• Aucun résultat trouvé

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

vi

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Quatrième année. — N0 74

Prix du numéro IO centimes

Samedi 13 septembre 1890.

B u r e a u x : B u e Neuve, 19

ABONNEMENTS

Un an : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Union postale . 12 » 0 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » , . , _ . Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonct!S se paient d

,

avance

Organe d e 1» Société i n t e r e a n t o n a l e des i n d u s t r i e s d u J u r a , des C h a m b r e s de commerce, des B u r e a u x de contrôle et des Syndicats i n d u s t r i e l s .

Ls ligue contre le renchérissement de la vie

I.

11 faut de l'argent, beaucoup d'argent, pour faire face aux charges toujours croissantes du budget fédéral, aux dépen- ses militaires, à celles que nécessitera l'organisation et le fonctionnement de l'assurance obligatoire contrelesaccidents, aux demandes toujours plus nombreuses de subventions sollicitées de la Confédé- ration par les cantons, par le commerce et l'industrie, par l'agriculture ; on pré- voit aussi que les réformes sociales qui sont dans l'air, ne s'accompliront pas sans le secours de la Confédération et que de nombreux millions y passeront.

Tout ceci est hors de doute, et chacun reconnaît que nous sommes lancés dans une voie sur laquelle nous ne pouvons marcher d'une allure rapide, sans dépen- ser de l'argent, beaucoup d'argent. Seu- lement, où le prendre?

Il y a, il faut le reconnaître, une cer- taine contradiction, dans cette tendance à demander l'appui matériel de Ia Con- iédération pour toutes les entreprises d'intérêt général, pour toutes les réfor- mes économiques et sociales réclamées par une notable fraction du peuple suisse, et l'opposition qu'on lui fait chaque fois que les nécessités budgétaires l'obligent à trouver de nouvelles ressources. Môme on va jusqu'à poser comme axiome qu'aucune des administrations fédérales qui correspondent à des services publics, postes, télégraphes, téléphones, et che- mins de fer, quand Ie rachat sera accom- pli, ne doit constituer une ressource fi- nancière pour la Confédération, que les taxes [doivent être abaissées jusqu'au point précis où l'équilibre financier ris- querait d'être compromis, enfin, qu'il est immoral que les administrations fédéra-

les soldent leurs comptes annuels par uu boni!

Comme on le voit, la situation du Con- seil fédéral est fort délicate.·;.il a le choix entre l'élévation des droits de douane, ou des monopoles productifs... ou des éco- nomies. Mais lorsqu'on élève les droits, les classes de la population frappées par ces relèvements se lèvent comme un seul homme pour protester et les monopoles rencontrent de nombreux el ardents ad- versaires. Quant aux économies, notre ménage fédéral est conduit avec un tel ordre, avec une telle économie qu'on ne voit guère où il faudrait rogner; sauf peut-être au budget militaire, qui nous coûte chaquo année les oreilles, sans compter les perspectives plus ou moins lointaines mais certaines de nouvelles dépenses, dues aux fortifications dont nous n'avons encore posé que les premiè- res pierres.

Mais ici encore, les avis sont très par- tagés; les uns, et ils sont nombreux, en- visagent qu'on est allé beaucoup trop loin el que nos dépenses militaires sont hors de proportion avec les exigences d'une instruction adaptée au soldat-citoyen.

D'autres au contraire, plus pessimistes à l'endroit des dangers que nous pouvons courir, ou se croyant plus compétents, affirment avec non moins de conviction que le militarisme à outrance que nous pratiquons dequis quelques années, est une nécessité de premier ordre au point de vue de là défense nationale et de l'existence même de la patrie. Les char- ges militaires nous écrasent, c'est certain et pourtant qui voudrail.encourir le re- proche de n'avoir pas assez fait, si un danger sérieux nous menaçait!

Donc, il faut de l'argent, beaucoup d'ar- gent pour les dépenses présentes et futu- res; où le trouver?

