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equation diff´ erentielle scalaire d’ordre 1 par la m´ ethode d’Euler

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Academic year: 2022

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Texte intégral

(1)

Lyc´ee Benjamin Franklin PT−2012-2013

D. Blotti`ere Maple

TP n˚5

Solutions approch´ ees d’une

´

equation diff´ erentielle scalaire d’ordre 1 par la m´ ethode d’Euler

Table des mati` eres

1 Biblioth`eques 2

2 Champ des vecteurs tangents et courbes int´egrales d’une EDS1 2

2.1 La th´eorie g´en´erale et un exemple de r´ef´erence . . . 2

2.2 Etude d’une ´equation diff´erentielle `´ a champ de vecteurs tangents radial . . . 4

2.3 Etude d’une ´equation diff´erentielle de Riccati . . . .´ 6

3 M´ethode d’Euler pour r´esoudre une EDS1 7 3.1 La m´ethode d’Euler : but et id´ee initiale . . . 7

3.2 Le principe de la m´ethode d’Euler . . . 7

3.3 Un exemple d’application de la m´ethode d’Euler`a la main . . . 9

3.4 Proc´edure Maple . . . 11

(2)

1 Biblioth` eques

Dans ce TP, nous allons ´etudier des ´equations diff´erentielles et afficher des graphiques (des courbes par exemples).

Pour pouvoir utiliser les fonctions Maple ayant trait aux ´equations diff´erentielles, on charge la biblioth`eque DEtoolsen saisissant la ligne suivante.

with(DEtools) ;

Les fonctions Maple g´erant l’interface graphique sont rassembl´ees dans la biblioth`equeplots. Pour la charger, on saisit la ligne suivante.

with(plots) ;

2 Champ des vecteurs tangents et courbes int´ egrales d’une EDS1

2.1 La th´ eorie g´ en´ erale et un exemple de r´ ef´ erence

D´efinition (L’´equation diff´erentielle scalaire(E))

Soit I un intervalle de R et soit f: I×R → R une fonction de classe C1 sur I×R. On consid`ere l’EDS1 ( ´Equation Diff´erentielle Scalaire d’ordre 1)

(E) : x =f(t, x)

d’inconnue une fonction xde la variable t, `a valeurs dans R, d´efinie et d´erivable sur un sous-intervalleJ de I.

Exemple de r´ef´erence L’´equation diff´erentielle

(E1) : x=−2t x

est une EDS1. C’est une EDS1 d’un type particulier, car elle est lin´eaire et homog`ene.

D´efinition (Champ des vecteurs tangents de (E))

On noteE l’ensemble des vecteurs du plan. Le champ des vecteurs tangents de(E)peut ˆetre d´efini comme ´etant l’application

X: I×R→ E; (t, y)7→−→

u(1, f(t, y)) Exemple de r´ef´erence (suite)

Le champ des vecteurs tangents de (E1) peut ˆetre d´efini comme ´etant l’application X1:R2→ E; (t, y)7→−→

u(1,−2ty)

Pour repr´esenter ce champ de vecteurs, on repr´esente en chaque point de coordonn´eesM(t, y) du plan le vecteur

→u(1,−2ty) en prenant comme origine le point M.

Pour visualiser ce champ de vecteurs, on peut saisir les lignes de commandes suivantes.

X1 := dfieldplot(diff(x(t),t)=-2*t*x(t),x(t),t=-3..3,x=-20..20,color=blue) ; display(X1) ;

Dans la premi`ere ligne, on construit une partie du champ des vecteurs tangents de (E1) et on l’affecte dans la variableX1. La seconde ligne permet d’obtenir l’affichage deX1.

On observe que l’on n’obtient pas exactement l’affichage du champ des vecteurs tangents, pour deux raisons.

1. On n’a pas associ´e `a tous les points de la fenˆetre graphique [−3,3]×[−20,20] son vecteur. Seuls certains vecteurs tangents ont ´et´e affich´es (ceci pour ne pas surcharger la figure).

