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Analyse des conditions de croissance de GaxIn(1- x)As/InP par la méthode aux hydrures

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00246036

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00246036

Submitted on 1 Jan 1989

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Analyse des conditions de croissance de GaxIn(1- x)As/InP par la méthode aux hydrures

A. Porte, F. Lassalle, C. Pariset, M. Cadoret, L. Chaput, R. Cadoret

To cite this version:

A. Porte, F. Lassalle, C. Pariset, M. Cadoret, L. Chaput, et al.. Analyse des conditions de croissance de GaxIn(1- x)As/InP par la méthode aux hydrures. Revue de Physique Appliquée, Société française de physique / EDP, 1989, 24 (2), pp.143-150. �10.1051/rphysap:01989002402014300�. �jpa-00246036�

(2)

Analyse des conditions de croissance de GaxIn1-xAs/InP par la méthode

aux

hydrures

A. Porte, F. Lassalle, C. Pariset, M. Cadoret, L.

Chaput

et R. Cadoret

L.P.M.C., U. A. CNRS N° 0796, Université Blaise Pascal, Clermont II, Les Cézeaux, B.P. 45, 63170 Aubière, France

(Reçu le 1 e’ juillet 1988, révisé le Il octobre 1988, accepté le 28 octobre 1988)

Résumé. - L’épitaxie de GaxIn1-xAs/InP est étudiée en phase vapeur par la méthode aux hydrures. Deux

séries d’expériences ont été effectuées respectivement, à haute température et basse température. Les résultats

obtenus sont interprétés à partir d’une théorie cinétique qui prend en compte les réactions de déchloruration de la surface, le cracking de l’arsine et le non-équilibre entre les espèces As2 et As4.

Abstract. - GaxIn1-xAs/InP epitaxy is studied in vapor phase by hydride method. Two sets of experiments

have been performed, one at high temperature, the other at lower temperature. A theoretical kinetic approach explains the results. It takes into account the reactions of dechlorination from the surface, the cracking of

arsine and the non-equilibrium between As2 and As4 species.

Classification

Physics Abstracts

81.15H - 68.55 - 82.64 - 73.60F

Les

hétéroépitaxies

de

composés

binaires, ternai-

res ou

quaternaires

à base de

in,

Ga, As, P sont

riches

d’applications

en

optoélectronique,

microélec-

tronique

ou

électronique

rapide. Ces couches sont préparées par plusieurs techniques : épitaxie en phase

liquide [1],

épitaxie en

phase

vapeur par la méthode aux chlorures

[2]

ou aux hydrures

[3, 4, 5], épitaxie

par jets moléculaires

[6],

ou dépôt

chimique

à

partir d’organo-métalliques [7, 8].

La compréhen-

sion des mécanismes de croissance est nécessaire à

l’optimisation

des conditions d’épitaxie. Elle ne peut s’envisager que par le contrôle de tous les paramè-

tres, températures et pressions

partielles,

dans le

réacteur

[9, 10].

L’épitaxie en phase vapeur par la méthode aux hydrures permet la variation

indépen-

dante des

pressions

partielles de chacun des compo- sés entrant en réaction. De ce fait elle convient le mieux à une étude thermodynamique et cinétique

des phénomènes mis en

jeu

lors d’une croissance

épitaxiale de

GaxIn1 - xAs

sur InP.

Dans le réacteur conçu et réalisé au laboratoire,

trois sources indépendantes pour Ga, In et As sont

utilisées. Comme dans le cas de l’homoépitaxie de

GaAs

[11],

ou d’InP

[12],

l’étape limitative de la croissance est la

désorption

du chlorure de la surface du substrat selon l’une des 2 réactions :

Une première

interprétation

de la

cinétique

de

croissance de

GaxIn1_xAs/InP

à partir de la théorie de Glasstone, Laidler et

Eyring [13]

a abouti à une expression simple du rapport des sursaturations relatives en InAs et en GaAs en fonction de la

température

[10, 14].

Ce modèle

cinétique

utilisant

un système de données

thermodynamiques

compri-

ses dans les plages d’incertitude des valeurs tabulées

a conduit à une simulation correcte des résultats

expérimentaux

obtenus par la méthode aux chlorures

[2, 14].

Il nous a

permis

de trouver rapidement les

conditions

expérimentales

nécessaires à l’accord

paramétrique entre le substrat InP et la couche de

GaxIn1_xAs

épitaxiée par la méthode aux hydrures.

Néanmoins, les

premières expériences

ainsi réali-

sées ont mis en évidence des

phénomènes

non envisagés

jusqu’alors :

le cracking de l’arsine, associé

au

non-équilibre

de la réaction 2

As2 ~ As4

en phase

gazeuse

[14, 15].

