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De la théorie capillaire de Gauss et de son extension aux propriétés capillaires des lignes liquides

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00237250

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00237250

Submitted on 1 Jan 1877

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De la théorie capillaire de Gauss et de son extension aux propriétés capillaires des lignes liquides

G. Lippmann

To cite this version:

G. Lippmann. De la théorie capillaire de Gauss et de son extension aux propriétés capillaires des lignes liquides. J. Phys. Theor. Appl., 1877, 6 (1), pp.108-115. �10.1051/jphystap:018770060010801�.

�jpa-00237250�

(2)

I08

Au lieu d’attendre que le moulinet et le vase eussent

pris

leur

mouvement

uniforme,

nous avons

préféré,

pour le motif

indiqué précédemment,

observer le

phénomène pendant

la

période

de vi-

tesse variable du commencement , en

ayant

soin toutefois de ne comparer les vitesses que dans le même intervalle de

temps.

Pour

cela,

les deux

compteurs partaient

ensemble du moment où l’on faisait tomber la lumière sur le

radiomètre ;

les ailettes et le vase

se mettaient en mouvement en sens

contraire,

et

lorsque plusieurs

divisions du vase avaient

passé

sous le fil de la

lunette,

nous com-

111encrions à

pointer,

l’un le passage des

divisions,

l’autre le pas- sage d’une ailette du moulinet observé directement. Un calcul

simple permettait

de déduire de ces

pointages

le

rapport

des vi-

tesses moyennes,

pendant

l’intervalle de

temps

considéré.

C’est ainsi que nous avons obtenu pour

rapport

des vitesses les nombres

I7, 4, 47, 82, qui s’éloignent

peu des

rapports

inverses des moments d’inertie.

DE LA

THÉORIE

CAPILLAIRE DE GAUSS ET DE SON EXTENSION AUX PRO-

PRIÉTÉS CAPILLAIRES DES LIGNES LIQUIDES;

PAR M. G. LIPPMANN.

On sait que Gauss a

appliqué

le

principe

des vitesses virtuelles

au

problème

de

l’équilibre

des

liquides ;

on se

rappelle

que

l’équa-

tion

qu’il

a ainsi établie fournit les

principales

lois de la

capillarité, grâce

à une déduction

purement analytique

que les successeurs de Gauss ont

simplifiée;

nous ne reviendrons pas sur cette déduction.

Dans ce

qui surit,

nous

reprendrons

la

question

à son

origine :

nous essayerons

d’exposer simplement,

mais en la rendant

plus précise, l’analyse qui

conduit à

l’équation

fondamentale de

Gauss ;

nous obtiendrons ainsi une

équation plus complète ,

et

qui permet

de démontrer non-seulement les

propriétés capillaires

connues des

surfaces

liquides,

mais encore d’autres

propriétés analogues,

appar-

tenant aux

lignes qui

bornent ces surfaces.

I. Considérons un

système

de corps solides et fluides en

équi-

libre. Pour

pouvoir appliquer

le

principe

des vitesses virtuelles à

ce

système,

admettons avec

Laplace

et Gauss

qu’on puisse

l’assi-

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018770060010801

(3)

I09 miler à un ensemble de

points

matériels soumis à leurs actions

mutuelles,

à l’acti on de forces

extérieures,

et

assujettis

à certaines

liaisons. Soit 7 la somme des vitesses virtuelles des forces

extérieures ;

w la somme des vitesses virtuelles des forces inté- rieures ou

moléculaires;

il

suffit,

pour

qu’il

y ait

équilibre,

que l’on ait

On

peut

calculer o) en

remarquant

avec Gauss que cette quan- tité est une différentielle exacte ; en

effet,

on voit facilement que la somme des vitesses virtuelles des actions

réciproques

de deux

points quelconques (1)

est une différentielle exacte; il en est donc de même de la somme de toutes ces sommes. On a donc m =

do,

Q étant une certaine fonction dont il suffit de chercher la forme

(2).