2. Tous les vecteurs trac´es ont la mˆeme norme. En fait, on a renormalis´e les vecteurs tangents pour qu’ils aient la mˆeme norme (ceci permet d’avoir une figure plus lisible).

Ces modifications n’affectent en rien l’int´erˆet que l’on peut porter `a cette derni`ere figure (cf. th´eor`eme suivant).

(3)

Th´eor`eme (Propri´et´e fondamentale du champ des vecteurs tangents)

Les courbes int´egrales de(E)(i.e. les courbes repr´esentatives des solutions de (E)) ´epousent le champ de vecteurs X.

D´emonstration

En effet, consid´erons une solutionxde (E) d´efinie sur un intervalleJ. Soitt∈J. Alors le pointM d’abscisset de la courbe repr´esentativeC dexa pour coordonn´ees

(t, x(t)).

Au pointM, la tangenteTM `a la courbeC a pour coefficient directeur

x(t) =f(t, x(t)) (carxest une solution de (E) surJ) ce qui peut aussi se reformuler en disant que la droiteTM est dirig´ee par le vecteur

→u(1, f(t, x(t))) qui est un des vecteurs du champX (le vecteur associ´e `a (t, x(t))).

Corollaire (Conjecture de l’allure des courbes int´egrale `a l’aide du champ des vecteurs tangents) Comme les courbes int´egrales de(E)´epousent le champ de vecteursX, on peut `a l’aide de la repr´esentation graphique deX conjecturer l’allure des courbes int´egrales de(E).

Exercice 1

En utilisant le graphique de X1 obtenu pr´ec´edemment grˆace `a Maple, conjecturer l’allure de quatre courbes int´egrales de (E1).

5 10 15 20

5

10

15

20

1 2 3

1

2

3

(4)

Exemple de r´ef´erence (suite)

On va maintenant tracer une famille de courbes int´egrales de (E1) sur le champX1, afin de v´erifier les conjec- tures ´emises dans l’exercice 1.

1. R´esolution de l’´equation diff´erentielle (E1)

On affecte dans la variableSolutions1laforme g´en´erale d’une solution de (E1) en saisissant la ligne suivante.

Solutions1 := dsolve(diff(x(t),t)=-2*t*x(t)) ;

Le symbole_C1qui apparaˆıt d´esigne une constante r´eelle quelconque. On en d´eduit que l’ensemble solution de (E1) surRest la droite vectorielle deF(R,R) engendr´ee par la fonction

R→R; t7→et2.

Ce r´esultat aurait bien sˆur pu ˆetre obtenu sans Maple, en r´esolvant`a la main l’´equation (E1) surR.

En effet, (E1) est une ´equation diff´erentielle lin´eaire homog`ene d’ordre 1 et on sait r´esoudre explicitement de telles ´equations, `a condition de savoir d´eterminer une certaine primitive (ici il s’agit de d´eterminer une primitive de la fonction R→R; t 7→2tet la fonctionR→R; t 7→t2 convient).

On peut pr´elever le membre de droite (right hand side en anglais) du r´esultat affect´e dans la variable Solutions1grˆace `a la commanderhsde Maple, en saisissant la ligne suivante.

rhs(Solutions1) ;

2. Construction d’une liste de courbes int´egrales (E1)

On construit la liste des courbes repr´esentatives des solutions de (E1) yK:R→R; t7→K et2

au-dessus de l’intervalle [−3,3] (cf. choix de la fenˆetre graphique pour tracer le champ de vecteurs X1) pour K ∈J−20,20Ken saisissant les lignes suivantes. Dans le code, la constante r´eelleK est remplac´ee par_C1(cf. forme g´en´erale d’une solution de (E1) retourn´ee par Maple).

L1:= NULL ; # Initialisation de la liste L1 `a la liste vide not´ee NULL for _C1 from -20 to 20 by 1 do

L1 := L1 , plot( rhs(Solutions1) , t=-3..3 , color=red ) ; od:

3. Trac´es

Enfin, on trace le champ de vecteurs X1 ainsi que la famille de courbes int´egrales construite en 2., en saisissant la ligne suivante.

display( X1 , L1 ) ;

Exercice 2

A l’aide du pr´ec´edent graphique, discuter de la validit´e des quatre allures de courbes int´egrales repr´esent´ees` dans l’exercice 1.

