostatiques

Mitigeurs Panneaux de douche

PREMIX

> p.94

> p.100 > p.100 > p.100 > p.101 > p.100 > p.101 > p.103 > p.103 > p.102 > p.112

> p.94 > p.95 > p.95 > p.96 > p.97

> p.97 > p.98

> p.98

NOUVEAU

ROBINETTERIE DE LAVE-BASSINS

BÂTIS-SUPPORTS/WC

> p.121 > p.121 > p.121 > p.122 > p.122

NOUVEAU

NOUVEAU

> p.135 > p.135 > p.128

NOUVEAU NOUVEAU

Kits de douche

Hydrothérapie Raccords Siphons Alimentation

en eau mitigée

NOUVEAU

NOUVEAU

NOUVEAU

NOUVEAU

NOUVEAU

NOUVEAU

NOUVEAU

(5)

6

Solutions spécifiques aux contraintes des établissements de santé

SOLUTIONS SPÉCIFIQUES AUX CONTRAINTES DES ÉTABLISSEMENTS DE SANTÉ

8/11

Lutte contre les infections nosocomiales

• Pourquoi envisager des robinetteries spécifiques dans les établissements de santé ?

- pour l’hygiène des mains.

- pour offrir aisance, confort et ergonomie.

- pour réaliser des économies d’eau et d’énergie.

- pour supprimer les risques de brûlure.

• Les robinetteries spécifiques DELABIE répondant à ces contraintes.

12/17

Robinetteries spécifiques DELABIE

• Lutte contre les infections nosocomiales.

- Qu’est-ce qu’une infection nosocomiale ?

- Comment contracte-t-on une infection nosocomiale ? - L’hygiène des mains : acte essentiel de prévention

des infections nosocomiales.

• Les Pseudomonas Aeruginosas et l’eau.

Comment les Pseudomonas Aeruginosas contaminent-ils la robinetterie ?

Gamme Chavonnet

Notre projet d’innovation «Développement de robinetterie hospitalière permettant de réduire la prolifération et la transmission de germes pathogènes»est soutenu par l’Europe (subvention sur fonds FEDER) et Oséo Innovation (avance remboursable).

(6)

Le lavage des mains : 1er moyen de lutte Lutte contre les infections nosocomiales

Gamme Chavonnet Gamme Chavonnet

Robinetterie déclipsable pour désinfection.

Robinetterie électronique :

Hygiène totale (sans contact manuel).

Mitigeur à levier médical pour commande au poignet ou avant-bras.

Bec haut pour pose de filtre terminal.

Qu’est ce qu’une infection nosocomiale ?

Les infections nosocomiales (IN) sont les infections contractées dans un établissement de santé.

Cette définition issue des 100 recommandations pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales éditée en 1999, a été actualisée en novembre 2006, par le comité Technique des infections nosocomiales et des Infections liées au Soins.

L’infection nosocomiale est désormais intégrée dans les Infections Liées aux Soins (IAS).

Une infection est dite associée aux soins si elle survient au cours ou au décours d’une prise en charge (diagnostique, thérapeutique, palliative, préventive ou éducative) d’un patient et si elle n’était ni présente, ni en incubation au début de la prise en charge.

Lorsque l’état infectieux au début de la prise en charge n’est pas connu précisément, un délai d’au moins 48 heures ou un délai supérieur à la période d’incubation est couramment accepté pour définir une IAS.

Pour les infections du site opératoire, on considère habituellement comme associées aux soins les infections survenant dans les 30 jours suivant l’intervention ou, s’il y a mise en place d’un implant, d'une prothèse ou d’un matériel prothétique dans l’année qui suit l’intervention.

L’infection nosocomiale est principalement contractée par les mains

Les hôpitaux et les cliniques sont des lieux de concentration de patients et de maladies (en particulier infectieuses) qui abritent en conséquence de nombreuses sources de germes (virus, bactéries, etc.).

• Les sources de contaminations nosocomiales :

• Les modes de transmission des infections nosocomiales :

1. Les infections d'origine endogène : Le malade s'infecte avec ses propres germes (sa flore) à la faveur d’un acte invasif et/ou en raison d’une fragilité particulière.

2. Les infections d'origine exogène : Ces infections sont multiples, il peut s’agir :

- d'infections provoquées par les germes du personnel porteur, du matériel de soin, des instruments...

- d'infections liées à la contamination de l'environnement hospitalier (eau, air, équipements...).

- d'infections croisées, les plus courantes, transmises d’un malade à un autre par contact direct entre patients, entre patients et soignants, ou indirect, notamment par l’intermédiaire de dispositifs ou matériels médicaux.

Les mains constituent le principal mode de transmission des infections croisées : 75 à 90% des infections nosocomiales sont dûes à une transmission manuportée.

Dans les établissements de santé, la transmission des germes se réalise essentiellement par les mains du soignant. Ces infections peuvent être réduites par l’application de règles strictes d’hygiène des mains.

Quel que soit son mode de transmission, la survenue d'une infection nosocomiale est favorisée par l’état médical du patient, sa vulnérabilité face à l’infection mais aussi par la nature de l’acte de soin réalisé et les conditions environnementales.

Patient & Personnel soignant (la plus importante source de germes)

Environnement hospitalier (air, eau, alimentation)

Matériels de soin et surface

• recouverts naturellement de nombreux microbes.

• contaminés par les germes apportés par les personnes.

