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Constantes moléculaires de l'oxyde de carbone

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(1)

HAL Id: jpa-00206699

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Submitted on 1 Jan 1968

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Constantes moléculaires de l’oxyde de carbone

Jean-Pierre Bouanich, Armand Lévy, Claude Haeusler

To cite this version:

Jean-Pierre Bouanich, Armand Lévy, Claude Haeusler. Constantes moléculaires de l’oxyde de carbone.

Journal de Physique, 1968, 29 (7), pp.641-645. �10.1051/jphys:01968002907064100�. �jpa-00206699�

(2)

CONSTANTES MOLÉCULAIRES

DE L’OXYDE DE CARBONE

Par

JEAN-PIERRE BOUANICH,

ARMAND

LÉVY

et CLAUDE HAEUSLER

(1),

Laboratoire d’Infrarouge, Chimie Physique, Faculté des Sciences de Paris,

Équipe

de Recherche associée au C. N. R. S., 9I-Orsay.

(Reçu

le 31

janviey 1968.)

Résumé. 2014

L’analyse

de la transition vibrationnelle 0 ~ 3 de

l’oxyde

de carbone nous

a

permis

de déterminer de nouvelles constantes de vibration-rotation ainsi que

l’expression

du

développement

en série du moment

dipolaire.

En outre, en

comparant largeurs

de raies

expérimentales

et calculées, nous avons tenté d’évaluer le moment

quadrupolaire.

Abstract. 2014

Analysis

of the second overtone band of carbon monoxide has

provided

new

values of vibration-rotation constants as well as the

dipole

moment function. Moreover,

by comparing experimental

and

computed

linewidths, we have

attempted

to

get

an order of

magnitude

for the

quadrupole

moment.

I. Introduction. - Dans un

precedent

travail

[1],

nous avions étalonné les raies de la transition vibra- tionnelle 0 -->- 3 de

l’oxyde

de carbone a differentes

pressions,

ce

qui

nous

permit

de determiner le nombre d’onde du centre v0-+ 3 de la bande et les constantes

Bo, B3, D05 D3.

Dans le but de

g6n6raliser

cette

etude,

nous d6ter-

minons les

principales

constantes de vibration-rotation

en utilisant les resultats de Rank et al.

[2]

obtenus avec

d’autres transitions.

Dans un autre travail

[3],

nous avions

entrepris

de

mesurer intensite et

largeur

des raies de la transi- tion 0 -->- 3. La connaissance des intensites des raies

nous avait

permis

d’atteindre 1’element matriciel de vibration

pure I Rg I.

A

partir

de cet element matriciel

et des elements

I R’ 0 I et I R 0 2 ]

obtenus par d’autres auteurs, nous avions determine les coefficients

M1, M2, M3

du

d6veloppement

en s6rie du moment

dipo-

laire de la molecule. Nous

compl6tons

cette etude en

donnant le coefficient

Mo

de ce

d6veloppement

en

s6rie, puis

nous tentons de determiner le moment

quadrupolaire

en comparant les

largeurs

des raies

expérimentales

et les

largeurs

des raies calculees

d’apr6s

la th6orie d’Anderson dans

laquelle Inous tenons

compte des forces de

dispersion.

II.

Appareillage

et conditions

expérimentales.

-

L’appareillage

et la m6thode

d’6talonnage

ont

6t6 d6crits antérieurement

[1].

Le

spectrometre

du

type Czerny-Turner

était

equipe

d’un reseau de

(1)

Adyesse actuelle : Laboratoire de Chimie

Physique

Moleculaire, Facult6 des Sciences de Rennes.

600

traits/mm

fonctionnant dans le

premier

ordre. Le

gaz fut introduit dans une cuve a reflexions

multiples

du

type

White dans

laquelle

nous avions realise un parcours de 20 m. Afin

d’augmenter

le

rapport signal

sur bruit de fond pour des mesures correctes d’inten-

sit6,

nous avions ouvert les fentes du

spectrometre

et

la r6solvance fut reduite a 50 000 environ. La lin6arit6 de

l’amplificateur

avait ete vérifiée en

interposant

un

jeu

de

grilles

sur le parcours

optique

devant la fente

d’entr6e;

la

r6ponse

donn6e par

1’enregistreur

était

proportionnelle

a l’intensit6 transmise par les

grilles.

