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Relations entre la dimension des grains et les propriétés magnétiques des amalgames du fer et du cobalt

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HAL Id: jpa-00236033

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236033

Submitted on 1 Jan 1959

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Relations entre la dimension des grains et les propriétés magnétiques des amalgames du fer et du cobalt

W. Henning, E. Vogt

To cite this version:

W. Henning, E. Vogt. Relations entre la dimension des grains et les propriétés magné- tiques des amalgames du fer et du cobalt. J. Phys. Radium, 1959, 20 (2-3), pp.277-281.

�10.1051/jphysrad:01959002002-3027700�. �jpa-00236033�

(2)

277

RELATIONS ENTRE LA DIMENSION DES GRAINS

ET LES PROPRIÉTÉS MAGNÉTIQUES DES AMALGAMES DU FER ET DU COBALT Par W. HENNING et E. VOGT,

Institut de Physique de l’Université de Marburg, Allemagne.

Résumé.

2014

En appliquant la théorie de Langevin à l’état superparamagnétique, on trouve

que la pente initiale des courbes I

=

f(T/H) dépend seulement du nombre total des grains, et non

de leur distribution de volume ou de la température. Mais par des mesures sur un amalgame de

fer à l’état frais nous avons trouvé un abaissement d’env. 20 % pour l’aimantation à saturation

extrapolée des courbes I

=

f(T/H), quand la température s’élève de 81° à 293 °K. Il paraît dû à

l’effet Klein-Smith. En mesurant l’aimantation rémanente en fonction de la température pour un

amalgame de Co dans des états de vieillissement différents, nous avons déduit les fonctions de distribution du volume des grains selon la méthode de Weil et Gruner. La pente initiale des courbes I

=

f(T/H) permet de déduire la valeur moyenne v du volume des grains ; la susceptibilité initiale

donne la valeur moyenne du carré v2. Les conséquences de ces relations pour la fonction de distri- bution du volume des grains sont discutées et comparées avec les résultats de la méthode de réma-

nence.

Abstract.

2014

Applying Langevin’s theory to the superparamagnetic state one finds that the initial slope of the I = f(T/H) curves depends only on the total number of particles, and neither

on distribution of their volumes nor on the temperature. Measurements made on a freshly prepared Fe-amalgam show a decrease of saturation magnetization of about 20 % between 81°

and 293 °K, which seems to be caused by the Klein-Smith effect. From the temperature depen-

dence of remanence the distribution function of particle size for a Co-amalgam in different states of aging is deduced by the method of Weil and Gruner. The mean value u of the particle volume

can be calculated from the initial slope of I

=

f(T/H) curves, and the square mean value v2

from the initial susceptibility. The consequences of particle size on the distribution function

are discussed and compared with the results of the remanence method.

PHYSIQUE 20, FÉVRIER-MARS 1959,

Les solutions colloïdales de fer et de cobalt dans le mercure permettent d’étudier le passage de

grains fins de l’état ferromagnétique à l’état quasi- paramagnétique comme Néel l’a décrit dans sa théorie des fluctuations thermiques [1].

Dans l’amalgame fraîchement préparé, la plu- part des grains sont si petits que le temps de relaxa-

tion des renversements magnétiques est très petit

vis-à-vis de la durée des mesures. Dans ce cas,

l’amalgame a un faible champ coercitif. Quand on

l’a chauffé pendant quelques heures à des tempé-

ratures voisines de 100°C son champ coercitif augmente jusqu’à près de 1 000 Oe. On peut inter-

rompre ce vieillissement pour stabiliser un état intermédiaire de la dimension des grains que l’on

peut étudier dans la zone de temperatures au- dessous de 300 op. [2].

Pendant les dernières années des méthodes diffé- rentes s’appuyant sur la théorie de Néel ont été décrites pour trouver la fonction de distribution de volume des grains (ou au moins une valeur moyenne du volume) à l’aide d’expériences magnétiques.

Dans ces méthodes de « granulométrie magné- tique » on suppose que l’aimantation spontanée

de chaque grain est donnée à chaque température

par l’aimantation spontanée du métal compact.