Le modèle

cinétique

a été paramé-

tré de nouveau, en adaptant les données thermody- namiques à l’intérieur des plages d’incertitude à

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/rphysap:01989002402014300

(3)

144

partir des résultats

expérimentaux

obtenus par la méthode aux hydrures.

De plus, pour étudier le non-équilibre de la

réaction de transformation en phase

homogène

entre

As2

et As4, une série

d’expériences

a été entreprise en abaissant la température du réacteur à

une valeur de 650 °C sensiblement constante dans toutes les zones.

Le présent article précise le modèle

cinétique qui

rend compte de l’ensemble des résultats expérimen-

taux et, après une courte description de

l’appareil- lage

utilisé, expose les résultats des expériences à

650 °C.

Description du dispositif expérimental.

L’originalité

du réacteur utilisé, représenté

figure

1,

est un système de vanne haute température entre la

zone source et la zone dépôt [14, 10]. Cette vanne-

tiroir en quartz est munie d’un mouvement de translation

qui

permet d’isoler rapidement la zone

de dépôt de la zone source.

Lorsqu’il

est en position

« poussée », les gaz provenant de la zone source sont

déviés en zone de « by-pass ». Alors, pour éviter sa

dégradation à haute température, le substrat est

maintenu sous

atmosphère phosphorée

ou arséniée,

au moyen de

phosphine

ou d’arsine arrivant par le tube noté « 3 » sur la figure 1.

Pendant ce temps, la composition de la phase

vapeur nécessaire à la croissance est établie en zone source et déviée en zone de « by-pass »

jusqu’à

ce

que le tiroir soit en

position

« tirée » pour la croissance.

Ainsi, le substrat est préservé d’une

dégradation

alors que les différentes compositions de la phase

Fig. 1. - Schéma du réacteur.

[Simplified Scheme of the reactor.]

(4)

vapeur nécessaires à la réalisation d’hétérostructures sont établies en zone source.

Analyse de la cinétique de croissance de

GaJni _

xAs/InP.

Le

profil thermique

utilisé est représenté figure 2

(profil

1).

Les résultats expérimentaux ainsi obtenus sont donnés par la courbe de la

figure

3

qui

représente

l’influence du rapport des pressions

partielles [Inci ]

expérimental sur la

composition x

de la

[GaCl ]

p p

couche de

GaxIn1-xAs.

La composition x = 0,468

pour

laquelle

la couche

épitaxiée

est en accord de

maille avec le substrat est obtenue pour une valeur du rapport

[InCI ]

= 16515.

du rapport

[GaCI 1

= 16,5.

La

composition x

de l’alliage ternaire est détermi-

née par le rapport des vitesses de croissance de GaAs et InAs tel que

Le modèle

cinétique

de croissance

[10, 14],

basé

sur la théorie du complexe activé de Glasstone et al.

[13]

permet

d’exprimer

les vitesses de croissance

RMAs

des composés MAs en fonction des volumes moléculaires w MAs dans le cristal et des flux molécu-

laires d’adsorption

1Ïa(M) et de désorption 1Ïd(M)

des composés MAs. M représente Ga ou In

Les flux moléculaires

d’adsorption

et de désorp-

tion s’écrivent à partir des fonctions de partition des

molécules

qui

existent sur le substrat et dans la

vapeur, des degrés de recouvrement de la surface, et des

pressions

partielles des constituants de la

phase

vapeur au-dessus du substrat.

Le développement du calcul permet la transforma- tion de

l’équation (3)

sous la forme :

où ’YMAs est la sursaturation relative en

MAs [9] , à s

la différence entre les

énergies

des complexes activés

chlorurés constitués à

partir

d’atomes de gallium ou d’indium, T la température absolue.

Du même calcul, on peut extraire le rapport des pressions partielles en InCI et GaCl

Fig. 2. - Profils thermiques N° 1 et N° 2 et schéma du réacteur.

[Temperature profiles No. 1 and No. 2.]

A. Substrate B. Reaction tube

(5)

146

Kl (x, T )

et

K2 (x, T )

sont respectivement les cons-

tantes

d’équilibre

des réactions de dépôt de InAs et

de GaAs à une température T pour une composition

x de la couche de

GaxIn1 - xAs.

Pour des valeurs élevées de la sursaturation en

GaAs

(03B3GaAs ~ 1),

la valeur minimum du rapport des pressions partielles est

Pour des faibles sursaturations

(0

yGaAs

1 )

sa

valeur maximum est

Pour que la théorie soit conforme aux résultats

expérimentaux, le système de données thermodyna-

miques

qui conduisent aux valeurs des constantes

d’équilibre

K1 et K2 doit être tel que la valeur

expérimentale du

rapports

se situe dans l’intervalle donné par les expressions

(7)

et

(8).