MRSA (Staphylococcus. Aureus)

Les infections nosocomiales en chiffres :

•Dans l’Union Européenne, les infections nosocomiales touchent 4,1 millions de patients chaque année et provoquent plus de 50 000 morts.

(Source : Portail de la Commission Européenne, Sécurité des patients 2010).

• Chaque année en France, environ 5 % des malades hospitalisés présentent une ou plusieurs infections nosocomiales actives, soit 1 patient sur 20.

(Source : InVS & Réseau d'Alerte, d'Investigation et de Surveillance des Infections Nosocomiales (RAISIN).

Enquête nationale de prévalence 2006 des infections nosocomiales - Résultats préliminaires - 12/01/07).

Les infections nosocomiales seraient directement responsables de près de 4 200 décès en France.

(Source : Enquête du C.CLIN Paris-Nord, PHRC, 2001)

NIVEAU DE RISQUE

Faible niveau de risque infectieux: Consultations, hébergements pour personnes agées, pédiatrie, psychiatrie...

Risque infectieux de niveau intermédiaire: zones de soins de malades infectés ou sensibles à l’infection, certains plateaux techniques...

Haut niveau de risque infectieux:

zones de soins intensifs, réanimation, blocs opératoires, hématologie, néonatalogie...

OBJECTIFS ET MOYENS

• Eliminer les souillures et squames cutanées présentes sur la peau.

• Réduire la flore transitoire.

=>Lavage mécanique en utilisant de l’eau et du savon simple.

• Eliminer les souillures et squames cutanées présentes sur la peau.

• Réduire ou éliminer la flore transitoire.

=> Lavage hygiénique ou par frictions hygiéniques en utilisant de l’eau et un produit désinfectant (savon désinfectant ou solution hydroalcoolique).

• Eliminer les souillures et squames cutanées présentes sur la peau.

• Eliminer la totalité de la flore transitoire

• Réduire la flore résidente

=>Lavage chirurgical ou par frictions chirurgicales en utilisant de l’eau et un produit désinfectant (savon désinfectant ou solution hydroalcoolique).

TECHNIQUES DE LAVAGE

Recommandation n° 54 du Conseil Supérieur d’Hygiène Public de France :

Le lavage des mains constitue le premier moyen de lutte contre l’infection nosocomiale sur le plan historique et sur le plan de l’efficacité.

C’est la barrière déterminante pour limiter les infections nosocomiales à transmission inter-personnel.

Il doit intervenir chaque fois que des soins sont effectués successivement d’un malade à l’autre.

Ceci suppose aussi un effort pour modifier les habitudes architecturales et mettre à la disposition du personnel, dans chaque chambre, le matériel nécessaire pour la réalisation du lavage des mains. De plus, celui-ci devra faire l’objet d’incitations et d’évaluations régulières et renouvelées.

Le C.L.I.N. veillera donc à ce que des protocoles détaillés de lavage des mains, correspondant à des situations caractérisées, soient établis, en distinguant : - Lavage ‘‘simple’’

- Lavage ‘‘hygiénique’’ (norme européenne) ou ‘’antiseptique’’

- Lavage ‘‘chirurgical’’.

Il s’assurera que les personnels médicaux et personnels de santé ont un accès permanent à un équipement de lavage des mains adéquat aussi bien dans les conditions habituelles de la pratique des soins que dans les conditions exigeant une désinfection plus poussée.

Les personnels hospitaliers recevront une information répétée sur les techniques d’hygiène manuelle et une évaluation des performances atteintes pourra être effectuée . Source : « 100 recommandations pour la surveillance et la prévention des infections nosocomiales » CSHP 1992.

Les pratiques des professionnels de la santé en matière d'hygiène des mains se sont sensiblement améliorées depuis quelques années.

Néanmoins, des études révèlent encore que l’observance des protocoles détaillés de lavage des mains par le personnel soignant n’est pas toujours respectée.

L’hygiène des mains : principale mesure de prévention des infections nosocomiales

Eliminer tout risque d’infection nosocomiale serait quasi utopique. En revanche, il est aisé d'en réduire le nombre et la gravité, en respectant tout simplement des règles strictes d'hygiène telles que le lavage ou la désinfection des mains.

En effet, l’hygiène des mains du personnel soignant est l'un des moyens le plus efficace et également le plus simple pour combattre les infections nosocomiales.

Sur mains sèches, propres et non poudrées.

1) Déposer une dose d’un produit hydro- alcoolique aux creux des mains.

2) Frictionner 30 à 60 sec.

(selon les indications du fabricant) toute la surface des mains, des poignets et éventuellement des avant-bras.

3) Laisser ensuite sécher les mains à l’air libre.

1) Mouiller mains et avant-bras 2) Savonner mains et avant-

bras, coudes inclus, pendant une minute chacun avec un savon liquide désinfectant.

3) Brosser les ongles 1 minute (30 sec. par main).

4) Rincer mains et avant-bras 5) Savonner mains et avant-

bras, coudes exclus, pendant 1 minute chacun.

6) Rincer mains et avant-bras.

7) Sécher par tamponnement avec des essuie-mains à usage unique.

1) Lavage simple des mains et des avant-bras.

2) Brosser les ongles 1 minute (30 secondes par main).

3) Rincer mains et avant-bras 4) Sécher soigneusement avec

un essuie-mains à usage unique.

5) 1ère friction des mains aux coudes inclus jusqu’à séchage complet (temps > 1 minute).

6) 2ème friction des mains aux avant-bras (coudes exclus), laisser sécher les mains à l’air libre jusqu’à séchage complet (temps > 1 minute).