Nous avions effectue trois series

d’enregistrement

de

la bande

vO - 3 de l’oxyde

de carbone a des

pressions

de

10,8, 21,3

et 60 cm de mercure

respectivement.

III. Constantes de vibration-rotation. - Nous

avons étalonné les raies

d’absorption

de chacune des series

d’enregistrement.

Les resultats obtenus revelent

un

déplacement

des raies avec la

pression

de

plusieurs

milli6mes de cm-1.

Cependant,

la valeur de ce

d6pla-

cement 6tant a la limite des

performances

du

spectro- m6tre,

nous avons

g6n6ralement préféré

consid6rer des valeurs moyennes des nombres d’onde de raies et

adopter

une

precision

absolue un peu moindre que celle obtenue habituellement.

Les nombres d’onde des raies de la transition 0 -* 3

sont donn6s par la relation :

En

appliquant

la m6thode des

moindres

carr6s a

1’ensemble des raies

6talonn6es,

nous avons pu d6ter-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002907064100

(3)

642

TABLEAU I

TABLEAU II

TABLEAU III

miner les constantes

Bo, B3, Do, D3 (tableau I),

ainsi

que le nombre d’onde du centre de bande vO-3*

Ce nombre d’onde du centre

extrapol6

lin6airement a

pression

nulle a pour valeur :

Les constantes B et D ont ete calculees a

partir

des

valeurs moyennes des nombres d’onde des raies.

Cependant,

nous avons constate que,

lorsque

la pres- sion augmente, les constantes B

qui

s’en deduisent

augmentent notablement. Ceci nous a conduits a

envisager

la

possibilité

d’erreurs absolues

importantes

de l’ordre de 1 X 10-4 cm-1 sur les constantes B et

de 1 X 10-7 cm-1 sur les constantes D.

Les relations suivantes :

nous ont

permis,

en utilisant nos constantes

B03 B3, Do, D3

et d’autres constantes rotationnelles d6termi- n6es avec

precision

par Rank et al.

[2],

de d6duire

les constantes rotationnelles de la molecule a

l’équi-

libre

Be,

(le, Ye et

Pe figurant

dans le tableau II.

Afin d’obtenir les coefficients les

plus probables,

nous avons utilise la m6thode des moindres carr6s.

Nos valeurs

de Be

et ae sont en tres bon accord avec

celles donn6es par

Rank;

par contre, nos valeurs des

constantes tres faibles et peu

pr6cises De, e’

Y. sont

assez différentes de celles

qu’il

propose.

De la relation :

nous avons deduit les constantes de vibration et

d’anharmonicité O0g, WeXe, (.,)eye en

remplaqant

Vv" -+ v’

par vo-,

(valeur

citee dans

[4]),

VO,21 Vl-31 V4 -+ 2

(valeurs

cit6es dans

[2])

et vO-3* Les resultats obtenus par

l’application

de la m6thode des moindres carr6s

figurent

dans le tableau III.

A

partir

de ces valeurs de we, we xe, We Ye, nous

avons calcule les nombres d’onde des centres de bande vo-->-Jl

Vo -+ 2 et

Vo -+ 3

qui,

dans le tableau

IV,

sont

compares

aux nombres d’onde observes des memes centres de

bande,

en cm-1.

TABLEAU IV

(4)

TABLEAU V

Enfin,

dans le tableau

V,

nous donnons les valeurs du moment d’inertie

Ie

et de la distance

interatomique

a

l’équilibre

re.

Pour

conclure,

nous tenons a

pr6ciser

que nos constantes de vibration-rotation ont ete calculees pour des transitions telles que v’ 4 et pour des

pressions

inferieures a 1 atm.

IV.

Exploitation

des intensitds des raies. - Les

mesures d’intensit6 et de

largeur

des raies de la tran-

sition 0 -->- 3 furent effectuées sur deux

enregistrements

relatifs a des conditions

expérimentales identiques :

parcours absorbant de 20 m,

pression

du gaz de 60 cm

de mercure,

temperature

maintenue a 24 OC.