La

valeur du rapport des sursaturations en InAs et en

GaAs doit être constante pour une même valeur de

x. De plus nous nous sommes basés sur les résultats obtenus par Guedon

[2]

pour fixer la valeur de

l’énergie d’interaction f entre InAs et GaAs. A l’extrême

voisinage

de l’accord

paramétrique,

il a

montré que les courbes

[InCl]1 [Ga CI]

=

f (x )

expé- rimentale, et

théorique

basée sur notre modèle,

étaient confondues

pour 12

= 0.

Le système de données

thermodynamiques qui

permet alors la meilleure simulation entre la théorie et l’expérience est donné dans le tableau I. Les autres grandeurs

thermodynamiques

sont prises éga-

les à leur valeur moyenne

[16].

Tableau I.

Avec cet ensemble de données, à l’accord paramé- trique, la valeur maximum du rapport des pressions partielles

[InCI]

et

[GaCl],

calculée à la température

de

dépôt

est égale à 25. Ceci est bien conforme à nos

résultats expérimentaux et rend également compte de ceux de Lassalle

[14]

et de Gosnet

[17] qui

obtiennent l’accord

paramétrique

pour des valeurs

du rapport

[InCI ]

respectivement de 18,7 et 25. La

valeur du paramètre 8 ainsi calculée est égale à

1200 cal. mole -1.

Au cours des essais préliminaires aux expériences qui viennent d’être présentées, et visant à trouver les

conditions de croissance de

GaxInl _ xAs

sans nucléa-

tion parasite dans le réacteur, nous avions constaté les faits suivants :

- Il pouvait y avoir croissance ou nucléation alors que les sursaturations calculées étaient négati-

ves.

- Des

expériences

réalisées avec des profils de température différents donnaient des résultats très différents. Cependant, les débits de gaz et la tempé-

rature de dépôt étaient les mêmes, donc il semblait

que les sursaturations étaient

identiques.

Ces

phénomènes

sont apparus fonction de la

température de la zone centrale du réacteur, donc

liés à une méconnaissance des réactions en phase

vapeur.

Ban

[18]

avait déjà montré expérimentalement qu’à 900 °C, température la

décomposition

ther-

mique

de l’arsine est totale, on obtient :

La

cinétique

de la réaction 2 AS2 4--

As4

peut donc intervenir de façon

significative.

Dans le cas des

expériences

décrites

jusqu’ici,

effectuées avec le

profil

de température 1, la

pression

en As2, élevée en sortie du tube d’amenée,

diminue vers le substrat à plus basse température.

Nous n’avons aucune donnée permettant de quan- tifier l’écart à

l’équilibre

qui résulte de la lenteur de la réaction

puisque

la valeur de la

pression

de As2

correspondant

à

l’équilibre

de cette réaction,

[As2]eq,

varie avec la

température en chaque point du réacteur.

Aussi, pour déterminer l’importance de la réaction

de transformation homogène 2 AS2 e--

As4,

le

profil thermique

a été modifié.

Etude de la transformation homogène 2

As2 ~

As4.

Le profil

thermique

2, représenté

figure

2, est

sensiblement uniforme à la température de 650 ’C

afin de conserver aussi constante que cela est

possible

la pression

partielle

en espèces

As2

dans

tout le réacteur.

Les résultats obtenus

[16]

pour différentes valeurs

(6)

Fig. 3. - Influence sur la composition de l’alliage du rapport expérimental [InCI ]

(profil de température 1).

[Influence of the ratio [InCI] on x

composition of Ga Ini As (temperature profile No.1).]

ex érimentales

du rapport

[INCI ]

sont

représenté expenmenta es u rapport

[GaCI J

son representes

sur la figure 4.

Deux séries d’expériences ont été réalisées avec

deux débitmètres de régulation de l’arsine différents,

le débit d’arsine étant dans les deux cas égal à

20 cc min

Les incertitudes relatives sur les débits d’arsine

correspondant à chacune de ces séries d’expériences

sont

respectivement

de ± 10 % et ± 1 %. Nous avons

procédé

à la 2e série

d’expériences

pour améliorer la

précision

et la reproductibilité de nos mesures, en

utilisant les débitmètres au maximum de leur débit.

Ainsi nous avons diminué d’environ 1 % l’incertitude

sur la valeur de x relative à un rapport donné des

pressions [InCl]/{GaCl].

[INCI ]

Les incertitudes sur le

rapport ’ ’i

sont calcu-

lées selon la méthode suivante : l’erreur relative est calculée à partir des erreurs commises sur la lecture

des débitmètres d’HCl sur les sources. Elle se situe entre 6 % et 9 %. Les erreurs absolues sont les mêmes pour une même valeur du rapport et sont représentées par des barres d’erreurs sur la

figure

4,

en vraie

grandeur.