Mais la théorie de Klein et Smith [3] affirme que dans des couches minces l’aimantation spontanée

tombe plus rapidement quand la température s’élève, et que par conséquent, le point de Curie

s’abaisse si l’épaisseur de couche décroît. Ceci est

vérifié par beaucoup d’expériences. A cause des petites dimensions des grains on peut supposer que cet effet se produit aussi dans les amalgames frais

et qu’il s’ajoute au résultat des fluctuations ther-

miques de la téhorie de Néel. Nos mesures avec

des champs assez grand semblent l’avoir vérifié pour l’amalgame de fer. Tandis que dans l’état vieilli les courbes d’aimantation à 81 OK et 293 OK sont les mêmes, ces courbes sont très écartées pour

l’amalgame frais (fig. 1) [4]. Il en résulte un abais-

serment considérable de l’aimantation à saturation

quand la température s’élève.

Or, c’est vrai, on ne sait pas si les points mesurés

ont déjà la pente définitive pour extrapoler par

une droite jusqu’à la saturation. Mais, en ce qui

concerne la pente initiale des courbes I en fonc- tion de 1JH on peut déduire quelques relations théoriques si tous les grains sont quasi-paramagné- tiques. Pour les amalgames frais, cette hypothèse

est une approximation suffisante. En ce cas, on

peut appliquer la théorie de Langevin, qui mène à l’expression suivante :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01959002002-3027700

(3)

278

I, est l’aimantation spontanée d’un grain et Ni, le

nombre des grains de volume vi. L’équation (1)

est exacte, si kT est beaucoup plus petit que

lJi,IsH pour tous les grains qui donnent une contri-

Fie. 1.

-

Aimantation I en fonction de 1/H.

Amalgame de fer (1,14 % Fe).

bution appréciable à I. Appelons y la fraction de volume que le fer remplit dans l’amalgame ; il en

résulte :

N est le nombre de grains dans un centimètre

cube de l’amalgame. On a encore :

où y7s est l’aimantation à saturation de l’amal- game. Si l’on porte I en fonction de T/H, la pente dépend seulement du nombre total des grains,

mais ni de leur distribution de volume ni de la

température. Par conséquent il faut extrapoler

avec la même pente pour les trois températures

de mesure dans la figure 2. Cette constatation exclut que les courbes à 2000 et 293 OK se dirigent

vers le haut pour des champs encore plus grands,

comme Bean et Jacobs [5] l’ont supposé.

Pour l’amalgame de cobalt, les points de mesure

en fonction de T/H sont placés près d’une seule courbe, qui peut être extrapolée sans contrainte

FiG. 2.

-

Aimantation I en fonction de 1/H.

vers la saturation du métal compacte. Au contraire les courbes pour Co en fonction de 1/H sont diffé-

rentes. Donc il parait que l’effet de, Klein-Smith a

très peu d’importance dans le cas de l’arnalgame

de Co étudié. Pour l’arnalgame de fer étudié,

l’abaissement de la saturation est de 20 % environ comparé au fer compact. Ceci correspond à peu près

à la communication de Luborsky [6], dont les

recherches ne portent pourtant que sur la tempé-

rature ambiante.

FIG. 3.

-

Variation de l’aimantation rémanente

en fonction du vieillissement.

Pour trouver la fonction de distribution des dia- mètres des grains, L. Weil et Mile I,. Gruner ont

décrit une méthode très élégante à partir d’une

mesure de l’aimantation rémanente [7]. Malheu-

reusement, nous ne pouvions pas descendre au-

dessous de 80 OK (fig. 3), et pour cette raison la

(4)

fonction de distribution est déterminée seulement dans un intervalle étroit. Mais la figure 4 montre clairement l’accroissement dû nombre des grands

grains au dépens de celui des petits pendant le

vieillissement [4]. Des résultats semblables sont trouvés pour les amalgames de fer. Dans la figure 4,

Fie. 4.

--r

Distributions des dimensions des grains, déterminées à partir de l’aimantation rémanente.

des fonctions de distribution w(a) sont portées

en fonction de l’arête des grains supposés en forme

de cube. Cela veut dire :

6)(a) da

=

A £2, (5)

où AQ est la fraction de volume du cobalt, dont

l’arête est comprise entre a et a + Aa.

Pour l’état frais il y a encore deux autres quan- tités mesurables au moyen desquelles on peut déter-

miner certaines valeurs moyennes du volume des

grains. Ce sont la pente de la courbe de satura-

tion 1 = f(T/H), dont nous avons parlé, et la susceptibilité initiale xo

=

IIH. Dans l’exposé pré- liminaire, nous avons déduit une distribution de Gauss au moyen de la susceptibilité initiale ; mais le

calcul de cette courbe contient des erreurs qu’il

faut corriger. Un de mes collaborateurs, M. Hahn,

a fait les réflexions suivantes au sujet des déduc-

tions que l’on peut faire à l’aide de xo et des

mesures de l’approche à la saturation, concernant

la fonction de distribution.