Lavage hygiénique

(EN 1499 ou NF T72-501)

Traitement hygiénique par frictions

(EN1500 ou NF T72-502)

Lavage chirurgical

(pr EN 12791 ou T72-503)

Désinfection chirurgicale par frictions

(pr EN 12791 ou T72-503)

Les différentes techniques de lavage des mains et leurs usages

30 sec.

mini

1) Mouiller les mains. 2) Déposer une dose de : - savon liquide simple

pour lavage simple.

- savon liquide désinfectant pour lavage hygiénique.

3) Savonner en insistant sur les espaces interdigitaux, le pourtour des ongles et les bords externes des mains.

4) Rincer sous l’eau du réseau.

Temps de savonnage : - Au moins 15 secondes

pour le lavage simple.

- Au moins 30 secondes pour le lavage hygiénique.

5) Sécher avec un essuie-mains à usage unique.

60 sec.

à mini 1 min. mini 3 à 5

min. 5 min.

env.

Source : SFHH “recommandations pour la désinfection des mains, 2002

Désinfection hygiénique des mains

Lavage simple des mains Désinfection chirurgicale des mains

Poignées de porte Instruments

Robinetterie

Poignée de main

Personnel soignant et patient Bouquet de fleurs

Téléphones Bouteilles antiseptiques

(7)

> Les traitements curatifs habituellement effectués en milieu hospitalier :

1. Les chocs thermiques et chimiques:

Comme les Pseudomonas Aeruginosas se développent principalement au niveau terminal de la robinetterie, le traitement à effectuer concerne les points de puisage et non l’ensemble du réseau d’eau (contrairement aux Légionelles). Actuellement, le principal moyen curatif consiste à effectuer un choc thermique par zone infectée.

> Ces traitements curatifs prouvent la difficulté du traitement des Pseudomonas Aeruginosas.

2. Des résultats limités avec des contraintes et des risques élevés:

Les traitements curatifs chimiques et/ou thermiques ont des effets limités voire inéfficaces dans le temps (recolonisation de la robinetterie à plus ou moins long terme). De plus, ces traitements sont risqués (risques de brûlure au 3èmedegré, risques d’empoisonnement...) et contraignants (protocoles très rigoureux à respecter nécessitant de mettre l’installation hors service). Ils ont également un effet néfaste sur les réseaux de distribution et d’évacuation qui sont soumis à rude épreuve.

3. Nécessité d’une surveillance accrue de la qualité bactériologique de l’eau

> Les solutions DELABIE :

La contamination des robinetteries par les Pseudomonas Aeruginosas se situe principalement au niveau terminal (intérieur du bec et autour de sa sortie). Aussi, c’est dans cette partie de la robinetterie que nous devons limiter les situations favorables à leur développementet offrir la possibilité, en cas de contamination, de mettre en oeuvre des actions correctives visant à revenir rapidement à une situation normale.

1. Les robinetteries BIOCLIP désinfectables

Les robinetteries BIOCLIP offrent une solution permettant de limiter le développement bactérien :

• Mitigeur à bec déclipsable pour désinfection.

- Robinetterie livrée avec un 2èmebec pour ne pas interrompre l’utilisation lors de la désinfection.

- Possibilité de remplacer le bec démontable en laiton par un bec jetable en hostaform.

• Mitigeur BIOCLIP entièrement déclipsable de son embase pour désinfection.

2 types d’actions sont possibles:

- Action préventive : Dans les hôpitaux, RPA..., des protocoles rigoureux doivent être mis en place afin de limiter de manière efficace la prolifération bactérienne. Une campagne de désinfection par nettoyage des robinetteries doit être envisagée une à deux fois par an en fonction de la vétusté de l’installation et de la sensibilité de l’endroit. Le nettoyage régulier des robinetteries dans une solution de détartrage permet d’ôter les dépôts et incrustations et d’éliminer le biofilm .

- Action curative : Lorsqu’une analyse d’un prélèvement d’eau provenant d’une robinetterie révèle du Pseudomonas Aeruginosa (mitigeur d’une chambre de patient par exemple), celle-ci peut être facilement déclipsée par le personnel de maintenance afin de procéder au nettoyage / désinfection.

2. Les robinetteries électroniques à purge automatique

Les deux principaux facteurs de développement bactérien dans un réseau d’eau sont la stagnation d’eau et la température inférieure à 50 °C. Le maintien d’une température supérieure à 50°C en tous points du réseau est difficile à mettre en place. Pour agir contre la stagnation de l’eau (robinetteries inutilisées pendant plus de 24h), toutes les robinetteries électroniques DELABIE sont équipées du programme de rinçage périodique “anti-prolifération bactérienne”. Une purge automatique d’environ 45 secondes a lieu toutes les 24 h après dernière utilisation. Ainsi, les bactéries n’ont pas le temps de se développer.

3. Les robinetteries à faible volume d’eau en stagnation

La nouvelle génération de mitigeurs de douche mécaniques a été spécialement conçue pour limiter le volume d’eau en stagnation dans le corps et donc limiter considérablement le risque de développement bactérien.

4. Des corps lisses et sans aspérité

Les corps et becs de la plupart des robinets du marché sont sources de niches bactériennes car poreux.

Toutes les parties internes du corps y compris le bec, de certains modèles DELABIE sont complètement lisses et sans aspérité, permettant de freiner le développement bactérien.