Afin de trouver la forme de

03A9,

considérons l’un des corps du

système ;

soit a la somme des vitesses virtuelles des forces inté- rieures

rapportée

à l’unité de volume de ce corps, et V le volume de toute la

portion

de ce corps que l’on

peut

considérer comme

homogène;

cette samme, étendue à tout le volume

V,

aura pour

expression (3) a V,

à cause de cette

homogénéité.

En étendant le même raisonnement aux différents corps du

système,

on a

V, V1, ...

sont les volumes

respectifs

des

portions homogènes

du

système ( eau, air,

verre,

etc.) ;

cc, «i sont des constantes.

3iais ,

si l’on

peut regarder

les

parties

intérieures de

chaque

corps comme

homogènes,

et leur

appliquer

le calcul

précèdent

il n’en est pas de même des

parties

les

plus superficielles ; chaque

surface de contact constitue une zone

mince, hétérogène, qu’il

con-

vient de considérer à

part.

Prenons d’abord le cas abstrait d’une surface

plane

et indéfinie.

(1) A condition que la force y, qu’ils exercent l’un sur l’autre, soit fonction seule- ment de la distance r des deux points; la somme des vitesses virtuelles correspon- dantes est alors 2013 ~dr = d03C8, en posant 03C8 = ~dr.

(2) L’emploi du potentiel en électricité est un autre exemple du même artifice, qui

consiste à calculer la quantité cherchée en la regardant comme la différentielle d’une grandeur plus facile à évaluer.

(3) Nous admettons implicitement que la sphère d’action moléculaire a un rayon

insensible, mais infiniment grand par rapport aux distances intra-moléculaires.

(4)

II0

Découpons,

par la

pensée,

dans la zone

hétérogène qui

en est voi-

sine une

portion

dont la base ait une aire

égale

à

l’unité;

le

petit cylindre,

ainsi

défini, empiète jusqu’à

une faible

profondeur

sur

les deux corps

contigus.

Les

points

matériels

qu’il

contient four-

nissent à

l’expression

de Q une somme

qu’on peut désigner par

Un second

volume, emprunté

à la même zone

superficielle

et défini

comme le

premier,

fournit un second terme

égal

à

fi.

Une surface

d’aire

égale

à S fournira donc une somme de termes

égale à 03B2 S.

En étendant le même raisonnement à toutes les

surfaces,

c’est-

à-dire à toutes les zones

superficielles précédemment

laissées de

côté,

on voit

qu’on

a

Mais les surfaces

S, S1

ne sont pas en

général planes,

et ne

peuvent

pas être indéfinies. Soit d’abord une surface

plane

limitée par une

ligne quelconque;

on

peut regarder

comne uniforme la constitu- tion de toutes les

parties

de la surface

qui

sont à

quelque

distance

de ce bord et leur

appliquer

le raisonnement fait

plus

haut. Les

parties

très-voisines de la

ligne

de bord constituent au contraire

une sorte de

cylindre délié, qu’il

convient de considérer à

part.

Ce

cylindre, qui

a pour axe la

ligne

de

bords empiète jusque

une

faible

profondeur

sur les

surfaces,

c’est-à-dire sur les trois corps

contigus. Soit V

la somme des termes que fournit à

l’expression

de

Q une

portion

de ce

cylindre ayant l’unité

de

longueur.

Une

ligne

de

longueur égale

à L fournira une somme de termes

égale

à

y L,

à

condition que cette

ligne

ait une constitution uniforme dans toute sa

longueur.

Le bord d’une

goutte

d’huile flottant sur

l’eau,

c’est-

à-dire la

ligne

suivant

laquelle

se

coupent

les surfaces

air-eau,

- air-huile et

huile-eau,

est un

exemple

d’une

pareille ligne. S’il y

a

plusieurs lignes

de ce genre dans le

système,

chacune donnera un

terme de la forme

y.

