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La Çhaux-de-Fonds, Samedi 11 Juillet 1931. Bureau* : Rue de la Serre 58. Quarante-sixième Année. — 11* 55.

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La Çhaux-de-Fonds, Samedi 11 Juillet 1931. Bureau* : Rue de la Serre 58. Quarante-sixième Année. — 11* 55.

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II.

En Italie, le fascisme cherche actuellement à ré-

soudre le problème des rapports entre le capital et le travail par une formidable organisation étatiste.

En 1927, le Grand Conseil fasciste a édicté la célèbre Carta del lavore, une constitution du travail qui organise la vie économique de l'Italie d'après les principes suivants: tous les citoyens qui sont dis- posés à servir l'Etat nouveau sont incorporés à des associations professionnelles (syndicats ou corpo- rations) à savoir dans chaque branche, les syndicats ouvriers d'une part, les syndicats patronaux de l'autre. Les syndicats ouvriers sont autorisés à con- clure des conventions de tarifs avec les syndicats patronaux. Ces conventions règlent les rapports entre le capital et la main-d'œuvre, en d'autres termes ils réglementent la production commune et la par- ticipation aux bénéfices. Toutefois ces conventions ne peuvent être conclues que par les associations professionnelles reconnues par l'Etat. .Une fois adop- tée, cette convention a ceci de particulier qu'elle a force de loi pour toute la branche en question. Dans une seule et même profession tous les contrats d'en- gagement individuels doivent correspondre aux dis- positions du contrat collectif. Toute l'organisation économique est dominée par le ministère des corpo- rations qui se voit conférer des compétences très étendues pour s'organiser lui-même, pour conclure

Théories actuelles sur les causes des crises économiques

par le Dr. F. Scheurer, expert-comptable A. S. E., prof, à l'Université de Neuchâtel.

I.

Chaque,fois qu'une crise économique éclate et tant qu'elle dure, les hommes en cherchent les causes.

C'est compréhensible quand on pense aux souffrances indicibles, que comportent ces événements iéconotniques.

Mais, aussi en dehors des périodes de dépression, l'étude des. fluctuations du marché et leurs prévisions occupent de plus en plus la science. Prospérité, crise et stagnation sont en effet les actes successifs du même drame industriel. La crise n'en constitue que l'épisode le plus pathétique. Mais les esprits sont loin d'être d'accord sur la cause ou les causes les plus profondes des oscillations dans la marche des affaires.

Les périodes de stagnation mettent à jour les dé- fauts et maux effectifs ou menaçants d'une indus- trie donnée. Il s'agit là de maladies spéciales qui ne sont pas senties ou pas au même degré en temps de prospérité, de même qu'un défaut de notre corps, ne se révèle dans toute sa gravité que quand l'organisme dans son ensemble est affaibli.

C'est ainsi que la crise actuelle a attiré l'attention des chefs et même de la masse sur le problème de l'exportation de l'industrie horlogère suisse, notam- ment par la création de fabriques" de boîtes à l'étran- ger et par l'augmentation du chablonnage. Il est clair que nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour conserver l'industrie horlogère à notre pays et que les périodes de stagnation doivent être utilisées pour réaliser les réformes qui lui permettront

dçs conventions de salaire et pour résoudre les con- flits qui surgissent entre corporations. L'Etat fas- iste a aboli la grève et le boycott. Pour apaiser les conflits ouvriers l'Etat fasciste a institué des tri- bunaux spéciaux. Cette organisation ne règle natu- rellement que les rapports entre. ouvriers et patrons.

L'Etat italien laisse à l'initiative privée le soin de diriger les entreprises industrielles. C'est ainsi qu'en 1925 déjà il a supprimé les Conseils d'exploitation.

Il n'est pas encore possible de se prononcer au- jourd'hui sur les résultats de cette nouvelle orga- nisation économique. Même si les expériences de l'Italie devaient se révéler favorables, nous nous pemandons si cette organisation étatiste intense pour- rait s'adapter aux besoins du peuple suisse.

LAmérique, dont toute l'organisation est basée

sur l'initiative individuelle, a de tout temps laissé aux ouvriers d'acquérir des actions comme tout autre citoyen aussi. Il est intéressant de constater que, de l'autre côté de l'Océan, on voit chaque jour des ouvriers acquérir des actions de l'entreprise dans laquelle ils travaillent, exercer leur droit comme d'au- tres actionnaires et participer aux gains et aux pertes. A vrai dire il s'agit la plupart du temps de grandes entreprises dont les papiers sont cotés en Bourse. Les ouvriers ont ainsi toute facilité d'ache- ter ces valeurs en bourse et dans les banques. Ils peuvent aussi, à leur gré, vendre leurs actions en bourse ou en banque. Tout autres sont les expé- riences faites avec le système américain dans les petites entreprises. Une importante entreprise suisse a essayé de ce système, en accordant aux ouvriers de conserver sa place sur le marché mondial. Mais ce ne sont pas ces questions-là qui nous occupent dans cette étude. Nous voulons nous concentrer sur le problème de la crise en général.