Des mesures par double diffraction X donnent le désaccord de maille entre substrat et couche d’où

nous déduisons la

composition x

en utilisant la loi de Végard. La vitesse de croissance est calculée à partir

du rapport entre

l’épaisseur

de la couche mesurée au

microscope

polarisant

de Normarski et le temps de croissance. Elle est d’environ 1

itmh- 1

pour toutes les expériences. L’accord

paramétrique

a de nouveau

été obtenu pour un rapport

[ InCI ]

=16,5 situé

dans l’intervalle prévu.

Les valeurs des sursaturations en InAs et GaAs que nous avions calculées

jusqu’ici

à

partir

d’une

pression d’As2

supposée à

l’équilibre

avec

As4

doi-

vent être corrigées pour tenir compte de l’écart à

l’équilibre 8éq

défini dans l’expression

(9).

Les sursaturations réelles s’expriment alors :

et la relation

(5)

devient :

(7)

148

Fig. 4. - Influence sur la composition de l’alliage du rapport expérimental

[InCI ]

(profil de température N* 2).

[GACI ] [Influence of the ratio [InCI) on x

composition of GaXInI_xAs (temperature profile No. 2).]

En résolvant le système formé par les relations

(11)

et

(12)

on obtient

l’expression

de l’écart à

l’équilibre

Connaissant x et T, donc Î’MAs

(x, T),

nous pou-

vons calculer l’écart à

l’équilibre ’6éq.

Les sursaturations relatives réelles

yMAs (x, T)

sont alors déterminées par les relations

(11)

et la

pression

réelle en

As2

est donnée par la relation

(9).

Les résultats reportés dans le tableau II montrent

que la valeur du paramètre 0 E, recalculée pour

chaque expérience, est bien de 1 200

cal. mole - 1,

ce

qui

met en évidence la cohérence entre les

expérien-

ces et le modèle proposé.

A

pression

initiale d’arsine constante, en suppo- sant

l’équilibre

entre arsenic adsorbé et As2 gazeux,

on constate une

dispersion

des valeurs de l’écart à

l’équilibre 8 eq. I1

est normal que ces valeurs soient

plus élevées pour les expériences à

profil

de tempéra-

ture bas que pour celles où la zone centrale du four

(8)

Tableau II. - Expériences 1 à 6 avec un débitmètre arsine de 200 cc min-1 max. Expériences 7 à 12 avec un

débitmètre arsine de 20 cc min-1 1 max.

[As2 ]eq

= 5,5 X 10 - 5 atm.

atteignait

750 °C. Ceci résulte de la

cinétique

de

transformation en

phase

homogène. Mais la disper-

sion de ces valeurs à pression initiale d’arsine constante n’est pas

explicable

ainsi, et remet en

cause l’hypothèse de l’équilibre entre l’arsenic

adsorbé et

l’As2

gazeux.

Il est donc nécessaire d’étudier plus précisément la

cinétique

de croissance de

GaxIn1-xAs

en prenant

en compte le

régime

stationnaire

d’adsorption

et de désorption des espèces gazeuses As2 et As4. Cette

étude étant en cours sera présentée dans un prochain

article.

Conclusion.

Des

expériences

de

dépôt

de

GaxIn1-xAs

sur InP

ont été réalisées par épitaxie en phase vapeur par la méthode aux hydrures,

- à

profil

haut de température du réacteur pour essayer d’atteindre

l’équilibre thermodynamique

dans la phase gazeuse,

- puis à

profil

bas pour contrôler du mieux

possible

la pression

d’As2

et mieux cerner le rôle des

quantités respectives d’As2

et d’As4 en présence.

Les

interprétations théoriques,

toutes basées sur

le même modèle

cinétique

ont été successivement affinées à cause des

grandes

plages d’incertitude

avec

lesquelles

sont connues les

grandeurs

thermody-

namiques.

La dernière simulation rend bien compte

de l’ensemble des résultats

expérimentaux d’épitaxie

mais conduit à des valeurs de l’écart à

l’équilibre

entre

As2

et As4 non cohérents sur la dernière série

’d’expériences

réalisées. L’étude du

régime

station-

naire

d’adsorption

et de désorption des espèces

gazeuses

As2

et As4 est donc une étape supplémen-

taire

qui

est en cours de réalisation pour progresser dans la

compréhension

complète des

phénomènes

mis en

jeu

lors de la croissance de

GaxInl _ xAs

par la méthode aux hydrures.

Ce travail a été effectué dans le cadre des contrats DRET N° 85.34.004 et 87.119 avec le concours du CNRS et du Conseil Régional d’Auvergne par le cofinancement d’une bourse de Docteur-Ingénieur.

(9)

150

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