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Théorème sur un maximum arithmologique (voir t. XVIII, p. 443)

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Texte intégral

(1)

N OUVELLES ANNALES DE MATHÉMATIQUES

J OSEPH D ERBÈS

Théorème sur un maximum arithmologique (voir t. XVIII, p. 443)

Nouvelles annales de mathématiques 1resérie, tome 19 (1860), p. 117-118

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(2)

THÉORÈME SUR UN MAXIMUM ARITHMOLOGIftUE

(voir t XVIII, p 443),

PAR M. JOSEPH DERBÈS, Élève de l'institution Barbet

Démonstration. i°. S o i t r = 2 ; N est pair, les deux

1 , N N • TV- • ' 1

nombres cherches sont - > - ; si IN est impair, les nom-

22 r

(3)

( " S )

bres cherchés, c'est-à-dire les deux nombres sont égaux ou ne diffèrent que d'une unité.

2°. Soit r u^i nombre entier quelconque} si a et h dé- signent deux nombres composants de N, il faut, d'après ce qui précède, pour obtenir un produit maximum, que ces deux nombres soient égaux ou ne diffèrent que d'une unité. Ainsi N pour le produit maximum doit se décom- poser en x nombres égaux chacun à k -h i, et en /• — x nombres égaux à h ; de là donc

•*•(/ -+- i) 4- {r — x)k =z N = rX--+-J: = r/- 4-*';

donc

Ainsi x est connu et k = : donc le maximum est

Note du Rédacteur. 11 reste à démontrer pour quelle valeur de r ce produit devient un maximum maximorum.

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