2.2 Etude d’une ´ ´ equation diff´ erentielle ` a champ de vecteurs tangents radial

On se propose ici d’adapter l’´etude faite dans l’exemple de r´ef´erence dans d’autres situations.

Exercice 3

On consid`ere l’´equation diff´erentielle

(E2) : x= 1 tx d’inconnue une fonction d´erivablex: ]0,+∞[→Rde la variablet.

(5)

1. D´efinir une variableChamp2dans laquelle on affectera le champ des vecteurs tangents de (E2). On choisira comme fenˆetre graphique [0.01,3]×[−7,7].

2. Afficher le champ de vecteursChamp2.

3. `A l’aide du graphique pr´ec´edent, conjecturer l’allure de quatre courbes int´egrales de (E2).

2 4 6 8

−2

4

−6

8

1 2 3

4. Affecter dans la variable Solutions2la forme g´en´erale d’une solution de (E2).

5. Traduire math´ematiquement le r´esultat livr´e par Maple `a la question pr´ec´edente et le d´emontrer.

6. Construire une liste L2de courbes repr´esentatives des solutions de (E2) au-dessus de l’intervalle [0.01,3]

(cf. choix de la fenˆetre graphique pour tracer le champ de vecteurs X2).On fera en sorte que la liste L2 soit pertinente.

7. Afficher sur la mˆeme figure le champ de vecteursChamp2ainsi que la liste de courbes int´egrales construite en 5.

8. Discuter de la validit´e des quatre allures de courbes int´egrales repr´esent´ees `a la question 3.

(6)

2.3 Etude d’une ´ ´ equation diff´ erentielle de Riccati

Exercice 4

On consid`ere l’´equation diff´erentielle

(E3) : x =−4 t2 −1

tx+x2 d’inconnue une fonction d´erivablex: ]0,+∞[→Rde la variablet.

1. D´efinir une variableChamp3dans laquelle on affectera le champ des vecteurs tangents de (E3). On choisira comme fenˆetre graphique [0.01,3]×[−20,20].

2. Afficher le champ de vecteursChamp3.

3. `A l’aide du graphique pr´ec´edent, conjecturer l’allure de quatre courbes int´egrales de (E3).

2 4 6 8 10 12 14 16 18

2

4

6

8

10

12

14

16

18

20

1 2 3

4. Affecter dans la variable Solutions3la forme g´en´erale d’une solution de (E3).

(7)

5. Construire une liste L3de courbes repr´esentatives des solutions de (E3) au-dessus de l’intervalle [0.01,3]

(cf. choix de la fenˆetre graphique pour tracer le champ de vecteurs X3).On fera en sorte que la liste L3 soit pertinente.

6. Afficher sur la mˆeme figure le champ de vecteursChamp3ainsi que la liste de courbes int´egrales construite en 5.

7. Discuter de la validit´e des quatre allures de courbes int´egrales repr´esent´ees `a la question 3.

3 M´ ethode d’Euler pour r´ esoudre une EDS1

3.1 La m´ ethode d’Euler : but et id´ ee initiale

But de la m´ethode d’Euler

On consid`ere `a nouveau l’´equation diff´erentielle scalaire d’ordre 1 (E) : x =f(t, x)

d´efinie dans la partie 2.1. La m´ethode d’Euler a pour but de construire des solutions approch´ees de (E).

Deux observations cl´e

Soitxune solution de (E) d´efinie sur un sous-intervalleJ deI. On fait les deux observations suivantes.

1. On note C la courbe repr´esentative de x. Alors en tout point t ∈ J, la tangente TM au point M de C d’abscisset(qui a donc comme coordonn´ees (t, x(t))) fournit une bonne approximation locale de la courbe C.

2. La tangente TM est la droite passant par le pointM(t, x(t)) et de coefficient directeurx(t) =f(t, x(t)), cette derni`ere ´egalit´e venant du fait que xest solution de (E).

