B OBILLIER
Philosophie mathématique. Démonstration nouvelle de quelques propriétés des lignes du second ordre
Annales de Mathématiques pures et appliquées, tome 18 (1827-1828), p. 359-367
<http://www.numdam.org/item?id=AMPA_1827-1828__18__359_1>
© Annales de Mathématiques pures et appliquées, 1827-1828, tous droits réservés.
L’accès aux archives de la revue « Annales de Mathématiques pures et appliquées » implique l’accord avec les conditions générales d’utilisation (http://www.numdam.org/conditions). Toute utilisation commerciale ou impression systématique est constitutive d’une infraction pénale.
Toute copie ou impression de ce fichier doit contenir la présente mention de copyright.
Article numérisé dans le cadre du programme Numérisation de documents anciens mathématiques
http://www.numdam.org/
NOUVELLE METHODE DE
RECHEUCÎIE. 359 359 T~’~’~~~~_~~~.
Le 72~~2~r~ des racinesirna~ i~~arres
d’uneéqua-
~ion
incorn~létc
est au /7ï?//2~ë~~a~
ar~ norrhre des /?r~72~J’ dont ealeest
c~cyor~r~we ,
ya~tb~~rcnté
de l’e4~~~s du no~n~~ e ~~s sehleS ~v /2~/?2-~reS
dln pClrS
de termescor?sLcutr~’s 772~/2yz/~/2/
3 ~~ar~e ~~a~~’ tc~’~eSC~~°C~I~S
de mcrr~e~Jg7~ ~
Shlt’ Ï~’ /Z~/72~r~ f~;.’S ~iCt’i~L’S C~C nD~~~rCS ~/72-’pairs a’e
t~~r,~esccnsëcut~~s /7~/2y~f?/2~ ~
~2/~~ ~~~«~~~ ~~~rr~~es~~~~ct~~s,
~~e
J/~/2~~
~~/2//"~/y~J.On trouvera, à la pag. 383 du X’lI. e Toi. du
présent
recueilet à la pag. 68 de
celi,u-ci ~ quelques
autresconséquences
de la rè-gle
de Descartes.PHILOSOPHIE MATHÉMATIQUE.
Démonstration nouvelle de quelques propriétés
des lignes du second ordre ;
Par M. BOBILLIER , professeur à l’Ecole des
arts etmétiers de Châlons-sur-Marne.
N-lus
i~iors nous proposons ~ nous proposons) dans s dans ce cequ’on qu’on
va valire , lire ~ d’appliquer d~appliquer
la !a mé-mé-thode de recherche dont nous avons
déjà
fait l’essai dans unprécé-
dent
article (
pag.3~0 ) ~
à la déinonstration dequelques propriétés
connues des
1 i g n es
du second ordre. C’est enexaminant ,
enef.’l’et
comment cette méthode conduit à -la découverte des vérités
déjà
connues,
qu’on
pourrajuger
de cequ’on peut
enespérer
dans larecherche des vérités bien
plus
nombreuses etplus importances qui
restent encore à découvrir.
1. Soient
A, B, ~lf,
BIquatre
fonctions linéairesquelconques
eti x et
y, et
soient~~ o, B=o ,
leséqu atiolls
des deux cûtés360
N 0 U V ELLE METHODE
d’un même
angle
d’unquadrilatère simple;
soient~=:o~ J3~=o,
les
équations
des côtésrespectivement opposés. Convenons,
pourabrrger,
dereprésenter simplement par ~~.By ~’ , B~
les côtésconsécutifs,
et~ar ~ ~ , .8 ~ , ( B, ~), ( A’, ~~ ) , (J5B~)
le&sommets consJcutIfs.
En
représentant
par a et 1 deux constantesindéterminées ,
dontune
peut
même être choisie d’une manière tout à faitarbitraire,
l’équation du
seconddegré
sera visiblement
l’équation
commune à toutes leslignes
du secondordre circonscrites an
quadrilatère
dont ils’agit ;
car elle sera sa-tisfaite
yquels
que soient a etb,
par lesquatre systèmes d’équa-
tions du
premier degré qui
donnent les sommets et il est deplus
évident t que cette
équation (t)
est la seuleéquation
du second de-gré qui puisse
satisfaire à cette condition.’