Le Conseil fédéral, ou pour parler plus exactement la majorité du Conseil fédé- ral répond par une majoration générale de tous les points du tarif des péages, en accordant la place d'honneur aux objets

1

de première nécessité, ce qui, soit dit en passant, est une violation formelle de l'ar-' licle 29 de la Constitution fédérale, qui prescrit expressément que les objets les plus nécessaires à la vie seront taxés le plus bas possible. Mais déjà en 1884 et

en Ί887, ce principe fondamental de no­

tre économie nationale n'avait pas été

suffisamment respecté, puisque la farine et le bétail de boucherie avaient subi des augmentations non justifiées.

Avons-nous réellement besoin de re- manier le tarif des péages, pour obtenir l'augmentation de ressources dont la Con- fédération a besoin pour faire face aux char- ges nouvelles qui lui incombent? Le Con- seil fédéral dit oui, le comité de la Ligue contre le renchérissement de la vie dit non. En effet, nous lisons ce qui suit dans le manifeste qu'elle vient d'adresser au peuple suisse:

« Le produit brut des péages fédéraux a été, en 1888 de 26 millions de francs et en 1889 de 27 millions et demi. En 1890, à en juger par les recettes du premier semestre, ce produit atteindra le chiffre énorme de 32 millions! C'esLla somme que le Conseil fédé- ral se propose d'obtenir au moyen de la nou- velle révision du tarif ; dès lors celle-ci de- vient absolument inutile. Si les réclamations formulées par les protectionnistes étaient ad- mises, le revenu annuel des péages serait plus que doublé ; il dépasserait GO millions de francs. »

Le but du Conseil fédéral étant atteint

grâce au développement normal et natu-

rel de nos transactions, qui fait monter

le produit brut des péages au chiffre que

l'on voulait obtenir par l'élévation des

droits, il semble que tout soit dit. Mais

il y a autre chose que le besoin de rem-

plir la caisse de la Confédération pour

(2)

. . ,

354 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

faire face aux dépenses courantes et à celles que nécessileront les réformes éco- nomiques et sociales auxquelles la Confé- dération sera appelée à donner son con- cours, il y a un fort courant protection- niste, qui se développe dans tous les pays européens et qui a fini par nous ga- gner aussi. Sous prétexte de protéger no- tre agriculture, on renchérit le coût de la vie pour l'ensemble de. la population Suisse.

Il s'agit donc de voir si les intérêts de l'agriculture y trouveront vraiment leur compte et si l'industrie peut s'accommo- der de l'aggravation des conditions d'exis- tence que le tarif nouveau imposerait aux milliers d'ouvriers qu'elle occupe et aux populations qu'elle fait vivre.

(A suivre.)

A S S E M B L É E D O L T E N

Les nouvelles les plus réjouissantes par- viennent au comité de la Ligue contre le ren- chérissement de la vie et tout fait prévoir que ' l'assemblée d'Olten réunira un nombre con-

sidérable de délégués.

Il importe surtout que toutes les associa- tions patronales et ouvrières de l'industrie horlogère se fassent fortement représenter.

L'assemblée d'Olten aura certainement une grande influence sur les décisions des Cham- bres fédérales; la manifestation doit être grandiose, si l'on veut impressionner les pro- tectionniste à outrace, qui rêvent d'enlever à nos populations industrielles ce dont elles ont le plus besoin, la vie à bon marché.

Manifestations socialiste

Les socialistes se préparent à fêter le 1er octobre, date de l'expiration de la loi qui les vise, par des réjouissances publiques. Hier, dans une réunion de membres du parti, le compagnon Guenther a proposé d'organiser à Berlin des illuminations le soir du 1er oc- tobre. Cette molion a été accueillie par des applaudissements enthousiastes. Au même moment, les socialistes de Hambourg pre- naient une résolution analogue. Le mouve- ment s'étendra sans doute, et l'on peut s'at- tendre à voir des manifestations de ce genre se produire, le 1er octobre, dans tous les grands centres de l'Allemagne.

Du reste, ce n'est pas seulement de fêter ce qu'ils appellent leur délivrance que s'oc- cupent les socialistes. Ils prennent en ce moment toutes les dispositions pour faire en- trer le plus grand nombre possible de leurs amis dans les assemblées municipales et pro- vinciales ; les succès qu'ils ont remportés ces derniers temps, à des élections partielles, ont été pour eux un puissant encouragement.