Les crises économiques peuvent avoir des causes extérieures et particulières, et Dieu sait s'il j en a

de ces causes dans le monde entier, dont chacune suffirait à elle seule pour provoquer un malaise plus ou moins général. Notons au hasard: la révolution en Espagne, le peu de stabilité 'de la politique euro- péenne, les suites économiques de la guerre dont notre continent ne s'est pas encore relevé, la situa- tion étrange de la Russie et de la moitié du conti- nent asiatique qui en dépend, l'insécurité régnant aux Indes britanniques et en Chine, la crise du régime socialisant en Australie, les révolutions suc- cessives des Etats de l'Amérique du SIKL, etc.

On est toutefois d'avis que tous ces faite ne sau- raient expliquer la crise générale dont le monde est atteint. D'abord, ils ne sont pas venus tous à la fois.

Ils se suivent plus ou moins. Les troubles éclatent tantôt ici, tantôt là. Ils font sentir toute l'instabilité du monde politique et économique, ils arrêtent ici le commerce, coupent là pour une certaine durée les débouchés, mais, d'ordinaire, si une porte se ferme, une autre s'ouvre. Le commerce est risqué, plein de périls et de déboires j cependant, les faits indiqués n'auraient pas pu atteindre à eux seuls le centre, le cœur même de la vie économique. Ils aggravent la crise qui règne; ils ine l'expliquent pas dans son essence.

*

**

Depuis assez longtemps, on cherche donc des cau- ses d'une nature plus générale qui puissent expliquer les crises économiques. On distingue les causes orga-

niques des causes inorganiques, soit des causes sjré>

des conditions de faveur ^Jjgjj&d'une nouvelle émis- sion et après cette souscription elle leur a concédé une représentation au Conseil d'administration. Au début, grande fut l'allégresse du personnel; on croyait avoir résolu la question sociale, puis vint la crise de l'après-guerre; le cours des actions tom- ba, l'affaire fut exploitée dans un but de politique sociale et finalement les ouvriers émirent la préten- tion de se voir racheter leurs actions.

S'inspirant de ces diverses expériences, le Projet

de revision des titres XXIV à XXXIII du Code des Obliiations suisse tente de résoudre d'une autre

façon la question sociale. Il prescrit notamment aux sociétés par actions la création d'une réserve forcée.

Un vingtième du bénéfice net doit être versé annuel- lement dans un fonds de réserve jusqu'à ce que celui-ci ait atteint 1/10 du capital actions. Les sta- tuts ont la faculté de majorer le taux des versements annuels et d'augmenter le chiffre minimum du fonds de réserve. Cette disposition doit être saluée au point de vue social comme une heureuse innova- tion. Elle conçtitue pour les ouvriers un sérieux élé- ment de sécurité en temps de crise. D'après les expériences faites jusqu'ici, elle est ce qu'on a réaliés de plus pratique pour améliorer la situation du monde ouvrier. On doit vivement souhaiter que cette disposition ne soulève aucune opposition au sein des Chambres fédérales. Le projet comporte un autre progrès; c'est la création d'institutions philanthropiques alimentées par des fonds Nous ne critiquons pas le fait que ces dispositions ne visent que les sociétés par actions, car d'après la struc-

ciales, telles que nous venons d'en énumérer quel- ques Junes.

Comme cause organique, on entend une cause qui gît dans les profondeurs et qui, par la force des choses, doit plus ou moins périodiquement provoquer des troubles, semblables en ceci aux maladies de la circulation du sang et en opposition aux maladies temporaires et passagères dont tel ou tel organe est atteint. Ce n'est pas pour rien qu'on parle des

fluctuations du marché, des oscillations et cycles de la vie économique, des périodes d'essor et de sta- gnation. Tous ces termes disent clairement qu'en dehors des faits extérieurs (voir exemples plus haut) qui peuvent déranger la vie économique partiellement, il y en a d'autres provoquant des tendances géné- rales, soit tantôt des périodes de prospérité, tantôt des périodes de dépression, de stagnation et de crise.

Les économistes admettent aujourd'hui à peu près à l'unanimité d'existence de ces causes d'ordre géné- ral provoquant les fluctuations économiques, mais au sujet de la nature de ces causes, les opinions va- rient encore beaucoup. Il y a notamment deux ten- dances: les uns cherchent l'origine profonde des crise»

du côté "des marchandises, les autres croient la trou- /er du côté de l'argent.

Examinons brièvement les deux faces du problème:

« Il y a surproduction », s'écrient les partisans de la première théorie et ils s'apprêtent tout de suite à prouver que c'est elle qui est la cause de la crise.

La population du monde n'augmente plus, disent-ils,

aussi rapidement qu'avant la guerre; ce monde, sorti

de la plus grande catastrophe que l'histoire con-

naisse, n'a de loin pas encore trouvé son équilibre, ni

l'aisance générale dont il jouissait avant. Et pour-

tant on lui offre deux fois plus de sucre, et

de cuivre qu'en 1913, deux fois et demie plus de

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JSî.S3. — 11 juillet 1931, L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E SUISSE 417

tiirë du projet, lès"sociétës~ de capitaux ne pourront pas revêtir ,un autre aspect que celui de la société parfla£fens.!S Soulignons en outre 1 neureusV circons- tance qui", .veut qu'en Suisse toute une sérié d impor- tantes entreprises aient créé, avant la crise, des caisses d'assurance-vieilîesse, des caisses d'invalidité ainsi que des caisses en faveur des veuves et des orphelins. Celles-ci sont alimentées en partie ou en totalité au moyen des bénéfices d'exploitation. Leurs prestations, profitent exclusivement aux ouvriers et aux employés. Ces institutions représentent aussi une .forme de participation des ouvriers aux béné- fices de l'entreprise.