On a donc

Les surfaces du

système

ne sont pas en

général planes;

mais

leurs rayons de courbure

peuvent

être

regardés

comme infiniment

grands

par

rapport

à

l’épaisseur

des couches

superficielles

consi-

dérées

plus haut ;

leur courbure

peut

donc être

négligée.

Toutefois concevons

qu’en

certains

points

il y ait à en tenir

(5)

III

compte;

que, par

exemple,

l’arête

qui

termine une lame de verre

mouillée doive être

regardée

comme une arête

aiguë.

Les

points

de cette sorte devront être considérés à

part

et fourniront des termes

de la forme

y’ Lr, 03B3’

étant la somme des termes

rapportés

à l’unité

de

longueur,

et 17 étant la

longueur

de l’arête.

On a donc

enfin, pour l’expression complète

de

n,

II. Il reste à différentier

Q,

en tenant

compte

des liaisons du

système.

On a

déjà

tenu

compte

de ce que les corps du

système sonthomogènes jusqu’àleur

surface. Nous admettrons encore

quatre

autres conditions :

I° Les

parties

solides du

système

sont absolument

rigides. Un

corps

rigide

est celui les

déplacements

relatifs sont

supposés

nuls. Il suffit, donc de faire abstraction dans la différentiation de

tous les termes, tels que

a,lv,l, qui

auraient été introduits par les corps solides du

système

dans

l’expression

de Si .

2° Les

parties

fluides du

système

sont

parfaitement

fluides.

Cette liaison introduit une

simplification.

La différentielle com-

plète

d’un terme tel que 03B1V est

03B1dV + Vd03B1;

mais le ternle V da

doit

disparaître.

En

effet,

un corps fluide est un corps

qu’on peut

déformer à volume constant sans

dépense

de travail. Il faut donc

qu’à

volume constant

(pour dV = 0) l’expression 03B1dV + Vd03B1, qui

est en même

temps

celle du

travail, s’annule,

ou que d03B1 = o.

De

même,

les surfaces S et les

lignes

L étant

flexibles,

leurs dif-

férentielles sont

simplement

de la

forme 03B2dS

et

03B3dL.

On a donc

3° La masse de

chaque liquide

est constante. Ainsi les couches

superficielles

ne

pourraient augmenter qu’aux dépens

de la masse

intériemre.

Soit 03BB la masse de l’unité de volume à l’intérieur du li-

quide; 03BC

la masse de la

portion

de la couche

superficielle

com-

prise

sous l’unité de surface. Soit v la masse dé la

portion

de

liquide

comprise

le

long

de l’unité de

longueur

de la

ligne

L dans le

petit

cylindre liquide

défini

plus haut; soient 03BB, 03BC,

... les

quantités

ana-

(6)

II2

logues

relatives à

V, S, ....

On devra avoir pour les

n liquides

du

système

les

équations

40

Les

liquides

du

système

sont

incompressibles;

donc les coef-

ficients a., 03BB1,

03BC, 03BC1, ··· sont constants. On a

donc,

en différentiant les

équations précédentes,

Afin de tenir

compte

de ces dernières

liaisons,

tirons-en les va-

leurs de

dV, dV1, ..., dVn,

et substituons-les dans

l’expression

de

d03A9 : nous obtenons ainsi

Ai A1, ..., B, B1 représentant,

pour

abréger,

les coefficients

qui

résultent de la substitution. Ces coefficients sont des constantes,

et ils sont

respectivement

la somme de trois ou de

quatre

termes, suivant

qu’ils

se

rapportent

à une surface ou à une

ligne.

Leurs

valeurs

numériques

ne

peuvent

pas actuellement être calculées il

priori;

mais ils ont une

signification physique déterminée,

et l’on

peut

les mesurer

expérimentalement.

III.