Congrès contre l'alcoolisme

Le troisème congrès contre l'alcoolisme, dont les précédents ont eu lieu à Anvers en 1885 et à Zurich en 1887, vient de finir à Christiana. Il y avait eu aussi des congrès internationaux à Paris en 1878, à Bruxelles en 1882 et pendant l'exposition universelle de Paris en 1889. Mais leur but était plutôt l'étude scientifique des questions relatives à l'alcoolisme, et ils étaient essentiellement

composées d'hommes de lettres, tandis que, dans le congrès d'Anvers, de Zurich et de Christiana, on a cherché des remèdes prati- ques contre l'ennemi terrible qui ruine tant de familles; les délégués sont des hommes pratiques, des philanthropes, des médecins, des directeurs d'asiles pour ivrognes, etc. Ce troisième congrès a eu lieu du 2 au 5 sep- tembre, dans la grande salle de l'Université de Christiana. On comptait quelques centai- nes de participants, venus de toutes les ré- gions de l'Allemagne, de l'Angleterre, de la Belgique, etc., et même de l'Amérique et de l'Australie. La Suisse y avait onze repré- sentants, parmi lesquels MM. le Dr Auguste Forrel, professeur à Zurich, le directeur MiI- liet de Berne, le pasteur Rochat de Genève, etc. Christiana avait été choisi surtout parce que la Norvège a pris une position très avan- cée à l'égard des mesures contres les bois- sons alcooliques, et les membres du congrès précédent désiraient voir de leurs propres yeux les résultats de ce système.

Dans le courant des dernières quarante années, la consommation de l'alcool a dimi- nué énormément; elle était auparavant pour chaque individu de 7 G[IO de litres, en moyen- ne, par an ; elle est tombée à 1 2[10 de litre.

Ge résultat est dû à ce que les autorités de chaque commune peuvent fixer le nombre des débits d'eau-de-vie, debière, etc. et aussi réunir ces débits privés dans une ou quel- ques sociétés, où les actionnaires ne reçoi- vent qu'un dividente très réduit, et le reste est consacré à des entreprises d'utilité pu- blique, de bienfaisance, etc. Ensuite l'impôt qui doit être payé à l'Etat pour la fabrication de l'alcool et à la commune pour la vente est si élevé que le nombre des débits et la con- sommation diminuent considérablement.

Questions industrielles

Le rapport de la direction de l'Intérieur du canton de Berne — section de l'économie publique — pour l'année 1889, vient de pa- raître. Nous en publions le chapitre qui a trait à la loi fédérale sur le travail dans les fabriques, et aux syndicats obligatoires :

« Le Département fédéral de l'industrie a invité les cantons à lui donner leurs préavis sur quelques questions importantes soulevées au sein des Chambres et concernant la ré- vision et l'extension de la loi sur les fabri- ques. Ces questions sont : 1° la motion Com- tesse tendant à l'extension du régime de la loi sur les fabriques ; 2° la motion Cornaz vi- sant l'introduction des syndicatsobligatoires;

3° la revision de l'article 12 de la loi en vue d'obtenir une définition de ce qu'on entend par « travaux accessoires » ; 4° la question de communication au Conseil fédéral ou de la publication des jugements relatifs à des contraventions à la loi. Nous avons pensé, dit le rapport, qu'il serait agréable aux auto- rités fédérales de connaître non seulement l'opinion des gouvernements, mais encore celle des populations plus directement inté- ressées, et c'est pourquoi nous avons inter- rogé les préfets des districts industriels, ainsi que les principales sociétés commerciales et industrielles du canton. Les 12 rapports qui nous sont parvenus ont été transmis au Dé- partement de l'industrie, après un travail de coordination. Le préavis du gouvernement peut se résumt r ainsi : 1° La limite de la non-soumission à la loi des établissements industriels, sans moteurs mécaniques, doit être fixée au chiffre de 12 ouvriers, en ne comptant pas les ouvriers auxiliaires occupés au dehors. 2° La création do syndicats obli- gatoires n'est pas admissible, parce qu'elle est en contradiction avec le principe de la

liberté du commerce et de l'industrie. 31La révision de l'article 12 de la loi est inutile ; un arrêté interprétatif des Chambres suffit ; 4° La communication des jugements au Con- seil fédéral est désirable ; en revanche, la publication do ceux-ci doit être repoussée comme étant une mesure trop rigoureuse et nuisible. »

