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      C P k = = C − k et = i () C e ⋅ e = () () C C 2 2 C C C 12 C C C C ()= () P = E × B d r = E ⋅ A k E = − iC − e ; A = − e ; ⎡⎣⎤⎦ ⎡⎣⎤⎦ E P P P = − ⋅ = = A = − iC k k = = k + − k + − k k + − = − k − 0 k k = k ∑ ∑ ∑ ∫ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ ∑ L L L

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

SIGLE DU COURS : PHY 3320 PROFESSEUR : Richard Leonelli TITRE DU COURS : Optique quantique

EXAMEN INTRA : DATE : 22 février 2011 HEURE : 12h30 – 14h20 SALLE : AA-1207 DIRECTIVES PÉDAGOGIQUES : Aucune documentation permise. Répondre à toutes les questions.

QUESTION 1 (20 points)

L’impulsion du champ de rayonnement libre P

trans

s’écrit

P

trans

= ε

0

V

( E

× B ) d

3

r = i L ε

30

( E

*n

A

n

) k

n

n

.

En explicitant toutes les étapes, montrez que cette expression peut s’écrire, en termes des variables normales,

P

trans

= 2ε

0

L

3

C

n2

ω

n

α

ns 2

k

n

s

n

.

SOLUTION : E 

*n

= −iC

n

α

ns

*

− α

−ns

( ) e

*s

;

s

A

⊥n

= ω C

n n

α

ns

− α

*−ns

( ) e

s

;

s

E 

*n

⋅ 

A

⊥n

= −i C

2n

ω

n

α

ns

*

− α

−ns

( )

ss

∑ ( α

ns

α

*−ns

) e

*s

e

s

Mais e

*s

e

s

= δ

ss

et donc E 

*n

⋅ 

A

⊥n

= − i C

n2

ω

n

⎡⎣ α

ns*

α

ns

+ α

ns*

α

−ns*

− α

−ns

α

ns

− α

−ns

α

−ns*

⎤⎦

s

Par suite, P = ε

0

L

3

C

n2

ω

n

⎡⎣ α

ns*

α

ns

+ α

ns*

α

−ns*

− α

−ns

α

ns

− α

−ns

α

−ns*

⎤⎦

s

n

k

n

Or, C

n2

ω

n

α

ns*

ns

α

−ns*

k

n

= 1 2 C ω

n2 n

α

ns*

α

−ns*

k

n

+ α

−ns*

α

ns*

k

−n

( ) = 0

ns

(de même pour la somme en α

−ns

α

ns

) car k

−n

= −k

n

, C

n

= C

−n

et ω

n

= ω

−n

.

Finalement, − C

n2

ω

n

α

−ns

ns

α

*−ns

k

n

= ω C

n2 n

α

ns

ns

α

*ns

k

−n

= C ω

n2 n

α

ns

ns

α

*ns

k

n

= C ω

n2 n

α

ns 2

ns

k

n

, de telle sorte que P

trans

= 2ε

0

L

3

C

n2

ω

n

α

ns 2

k

n

ns

.

(2)

QUESTION 2 (30 points)

Soit un champ électromagnétique qui se propage dans le vide dans un mode m particulier tel que, en un temps t = 0 ,

E ˆ 

( ) r, 0 = iC

m

L

3

( a

mx

e

ikmz

a

mx

e

−ikmz

) e

x

, ˆ B ( ) r , 0 = iC L

3m

c ( a

mx

e

ikmz

a

mx

e

−ikmz

) e

y

,

k

m

= ω

m

c , C

m

= ω

m

L

3

0

.

Dans la représentation de Heisenberg, l’évolution temporelle de B ˆ s’écrit : d B ˆ

i

dt = i

 ⎡⎣ H ˆ

trans

, ˆ B

i

⎤⎦ .