Une étude réalisée en Juin 2010 à notre demande par le laboratoire BioPI et le Département Biologique de l’Université Jules Verne à Amiens, démontre qu’en condition statique, la contamination

des robinetteries à corps lisse par du Pseudomonas Aeruginosa est 14 fois moins importante que celle des robinetteries à corps rugueux.

5. Des raccords anti-stagnation et des embases de bouclage

Ils évitent la stagnation d’eau et la prolifération des bactéries qui en découle.

DELABIE propose des solutions adaptées à chaque contrainte, que l’on peut combiner pour s’assurer de l’élimination des Pseudomonas Aeruginosas.

Arrêté du 9 février 2010

impose la surveillance de la qualité bactériologique de l’eau dans les installations sanitaires des établissements de santé et de tous les établissements recevant du public.

(Source : JORF n°0033 du 9 février 2010) (plus d’information page 107).

Cette nouvelle réglementation impose des prélèvements et analyses réguliers de l’eau et souligne l’importance du risque bactériologique et du choix des robinetteries adaptées.

11

Comment traiter les Pseudomonas Aeruginosas ?

10

Les Pseudomonas Aeruginosas et l’Eau

Gamme Chavonnet Gamme Chavonnet

Chlore

70°C

- Le choc chimique : injection de chlore

> 10 mg/litre d’eau pendant 8 heures.

- Le choc thermique : circulation d’ECS à 70°C pendant au moins 30 minutes.

Les infections à Pseudomonas Aeruginosa en chiffres :

Dans les établissements de santé français, 1 patient sur 20 est atteint d’une infection nosocomiale avec un taux de mortalité de 0,5%.

• La bactérie Pseudomonas aeruginosa est à l’origine d’environ 10 % des infections nosocomiales en France. C’est la troisième cause d’infections nosocomiales.

(Source : Enquête nationale de prévalence des infections nosocomiales, juin 2006 - Résultats préliminaires, janvier 2007)

Pseudomonas Aeruginosas

Comme les Légionelles, les Pseudomonas Aeruginosas sont liés à l’EAU Qu’est ce que le Pseudomonas Aeruginosa?

C’est un petit bacille (à Gram négatif) très mobile grâce à son flagelle, que l’on retrouve partout dans la nature. Il vit naturellement dans l’eau et les sols humides ou à la surface des végétaux.

Il vit également dans l'intestin de l'homme et des animaux. Plus rarement il est isolé de la peau et des muqueuses de ces derniers.

Ce bacille produit deux pigments : la pyocianine, bleu vert et la pyoverdine, jaune vert.

Bacille opportuniste

Le Pseudomonas Aeruginosa préfère les milieux humides et on le trouve quelquefois au niveau de la peau, de l'appareil respiratoire supérieur, de l'oreille externe et du tube digestif chez l'individu sain.

Chez les personnes en bonne santé, la transmission du Pseudomonas Aeruginosa est relativement faible. Il se développe plus facilement chez les personnes affaiblies sur le plan immunitaire, qui ont été hospitalisées, ayant reçu des antibiotiques...

Les infections à Pseudomonas Aeruginosa sont le plus souvent d’origine nosocomiale, c’est à dire contractées lors d’une hospitalisation.

Les différentes formes de pathologie engendrées par ce bacille :

Infection locale de l'œil ou de l’oreille, surinfection des plaies, en particulier les brûlures et plaies opératoires, des urines (surtout après sondages), des poumons, des méningites d'inoculation, des septicémies comme stade terminal d'infections graves ou complications chez des malades soumis à un traitement immunodépresseur, des leucémiques, patients atteints d’un cancer, du sida, de la mucoviscidose...

Comment le Pseudomonas Aeruginosa contamine-t-il la robinetterie ?

Le Pseudomonas Aeruginosa a besoin de deux éléments pour se développer : de l’eauà température comprise entre 4 et 46°C (prolifération optimale entre 25 et 36°C) et de l’oxygènecontenu dans l’air.

Les Pseudomonas Aeruginosas peuvent se développer dans les réseaux d’Eau Froide Sanitaire, en se fixant au biofilm le long des canalisations. La contamination des canalisations principales est la moins fréquente car la bactérie ne trouve pas d’environnement favorable à son développement.

Néanmoins, la contamination peut avoir lieu lors du passage de la canalisation près d’une source de chaleur (passage dans les locaux chauds, pompes de circulation, machines à laver les instruments...).

La source principale de contamination est la rétro-contamination: par les mains, la projection d’eau, de matières contaminées, lors du remplacement des filtres...

Le développement du Pseudomonas Aeruginosa se fait donc au niveau des robinetteries, essentiellement à l’intérieur du bec et autour de sa sortie (mélange air-eau).

Les modes de transmission des infections nosocomiales :

1. Les infections d'origine endogène : Le malade s'infecte à partir de ses propres germes (sa flore) au cours de certains soins (auto-infection).

2. Les infections d'origine exogène : Ces infections sont multiples, il peut s’agir :

- d'infections provoquées par les germes du personnel porteur, du matériel de soin, des instruments...

- d'infections liées à la contamination de l'environnement hospitalier (eau, air, alimentation...).

- d'infections croisées, les plus courantes, transmises d’un malade à un autre par contact direct entre patients, entre patients et soignants, ou indirect, notamment par l’intermédiaire de dispositifs ou matériels médicaux.

Les mains constituent le principal mode de transmission des infections croisées : 75 à 90% des infections nosocomiales sont dûes à une transmission manuportée.