« En outre, le gouvernerai mt devait encore donner son préavis sur les points suivants : 1° sur une pétition de la Société des filateurs contre l'in.;lusion de la pause des repas et des travaux de démontage et de nettoyage dans la journée normale; 2° sur la pétition de la Typographie, concernant la réduction des heures de travail dans les imprimeries. »

« Aux 324 établissements industriels qui, à la fin de 1888, étaient placés sous le régime de la loi, on en a ajouté 28 autres ; en revan- che 11 ont été biffés de la liste des fabriques, de sorte que le nombre des établissements soumis au régime de la loi s'élève à 341, à la fin de 1889. Voici la répartition de ces éta- bissements dans les districts du Jura : Cour- telary 28; Delémontl2; Porrenlruy 13 ; Lau- fond 8 ; Franches-Montagnes 6; Neuveville 4 et Moutier 19.

L'horlogerie française

Le 14 septembre aura lieu à Besançon une réunion des fabricants d'horlogerie de Montbéliard et de Besançon pour s'occuper de la discussion des tarifs douaniers devant les chambras. Les sénateurs et députés du Doubs, Belfort et Lure y sont convoqués.

NOUVILLRS DlVKRSRS

I m p o r t a t i o n et exportation p e n d a n t le mois de juillet IHtt»

Importation.

Nombre de pièces.

Mai 1800 18H0 fines 1,842 1,700 et boîtes à musique 137 149 boîtes nickel 10,452 5,929

J. argent 1,123 997

» or 1,126 018 Exportation.

fines 13 35 et boîtes à musique21,215 17,992 boîtes nickel 108,194 108,027

» argent 180,337 179,934

» or 40,898 42,762 Horloges

Carillons Montres,

Horloges Carillons Montres,

L e e e o n d i t i o n e d u t r a v a i l e n F r a n c e .

— Le ministre du commerce se propose de faire une grande enquête sur les conditions du travail en France. Cette enquête porterait sur les salaires, sur la durée du travail ainsi que sur les accidents du travail et la morbi- dité professionnelle.

A cet effet, des questionnaires seraient en- voyés à tous les chefs d'industries afin d'a- voir des informations des plus exactes sur les divers modes du travail (à la tâche, à l'heure, à la journée, à la semaine, à la quin- zaine ou au mois), sur la régularité du travail, sur le travail de jour et le travail de nuit.

L'enquête s'étendrait non seulement sur le nombre, le sexe, la nationalité et le salaire moyen des ouvriers, mais aussi sur le mode de paiement et sur les institutions créées en vue d'accorder aux ouvriers une rétribution plus complète du travail, telles que primes, sursalaires, participations aux bénéfices.

Le questionnaire vise également les insti- tutions touchant la vie économique des ou- vriers, telles que économats, maisons ouvriè-

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

355

res, subventions gratuites en nourriture, vêtement, logement et chauffage.

Les renseignements concernant les acci- dents du travail et la morbidité profession- nelle porteraient sur les incapacités de travail, sur le chômage, sur les institutions fondées pour faire face aux accideats et aux maladies;

sur les caisses de secours, etc.

Enfin, on s'efforcerait de relever l'âge des ouvriers et par suite le nombre des enfants des deux sexes au dessous de 16 ans, le nom- bre des ouvriers et ouvrières de moins de 40 ans, de 40 à 60 ans et de plus de 60 ans.

A l'aide de ces informations, on pourrait dresser des tables de morbidité profession- nelle.

Cette grande enquête servirait de base à l'étude des questions ouvrières dont on se préoccupe en ce moment.

Les résultais seraient centralisés par le service de la statistique du ministère du commerce et de l'industrie. M. Jules Roche demanderait au Parlement, à la rentrée un crédit de 400,000 francs pour faire face aux dépenses que nécessitera ce travail.