Relevons encore — last not least — la possibi- lité d'une participation des ouvriers aux économies réalisées „sur les., frais généraux dans toutes les entreprises ou branches d'entreprises où la négligence et l'inattention des ouvriers est susceptible d'entraî- ner de gros frais de fabrication; il est recomman- dable de verser aux ouvriers le montant des écono- mies réaliéses grâce à un surcroît d'attention. C'est aussi une forme de participation aux bénéfices. Les conditions dans lesquelles ces primes à l'économie sont versées varient naturellement d'une entreprise à l'autre. Il existe encore beaucoup d'entreprises dans lesquelles cette innovation rendrait de grands services tant aux patrons qu'aux ouvriers.

ggjtt résulte de cet exposé que le problème qu'on traite., parfois trop superficiellement sous le nom de participation aux bénéfices, embrasse e n réalité toute la question sociale. L a question de la répartition des sommes qu'une période prospère procure aux patrons rie saurait être sérieusement envisagée. Ré- parties sur tous les ouvriers individuellement les parts de bénéfice seraient insignifiantes. Qu'on songe en outre qu'elles constituent non pas de droit mais de fait la dernière réserve dont bénéficieraient les ouvriers en temps de crise. N'oublions pas, que dans la crise actuelle, les industriels sacrifient sou- vent toute leur fortune personnelle pour maintenir leur entreprise en activité. L e problème soulevé par M . le Conseiller fédéral Musy est principalement dans notre idée le problème de la répartition plus rationnelle de ce qui, à l'heure actuelle,, est alloué aux ouvriers à titre de salaire.

Commerce extérieur

Argentine.

La valeur effective du commerce extérieur de l'Ar- gentine atteint -1,353,287,000 $ or en 1930 contre soie, quatre fois plus de pétrole, cinq fois plus d'aluminium, dix fois plus de caoutchouc. E t \ on s'étonne que l'estomac du marché ait été surchargé!

Encore, continuent les partisans de la théorie de la surproduction, si les prix avaient baissé et s'étaient adaptés tout de suite et d'une manière naturelle a la quantité de marchandises offertes, le mal n'aurait pas été si grand. Le monde appauvri aurait pu acheter alors plus de matières. La consommation aurait augmenté. Mais des cartels, des « pools » et d e s . actions de valorisation ont essayé de tenir les prix, sans en même temps diminuer la production.

L'effet en fut l'accumulation de stocks et en fin de compte-J&; rupture des,: digues ^artificielles et la catastrophe. Voilà pour les matières premières.

Pour l'industrie, s'ajoutent encore l'extension con- sidérable depuis la guerre des moyens de production, donc des machines et de l'outillage en général, puis tout ce qu'on résume sous le nom dé rationalisation.

Le marché de son côté, pour beaucoup d'industries arrivées à maturité, ne peut plus être élargi et inten- sifié dans la même mesure qu'autrefois. Le mouve- ment général d'expansion qu'on appelle « trend » se trouve ralenti.

Bref, dans l'industrie aussi il y a surproduction effective et latente, latente en ce sens que la pro- duction peut presque d'un instant à l'autre être aug- mentée considérablement, ce qui suffit pour exercer une pression sur les prix.

Or, quancLJes prix commencent à céder, à plus forte r a i s ö S ^ u a n d ils s'effondrent, la vente se trouve arrêtée, car chaque interftiédiaire doit crain- dre que la marchandise perde encore • de sa valeur pendant quelle se ' t r o u ^ e i f t r e ^ s e s mains. > !La/yente des produits industriels ne se faisant plus ou dimi-

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i;8Ï5,741,000 en 1929, d'où diminution de 462 mil- lions 454,000S or, ou de 25 o/0.

Les importations tombent de 861,997,000$ or en 1929 à 739,183,000 .en; 1930. La différence est de 122,814,000' $ or, soit une diminution de 14 o/0 pour 1930. Les importations d'or se réduisent, en 1930 comme en 1929, à quelques dizaines de milliers de pesos.

Les exportations se chiffrent p a r 614,104,000 $ or en 1930 contre 953,744,000$ or en 1929, soit une diminution de 339,640,000 ou de 35,6 o/o. Les expor- tations d'or atteignent 25 millions en 1930 contre 174 millions en Ï929.

La balance commerciale laisse un solde passif de 125 millions en 1930. L'année 1929 accusait au con- traire un solde actif de 92 millions. La différence d'une année à l'autre est donc de 217 millions.

C h y p r e .

La valeur totale des importations pour l'année 1930 a été de Lstg. 1,419,989 contre 1,983,833 en 1929, soit une diminution de Lstg. 56,844.

Quant aux exportations, la valeur se chiffre par Lstg. 1,218,321 contre 1,635,736 en 1929, soit une diminution d e 417,415 (25,52 <y0).

P a r a g u a y .

En dépit de la crise économique, le volume total du commerce extérieur paraguayen est allé en aug- mentant en 1930. Le chiffre atteint au cours de l'an- née en question est en effet de $ 29,315,811 o/s, alors qu'en 1929 il était de $ 27,309,861 o/s, ce qui représente une augmentation de 7,2 o/o.

iLa balance commerciale boucle, par contre, par un solde passif de S 962,906 o/s. C'est la deuxième fois depuis 1924 que la balance commerciale du Paraguay accuse un solde passif. En 1929, il était de 35 399,329 o/s.