Lors des épisodes de colonisations à Pseudomonas Aeruginosa, une source de contamination environnementale (réseau d’eau par exemple) est systématiquement recherchée mais n’est pas toujours retrouvée. Une des premières mesures de contrôle alors à promouvoir est le renforcement de l’hygiène des mains pour limiter la transmission de la bactérie de patient à patient.

(Source : Institut de veille sanitaire (InVS) et les Centres de coordination de la lutte contre les infections nosocomiales (CClin), pour le Réseau d’alerte, d’investigation et de surveillance des infections nosocomiales (Raisin) – 19/05/2008).

Température

4 à 46°C 36°C(+/-1°C)

121°C

(chaleur humide)

160/170°C

(chaleur sèche)

Développement des Pseudomonas

Multiplication Multiplication optimale Meurent en moins de 15 minutes Meurent en moins de 60 minutes Développement des Pseudomonas / température Source : APHP - Alain DE LIBERO.

Intérieur d’un corps en laiton fondu : aspérités facilitant l’absorption des bactéries.

Corps et tubes à intérieur lisse + faible volume d’eau en stagnation: Freinent considérablement le développement bactérien (voir ci-contre).

Purge automatique

Qu’est ce que le BIOFILM ?

Le biofilm est formé d’un ensemble de microorganismes emprisonnés dans une matrice de polymères organiques, adhérant à une surface.

Il s’agit donc d’un réservoir important de microorganismes qui y trouvent souvent un milieu (eau, température...) et des conditions de nutrition favorables à leur croissance.

Du fait de sa structure, le BIOFILM protège les bactéries de l’action des traitements de désinfection.

Les étapes de formation du biofilm :

• Le transport des bactéries par des flux.

• L’adsorption quasi instantanée des bactéries sur la surface entraînant une modification physico-chimique de celle-ci.

• L’adhésion sur la surface se fait en 2 temps : l’adhésion réversible pendant laquelle les bactéries peuvent facilement être enlevées par simple rinçage et l’adhésion irréversible qui nécessite plus d’effort pour retirer les bactéries.

• La colonisation : elle peut durer de quelques heures à quelques mois suivant les conditions dans lesquelles se trouvent les microorganismes.

C’est cette colonisation qui aboutit à la formation d’un biofilm. Le biofilm grandit et mûrit si les conditions sont optimales.

• La dispersion : induits par le vieillissement du biofilm ou certaines carences.

Les microorganismes peuvent se détacher et être entraînés dans le courant des canalisations à la recherche d’un nouvel habitat.

(8)

- Robinetterie BIOCLIP à corps ou bec déclipsable pour nettoyage / désinfection : - Action préventive : Dans les hôpitaux, RPA..., des protocoles rigoureux doivent être mis en place

afin de limiter de manière efficace la prolifération bactérienne.

- Action curative : Lorsqu’une analyse d’un prélèvement d’eau provenant d’une robinetterie révèle du Pseudomonas Aeruginosa, celle-ci peut être facilement déclipsée par le personnel de maintenance afin de procéder au nettoyage / désinfection.

- Corps et bec à intérieur lisse, sans aspérité permettant ainsi de freiner le développement bactérien.

- Bec haut et avancée de bec importante optimisant le lavage :

Bec haut (limite les risques de rétro-projection des bactéries sur le bec) avec brise-jet hygiénique (limite la rétention d’eau et d’impuretés). Saillie importante permettant d’optimiser le lavage des mains.

Robinetterie disponible en version sur table ou murale, avec levier pour commande sans contact manuel ou manette.

Robinetteries spécifiques DELABIE

pour l’aisance, le confort et l’ergonomie

Gamme Chavonnet Gamme Chavonnet

Robinetteries spécifiques DELABIE

pour l’hygiène des mains

ROBINETTERIE DÉSINFECTABLE : Hygiène & Lutte contre le développement bactérien

ROBINETTERIE ELECTRONIQUE : Hygiène totale (sans contact manuel)

- Commande sans contact manuel (détection de présence) : Permet d’éviter la propagation des germes par les mains.

- Programme de rinçage périodique “anti-Prolifération bactérienne” :

Purge automatique de ~ 45 sec. programmée toutes les 24 h après la dernière utilisation : évite la stagnation d’eau et la multiplication des bactéries dans les canalisations.

- Possibilité de changement du mode de fermeture en “ON/OFF"(pour versions 230/12V).

Fermeture volontaire ou sécurité de fermeture après 30 min. d’écoulement (pour longs protocoles de lavages chirurgicaux ou purge volontaire des canalisations).

Nombreux modèles disponibles en version sur table ou murale, sur secteur ou à piles.

ROBINETTERIE AVEC LEVIER LONG : Hygiène totale & Ergonomie (sans contact manuel)

- Commande sans contact manuel (au coude, au poignet ou avec l’avant-bras): Limite considérablement le risque de propagation des germes par les mains.

- Bec haut et avancée de bec importante optimisant le lavage :

- Bec haut (limite les risques de rétro-projection des bactéries sur le bec) avec brise-jet hygiénique.

(limite la rétention d’eau et d’impuretés), adapté pour l’installation d’un filtre terminal pour stérilisation.

- Saillie importante permettant d’optimiser le lavage des mains.

Nombreux modèles disponibles en version sur table ou murale.