L’équation (2),

réduite aux termes de la

première ligne,

ne

diffère en rien de

l’équation

de Gauss. On se

rappelle

la

significa-

tion

physique

de ces termes. Le coefficient A

représente

à la fois :

10 lue travail

qu’il

faut

dépenser

pour accroître Faire de la surface S d’une

unité ;

20 la tension

superficielle

par unité de

longueur;

30 le

coefficient de

Laplace,

c’est-à-dire le nombre par

lequel

il suffit de

multiplier

la courbure pour obtenir la

pression

normale. Chacun des coefficients de la

première ligne

a une

signification analogue.

Ces

propriétés

résultent d’une déduction connue.

Les termes de la seconde

ligne

dans

l’équation (2)

sont, au con-

traire,

introduits ici pour la

première

fois. Mais on voit que leur

(7)

II3 forme est la même que celle des

précédents ;

aussi ont-ils une si-

gnification analogue.

Le coefficient

B,

par

exemple, représente

le travail

qu’il

faut dé-

penser pour accroître la

ligne

L de l’unité de

longueur.

Ce coeffi-

cient mesure en même

temps

la tension

qu’on peut

attribuer à cette

ligne,

le mot tension étant

pris

dans le sens on

l’applique

à la

théorie des cordons flexibles et la

ligne

L étant assimilée à un cor-

don flexible et

élastique.

Enfin le coefficient B est le nombre par

lequel

il suffit de

multiplier

la courbure en un

point

pour obtenir la

pression normale,

c’est-à-dire la résultante

prise

suivant la nor-

male

principale

de toutes les forces

qui agissent

sur ce

point.

Cette

dernière

propriété s’exprime

par une

équation analogue

à celle de

Laplace

Enfin on

peut

démontrer que la forme

d’équilibre

d’une

ligne liquide correspond

à une

longueur rjzinilnccm;

par suite cette

forme,

pour des

liquides

soustraits à l’action de la

pesanteur,

est celle d’un arc

de cercle.

Ces diverses

propriétés

constituent ce

qu’on peut appeler

la ca-

pillarité

des

lignes liquides ;

leur démonstration résulte de la forme linéaire de

l’équation (2),

comme cela a lieu pour les surfaces dans la

capillarité

ordinaire. Leur vérification

expérimentale paraît

de-

voir être

difficile,

parce que les

variations,

à

peine signalées jus- qu’ici,

de la tension

superficielle peuvent

suffire à masquer les effets de la tension linéaire. Des

gouttes

d’huile flottant sur l’eau affectent la forme

circulaire ;

ce fait est d’accord avec une des

propriétés

in-

diquées plus

haut.

Les résultats de notre

analyse proviennent

d’une double

approxi- mation ; si,

dans

l’expression

de

fly

on s’arréte aux termes

qui

dé-

pendent

des

volurnes,

on obtient les lois de

l’Hydrostatique

ordi-

naire ;

le lecteur s’en assurera facilement. Si l’on tient

compte

de

l’hétérogénéité

du volume au

voisinage

de sa

surface,

on obtient les

termes

qui

fournissent les lois de la

capillarité ordinaire; enfin,

en

tenant

compte

de

l’hétérogénéité

de la surface au

voisinage

de son

bord,

on trouve les théorèmes de la

capillarité

linéaire.

IV. Ceux des termes de

l’équation (2) qui

se

rapportent

à des

(8)

II4

parties

solides

(surfaces

ou

arêtes)

doivent être considérés à

part.

Dieux cas sont à

distinguer :

1 ° Ces surfaces ou arêtes rencontrent une des surfaces mobiles

ou

liquides

du

système.

Dans ce cas, leur influence se fait

sentir;

il

est

clair,

au

point

de vue

analytique,

que les variations de surface

dS, dS1

en

dépendent;

et, au

point

de vue

physique, l’angle

de raccor-

dement

dépend

de la nature de la surface et varie

brusquement

au

voisinage

de l’arête.