I t a l i e . — F o r m a l i t é s à a c c o m p l i r p a r l e s c r é a n c i e r s e n c a s d e d é c l a r a t i o n d e faillite d e

l e u r d é b i t e u r i t a l i e n .

De nombreux exportateurs se plaignent de ne pouvoir arriver à percevoir le pourcentage distribue par les liquidateurs de maisons déclarées en fail- lite en Italie. 11 arrive très souvent que la firme créancière -a négligé de' produire régulièrement au passif de la faillite, c'est d'ailleurs la raison pour laquelle le: liquidateur n'a pas été tenu à leur régler le pourcentage provenant de la répartition d'actif.

' Ces dommages dont se lamentent les exportateurs et qui se constatent d'ailleurs assez fréquemment dépendent du fait que les créanciers ignorent les formalités .qu'ils doivent /accomplir pour produire régulièrement leurs créances en cas de faillite de leurs débiteurs.

En Italie, il est indispensable d'établir sur papier

timbré de 10 liresA une demande d'admission au juge-commissaire, délégué à la procédure, dans les délais légaux;: fixés par le jugement déclaratif de la faillite qui sont normalement de 30 jours à partir de la date de la déclaration de la faillite.

Pour produire sa créance, le créancier doit élire domicile dans la circonscription de tribunal compétent auprès d'une personne de confiance, ou, à défaut, auprès du greffe.

Dans ladite demande, le créancier doit indiquer le montant de sa créance et produire à l'appui toutes les pièces justificatives (relevé de compte certifié conforme aux livres, duplicita de factures, bulletins de commandes.. traites impayées s'il y a lieu), et déclarer que sa créance est sincère et véritable.

Les délais légaux expirés, le créancier ne peut pro- duire sa créance que par les voies de droit. Il est dans ce cas obligé de citer le curateur et le failli par devant les tribunaux. Cette procédure est généra- lement longue et coûteuse; il ne convient d'y avoir recours que si la créance en vaut la peine.

Il est vrai que dans le cas où la faillite se clôture par un concordat, le créancier qui n'a pas produit sa créance en "temps voulu, peut bénéficier des mêmes avantages concordataires que bénéficient les créanciers régulièrement admis au -passif, mais il n'en est pas de même lorsque la faillite se clôture par une répartition d'actif où alors seuls,, les créan- ciers admis perçoivent le pourcentage.

Etant donné les difficultés que nos exportateurs rencontrent souvent pour sauvegarder leurs droits en cas de faillite de leurs débiteurs^ ils auraient inté- rêt, dès qu'ils ont connaissance de la défaillance de leurs débiteurs, à confier sans tarder leurs litiges à l'Information Horlogère qui, par l'intermédiaire de ses correspondants établis en Italie peut, dans la circonstance, leur être très utile.

P a y s B a l t e s .

T r a i t e s d e c l i e n t s « K u n d e n w e c h s e l » . Dan» les Pays baltes, certains clients règlent leurs fournisseurs au moyen de traites de leurs propres clients qu'ils endossent.

En cas de protêt pour non-paiement d'un « Kun- den-Wechsel » le commerçant qui l'a remis à son fournisseur, doit le' racheter à la Banque en payant le montant, plus les frais.

11 arrive souvent que des commerçants ne font pas protester de telles traites, dans ce cas ils n'ont aucun recours contre l'endosseur. Ces papiers com- merciaux perdent leur valeur d'effets de commerce et ne représentent pour l'endosseur que de simples reconnaissances de dettes et la procédure judiciaire est plus compliquée.

Si au contraire l'effet est protesté «l'appel en ga- rantie » joue.

En aucun cas, il ne faut pas (même pour les traites tirées directement sur les clients) qu'il y ait la men- tion « sans frais », agir autrement c'est aller au devant des difficultés.

En Estonie, le délai de grâce de protêt de l'effet nuant considérablement, c'est l'arrêt de la fabrica-

tion et sa triste conséquence, le chômage. Le chô- mage à son tour enlève à une foule de consommateurs

leur puissance d'achat et alors c'est le cercle vicieux en plein, la baisse engendrant le chômage et le chô- mage engendrant à son tour la baisse.

Peut-être dans un régime économique tout à fait libre, l'adaptation se fait-elle relativement vite. La baisse des prix des matières premières est accompa- gnée de la baisse du coût de la vie> donc dés vivres, des services, des salaires. Tout baisse à la fois et proportionnellement ou à peu près et bientôt l'équi- libre est rétabli, simplement sur un niveau inférieur.

Aujourd'hui, cette adaptation se fait plus lentement.

Il y a toutes sortes de faits qui empêchent le jeu libre des ^forces économiques : beaucoup de salaires sont fixés par des lois, soit' ceux dés fonctionnaires et des cheminots par exemple^ d'autres sont maintenus à un niveau correspondant, relativement élevé, par la politique syndicale patronale et ouvrière. Il en est de même des prix. Bref, on constate, et la statistique le prouve à satiété, que la diminution de la cherté de la vie et des salaires ne suit gue de loin celle des prix du commerce de gros, et ainsi l'industriel ne peut s'adapter, vu le coût élevé de son produit, au niveau réduit de la puissance d'achat des consom- mateurs. Le résultat en est un chômage plus fort et plus prolongé. En fm de compte, l'adaptation se fait évidemment tout de même: et elle rend possible alors une reprise des affaires sur des bases plus saines. !