L.160

H.160

L.135

H.85

ROBINETTERIE SECURITHERM : Hygiène + Sécurité anti-brûlure + Température verrouillée Mitigeurs SECURITHERM thermostatiques ou à équilibrage de pression : - Bec haut et avancée de bec importante optimisant le lavage :

- Bec haut (limite les risques de rétro-projection des bactéries sur le bec) avec brise-jet hygiénique (limite la rétention d’eau et d’impuretés), adapté pour l’installation d’un filtre terminal pour stérilisation.

. - Saillie importante permettant d’optimiser le lavage des mains.

- Sécurité anti-brûlure totale :

- Limitation de température maximale : butée de température maximale.

- Sécurité anti-brûlure automatique : Arrêt immédiat de l’alimentation en eau chaude en cas d’interruption de l’alimentation en eau froide. En cas de coupure de l’alimentation en eau chaude, nos mitigeurs se coupent également sur l’eau froide.

- Stabilité de température : réaction immédiate à toute variation.

Nombreux modèles disponibles, voir chapitre Robinetterie SECURITHERM.

ø 34

3/8”

85

135

Pourquoi envisager des robinetteries spécifiques dans les établissements de santé ?

2. POUR LA NÉCESSITÉ D’UNE AISANCE ACCRUE

Les robinetteries de lavabo utilisées à la maison n’apportent pas le confort nécessaire aux résidents des établissements de santé et maisons de retraite.

En effet, ces robinetteries dites “classiques” sont conçues pour un usage domestique et utilisées pour la petite toilette (visage, dents, etc. ), elles ne sont pas adaptées pour une toilette complète du corps.

• Encombrement inapproprié

Les résidents sont des personnes malades, affaiblies, âgées ou handicapées physiquement.

Aussi, la robinetterie qu’ils utilisent pour leur toilette doit être adaptée à leur état physique et à l’usage qu’ils en font (toilette au lavabo nécessitant plus d’aisance). Une robinetterie de lavabo conçue pour les résidents des hôpitaux et maisons de retraite doit avoir des minima en hauteur et en avancée de bec (saillie) afin que la toilette soit optimisée.

• Manque d’ergonomie

Les commandes d’ouverture / fermeture des robinetteries dites "classiques" ne sont pas spécialement conçues pour faciliter la préhension. Il en résulte que les résidents des établissements de santé et des maisons de retraite doivent faire des efforts conséquents pour les manipuler.

De plus, les manœuvres pour régler le débit et la température ne sont pas toujours souples, ce qui ne facilite pas ces réglages.

Avec les robinetteries spécifiques DELABIE, offrez AISANCE, CONFORT ET ERGONOMIE.

• Encombrement spécifique : bec haut avec une avancée importante (saillie)

L’encombrement de la robinetterie équipant le bloc sanitaire de la chambre d’un patient doit être adapté à ses gestes limités pour lui apporter tout le confort et l’aisance dont il a besoin.

Aussi, DELABIE propose des robinetteries équipées de bec plus haut (hauteur de goutte > 85 mm) et plus long (saillie de bec > 135 mm) qu’une robinetterie traditionnelle.

Une grande hauteur de goutte ainsi qu’une saillie importante du bec permettent d’optimiser le lavage des mains et plus largement, toute la toilette au lavabo.

De plus, la hauteur de goutte importante limite le risque de rétro-projection des bactéries sur le bec.

• Commandes de manoeuvre ergonomiques

DELABIE propose un large choix de commandes de manoeuvre ergonomiques afin de répondre spécifiquement aux besoins des différents utilisateurs :

> Commandes avec contact manuel :

- Manettes ajouréespour une préhension aisée - Manettes pleines alliant design et ergonomie

> Commandes sans contact manuel :

- Leviers médicauxspécialement conçus pour les patients à mobilité réduite.

Ils permettent aussi une commande sans contact manuel avec le poignet, l’avant-bras ou le coude.

- Détection de présence infra-rouge

Les robinetteries électroniques DELABIE ne demandent aucun effort de la part du patient.

L’ouverture et la fermeture de la robinetterie est automatique par détection de présence (sans contact manuel) pour un confort inégalé.

Outre le confort et l’aisance qu’elles procurent aux résidents, ces robinetteries à commande sans contact manuel permettent d’éviter la propagation des germes par les mains (hygiène parfaite).

Mitigeur DELABIE : encombrement adapté pour la toilette au lavabo.

2520T

DELABIE a retenu la technologie la plus fiable : la détection de présence infrarouge active.

Indéréglable, son champ de détection est optimal, pour un confort maximal.

Les autres technologies, non retenues :

- Le radar (détection volumétrique) est imprécis en distance et se dérègle dans le temps (réglage délicat nécessitant deux intervenants).

- La détection de mouvement offre un champ de détection (inconfortable) qui nécessite un mouvement permanent des mains sous peine d’arrêter l’écoulement.

Pourquoi envisager des robinetteries spécifiques dans les établissements de santé ?

Les robinetteries utilisées dans les établissements de santé diffèrent des robinetteries domestiques car les contraintes sont spécifiques.

En effet, les robinetteries des salles de bain des résidents doivent répondre aux contraintes suivantes : consommation d’eau plus élevée, nécessité d’aisance et ergonomie, risque de brûlure plus important...

Les robinetteries utilisées pour le lavage des mains du personnel soignant répondent elles aussi à des besoins spécifiques : nécessité d’hygiène accrue, aisance et ergonomie...

DELABIE propose des robinetteries spécifiques répondant à chacune de ces contraintes.

1. POUR L’HYGIÈNE DES MAINS

Le lavage des mains est un acte essentiel de prévention des infections nosocomiales.