2.
Supposons ,
pour un moment , que lequa d ri la t ère
soit Ins-cripdbte
aucerc-1t~ ; l’équation
du cercle circonscrit ne pourra ctreque
de la formeSupposons,
s en ontre, que l’on ait choisi pour les axes des coor-duîuiées.
e¡ surdesquels
nous n’avonspoint
encorestatué,
les deuxdroites
rectangulaires qui
divisent en deuxparties égaies
les qua-il e
nnôl()s
formes par les deux côtésL~pposés ~
et~’~ ,
il est ma-n~f2;,te que , dans cette
hypotiiese ~
leproduit
.~~’ ne renfermerapas de terme en ~2JÎ; mais
l’équation (2)
d’uncercle, rapporté
àdes axes
recta~gutu’res ,
ne doitpoint
renfermer de terme de cènesorte; y ~i~~a~~ il ne se trouvera pas non
plus
dans leproduit ~’~’~ ~ t~:fi:i; t ~1~ ~~’~:za ?~j;l ! ~ ~
de a~::~CÎiC~lte ~ rapportée aux
mêmes axes , ne rf:.fumera p.~s ~ç~;:~plus
le terme en .~Y ; donc enfin les axes des coordonnées serujtrespectivement parallèle;)
à ses diamètresprin-
cipaux. i On a dune ce théurcme :
36I
~
DE RECHERCHE.
..
3.
~’’~~’Q~R~I~~.~.
I~Tn cercle tracé sur r’r;I;Iait
cl’u~2eco,,iz"que
couparst
cette cor~r~e enquatre ~oints ~
si I*otijc~int
ces q,-,air-,points
deux à deux par~- deuxcordes,
les dror~csrl~~i
c’~’~~iseror~ten dezix.
partles égales
lesquatre angles forni~s
par ces dec~,~ cor-des
serontrespecti’vement l~arallè~les
auxdia~n~eres pi-int~î~a&@x
dela courbe.
Il est clair que si deux
angles
ont un côté COlll1Tlun, et que les droitesqui
les divisent en deuxparties égales
soient~ar~~ièlc~s;
cesangles
serontégaux
etcorrespondans,
et queconséquE’111BlCnl
leurscôtés,
11011 COlIl1l1UllS, seront aussiparallèles;
onpeul donc,
de ce111éorl~nle ,
conclure le suivant : -l~. ~’.~,1.~~)~.~,~1’~.~.~.
Si tant de cerclesqu’on voudra , cor~partt
unemém,,e
conique
aux deux mêrnespoiii,,Is ,
lacoupent
en oiiii,e en dezt.~.~ atitrespr~i~~ts ,
les cr~ra’e squi,
dans cesdl’f ~~rens cercles jo~’rldrvnt
ces d~e~,~~ n~~t~~espoii,,,,,,s
cl’inier~sect~ôn serr~nt toutesparal-
lèles entre elles.
Si l’on
conçoit
que les Eic3c~~points
con1muns à tous ces cercleset à la courbe se
fdpproch}!ut coutÍuuelle111nlent , jU~(IU’à
se confon-dre,
ce cic.~rrlier tinorvcnc sechangera
dans le su i vant :5.
~’.~~~~.li~:’~r.l~k
Si tCilat de cet-clesqu’u~a
eo.,,,tdi-a to~rc~~ellt tous zi.?ze mê,,-neconit~~~e
ar.~ rriéîzzepoint
et lacozipent
eiz outre en di!zixa~~t~~G~s
,oo~uis 9
les coi-desqui,
dans cesd~~~~rens cercl~3s , j’oi’ti-
dr~,~~~t leurs deux inierseciit)izs a~ec la
courve ,
sero;zt toutes pa- ralle~,le.s er~tr°e elles.C’est de ce dernie-r t~ICeorÉ~ime que M. Plucker a
déduit (
~Iranr~-les,
toiii.X’-II,
p page 7 1)
la constrt~ct~on du cercle osculo teur .d’uneconique
en unc~c~c~Icc~r~c~ue
de sespoints.