* On voit que la théorie de la surproduction a beau- coup pour elle. Et pourtant, une surproduction gé- nérale est impossible. Il n'y a jamais trop de ri- chesses dans le monde. Au contraire, que d e mécon-

tentement n'y a-t-il pas aujourd'hui, précisément parce qu'une quantité de besoins restent inassouvis! *

** *

*

Or, les crises ont quelque chose d'universel. Les grandes crises économiques se font sentir dans le monde entier. Cette généralité de la crise ne s'ex- plique pas entièrement et sans reste par les phéno- mènes qui se déroulent sur le marché des marchan- dises. Il nous faut voir encore ce qui se passe cju côté de l'argent et s'il n'y a pas, là aussi, des phénomènes contribuant à donner à l'évolution éco- nomique ce mouvement de pendule, ces oscillations que nous connaissons. . I

L'argent est la commune mesure de la valeur. C'est une marchandise qui s'oppose en somme à toutes les autres, de sorte que le marché mondial peut être com- paré à juste titre à une énorme contredanse pu se trouvent d'un côté toutes les marchandises^ de l'au^

tre l'or, la monnaie, l'argent et, dans un sens p l u s large, le capital.

S'il est impossible que toutes les marchandises subissent à la fois les effets d'une surproduction gé- nérale, il saute aux yeux que des modifications dans le facteur argent (attendu qu'il est seul et forme un tout unique pour le monde entier) peuvent avoir des effets tout à fait généraux pour toutes les marchan- dises.

On sent donc tout de suite l'importance que l'ar- gent peut et doit avoir dans, les fluctuations du marché. .^,

Aussi, de nombreux économistes cherchent aujour- d'hui du côté de la monnaie la source des crises.

Esquissons brièvement les différentes théories, car il y en a plusieurs, et cela en ne traitant que celles qu'on doit prendre au sérieux (nous" ne considérons

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N»53. — 11 juillet 1931. L A F É D É R A T I O N H O R L O G È R E S U I S S E 419

n'est que de trois jours; il faut que l'effet envoyé à une banque locale arrive assez à temps pour que la Banque ait la possibilité de l'encaïsser dans les délais voulus, ou de le faire protester.

Chronique sociale

L e s p r i x d e d é t a i l

e t l e c o û t d e l a v i e e n M a i 1 9 3 1 .

(Communiqué par l'Office fédéral de l'industrie, des arts et métiers et du travail).

L'indice suisse du coût de la vie était à 150 (juin 1914 = 100) à la fin de mai 1931, contre il51 à la fin du mois précédent et 158 à fa fin de mai 1930. La cherté de la vie a donc continué de diminuer. Ce fléchissement provient des denrées ali-- mentaires, sur lesquelles de nouvelles baisses se sont produites, et des combustibles, dont les prix sont plus bas que ceux notés en avril. Il a été en partie contre-balancé par une légère hausse des loyers (-f-1,4 o/o), constatée en mai 1931 par rapport à l'an- née dernière. Pour ce qui est spécialement des denrées alimentaires, l'indice s'établissait à 141 à la fin de mai 1931, contre 142 à la fin du mois précédent jet 150 à la fin de mai 1930.

Au nombre des différentes denrées alimentaires dont les prix ont varié en mai, figure d'abord le beurre, qui a diminué dans la plupart des 34 communes prises en considération, puis la viande de porc, le lard et le saindoux, qui ont subi des baisses dans beaucoup de ces communes; la graisse comes- tible et les pois jaunes ont également diminué dans quelques communes. En revanche, la viande de veau a renchéri dans diverses communes et les pommes de terre dans quelques endroits.

11 y a 1 ieu de remarquer au sujet des huit indices spéciaux d'où est tiré l'indice du coût de l'alimen- tation ce qui suit: les indices du pain et des autres produits de céréales, du sucre et du miel, des pom- mes de terre et des légumes à cosses sont restés au même chiffre que le mois précédent. La baisse du beurre a fait fléchir de 1 o/o l'indice des produits laitiers. On a de même obtenu un indice 'de 1 °/o moins élevé que le mois précédent pour les œufs, la viande et la charcuterie, le café et le chocolat. Enfin, on a obtenu.un indice de 2 °Jo moins élevé pour les graisses et les huiles. En conséquence de ces mul-

tiples baisses, l'indice des denrées alimentaires s'est abaissé de 0,8 o/o.

Envisagée séparément dans chacune des 34 com- munes prises en considération, cette dépense est res- tée plus ou moins au même niveau dans 15 com- munes, a diminué de 1 o/o dans 12, de 2 o/0 dans 5 de 3 o/o dans une et de 4 o/0 dans une commune éga- lement.

Dans les combustibles, il s'est produit de légère*

baisses; elles proviennent de l'introduction partielle des prix réduits appliqués en été à la vente des char- pas comme sérieuse la théorie dite de l'argent franc et n'en parlerons donc pas).

;11 y a d'abord la théorie quantitative. Elle est déjà assez ancienne et connue depuis longtemps en An- gleterre, mais elle a gagné de l'actualité depuis la guerre.