Eie r e n c h é r i s s e m e n t «le l a h o u i l l e . — La Gazette libérale, du 3 septembre, signale la formation dans les discricts houilliers de Westphalie,de syndicatsde compagnies houil- lières ayant pour objet de limiter à un certain chiffre la production du charbon de terre, afin de maintenir les prix à un taux minimum relativement élevé. Les compagnies de Dort- mund, de Bochum et d'Esseï, notamment, ont formé entre elles une association de ce gonre pour une durée de cinq ans, c'est-à- dire jusqu'au 1e r octobre 1895.

« En présence de ces faits, ajoute la Ga- zette libérale, il ne faut pas s'étonner si les consommateurs de charbon de terre s'inquiè-

tent. Autrefois, alors que les prix des char- bons étaient peu élevés, la constitution de syndicats semblables n'offrait rien de par- ticulièrement alarmant. Mais il n'en est plus de même aujourd'hui que les prix, à la suite de hausses continues, ont atteint un taux considérable. »

La Gazette libérale conclut en émettant le vœu que les intéressés, c'est-à-dire les grands consommateurs de charbon, sortent de leur apathie et constituent, de leur côté, des syn- dicats ayant pour but d'organiser la résistance contre les prétentions exagérées des compa- gnies houillières.

S t - U r e a n n e . — Le Patjs annonce que la maison Siegrist Lipp, à Chaux-de-Fonds, a conclu un accord avec la commune de Saint- Ursanne par lequel la susdite s'engage à éta- blir dans l'anciennne usine de M. Jules Fat- tet, une importante fabrique d'horlogerie.

liimle d e s m a r c h a n d e h o r l o g e r · ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Flaùr-de-Lis : Liste dressée jeudi 4 septembre i890, à 5 heures du soir : MM.

TrMa, Barcelone. — Schiffer, Bucarest. — Hirsch, Vienne. — Brenner, Cracovie. — Calvino, Turin. —: Sochat, Mayence. — Ro sen-Rlatt, Kowno (Russie). — De Botton, Sa- lonique.

lies a n n o n c é e c o n c e r n a n t les offres et d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o u d'em- ployés p o u r l'horlogerie, a i n s i q u e les convocations d'assemblées d'as- sociations p a t r o n a l e s et o u v r i è r e s j o u i r o n t d ' u n p r i x de f a v e u r et s e r o n t i n s é r é e s à r a i s o n de IO centimes la ligne o u son espace.

P r i è r e d ' a d r e s s e r les c o m m u n i - cations à la R é d a c t i o n de Ia F É D É - RATION HORIiOCiÈRB SUISSE, à Bien ne.

Φ ύ h 0 P)

φ Φ

i

h 0

0

§

T

J

."s

a

O

i s

Q

ë O

i

s Q

O

* 9 S β

ι I I I I I I I I I I

209.— 100. 15 124.— 25.30 99.50 100.20

© Ι 1 5 0 0 · " * · « ί © 0 O I 3*

0 5 0 - * - « i i c 5 i Ô 0 3 C ? O r - - i n 0 © < ï * S « l * J < N 0 5 © © » i

ι Ο Ι Ο β ι - Ο Ο Ο Ο Ο Ο " * I — C3 O 3*1 CVl IO ~- -- IO rH C î O î ô c O i L O i f 5 c f t O © - * à r 5 0 3 & t ^ ^ ? 1 0 1 0 0 9 1 ( M - ^ - « - • * - -*«T-t(N

-2.·""" - "

S» ι ·* I ··* I toeo ! 5» i

«1

Belgique, places bancable. . . . Allemagne, places bancables, court » versements ou chèques. Italie, places bancables, court . . France » » ».:.., Paris, versements et chèques. . .·'..

U

'S.

"3 α

Φ >

•Φ α α φ­

ίο

êo

10

«β - >

Φ

α !-.

» Φ CO

Q,

a

ν

I

'S

a

eo

"s

er

•Ξ,

Φ U)

a

J 3 O Γ-a

O a.