En exprimant xo par la formule approximative

de la théorie de Langevin :

il s’ensuit :

C’est juste quand l’effet de Klein-Smith est

négligé. En combinaison avec l’équation (2) il en

résulte :

xo fournit donc la moyenne v2; v de la fonction de distribution. En combinant (8) avec (4), on trouve

En mettant dans le premier membre de cette équation les valeurs mesurées pour nos amalgames frais, on obtient :

4

Il s’agit maintenant de trouver une fonction de distribution satisfaisant à la fois aux équations (8)

et (10). La figure 5 représente une comparaison de

différentes fonctions avec le résultat de la méthode de rémanence. On porte en abscisse une coordonnée

réduite :

Ceci permet de représenter les résultats obtenus

(5)

280

pour le fer et le cobalt dans une seule figure.

L’ordonnée est définie de façon analogue à (5) par :

FIG. 5.

-

Différentes fonctions de distribution des diamètres des grains w(x).

La distribution de Gauss w3(X) fournit pour p la valeur 5,9 ; c’est trop grand pour Fe. Par contre

ces exigences sont satisfaites par les fonctions cul et Ù)2. Assurément on pourra trouver encore d’autres fonctions qui rendraient le même service.

Mais si l’on insiste pour qu’il s’agisse de fonctions

avec un maximum seulement, elles ne devraient

pas différer beaucoup de celles-ci. Par contre, il y aurait beaucoup de possibilités en admettant

deux maxima.

Il ne faut pas attribuer trop d’importance à ce

que la queue de la courbe de distribution déduite des valeurs de rémanence se trouve placée un peu au-dessus des fonctions calculées. Car en calculant les arêtes a au moyen de la méthode de rémanence,

la formule théorique de Néel pour le temps de

relaxation a été utilisée. Pour faire ceci, il a fallu

supposer une valeur pour le champ critique déter-

minant le seuil de potentiel pour les renversements

magnétiques thermiques. Nous avons mis la valeur moyenne de 1 000 Oe pour le fer et 1 300 Oe pour le cobalt. Des valeurs plus élevées déplaceraient

les points vers la gauche.

La distribution de l’espace des grains dans le

volume des amalgames n’est point régulière ; ils

forment plutôt des agglomérats secondaires ou

même une structure gélatineuse. Il faut dire que les amalgames ont une viscosité très importante,

surtout à l’état frais. Le contenu en fer est retenu par un filtre vitreux, dont les pores ont un dia- mètre d’un micron. Mais les qualités magnétiques

ne sont compréhensibles que si les particules pri-

maires à peu près sphériques dans les agglomérats

secondaires sont séparées par plusieurs couches

d’atomes de mercure. Cette opinion est d’ailleurs

celle de Luborsky [8] telle qu’il J’exprime dans une

étude très intéressante sur la cinétique de la crois-

sance des grains. Cette structure secondaire se res- sent très fort, quand on examine (par des mesures

des courbes de l’aimantation anhystérétique dans

des champs alternatifs décroissants) le coefficient du champ démagnétisant interne Ni des amal-

games. Forrer et d’autres auteurs [9] ont trouvé,

par un grand nombre d’expériences ayant des

résultats presque identiques, un rapport empi- rique entre Ni et ce qu’on appelle « densité ferro- magnétique » a ; c’est la fraction ferromagnétique

du volume total, c’est-à-dire notre quantité y, à condition que le montant total du fer suspendu est ferromagnétique.

TABLEAU 1

Le tableau 1 contient, pour différents états de vieillissement et pour différentes tempéra- tures, la susceptibilité ordinaire mesurée dans un

champ continu (xG) et la susceptibilité anhystéré- tique (xid). Seule ’la différence entre ces deux valeurs est due aux grains ferromagnétiques. La

valeur inverse de cette différence fournit le coeffi- cient du champ démagnétisant interne Ni, qui nous

a permis de déduire la densité ferromagnétique a.

La dernière colonne du tableau contient la fraction de volume des grains ferromagnétiques déterminée

par la méthode de rémanence et la concentration y.

En comparant ces valeurs aux oc de la colonne pré-

cédente on constate des différences énormes. Nous pensons donc que ces valeurs oc, déduites de nos expériences, représentent la densité ferromagné- tique moyenne des agglomérats secondaires.

Le temps à notre disposition ne permet pas d’entrer dans des détails sur les changements de

ces valeurs en fonction du vieillissement et de la

température, ni sur d’autres recherches concernant

les amalgames.