Afin d’6viter de trop nombreuses

manipulations

de

l’oxyde

de

carbone,

nous avions utilise une m6thode de mesure mise au

point

par Izatt

[5].

Cette m6thode necessite la connaissance

approximative

de la fonc- tion

d’appareil, cependant

elle

pr6sente 1’avantage

de permettre la determination des

largeur

et intensite

des raies par 1’6tude d’un seul

enregistrement

du

spectre.

Nous avons

represente

sur la

figure

1 la variation des intensités des raies avec m. La

precision

est limitée

FIG. 1.

essentiellement par

1’appreciation

delicate du contour exact de la raie et par

l’impr6cision importante

sur

la fonction

d’appareil.

Nous estimons que 1’erreur relative sur ces intensités est de l’ordre de 5

%.

L’intensité d’une raie de vibration-rotation relative a la transition d’un niveau inferieur

v, j

au niveau

supérieur v’, j’

est li6e a l’élément matriciel

dipolaire

de transition

-Wv’j’

par la relation :

N,j

est le nombre de molecules dans 1’etat initial par unite de volume et de

pression,

a la

temperature

de

1’experience;

Vvj - v, j, est le nombre d’onde de la

raie;

Mvl i peut s’exprimer

par la relation :

ou

I (r) d6signe

la fonction d’onde vibrationnelle.

Le moment

dipolaire M(r) qui apparait

dans la

relation

(2)

n’a pas une forme

analytique

connue.

On

1’exprime

par un

d6veloppement

en s6rie au

voisinage

de la

position d’6quilibre (r

=

re) :

Les elements

matriciels I _,113J’ s’obtiennent

faci-

lement par la relation

(1). D’apres

Herman et Wal-

lis

[6] puis Herman, Rothery

et Rubin

[7], I vdgf

peut

se mettre sous la forme :

où IR31 0

est un element matriciel vibrationnel pur

et

(Foi)

est une fonction

qui

caractérise l’interaction

entre la vibration et la rotation. Cette fonction

peut s’exprimer

sous la

forme

d’un

polynome

en m tel que :

a et b 6tant des coefficients

qui

peuvent

th6oriquement

se calculer en fonction du rapport

Mol M1 re

et des

constantes de vibration-rotation.

La

figure

2

represente

la variation

de I uItg (m) I

avec m. Nous constatons que la courbe

representative

n’a pas une forme

analytique simple. Cependant,

nous

estimons

qu’il

serait difficilement

possible

de modifier les

développements th6oriques

actuels afin de rendre

compte

de cette seule courbe

expérimentale.

FIG. 2.

(5)

644

L’ordonnee a

l’origine

de cette courbe

represente th6oriquement

la valeur de l’élément matriciel- de transition

vibrationnelle I Rg I.

Nous avons ainsi ob-

tenu I R o 3 ] = 3,72

X 10-4 D. Cette valeur est en bon accord avec la valeur

sugg6r6e

par

Young

et Ea-

chus

[8] : I Rg ] = 3,83

X 10-4 D resultant de consi- dérations

theoriques.

FIG. 3.

Nous avons

repr6sent6

sur la

figure

3 la variation du rapport

(Fg(- m + 1)) avec I m 1.

Ce

rapport peut

(Fo -M

+

1))

s’exprimer simplement

en fonction du

rapport

corres-

pondant

des intensit6s par la relation :

On constate que la courbe

representative

de ce

rapport

est

parfaitement

monotone et se superpose

approximativement

avec la courbe

th6orique

donn6e

par

Young

et Eachus

[8].

En

appliquant

les resultats de calculs effectués par Herman et Shuler

[9],

nous avons determine les coef- ficients

Ml, M2, M3

du

d6veloppement

en s6rie du

moment

dipolaire

a

partir

d’616ments

matriciels I Rv’ I.

Les elements matriciels

adopt6s

furent les suivants :

(moyenne

calcul6e

d’apres

les resultats obtenus par Kostkowski et Bass

[11]

et

Oppenheim

et Gol-

dring [12]), et :

Nous avons ainsi obtenu

[3] :

La valeur du moment

dipolaire permanent

M ne peut etre confondue avec

Mo,

moment

dipolaire

de

la molecule dans sa

position d’6quilibre.