La théorie quantitative considère l'argent comme une marchandise. Or, le prix de toute marchandise dépend de la quantité qui en est offerte sur le mar- ché. Quant à la marchandise appelée monnaie, ar- gent ou or, il n'en faut qu'une certaine dose en face des autres marchandises. S'il y en a moins, la valeur de la monnaie monte, les prix des marchandises bais- sent; au contraire, si la quantité dé la monnaie aug- mente, plus qu'il n'en faut sur le marché, sa valeur baisse et le prix des marchandises monte.

C'est là la théorie quantitative primitive. .On lui a opposé que la rapidité avec laquelle la monnaie cir- cule joue un rôle important et qu'une pièce de mon- naie tournant dix fois plus vite qu'une autre, c'est- à-dire permettant dix achats de s'accomplir au lieu d'un, remplace dix pièces de monnaie de même valeur ne tournant qu'une seule fois dans le même laps de temps, de sorte que la quantité devient quelque chose de très relatif. A plus forte raison, les moyens de paiement modernes (virements et compensation) ont changé du tout au tout le problème de la quan- tité. Tout cela est fort juste, certainement, mais n'em- pêche pas que la • quantité de monnaie qui circule sur le marché joue encore aujourd'hui un certain rôle.

Nous connaissons à satiété par la guerre et l'après- guerre les phénomènes de l'inflation. Il y a infla- tion monétaire quand il y a trop de monnaie sur le marché et qu'elle a pour effet la hausse de tous les prix. Au contraire, la raréfaction de la monnaie en- gendre la baisse de tous les prix. Hausse et baisse ne se- produisent pas pour tous les articles en même

bons. Le savon a également diminué dans quelques communes. L'indice du groupe se situait en cou- séquence à 128 à la fin de mai 1931, contre 129 à la fin du mois précédent et 132 à la fin de mai 1930.

En ce qui concerne l'habillement, on considère comme inchangé l'indice de 145 noté à la fin d'avril 1931.

L'indice des loyers, tel qu'il résultait du relevé exécuté en mai 1930^ a été repris sans modification jusqu'en avril 1931, dans l'indice du coût de la vie.

Un nouveau relevé a été effectué en mai 1931. Il est à remarquer à ce propos que les anciens et les nouveaux logements ont été pris en considération dans le calcul de l'indice, en proportion de leurs nombres respectifs. Les variations de l'indice procèdent donc non seulement des variations des loyers payés pour les mêmes logements, mais aussi de la proportion croissante des nouveaux logements, qui sont la plupart mieux aménagés que les logements d'avant-guerre. Il est à considérer aussi que même une partie des vieux logements sont plus confortables qu'avant la guerre.

Outre la hausse proprement dite, l'indice des loyers traduit donc un niveau moyen plus élevé des condi- tions de confort.

Ainsi qu'il ressort du nouveau relevé, les loyers n'ont en général que peu varié. Compte tenu du nombre d'habitants des différentes communes prises en considération, le taux moyen des loyers est monté de 1,4 o/o du mois de mai 1930 au mois de mai 1931. C'est la plus faible augmentation enregistrée depuis 1925. L'indice des loyers (juin 1914 = 100) s'établit à 187 contre 185 l'année dernière. Un indice spécial a été calculé _pour les logements construits avant l'année 1917; il est à 178 contre 176 l'an- née dernière.

Dans les quatre villes de plus de 100,000 habi- tants, on constate que les logements ont renchéri de 3,5 o/o (résultat provisoire) à Genève et de 1 o/0

environ à Zurich, Bâle et Berne. Dans la plupart des autres communes, les variations sont également peu importantes; compte tenu du nombre d'habitants de chacune d'elles, la hausse moyenne des loyers est de 1,1 o/o.

Chronique des Associations patronales

A s s o c i a t i o n c a n t o n a l e b e r n o i s e d e s F a b r i c a n t s d ' h o r l o g e r i e .

L'Assemblée générale de cette association se réu- nira le jeudi 16 juillet courant à 141/2 heures, à l'Hôtel Elite à Bienne.

A côté de l'ordre du jour statutaire, comportant le rapport sur l'exercice 1930 avec l'adoption des comptes, l'assemblée entendra un exposé de M. F.- L. Colomb, Directeur de la F. H. sur le problème de la réorganisation et l'entrée en vigueur du nou- veau régime conventionnel.

temps. Il y a des retards pour certaines marchan- dises, retards que les Américains désignent sous le terme de « lag ». Nous ne pouvons nous arrêter à ce phénomène, mais tenons à le relever, car, grâce à lui, la théorie monétaire des crises peut être admise comme juste, même si tous les prix ne montent et descendent pas tous à la fois et dans la même' proportion.

Nous pensons donc qu'il est parfaitement possible que la production de l'or (c'est aujourd'hui le seul métal qui compte encore comme monnaie et plus encore la quantité qu'on en trouve sur le marché peu- vent avoir et ont effectivement une influence sur les prix. Nous admettons même qu'une répartition irra- tionnelle de cet or dans les centres du monde peut troubler dans une mesure notable le marché. On sait que la délégation dite « de l'or » de la Société des Nations s'est attachée à ce problème et qu'une partie tout au moins de cette Commission prévoit que l'ap- provisionnement d'or (s'il ne l'est ! déjà) deviendra insuffisant d'ici quelques années pour permettre à l'économie de progresser à un rythme normal. On a fait remarquer avec raison qu'il suffirait d'augmenter le paiement par chèques pour qu'on ait besoin de moins d'or dans le monde, attendu que les chèques

•sont réglés d'habitude par compensation. Cela n'em- pêche que les époques où la production de l'or s'était ralentie ou ne paraissait pas aller de pair avec l'évolution économique furent des époques ayant le caractère d'une dépression chronique, ainsi les années 1875-1890, 1920-1931.