DELABIE propose un large choix de robinetteries pour le lavage des mains du personnel soignant ainsi que pour la toilette des résidents.

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Robinetteries spécifiques DELABIE

pour supprimer les risques de brûlure

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Robinetteries spécifiques DELABIE

pour supprimer les risques de brûlure

Gamme Chavonnet

Gamme Chavonnet

• A la sortie des équipements de production d’eau chaude, la température de l’eau doit être en permanence supérieure à 55°C.

• Dans les équipements de stockage, l’eau doit être portée à une température suffisante au moins une fois par 24 heures : 2 minutes à 70°C, ou 4 minutes à 65°C, ou 60 minutes à 60°C.

• En tout point du système de distribution, la température de l’eau doit être supérieure ou égale à 50°Cà l’exception des tubes finaux d’alimentation des points de puisage.

• Les tubes finaux d’alimentation des points de puisage doivent contenir moins de 3 litres d’eau.

• La température maximale de l’eau chaude sanitaire aux points de puisage est fixée à 50°C dans les pièces destinées à la toilette, 60°c dans les autres pièces, et 90°C avec signalisation particulière dans les cuisines.

NB : Les dispositions de cet arrêté prennent effet à partir du 15 décembre 2006. (Source : J.O. du 15/12/05 - Ministère de la Santé)

Pourquoi envisager des robinetteries spécifiques dans les établissements de santé ?

3. POUR SUPPRIMER LES RISQUES DE BRÛLURE

Le seul moyen de limiter le risque de développement de colonies de légionelle est de produire et distribuer de l’eau plus chaude (cf. arrêté du 30/11/05 ci-dessous). Aussi, le risque de brûlure cutanée lié à la distribution de l’eau chaude sanitaire s’accroît considérablement et ce,

notamment dans les établissements de santé et maisons de retraite (personnes à sensibilité amoindrie, ayant moins de réflexe...). En France, l’eau chaude sanitaire est la 3ecause de brûlure chez les enfants en bas âge et elle est responsable de plus de 400 accidents par an, avec des conséquences parfois très graves.

Les personnes handicapées ou âgées sont particulièrement exposées à ce risque, principalement lorsqu'elles dérèglent par inadvertance la température qu’elles avaient initialement sélectionnée.

Il convient donc de maintenir une température maximale tout en limitant le risque de brûlure par la mise en place de dispositifs de sécurité.

Arrêté du 30 novembre 2005

relatif à l’alimentation en eau chaude sanitairedes bâtiments d’habitation, des locaux de travail ou des locaux recevant du public (Source : J.O. du 15 décembre 2005 - Ministère de la Santé) :

- Températures minimales pour limiter le risque lié au développement des légionelles - Températures maximales pour limiter le risque de brûlure

Corrélation entre température et risques de brûlure :

(Source : Centre des brûlés, CH St Joseph et St Luc de Lyon).

• à 60°C :

Brûlure au 3èmedegré en 3 sec. en moyenne : 5 sec. pour un adulte, 1 à 2 sec. pour un enfant

• à 50°C :

Brûlure en 7 sec. - brûlure au 3èmedegré en 100 sec.

Cartouche classique :

Limitation de température maximale pré-réglée par bague de butée située sous la manette.

• Les mitigeurs SECURITHERM avec cartouche “EP” :

> Equilibrage de pression :

La cartouche “EP” permet de maintenir une pression constante entre eau chaude et eau froide, limitant ainsi les variations de température dues aux changements de pression dans le réseau.

La cartouche “EP” évite également la mise en place de régulateurs de pression en amont du mitigeur qui sont des appareils complexes contenant de grosses cavités et plusieurs membranes, sources de niches microbiennes supplémentaires.

> Limitation de température maximale :

Tous nos mitigeurs SECURITHERM “EP” sont livrés avec butée de température maximale.

Cette butée est enclenchée pour un gain de temps important à l’installation avec possibilité de modification par l’installateur.

> Sécurité anti-brûlure automatique :

En cas de coupure inopinée de l’eau froide, l’eau chaude se coupe et inversement.

> Technologie SECURITOUCH

Les corps des mitigeurs de douche sont en général en laiton chromé. Le métal étant un excellent conducteur thermique, il est facile de se brûler, ne serait-ce qu’en effleurant la surface du mitigeur.

DELABIE met en avant une sécurité accrue pour un confort inégalégrâce à sa nouvelle génération de mitigeurs mécaniques de douche “SECURITOUCH” spécialement étudiée pour les malades (personnes qu’un traitement médicamenteux peut désensibiliser provisoirement, patients atteints de la maladie d’Alzheimer, ou affaiblis par une opération et n’ayant plus les mêmes réflexes), les personnes à mobilité réduite, les personnes âgées, les jeunes enfants, etc.

Tout risque de brûlure lié au toucher de la surface chromée du mitigeur par l’utilisateur est écarté.

Comment ?

Contrairement aux mitigeurs du marché, le corps des mitigeurs de douche mécaniques SECURITOUCH est isolé de l’eau chaude(voir schéma ci-contre). L’eau chaude circule des arrivées d’eau jusqu’à la cartouche à l’intérieur de petits tubes et n’est donc jamais en contact avec les parois en laiton du corps du mitigeur. Ainsi, tout risque de brûlure en touchant ou en se rattrapant au mitigeur en cas de chute est totalement exclu.

• Les mitigeurs SECURITHERM thermostatiques individuels :

> Limitation de température maximale :

Tous nos mitigeurs thermostatiques sont livrés avec butée de température maximale verrouillée.