Montrez que cette évolution est compatible avec la troisième équation de Maxwell, ∇ × E = − ∂ B

∂t . SOLUTION :

B = B

y

e

y

, dB

y

dt = i

 ⎡⎣ H , B

y

⎤⎦ , H=  ω

m

a

ms

a

ms

+ 1 2

⎛ ⎝⎜ ⎞

s

⎠⎟

= ω

m

( a

mx

a

mx

+ a

my

a

my

+ 1 )

de telle sorte que i

 ⎡⎣ H , B

y

⎤⎦ = iC

m

L

3

c

i

h ω

m

{ ( a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

) e

ikmz

( a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

) e

−ikmz

}

Mais

a

mx

a

mx

= a

mx

a

mx

+ 1

et les autres commutateurs sont nuls, de telle sorte que dB

y

dt = −C

m

ω

m

L

3

c { ( a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

) e

ikmz

( a

mx

a

mx

a

mx

+ a

mx

a

mx

a

mx

a

mx

) e

−ikmz

}

= C

m

ω

m

L

3

c { a

mx

e

ikmz

+ a

mx

e

−ikmz

}

D’autre part,

∇ × E = ∇ × ( E

x

(z) ) e

x

= ∂E ∂z

x

e

y

= iC

m

L

3

⎡⎣ a

mx

ik

m

e

ikmz

a

mx

( −ik

m

) e

−ikmz

⎤⎦ e

y

et k

m

= ω

m

c , d’où

∇ × E = − C

m

ω

m

L

3

c ( a

mx

e

ikmz

+ a

mx

e

ikmz

) = dB dt

(3)

QUESTION 3 (30 points)

Par analogie avec le cas classique, on peut écrire a = g ˆ h ˆ , où a est un opérateur de création de photon et h ˆ = e

iφˆ

. Dans ce qui suit, vous pouvez présumer que les opérateurs g ˆ et φ ˆ sont hermitiques. En conséquence, l’opérateur h ˆ est unitaire.

a) En explicitant toutes les étapes, exprimez l’opérateur g ˆ en termes de l’opérateur nombre N ˆ = a

a . b) Montrez que ⎡⎣ ⎤⎦ N, ˆ ˆ h = h ˆ .

c) En explicitant toutes les étapes, trouvez une expression pour le commutateur ⎡⎣ ⎤⎦ N ˆ , ˆ φ . Que vaut Δ N ˆ Δ φ ˆ ? Que cela implique-t-il pour un état nombre n ?

d) Soit l’état z = c z

n

n=0

n , où c est une constante de normalisation, n un état nombre et z un nombre complexe de norme inférieure à un. Montrez que z est un état propre de l’opérateur h ˆ de valeur propre z .

e) Que valent h n ˆ et h ˆ

n ?

f) Déduisez de (e) que 0 ˆ h

h ˆ 0 ≠ 0 ˆ h h ˆ

0 . Qu’implique cette inégalité?

SOLUTION :

a) a = gh = ge

; a

= e

−iφ

g ; aa

= g

2

= a

a + 1 = N + 1 ⇒ g = N + 1

b)

h = g

1

a = 1 N + 1 a ; N, h

[ ] = Nh hN = N 1

N + 1 a − 1

N + 1 aN = 1

N + 1 ( a

aaaa

a ) = N 1 + 1 ( a

aa a

aa a ) = −h

c) de b, Ne

e

N = −e

⇒ e

−iφ

Ne

= N − 1 Lemme  de  Baker-­‐Hausdorf  :  

e

−iφ

Ne

= N + (−i) [ ] φ , N 1

2 ⎡⎣ φ , [ ] φ , N ⎤⎦ + = N 1 [ ] N , φ = i

Les relations d’incertitude impliquent alors

( ) ΔN

2

( ) Δ φ

2

1

4 ( ) −1

2

ΔN Δ φ 1 2

Un état nombre est état propre de l’opérateur N et donc le nombre de photons n est spécifié sans

incertitude : ΔN = 0 . Il suit que la phase d’un état nombre est complètement indéterminée.