Iln’est,
Cül11nlel’on
voit, qu’un
casparticulier
duprécédent.
G. Retournons à notre
équation (1),
danslaqnclle
nous Sl1p:~()se-rons
présenten1ent
la courberapportée
à deux axesquelcol1qnes.
Sinous voulons obtenir les intersections de cette courbe avec i’aXè des x , il faudra
faire ,
claus cetteéquation,
y-==o.~uij~osorn t{n~a~urs
362
NOUVELLE
METHODEles fonctions
A , .Z? ~ ~.~~ , ~~ prennent respecdvement
laformep~~-~,
~~ -~" j~ ~ p~~.~.’~’ , ~~x’.~-~a‘ ;
cetteéquation
deviendra ainsic’est-à-dire,
you 7 pour
abréger ,
(Ton il suit
qu’en représentant
par 772 et ~c les distances des deux intersections àl’origine ,
on auraPour deux autres
coniques
circonscrites au mêmequadrilatère
p etdonnées par les
équations
on aura semblablement
d’en
et par suhe
DE RECHERCHE.
v363
ou , pour
abréger,
on trouvera de même
d’où
onconclura
ysur-le-cliamp ,
équation qui exprime ( Aizi.,ales ,
t 0 ln.X Vl 1
J pag.i83 )
que les’
six
points
d’intersection sont en involution. Enremarquant
donc que l’axe des x est ici une transversalequelconque
et en invo-quant
leprincipe
despolaires réciproques,
on aura ces delix théo-rètiles :
7,.
~’~~~’(~~â.~’~~:~.~.
Trois coni-~?/~~ ~/r~~/2~~r//’~ ~ un 77~/72~
~z/~~rz7~~r? ~ot~pent
toute droz~een six
~~/~~ ~t~i J~r/7Z~/2/
~/2~7/~’~/~//~/2
(*).
’
On
peut prendre
pour une des tésopposés
duqnadrUaiere ~
oudes
coniques
les deuxsystèmes
de7-
TY~~RjÈME.
Les six tan-gentes
~72~/2~ d’uri /~~/7~~:/~/
~Z/~/~/2yz/~ ~
trois~’9/2/y~~
//2Y-criles à un
/72~72~y~’~~rz7~/~r~~~-
/72~/2/
Z//2~/~?~~
en //2P’~~//~/Z.. coniques
lesystème
de deux cô-bien on
peut prendre
pour deuxcôtés
opposés.
Onpeut
enfin pren-(~’~ C’est
l’elégant
théorème de M. Sturm( Annales ,
toin. XVII, page 182 ).J. D. G.
364 NOUVELLE
METHODEdie pour les trois
coniques
les deuxsystèmes
des côtésopposés
avecles deux
diagonales;
delà ,
et par la théorie despolaires récipro-
ques, on conclura les théorèmes suivans :
.
~
8.
~’.~~C~~~l’‘~~.
Toute droiteest
COLlpPe
par deuxconiques ~r~i
se
coupent
enquatre poi,,ils et par res
deux cordesqui joignent
cesquatre points
deux à deux en six/loi.121S r~~~i forrnent
une involr~-tion.
9
~’~ ~~’~.~~~’~,~.
Lessix ~r~ints
d’interseetr’on des
quatre
côtésd’un
~uc~dr~‘lcxtére
et d’une c~oni-que
qui
lui est cireonscrite avecur~e druit~~ clr~elcon~ue,, forrneni une
ini,olation
(*).
10.
l’~’~~.1~.~’1~1~’.
Les six~roites que déferminerit
~r~r~tre
’Pol.rzls
d’r,~n mêmeplan coupent
t(iale
trarrsversa~c
en si~rpoints qui ,~~rrnent
une itivolation.8.
