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Trigonométrie. Essai sur diverses expressions approchées de la circonférence du cercle

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Academic year: 2022

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(1)

Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 4 (1813-1814), p. 360-364

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(2)

360

TRIGONOMÉTRIE.

Éssai

sur

diverses expressions approchées de la circonférence du cercle.

Par M. TH. BARROIS.

EXPRESSIONS

Soient

m et n deux nombres entiers

positifs quelconques ,

et soient

p et P

respectivement

les

périmètres

des

polygones réguliers

de 2mn

côtés inscrit et circonscrit au cercle dont le rayon est

l’unité ,

et dont

conséquemment

la circonférence est 2 ; on aura évidemment.

En second lieu , les

équations

des deux cônes C , C’’ étant

respectivement

en les

multipliant

en croix et extrayant la racine

quarrée

de

l’équation-produit ,

l’é-

quation

résultante du premier

degré,

ayant lieu en mcme temps que ces deux-là ,

sera celle d’un

plan

contenant les droites suivant

lesquelles

ces deux cônes se coupent ;

or cette

équation

est

c’est-à-dire la

première

des

équations

(II).

(3)

Mais on sait

"que,

x étant un arc

quelconque ,

on a

D’où

En faisant dans cette formule

x=03C9 ,

elle deviendra

n

valeur

qui,

substituée dans celles de p et

P,

les

change

en celles-ci

(4)

Et tels sont les

périmètres

des

deux polygones

dont il

s’agit ;

on

volt que leurs

expressions

ne diffèrent que par le facteur

Cos. 2m.n qui

n’est

qu’à

la

première puissance

dans le dénominateur de la pre-

mière,

tandis

qu’il

se trouve au

quarré

dans le dénominateur de la seconde.

On a évidemment

2&#x3E;p

et

wP ;

on aura donc aussi

Voila donc deux limites de la valeur du

nombre ;

limites d’autant

plus resserrées,

toutes choses

égales d’ailleurs ,

que m sera

plus grand.

En

prenant

l’une ou l’autre pour valeur

approchée de ,

la limite de l’erreur sera

(5)

le nombre des facteurs du dénominateur devant être

infini ,

et con-

séquemment

le dernier étant l’unité.

On sait que, x étant un arc

quelconque ,

on a

d’où.

il résulte,

pour

l’équation (5) ,

cette autre forme

Ainsi ,

toutes les fois que n sera l’un des nombres dans

lesquels

la circonférence

peut

être

géométriquement divisée , c’est-à-dire,

quelqu’un

des nombres de la

suite 2 , 3 , 5 ,

I7 ,

257 ,

...., l’ex-

pression

de sera entièrement

algébrique.

Si

par

exemple,

on suppose n=2, d’où

Sin. n n=Sin. n 2

= I , et Cos. n n =Cos. n 2 =o , il

viendra

(6)

Si , ensuite ,

on suppose

n=3 ,

d’où

Sin. - =Sin.n 3 = I 2 3 ,

et

Cos. -

= os.

-

=

i 2 ,

il viendra

et ainsi de suite.

Ces diverses

expressions

semblent propres à mettre en évidence l’incommensurabxlité du nombre et de toutes les

puissances

de

ce nombre.

PHILOSOPHIE MATHÉMATIQUE.

Sur la thèorie des imaginaires.

Extrait d’une lettre adressée

au

Rédacteur des Annales ;

Par M. J. F. FRANÇAIS , professeur à l’école de l’artillerie

et du

génie.

JE

vous

remercie, Monsieur,

de la

réponse

que vous avez faite à

l’objection principale

de M.

Servois ,

contre la

nouvelle

théorie

des

Références

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