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Idem dans le demi-plan inf´erieur

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

RAPPELS

PRINCIPE DU PROLONGEMENT ANALYTIQUE :

f et g holomorphes dans Ω connexe par arc U ⊂ Ω ouvert, alors

f = g dans U ⇒ f ≡ g dans Ω.

D´ERIVATION SOUS LE SIGNE SOMME F(w) =

Z

Af(x, w)dx F est holomorphe si :

i) f est holomorphe en w pour tout x, ii) hypoth`eses.

Voir le th´eor`eme 2.2.16 page 48

(2)

z 7→ F(z) d´efinie dans le demi-plan sup´erieur ferm´e

γ˜r demi-cercle de rayon r.

LEMME – Si zF(z) −→ 0 pour z → ∞

Z

γ˜r F(z)dz −→ 0 pour r → ∞ Idem dans le demi-plan inf´erieur.

LEMME – Si F(z) −→ 0 pour z → ∞ et a > 0

Z

γ˜r F(z)eiazdz −→ 0 pour r → ∞ Idem si a < 0 et demi-plan inf´erieur.

(3)

TH. — f holomorphe dans Ω.

On suppose que f y poss`ede une primitive F.

γ chemin C1 par morceaux : [a, b] −→ Ω, z0 = γ(a), z1 = γ(b). Alors,

Z

γ f(z)dz = F(z1) − F(z0).

En particulier Rγ f(z)dz = 0 si γ est ferm´e.

COR. — 1/z n’a pas de primitive dans C \ {0}.

(4)

TH.

1. f holomorphe dans le disque {z, |z − z0| < R}.

Alors f y poss`ede une primitive.

2. f holomorphe dans le disque point´e {z, 0 < |z − z0| < R}.

Alors f y poss`ede une primitive si et seule- ment si

Res(f;z0) = 0

(5)

D´etermination du logarithme dans un plan coup´e

D : demi-droite ferm´ee issue de l’origine;

Ω = C \ D.

Soit α ∈ R t.q. e D (un argument des points de D).

On note a(z) =l’unique argument de z ∈ Ω appartenant `a ]α, α + 2π[.

Pour z ∈ Ω posons l(z) = log |z| + ia(z).

Alors,

– La fonction l est holomorphe dans Ω – ∀z ∈ Ω , el(z) = z , l0(z) = 1/z.

(6)

Rappels – A ∈ Rn, dx mesure de Lebesgue L2(A) = espace (des classes) de fonctions de carr´e sommable sur A.

(deux fonctions ´egales p.p. d´efinissent le mˆeme ´el´ement)

– Muni du produit scalaire (f|g) = RA f(x)g(x)dx et donc de la norme kfk = qRA |f(x)|2dx,

c’est un espace de Hilbert.

(7)

Base hilbertienne : suite (ej), j = 1,2, . . . qui est un syst`eme total et orthonormal.

TH. – Tout f ∈ H a une d´ecomposition unique

f = X

j

cj(f)ej, cj(f) ∈ C, erie CVG dans H

cj(f) = (ej|f), kfk2 = X

j

|cj(f)|2

– R´eciproquement, si P

jj|2 < ∞, la s´erie S = P

j γjej converge dans H et cj(S) = γj.

(8)

Espace L2T des fonctions T-p´eriodiques de carr´e sommable sur tout intervalle.

Produit scalaire : (f|g) = T1 Raa+T f(t)g(t)dt (ne d´epend pas du choix de a).

TH. – Les fonctions ek(t) = eikωt, k ∈ Z, ω = 2π/T

forment une base hilbertienne de L2T (ou de L2([0, T]), ou de L2([a, a + T])).

(9)

TH. – ∀f ∈ L2T, f(t)L=2 P

k ckeikωt

CVG dans L2 sur tout intervalle born´e ck = 1

T

Z a+T

a e−ikωtf(t)dt 1

T

Z a+T

a |f(t)|2dt = X

k

|ck|2

Idem si f ∈ L2([a, a + T]), avec CVG dans L2([a, a + T]).

REM. – La notation L=2 signifie ´egalit´e presque partout et convergence de la s´erie dans L2.

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