Les banquse d'émission pourraient aussi provoquer l'inflation monétaire ou le contraire et causer ainsi des fluctuations dans les priij qui auraient à leur tour pour effet des crises ou des périodes de prospérité fictive. L'émission, la politique d'escompte et celle!

cjes devises sont' des instruments très délicats qui |

A s s o c i a t i o n c a n t o n a l e b e r n o i s e d e s b r a n c h e s a n n e x e s d e l ' h o r l o g e r i e .

L'Assemblée générale annuelle de cette association qui avait lieu ordinairement au printemps, a été quel- que peu retardée cette année en raison de la réor- ganisation en cours.

Elle se tiendra à l'Hôtel Elite à Bienne, le ven- dredi 17 juillet courant à 14_i/2 heures, et aura à son ordre du jour, en première ligne, le rapport administratif sur l'exercice 1930 et un exposé sur la situation qui sera faite aux fournisseurs ' par l'adop- tion du nouveau régime conventionnel.

Bureaux de Contrôle

Bureau fédéral des matières d'or et d'argent.

A la suite des examens qui ont eu lieu à l'Ecole polytechnique suisse, à Zurich, du 25 au 27 juin 1931, le Département fédéral des finances a, délivré le diplôme fédéral d'essayeur-juré pour le contrôle des1

matières d'or, d'argent et de platine, à:

MM. Paul, Albert, au Locle, et Borloz, Georges, à Genève.

Informations

Avis.

On est prié de se renseigner avant d'entrer en relations avec:

KACTH PWZVKPP IK.OJCIGW.

— Nous mettons en garde contre

Cari Beninghoven, Vohwinhel (Allepiagne).

Ernst A. Stein, Francfort s/M.

— Nous recherchons un nommé

/ . Leybtschick, dont la dernière adresse connue était Friedrichstrasse 66, Berlin W. 8.

Les personnes qui pourraient nous renseigner nous rendraient service.

L'Information Horlogère Suisse La Chaux-de-Fonds. Rue Leopold Robert 42.

Registre du commerce

Raison sociale.

Enregistrement :

4/7/31. — L. et M. Freuler, soc. n. coll. (Lydia F.-Ammann et Marguerite F., toutes deux de Ola- ris), Ijijouterie, Glaris.

Modifications:

29/6/31. — Adolf Sollberger, fabrication et com- merce d'horlogerie, fournitures, outils, etc. Le siège est transfe'fe de Wiedlisbach à Soleure, Dornacher- strasse 27.

demandent à être maniés par des personnes conscien- tes de leur devoir. Mais nous croyons qu'après les leçons terribles données par une fausse politique monétaire appliquée pendant la guerre (politique d'ail- leurs imposée la plupart du temps par le gouverne- ment), les banques nationales suivent aujourd'hui des principes sains. Dans tous les cas^ on peut dire cela de la Banque Nationale Suisse. Les attaques contre les banques d'émission, notamment de la part des participants de l'argent franc, ne sont donc jfuèrc fondées.

Même la monnaie fiduciaire créée par l'émission de billets de banque contre remise d'effets com- merciaux ne saurait influencer défavorablement le marché, tant que cette émission ne se fait que s u r ' la demande de la vie économique et répond donc à un besoin réel, et tant que les banques d'émission trient rigoureusement le papier qu'on leur présente et ne se laissent pas aller à remplir leur portefeuiUle d'effets dits f inancierSj c'est-àndire de papier repré- sentant des prêts ordinaires à échéance plus ou moins éloignée, mais travestis en effets à trois mois.

Une trop forte émission de billets équivaut d'ail- leurs à une inflation, c'est-à-dire à la création de trop d'argent. Or, la crise, pour autant qu'elle a des causes monétaires, provient du fait qu'il y a eu au contraire trop peu d'argent.

On rencontre donc une masse d'idées fausses,"mal mûres, au sujet de l'influence de la monnaie sur- la vie économique. Cela n'empêche que la quantité d'or dont le monde dispose a certainement une influence sur les prix.

C'est le premier des facteurs énumérés jusqu'ici comme cause des crises qui ait un rôle absolument universel.

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420 L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E N° 53. — 11 juillet 1931

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27/6/31. — Hoçhreutlner et Robert, société anonyme, (siège au Bachel de Pesay, Carouge, succursale à La Chaux-de-Fonds), traitements des cendres d'orfèvres, etc. Le cap. soc. est réduit d e 800,000 à fr. 200,000, le siège transféré à La Chaux-de- ' Fonds. Le Cons, d'adm. est composé d e : Arthur

Robert, de La Chaux-de-Fonds, sign, indiv., Geor- ges Hochreutiner, de Morges, Auguste de Roque- feu ilIe-Pradt, et Henri Macaux, tous deux citoyens français, Alfred Rossier, sign, indiv., des Ta- ..yernes et Rougemont. Fondé de pouvoirs: Louis . Fuhrer et Arthur Tchetter, sign, indiv. Siège: 40,

tue de fa Serre, La Chaux-de-Fonds.