(6)

BIBLIOGRAPHIE [1] NÉEL (L.), Ann. Géophys., 1949, 5, 99.

[2] MAYER (A.) et VOGT (E.), Z. Naturforschg., 1952, 7a,

334.

[3] KLEIN (M.) et SMITH (R.), Phys. Rev., 1951, 81, 378.

[4] HENNING (W.) et VOGT (E.), Z. Naturforschg., 1957, 12a, 754.

[5] BEAN (C. P.) et JACOBS (J. S.), J. Appl. Phys., 1956, 27, 1448.

[6] LUBORSKY (T. F.), J. Appl. Physics, 1958, 29, 309.

[7] WEIL (L.) et GRUNER (L.), C. R. Acad. Sc., 1956, 243,

1629.

[8] LUBORSKY (F.), J. Phys. Chem., 1957, 61, 1336.

[9] FORRER (R.), BAFFIE (R.) et FOURNIER (P.), J. Phy- sique Rad., 1944, 5, 71. KRANZ (J.), Beiträge zur

Theorie des Ferromagnetismus und der Magneti- sierungkurve (éditeur : W. Kôster), Springer,1956, p.180.

DISCUSSION

Mr. Jacobs.

-

1 would suggest that one should be careful in using a 1/H plot for the approach to

saturation of thermally stable ferromagnetic par-

ticles, in dilute amalgams.

1) One obtains too high a value with this. 1 believe it would be better to use a 1/H2 plot for

this.

2) Some of Pr. Vogt’s analytical work is quite

similar to work on the distribution functions of the sizes, performed ’hy Dr. J. W. Cahn and

published as a comment in the metall. J. Trans.

AIME, 1957, vol. 209.

M. Vogt.

-

Nous avons supposé que la petite

fraction des grains ferromagnétiques dans l’amal- game frais est à peu près saturée dans les champs

les plus hauts que nous avons appliqués. De cela,

il ne résulterait qu’une diminution de la pente ini-

tiale des courbes I (I/H). Mais nous poursuivrons

la première remarque du Dr Jacobs.

M. Weil.

-

Croyez-vous vraiment que la satu- ration magnétique varie de façon appréciable avec

la température ?

M. Vogt.

-

Nous le croyons pour l’amalgame

frais de fer, mais non pour l’amalgame de cobalt

que nous avons étudié.

M. Van .ReLjen.

-

Pour la granulométrie des particules ferromagnétiques très fines il faut con-

naître l’aimantation à saturation de ces particules.

On pourrait utiliser les valeurs théoriques données

par Klein et Smith. Or, ces valeurs ont été dérivées’

pour des films minces, ayant des dimensions très

grandes en deux directions. Le Pr Vogt croit-il

que çes valeurs sont applicables au cas de particules fines, ayant de petites dimensions en trois direc- tions ?

M. Vogt.

-

Il est très difficile de traduire la théorie de Klein et Smith sur les grains, petits

en trois dimensions, dans une forme quantitative.

Mais nous croyons que l’effet s’y’présente aussi.

Mr. Bates.

-

You have not described the method of preparation of your amalgams. Have you work- ed with amalgams of nickel which only become ferromagnetic when they are heated above 250°C?

M. Vogt.

-

Nos amalgames sont préparés par la réaction d’un amalgame de Na avec une solu-

tion aqueuse de FeS04 ou CoS04. Nous avons

étudié les courbes d’aimantation des amalgames ferromagnétiques de nickel qui, selon une commu-

nication du Pr Bates, étaient trempés d’une tempé-

rature au-dessus de 250 °C dans l’air liquide. Les

résultats seront publiés bientôt par W. Henning

dans la Ztschr. f. Natur f orschung.

M. Vonsovskij.

-

Je veux remarquer que la condition de la disparition de l’aimantation spon- tanée dans les petites particules peut être obtenue

à partir de considérations générales, basées sur la

relation d’incertitude d’Heisenberg. Soit

N

Ax les

dimensions les plus petites de la particule. Alor’s

le porteur atomique du moment magnétique (élec-

tron de masse effective m*) possèdera une impul-

sion quantique « supplémentaire » due à sa locali-

sation dans le,volume de la particule, donnée par la formule Ap - AlAx. Soit l’énergie supplémentaire

As h2/m* (AX)2. Si Ae j A6f (0f point de Curie)

on a un « échauffement )) quantique de la particule, qui supprime le ferromagnétisme. Ceci, je pense a

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