THÉORÈ.,UE.
Lesquatre
~7/2~~/~
menées d’unmême point quelconque à
deuxconiques
et les-deux droites menées du
772~/7?~
point
ai.~Àx/?~z’/?/j
de r~/2r~~r~ deletirs deux
paires
dela.,7gentes
~/y?772~/2~ ~
y9r/?2~/2/
~/Zfaisceau
en //2r~/~~/2.
9.
LHÉORÈME.
les droites ziienées d’un /72~~~?~/~/ quelcon-
que azix
quatre J’~/7//72~~ ~ ~~ ~Z/~-
drilatère et les deux
icii,-geîiées
~2~/2~~ du même
Po., .ni à
une co-72/yz/~ inscrite, y~/~~2~/2~
unfais-
~?~ ~2 7/2~~/Z//Z’~/?.
ceau
i o.r/~O~W~. TIIÉOBÈ-.IIF-. Z~ ~~/-.Les di,oî-
tes mrnées d’un /72~/72~
point qi.,el-
~~/2~Z/~ d’un
plan
auxJ’/~’~~//?/~
~~~ de,’Ier,71inezit
qriaire
(Iroitesfi-c-cèes siir ce
/?/~/z y ~~r/7?~/2/
unfciiscc-au
en //~~/~//~/2("/r*).
(") C’est le theorcme de
Desargues (
~Inna~‘es , tom XV1I, pag. 181 ).(’_il) Ce théorème et celui
qui
leprëc’de
se trouventconsignés
dans unmémoire inanusertt de M. Sturtn cr dont nous avons
publie
deux extraitsdans notre XVIL~ volurne, et que son étendue ne nous a pas
permis
de pu...blier en entier ; ;mus rautenr,
qui
n’a pas songe à les déduire de son théo-r~nie
général
ou de celui deDesargues,
en doûue des démonstrations di- rectes.J. D. G.
DE PECHERCHE.
i 365On ne doit pas
perdre
de vue, dans toutceci,
que si deuxdes
sixpoints
oa deux des sixdroites ,
nonconjugues
l’un à l’au- tre, y se confondent accidenteHemeut avec leursconjugués
respec-tifs, auquel
cas le nombre despoints
ou des droites seréduira
à
quatre seulement ,
on aura alors une section ou un faisceau har-monique.
xi.
Reprenons l’équation
que l’on
peut considérer généralement
commel’équation
communeà toutes les
coniques passant
par lesquatre
mêmespoints
donnéspar les
systèmes d’équations
il est visible que l’on satisfera aussi à
l’équation (i) quels que
soi.eut y et
1/,
par chacun des deuxsystèmes d’équations
pu isqu el’ él j 111 i na ti 0 n ,
soitde y
entre les deuxpremières,
soit dey~
entre les deux autres, fait retomber surl’équation (1).
Donc lesdeux
premières,
ainsi que les deux dernièresappartiennent
à deuxdroites
qui
secoupent
sur lacourbe ;
«~ mais les deuxpremières
ap-partiennent respectivement
à deux droitesqui passent
par lespoints ( A, .~ ) , ~ ~lj , B’ ) ,
tandis que les deux dernièresappartien-
nent à deux droites
qui passent respectivement
par lespoints (./.4 , J3~)~ (~~2?);
donc les deuxpremières
sont celles de deux cor-des menées de l’un
quelconque
despoints
de la courbe aux deux7~. ~777.
5 i366
NOUVELLE METHODE
points ( ~4, ~ ) , ( ~~, -C~ ) ,
tandis que les deux dernières §ont cel- les de deux cordes menées d’un autrepoint également quelconque
de la courbe aux deux
points ( ~, B~ ~ , ( ~~, B ).