L’utilisateur n’a pas la possibilité d’aller au delà de la température de la butée (température maximale selon modèle) ainsi, aucun risque de brûlure par inadvertance.

> Sécurité anti-brûlure automatique :

- La technologie SECURITHERM thermostatique assure un arrêt immédiat de l’alimentation en eau chaude en cas d’interruption de l’alimentation en eau froide.

En cas de coupure de l’alimentation en eau froide, la Norme NF EN 1111 autorise une légère fuite en eau chaude (0,10 l./10 sec.). En milieu hospitalier, les risques de brûlure étant accrus, il est essentiel qu’aucune goutte d’eau chaude ne puisse couler. Avec nos mitigeurs thermostatiques, la coupure de l’alimentation en eau chaude est totale (aucun filage).

Nos mitigeurs sont conformes à la Norme TMV3 (Norme Britannique D08 spécifique aux hôpitaux).

- En cas de coupure de l’alimentation en eau chaude, notre mitigeur thermostatique se coupe également sur l’eau froide (sécurité anti-douche froide).

> Technologie “SECURITOUCH” :100% SÉCURITÉ

Tout risque de brûlure lié au toucher de la surface chromée du mitigeur par l’utilisateur est écarté.

Comment ?

1)Les mitigeurs thermostatiques SECURITHERM ont été conçus pour que l’eau chaude n’ait pas à traverser le corps en laiton du mitigeur pour se rendre jusqu’à la chambre de mélange : pas de conduction thermique le long du corps du mitigeur.

2) L’ensemble du mécanisme du modèle H9741 est enveloppé d’une matière à fort potentiel isolant, interdisant tout risque de brûlure en touchant ou en se rattrapant au mitigeur en cas de chute. Le corps chromé du mitigeur reste à température ambiante : le risque de brûlure est par conséquent totalement exclu.

3) Ecrou et arrivée d’eau chaude protégés (également enveloppés d’une matière à fort isolant thermique).

> Sécurité chocs thermiques : Possibilité de réaliser deschocs thermiques à la température d’eau chaude du réseau sans démonter le croisillon : gain de temps pour le personnel technique.

Ainsi, l’utilisation des points de puisage est totalement sécurisée, interdisant tout risque de brûlure.

Les mitigeurs SECURITHERM sont fortement recommandés pour les patients à sensibilité amoindrie (analgésie, démence...) et les enfants en bas-âge.

• Pour être en conformité avec cet arrêté et celui du 9 février 2010 (voir page 107), tout en protégeant les usagers des risques de brûlure, il est nécessaire d'installer des mitigeurs thermostatiques centraux (voir chapitre PREMIX, pages 106 à 117).

La prévention des brûlures doit être également prévue au point de puisage.

Avec les robinetteries spécifiques d'hébergement DELABIE SUPPRIMEZ LES RISQUES DE BRÛLURE

Solution de base DELABIE : les mitigeurs mécaniques avec limitation de température maximale

Tous les mitigeurs mécaniques DELABIE sont équipés d'une cartouche céramique avec butée de température maximale.Cette butée est enclenchée pour un gain de temps à l'installation (ce qui n'est généralement pas le cas des autres mitigeurs du marché).

Cette sécurité limite considérablement les risques de brûlure, mais en cas de baisse de pression ou de coupure inopinée de l'eau froide, il n'y aura pas d'interruption de l'alimentation eau chaude : le risque de brûlure reste présent.

Solutions spécialisées DELABIE : les mitigeurs SECURITHERM “EP”

ou thermostatiques

Les mitigeurs SECURITHERM sont équipés soit de cartouche thermostatique soit de cartouche à équilibrage de pression ‘’EP’’. Les thermostatiques régulent la température tandis que les ‘’EP’’ régulent la pression.

La fiabilité et la réactivité des deux technologies sont équivalentes.

De même, la sécurité anti-brûlure des deux systèmes est totale.

Les thermostatiques ont l’avantage de réguler parfaitement la température même en cas de variations entre les arrivées eau chaude et eau froide. Néanmoins, la taille de la cartouche thermostatique impose des corps plus volumineux et donc des contenances d’eau plus importantes.

Les thermostatiques existent en bicommande et aussi en monocommande. Ces derniers ont l’avantage de ne contenir qu’un seul mécanisme. Les mitigeurs ‘’EP’’ ne contiennent quant à eux, qu’un seul mécanisme, ils ne nécessitent pas de clapets anti-retour et sont en outre, monocommande.

Certains modèles SECURITHERM ont des contenances en eau très limitées et/ou des surfaces intérieures en contact avec l’eau qui sont lisses, ceci afin de limiter la prolifération des bactéries dans la robinetterie.

Le choix d’une technologie et d’un modèle se fera donc en fonction des priorités : type de régulation, contenance, rugosité, mono ou bicommande, ergonomie...

Butée de température anti-brûlure

EC Clapet A.R. + filtre EF

Cellule thermostatique Butée de température

Piston

EM

Matériau isolant

Cartouche à équilibrage de pression intégré : Sécurité anti-brûlure automatique et stabilité de la température.

EF EC

0 bar 3 bar

coupure EC EC EF

EF EC

3 bar 3 bar

2 bar 3 bar

39°c

39°c

Principe de régulation de température de la cartouche EP

Faible volume d’eau + intérieur lisse + isolation thermique

Limitation de température EF EC

3 bar r

2 ba

39°c

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