En se limitant

aux trois

premiers

termes du

d6veloppement (3)

et en

utilisant les fonctions d’onde de l’oscillateur harmo-

nique perturb6,

on montre que :

avec :

et :

La structure de

l’oxyde

de carbone

correspond

a

la formule C- = 0+ ainsi que l’ont 6tabli les mesures

expérimentales

de Rosenblum et al.

[13]

et les calculs de Roux et al.

[14].

Si on affecte conventionnellement du

signe

- le moment

dipolaire permanent :

le

d6veloppement (3)

doit s’écrire :

V.

Largeurs

des raies

expdrimentales

et calculees.

- De nombreux auteurs ont determine les

largeurs

des raies des bandes fondamentale et

premiere

har-

monique

de

l’oxyde

de carbone. Sur la

figure 4,

nous

FiG. 4. -

Demi-largeurs

des raies des bandes V0 - 1 et vo _ , calculees avec M = 0,112 D :

o : Valeurs

experimentales

de

Plyler

et Thibault.

+ : Valeurs

experimentales

de Benedict et al.

(6)

avons

reproduit

les valeurs

expérimentales

les

plus

r6centes des

demi-largeurs

des raies

rapport6es

a 1 atm,

Yo, donn6es par

Plyler

et Thibault

[16]

et par Benedict

et al.

[17].

Utilisant la th6orie des collisions d’Anderson telle

qu’elle

fut

expos6e

par Tsao et Curnutte

[18],

nous avons calcule les

demi-largeurs

yo de ces memes raies. En

plus

des interactions

dipolaires

et

quadrupo- laires,

nous avons inclus dans nos calculs les forces de

dispersion

en nous r6f6rant aux études de Benedict

et Herman

[19] (les

forces d’induction de

Debye

sont

FIG. 5. -

Demi-largeurs

des raies de la bande v, _ , cal- cul6es avec M = 0,48 D et

Q

= 2,4 x 10-26 u.e.s. cm2.

Nos valeurs

expérimentales : D :

branche P;

o : branche R.

dans ce cas

negligeables) .

Nous avons

represente ( fig. 4)

une série de courbes de yo calculees chacune avec un mo- ment

dipolaire

M =

0,112 D,

une distance minimum intermoléculaire de 4

k

et un moment

quadrupolaire Q égal respectivement

a

2, 3,

4 et 5 X 10-26 u.e.s. cm2.

Nous pouvons constater que les valeurs

expérimen-

tales se

groupent approximativement

autour de la

courbe

th6orique

pour

laquelle Q

= 3 X 10-26 u.e.s. cm2.

Sur la

figure 5,

nous avons

represente

nos valeurs

expérimentales

des

demi-largeurs

des raies Yo de la transition 0 -* 3. Outre le fait que ces

demi-largeurs

sont en moyenne 20

% plus importantes

que celles donn6es par les autres auteurs sur les bandes fonda- mentale et

premiere harmonique,

leur variation en

fonction

de ]m] I

semble

indiquer

que le moment

dipolaire adopt6 M

==

0,112 D

est nettement insuf- fisant. En

effet,

un calcul effectue avec un moment

dipolaire

M =

0,48

D et un moment

quadrupolaire Q,

=

2,4

X 10-26 u.e.s. cm2 a

permis

de tracer

( fig. 5)

une courbe

th6orique qui

suit

approximativement

les

points expérimentaux.

Bien que la valeur M ==

0,48

D du moment

dipo-

laire

paraisse beaucoup trop importante,

il semble

qu’on puisse adopter

comme moment

quadrupolaire Q

= 3 X 10-26 u.e.s. cm2 avec une erreur absolue de l’ordre de 1 X 10-26 u.e.s. cm2.

Remarquons

enfin que les anomalies observ6es sur ces

demi-largeurs

de raies ne semblent pas devoir

s’expliquer

par

l’impr6cision

de nos valeurs

experi- mentales,

car une m6thode de déconvolution

[20]

a

donne des resultats voisins sur

plusieurs

raies d’ab-

sorption.

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