20 Les surfaces ou

lignes rigides

ne rencontrent pas les surfaces

liquides

du

système.

Dans ce cas, il

n’y

a pas à en tenir

compte.

En

effet,

ces éléments étant

rigides

et leurs frontières

invariables,

leur

grandeur

ne

peut

varier ni par

déformation,

ni par

empiète-

ment. La variation

correspondante

est donc

nulle,

et ces termes

disparaissent

d’eux-mêmes de

l’équation (2).

Cette conclusion

toute

négative

est

très-importante

au

point

de vue

physique.

La

position

et la forme des surfaces

liquides

est

indépendante

de

la forme des

parties

solides

qui

n’en sont pas infiniment voisines.

C’est

ainsi,

par

exemple,

que la hauteur d’ascension de l’eau dans

un tube de verre est

indépendante

de la forme de la

partie

inférieure

du

tube ;

on

peut

encore échauffer ou

graisser

cette

partie inférieure ;

tant que l’altération reste à une distance finie de la surface

liquide,

aucun effet n’est

produit. L’expérience

confirme ces conclusions.

Il est donc inexact d’attribuer l’ascension de l’eau dans un tube de verre à une action soulevante

provenant

d’attraction moléculaire

s’exerçant

le

long

du contour inférieur du tube. La théorie nous a

montré

plus

haut que la forme de la

partie

inférieure du tube n’in- tervient pas, et

l’expérience vérifie,

en

effet,

que la hauteur d’as- cension est la

même,

soit que la base du tube

plonge

dans l’eau d’un

vase

large

soit que la

paroi

du tube se raccorde par soudure avec la

paroi

du vase

large ;

or, dans ce dernier cas, l’arête inférieure du tube n’existe

plus.

Comme le théorème dont nous

parlons

est fré-

quemment reproduit,

il est

peut-être

utile de

signaler

ici l’erreur de raisonnement que contient la démonstration. On se

rappelle

que, dans ce

raisonnement,

on considère les actions moléculaires

qui

s’exercent le

long

de la

paroi

intérieure OV du tube

(fig. I),

entre les

molécules du verre et celles de

l’eau ;

on montre que ces actions ne

sontpas

contre-balancées par les actions exercées sur l’eau

par le

pro-

longement

fictif de la

paroi

du verre, attendu que ce

prolongement

(9)

II5

est formé par de l’eau et non par du verre, et l’on en conclut

que l’en-

semble des actions ainsi considérées a une résultante

parallèle

à OV

et

qui

pousse vers l’intérieur du tube la

portion

de

liquide qui baigne

la

paroi. 3Iais ( c’est

ici

l’erreur) l’analyse

ne doit pas s’arrêter

là,

car la masse de verre est terminée par la face

OV’, laquelle jouit

Fig. I.

exactement des mêmes

propriétés

que la face

OV. En appliquant

à

cette face le même raisonnement

qu’à

la

première,

on conclut

qu’elle

donne naissance à une résultante

égale

à celle

précédemment

trou-

vée,

mais

qui

tend cette fois à pousser le

liquide

de dedans en de-

hors. L’ensemble des deux résultantes a donc une action nulle. On arrive à la même conclusion

plus

brièvement en

remarquant

que le

plan XY,

bissecteur du dièdre

VOV’,

est un

plan

de

symétrie

tant

pour la masse de verre que pour la masse de

liquide

au

voisinage

de

F arête : il

s’ensuit que

les actions

qui

s’exercent entre les différentes molécules du

système

ne

peuvent

avoir de

composante

efficace en dehors de ce

plan

de

symétrie,

et notamment que ces actions ne

peuvent

avoir de

composante

efficace

parallèle

à la face OV.

NOUVELLE LAMPE

ÉLECTRIQUE;

PAR M. JABLOSCHKOFF.

1. J’ai

imaginé

une nouvelle

lampe

ou

bougie électrique

d’une

construction extrêmement

simple.

Au lieu de

placer

les deux

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