Des deux observations pr´ec´edentes, on d´eduit la remarque fondamentale suivante.

Remarque fondamentale `a l’origine de la m´ethode d’Euler

Si la courbe repr´esentativeCde xpasse par le point de coordonn´ees(t, y), alors une bonne approximation locale de C est donn´ee par la droite

passant par le point de coordonn´ees(t, y); de coefficient directeurf(t, y).

Il y a un lien tr`es t´enu entre cette remarque et la propri´et´e fondamentale du champ des vecteurs tangents de (E). Il s’agit en fait d’une reformulation (vecteurs directeurs versus coefficient directeur d’une droite).

3.2 Le principe de la m´ ethode d’Euler

Donn´ees initiales de la m´ethode d’Euler

On consid`ere `a nouveau l’´equation diff´erentielle scalaire d’ordre 1 (E) : x =f(t, x) d´efinie dans la partie 2.1. ainsi que les trois donn´ees suivantes :

• un pointt0 deI (temps initial) ;

• un nombre r´eelx0 (valeur au temps initial) ;

• un nombre r´eel strictement positifT (dur´ee de vie) tel quet0+T ∈I;

• N un entier naturel non nul (nombre de pas).

Hypoth`ese additionnelle (probl`eme d’existence)

On sait que si la solutionxde (E) sur [t0, t0+T] telle quex(t0) =x0existe, alors elle est unique (th´eor`eme de Cauchy-Lipschitz). En revanche, il n’est pas certain que la solutionxexiste sur l’intervalle [t0, t0+T] (consid´erer par exemple certaines courbes int´egrales obtenues dans l’exercice 4). Dans la suite, afin de donner de la consis- tance `a notre explication, on supposera que cette solution existe.

(8)

R´esultat de la m´ethode d’Euler

La m´ethode d’Euler permet d’obtenir une approximation de la solution x de (E) sur [t0, t0+T] telle que x(t0) =x0par une fonction xeaffine sur chacun des intervalles

t0+kT

N , t0+(k+ 1)T N

(k∈J0, N−1K) de longueur T

N obtenus en d´ecoupant l’intervalle [t0, t0+T] en N intervalles de mˆeme longueur. Compte tenu de la nature de la fonctionx, il suffit de connaˆıtre ses valeurs en chacun des pointse

t0, t1=t0+ T

N , t2=t0+2T

N , t3=t0+3T

N , . . . , tN1=t0+(N−1)T

N , tN =t0+N T

N =t0+T.

pour la d´eterminer compl`etement. Aussi la seule connaissance de la liste :

[t0,x(te 0)], [t1,x(te 1)], [t2,ex(t2)], [t3,ex(t3)], . . . , [tN1,ex(tN1)], [tN,ex(tN)]

suffit-elle pour d´eterminer la fonctionx.e

Construction de proche en proche des points [tk,x(te k)], o`uk∈J0, NK

Initialisation

Le pointt0est d´ej`a d´efini (c’est une des donn´ees). On pose x(te 0) =x0

o`ux0est une des donn´ees. Ce choix est pertinent car on cherche `a approximer la solution de (E) v´erifiant x(t0) =x0. Les fonctionsxetxeont donc mˆeme valeur ent0.

Du point [tk,x(te k)] au point [tk+1,x(te k+1)],k∈J0, N−1K

Soitk∈J0, N−1Ktel que le point [tk,ex(tk)] est construit. On pose tk+1=t0+(k+ 1)T

N .

Il reste `a construire ex(tk+1). Cette construction, d´etaill´ee ci-dessous, s’appuie sur la remarque fonda- mentale `a l’origine de la m´ethode d’Euler (cf. page pr´ec´edente).

1. On calculef(tk,x(te k)) qui serait le coefficient directeur de la tangente `a la courbe repr´esentative de x, sixpassait effectivement par le point de coordonn´ees (tk,x(te k)).