On
peut
donc considérer cesquatre cordes,
et les deux côtés op-posés .~,
.~’ duqnadrilatèr~,
comme les côtés d’unhexagone quel-
conque
inscrit,
et alors lescouples
de côtésrespectivement
oppo- sés de 6ethexagone
seront donnés par lescouples d’équations
lesquelles
détermineront aussiconséquieminent
lespoints
de con-cours de ces
couples
de côtésopposés ;
or, il est visible que l’é-quation
est
également
satisfaite par chacune de cescouples
enparticulier ; doiic
cette dernièreéquation
est celle d’une droitequi
contientles
points
de concours des directions des côtesopposés.
Delà ,
etpar la théorie des
polaires réciproque,
on coliclura ces deux théo- rèmes si courus et si i fécouds ea b e Il e ~e 0 n .) l~ q -1 e l) ces:
12.
2YZÉ~~E.
D,,ns tout 13.1"F, É 0 Pi- È,-",IE.
D a n s t o ii t~~~~~/?~
//?.y~~// ~ uneconique, ~~jr~~/2~
~/r~~~~~~/~ ~ iiiie c(,,ni .- les~~//2/~
de ~6’/2~7~ry des direc- que , les droilesqui j’oig.,~-ent
les/~/~~~r~/~~/?9~~~~7~7~/~/2-
sorizi7îets~73~~~
~9/2~~~r~/2/ tou-y?~/2/ tous /r9/~ ~ uize ~7~/72~ di-oite. tes trois en Z//2
W~~ ~C//2/.
On ne doit pas
perdre
de vue , dansl’application
de ces théo-ft’nles,
que les six mêmespoints, pris
sur uneligne
du second -ordre
1peuvent
être les sommets de .~/jr///?/~hexagones inscrits,
et que les six mêmes
tangentes
à cette courbepeuvent
être tes cô- tés de soia-,(i.,7!ehexagones circonscrits,
et que les deux théorèmesque
nous venons de démontrer ont lieuégalement
pour tous. FauteDE RECHERCHE. 367
de
cetteattention,
onpourrait prendre
pourthéorème
not~~Teau , relatif à l’un de ceshexagones ,
un de nos théorèmesappliqué
àtm autre et
transporté
ensuite àcelui-là ;
telsseraient,
9 parexenaple,
ces deux-ci :
l~ans tor~t
~~e~Gbone
insr~rit àune
coni~r~e ,
lepoint
de con-cours de deux côté.s
qui
rie sontni
consécutlfs
niopposr7s , le point
de concours de leurs
t~ppose,s
res-pectifs
et lepoint
de concours desd,r-oiies
qui joignent
les deux cou-ples
de sornmetsopposés qui
dé-terminent les dcu,a° côtés restans ,
al)pariieizizent
tous trois à unemêrrre droite.
Dans tout
~‘cxa~clrzc
circons-crit à une
oonirir,re ,
la drotiteGui joint
dez,,x st~rrmets~r~z’
ne sontni
consécutifs
z~-,in~pnsés,
la droitequi joint
leursopposés re~~~ec~~r~ js
et la droite,
qui J’oitit
lespc)ljils
de corlt~uurs des deu-z
coz~pl~s
de,cdtés
c~ppc~scs ~ ~cti
déter~rntiaunt l~-s deux sorî-zt,-iels r~.Çtans , (-otit-ou-rent toutes trois en iip., méi7ie
point.
13. Si l’on suppose que les fonctions
linéaires A .~f’~, B,
B~ sonten .r~,~, on
obtiendra,
sans aucun nouveau calcul relative-ment aux
angles
tétraèdresgauches
inscrits et auxquadrilatères
gau-ches circonscrits à une surface
réglée
du secondordre,
des théo-rèmes
analogues
à ceux que nous venons d’établir.1 4...
Si l’on suppose ensuite que cesfonctions,
soit en xet ~y
soit x~ , y~ , z , 5 au lieu d’être linéaires sont d’un même
degré quel-
conque ,
supérieur
aupremier ,
on obtiendra des théorèmesgéné-
raux, soit sur le
système
dequatre
courbes du mêmedegré
oude même