(4)

d)

h z = 1

N + 1 a z = c z

n

N + 1

n=0

a n = c N z

n

+ 1

n=1

n n 1

= c z

n+1

N + 1

n=0

n + 1 n = c z

n+1 n=0

n = z z

e)

h n = 1

N + 1 a n =

1

N + 1 n n − 1 = n − 1 si n ≠ 0 0 si n = 0

⎪ ⎪

⎪ ⎪

h

n = 1

N + 1 a

n = 1

N + 1 n + 1 n + 1 = n + 1 f) 0 h

h 0 = 0 ; 0 hh

0 = 0 h 1 = 0 0 = 1;

Ceci implique que h n’est pas un opérateur unitaire et donc que, contrairement aux prémisses du problème, φ n’est pas hermitique.

QUESTION 4 (20 points)

L’optique quantique conduit à des effets observables différents de ceux prédits par l’électrodynamique classique. Décrivez trois de ces effets et expliquez-les succinctement.

Signatures : Le professeur : _________________________

Le directeur : _________________________

(5)

AIDE-MÉMOIRE Espace  réciproque  :  

 

F(r,t) = 1 L

3

F 

n

(t )

n

e

iknr

, F

n

(t ) =

V

F(r,t ) e

iknr

d

3

r ,

V

F

*

(r,t ) G(r,t )d

3

r = L 1

3

F

*

(t )G

n

n

(t)

1

L

3

↔ 1

( ) 2π

3

V

d

3

k

n

 

Variables  normales  :   α

ns

= 1

2C  n ( ω

n

A

ns

iE

ns

) , α

ns

(t) = α

ns

(0)e

−iωnt

, E

ns

= iC

n

( α

ns

− α

*ns

) , A

ns

= ω C

n

n

α

ns

+ α

*ns

( )  

Seconde  quantification  :   a,a

⎡⎣ ⎤⎦ = 1 , ˆ N = a

a , n = a

n

n! 0 , ˆ N n = n n a

n = n + 1 n + 1 , a n = 0 si n = 0

n n − 1 sinon

⎧ ⎨

⎩⎪

 

Hamiltonien  :   H ˆ

trans

= ω

n

a

ns

a

ns

+ 1 2

⎛ ⎝⎜ ⎞

s

⎠⎟

n

 

Équation  de  Schrödinger  :   d

dt ψ (t ) = 1

i H ˆ (t) ψ (t) ,   Opérateur  d’évolution  :   U(t, ˆ t

0

) = e

−i(t−t0) ˆH/

 

Représentation  de  Schrödinger  :   ψ (t) = U ˆ (t, t

0

) ψ (t

0

)   Représentation  de  Heisenberg  :   A ˆ

H

= U ˆ

A ˆ U ˆ , d A ˆ

H

dt = i

 ⎡⎣ H ˆ

H

, ˆ A

H

⎤⎦ + ∂ A ˆ

H

t   Relations  d’incertitude  :  

A ˆ

ψ

= ψ A ˆ ψ , Δ A ˆ = A ˆ

2

ψ

A ˆ

ψ 2

Si ˆ ⎡⎣ ⎤⎦ A, ˆ B = C, alors ˆ ( ) Δ A ˆ

2

( ) Δ B ˆ

2

1 4 i C ˆ

ψ 2

 

Lemme  de  Baker-­‐Hausdorf  :   e

xAˆ

Be ˆ

−xAˆ

= B ˆ + x ⎡⎣ ⎤⎦ A, ˆ ˆ B + x

2

2

A, ˆ ˆ ⎡⎣ ⎤⎦ A, ˆ B

⎡ ⎣ ⎤ ⎦ +    Théorème  de  Campbell-­‐Baker-­‐Hausdorf  :  

Si ˆ ⎡ ⎣ A, ˆ ⎡⎣ ⎤⎦ A, ˆ B ⎤ ⎦ = ⎡ ⎣ B, ˆ ˆ ⎡⎣ ⎤⎦ A, ˆ B ⎤ ⎦ = 0 , e

x( ˆA+B)ˆ

= e

xAˆ

e

xBˆ

e

−x2⎡⎣A, ˆˆB⎤⎦/2

  États  quasi-­‐classiques  :  

α

= e

1

2

α

n

n

n

= D(α ˆ

) 0

n=0

, ˆ D(α

) = e

αa−α*a

n

α

2

= e

α2

α

2n

n

, ˆ N

α

= α

2

 

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