2. On calcule une ´equation cart´esienne de la droiteDk qui passe par le point de coordonn´ees (tk,x(te k)) et qui a comme coefficient directeurf(tk,x(te k)).

3. On d´efinitex(tk+1) comme ´etant l’ordonn´ee du point deDk d’abscissetk+1.

Droite Dk passant par le point de coordonn´ees (tk,x(te k)) et de coeffi- cient directeurf(tk,x(te k))

b b

b

tk

b

tk+1

b

e x(tk)

b

e x(tk+1)

(9)

3.3 Un exemple d’application de la m´ ethode d’Euler

` a la main

Exercice 5

On consid`ere ici l’EDS1

(E) : x =−1

2x+t−2 et les donn´ees suivantes :

• t0= 0 (temps initial) ;

• x0= 8 (valeur au temps initial) ;

• T = 10 ;

• N = 5 (nombre de pas).

1. D´eterminer les points

[t0,ex(t0)], [t1,x(te 1)], [t2,x(te 2)], [t3,ex(t3)], [t4,ex(t4)], [t5,x(te 5)]

obtenu par la m´ethode d’Euler, et fournissant une approximation de la solutionxde (E) sur [0,10] telle quex(0) = 8.

(10)

2. Placer les points

[t0,ex(t0)], [t1,x(te 1)], [t2,x(te 2)], [t3,ex(t3)], [t4,ex(t4)], [t5,x(te 5)]

sur le graphique ci-dessous.

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16

1

2

3

4

2 4 6 8 10

3. D´eterminer l’unique solution xde (E) surRtelle que x(0) = 8 `a l’aide de Maple.

4. Tracer la courbe repr´esentative dexau-dessus de [0,8] et discuter de la qualit´e de l’approximation obtenue.

(11)

3.4 Proc´ edure Maple

Exercice 6

1. Construire une proc´edure Maple nomm´eeMethode_Eulerd’arguments

• une fonctionf de deux variables r´eelles, `a valeurs r´eelles (servant `a d´efinir l’EDS1) ;

• un nombre r´eelt0 (temps initial) ;

• un nombre r´eelx0 (valeur au temps initial) ;

• un nombre r´eel positif T (dur´ee de vie) ;

• un nombre entier non nul N (nombre de pas) retournant la liste des points

[t0,ex(t0)], [t1,ex(t1)], [t2,x(te 2)], [t3,ex(t3)], . . . , [tN1,ex(tN1)], [tN,x(te N)]

fournissant une solution approch´ee de la solutionxde l’´equation (E) : x=f(t, x) sur [t0, t0+T] telle quex(t0) =x0.

Indication : Pour construire une liste de proche en proche, on pourra s’inspirer de la construction de la liste L1donn´ee `a la page 4.

2. On consid`ere `a nouveau l’EDS1

(E) : x=−1

2x+t−2 et les donn´ees suivantes :

• t0= 0 (temps initial) ;

• x0= 8 (valeur au temps initial) ;

• T = 10 ;

• N = 5 (nombre de pas).

(a) Ex´ecuter la proc´edureMethode_Euleravec ces donn´ees.

(b) Afficher le graphe de la fonction affine par morceaux correspondante. Comparer au graphique r´ealis´e

`a la page 10.

Indication : On pourra utiliser l’aide de la commande plotet l’option linestyle=solid. (c) Afficher sur le mˆeme graphique :

• la courbe repr´esentative de la solutionxde (E) telle quex(0) = 8, au-dessus de l’intervalle [0,10] ;

• plusieurs courbes de solutions approch´eesexobtenues par la m´ethode d’Euler, en modifiant la valeur N du nombre de pas.

(d) Donner un nombre de pas qui semble donner une approximationexsatisfaisante dex.

N =

3. On consid`ere le probl`eme de Cauchy :

x = 3x−x2+t x(1) = 0

sur l’intervalle [1,20]. En utilisant des repr´esentations graphiques de solutions approch´ees obtenues par la m´ethode d’Euler et la repr´esentation graphique de la solution exacte, donner un nombre de pas qui semble donner une approximationxesatisfaisante dex.

N=

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