' ' ' . ' : ' • • • ' Radiations:

1/7/31. — R. R. Heusser, Sohn, horlogerie, bijouterie, argenterie, Wetzikon.

6/7/31. — La Compagnie Commerciale (The Corn-

•mvrrtal Company), soc. an., fabrication et com- merce de tous articles d'horlogerie, spécialement boîtes et 'mouvements de montres, NeuchâteL

Concordat.

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113.6/3 113.5/

115

• 170 175 14.5/

121.6/3 12.17/6 12.2/6 12 2'6

119.11/3 115.11/3

13.15/ 13.2 6 13.7 6 12 15/

C o m p t a n t

Paris 4 juillet 6 juillet 7 juillet 8 juillet (Ces prix s'entendent en francs français

par kg. 1000/1000) Nitrate d'argent 210

Argent 290 Or 17.500 Platine 37.000

» iridié 25 o/0 65.250

Iridium 140.000 (en francs

Chlorure de platine Platiriite

Chlorure d'or

210 290 17.500 37.000 65.250 140.000

210 290 17.500 37.000 65.250 140 000 français par gramme).

16,20 18,25 9,25

16,20 18,25 9,25

16,20 18,25 9,25

210 290 17.500 37.000 65.250 140.000

16,20 18,25 9,25 London 4 juillet 6 juillet 7 juillet 8 juillet

(Ces prix s'entendent par once troy (31 gr. 103) 1000/1000).

Or (shill.) Palladium (Lstg.) Platine (shill.)

84'10'/4

31/2-4 160/

84/10V.

372-4 :60.'

84/10"/4

3-7r4 160/

84/10%

33/4-4 160/

(par once standard 925/1000 en pence).

Argent en barres 131V,8 | I39/1 8 | 138/8 I 1 3 % New-York 4 juillet 6 juillet 7 juillet 8 juillet

(Ces prix s'entendent en cents par once de 31 g r ; U 0 3 ) .

Argent en barres — 29»/. I 29«/, I 28B/8

Escompte et change.

Suisse: Taux d'escompte

» » avance s/nantissement 2 % 3°/o

France Gr. Bretagne U. S. A.

Canada Belgique Italie Espagne Portugal Hollande Indes néerl.

Allemagne Dantzig Autriche Hongrie Tchecoslov.

Esthonie Lettonie Lithuanie Russie Suède Norvège Danemark Finlande Pologne Yougoslavie Albanie Grèce Bulgarie Roumanie Turquie Egypte Afrique Sud Australie Argentine Brésil Chili Uruguay Colombie Pérou Equateur Bolivie Venezuela Mexique Philippines Indes brit.

Chine Japon

Parité Esc.

en frases suisses % '

Demande Offre 100

1 1 1 100 100 100 100 100

Frs Liv. st.

Dollar Dollar Belga Lires Pesetas Escudos Florins 100 Guilder 100 Reichsmk.

100 D.Gulden 100 Schilling 100 Pengô 100 Cour.

100 Cour.

100 Lats 100 Lits 100 Tchervon.

100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Cr. sk.

100 Markka 100 Zloty 100 Dinars 100 Francos 100 Drachmes 100 Leva 100 Lei 100 Livres t.

Livres ég.

Liv. st.

Liv. st.

Pesos 100 Milreis 100 Pesos 100 Pesos 100 Pesos 100 Soles pér.

100 Sucres 100 Bolivianos 100 Bolivars 100 Pesos 100 Pesos 100 Roupies 100 Taels 100 Yens

100 1 1 100

2 2 7 17a 20.155

25.22 5.18 5.18 72.06 27.27 100.—

23.29 208.32 208.32 123.45 100.88 72.93 90.64 15.33 139.—

100.—

51.80 2666.- 138.89 138.89 138.89 13.05 58.14 9.12 100.

6.72 3.74 3.10 2278.40 2592.—

25.22 25.22 220.—

62.08 63.—

536.—

504.—

207.50 103.60 189.16 100.—

258.32

•258.—

189.16 258.335.11

27:

57:

n

6 2 7 5 77 7 4 7 6 6-- 8 3 4 37.

6

-IV:

67s 9 9 87,

8

5 6-7

6 8-9

7 7 10

20,175 25,06

5,14 5,135 71,90 26,95 48 50 22,65 207,40 207,—

122,20 100,30 72,35 89,80 15,26 137,37 9 9 , - 51,37 2658,—

138,10 137,95 137,95 12,90 57,65 9,10 6,60 3,70 3,05 244,62 2578,- 2 5 , - 1 9 , - 1 6 1 - 38,—

62.—

301,—

497,—

144,—

101,—

185,- 8 9 , - 250,—

253,50 185,—

151,—

2 5 3 , -

20,30 25,09 5,17 5,16 72,15 27,15 49.50 2 3 , - 207,85 208,20 122,45 100,50 72,65 90,15 15,30 137,97 100,—

51,97 2660,—

138 40 138 20 138 20 13,10 58,—

9,13 6,76 3,80 3,10 245,62 2579,—

25,20 19,40 165,—

42,— ' 6 4 , - 305,—

499,50 1 4 6 , - 103,—

187,—

9 1 , - 252,—

255,50 190,—

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