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN

EDITION 1890

LIVRE GENERAL D'ADRESSES

pour la fabrication de bijouterie et d'horlogerie en Allemagne

Prix, y compris deux suppléments : 10 francs

L'envoi se fait contre paiement fait a l'avance de i franc pour port

Le LIVRE GÉNÉRAL D'ADRESSES pour l e s f a b r i can t s debijouterie et d'horlogerie d'Allemagne contient les adresses ! De toutes les fabriques de bijouterie ;

De toutes les usines de matières d'or et d'argent ; De tous les bijoutiers, marchands en gros et exportateurs de bijouterie ;

De tous les exportateurs de matières d'or et d'argent ; De toutes les branches s'y rattachant, telles que : fabriques île machines, mécaniciens, laillages de pierres et de pierres fines, magasins et commerces en gros, contrôles pour maliens or et argent, bijoutiers, monteurs, guillocheurs, eslamperies, etc.

De tout commerce de vente de bijouterie et matières d'or et d'argent ;

De tontes les fabriques d'horlogerie ;

De tous les commerçants d'horlogerie en gros et expor- tateurs ;

De tous les magasins d'horlogerie ;

De lous les fabricants et marchands d'horlogerie en Allemagne

Ce livre est indispensable à toute nouvelle maison de fabrication, d'achat et de vente de marchandises terminées et non terminées.

Le tirage est de 10,000 exemplaires garantis. Le LIVRE D'ADRESSES, lu dans les cercles compétents, est répandu dans toutes les parties du monde; il est valable jusqu'en i 892

PRIX DES ANNONCES 1 page 1 8 χ 1 1 cm.

V2 » 9 X H cm.

1A · 4 V2X l I cm.

Une page en vue

100 francs 60 >

40 >

125 >

Petite annonce 1—10 lignes nompareille, 15 francs Les commandes au LIVRE D'ADRESSES avec SUPPLEMENT et annonces sont reçues par W. A. MEIER,

libraire à PFORZHEIM (Bade), qui se charge aussi de tous renseignements. gis Vente exclusive pour la Suisse au bureau de l'Indicateur, F.-L. DAVOINE, à Marin (Neuchâtel)

l

f ^ p c ^ P i l ^ ^ ^ p ^ ^ ^ l P ^

Î ^ P ^ P ^ E ^ ^ ^ P ^ P Î ^ ^ ^ B '

(4)

356 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRË SUISSE

USINE DE DEGROSSISSAGE D'OR ET D'ARGENT

A. HEMMA|^JCHAFFHOUSE

V e n t e , a c h a t e t fonte d e m é t a u x p r é c i e u x

, , O B E ï ï S E T S IDIE T O U T E S O-IR/A-IÊTIDIETTIE^S Or fin pour doreurs

PRÉPARATION ET EXPLOITATION DE CENDRES ET AUTRES MATIÈRES CONTENANT OR ET ARGENT

SAS-SASeKs SAS eJ® "SAS S A S S A S @j(sf S A S ® ^ eKs l l A s e K s a K s f eAseXs

AX TIIWM â : C u

MÉCAJSlC IENS-COMTRUCfEVRS .',-", GENÈVE

Machines de précision à l'usage de l'Horlogerie el de la Bijouterie ι Balanciers.

— Blocs à cylindre. — Matrices et poinçons] —Perceuses. — Taraudeuses.

— Planleçsee. — Tours divers, automatiques ou non automatiques. — Fraiseuses.

— machines à tailler, automatiques et autres, etc.'

. INSTALLATION COMPLÈTE D'USINES POIJB LA . FABRICATION ttKCANIQUE, d'après les derniers perfectionnement». ' . , 603

Outillages divers pour la petite e t Ia moyenne; mécanique. — Tours

> a m a t e u r s . . ' ' • ' • - ! ' . ' . , ' . La maison reçoit les offres de MM. les Inventeurs pour l'exploitation de .leurs b r e v e t »

FABIIlCAΊΊΟΝ I)IiIJIJOUTRmE

•'¥1 BIENNE

Wf&ïïfè?®

IiUXl

971

S p é c i a l i t é d e b r a c e l e t s m o n t r é e

' ι ' ' br, argent et acier oxydé.',·

Grande fabrique de roues et fraises en tous genres

L O â l P â l Q , à 6LfSSS (laate-Swoie) Ί

FraUrn à arrondir d'un système perfectionné approuvé après examen e* eeeai par le· horlofjcn le·

;>lu· compétente et lea plue habile*.

, ' Système breveté en Suisse et en France.

vIACHINES A ARRONDIR SYSTÈME CARPANO.

J. H. BENKER, BIENNE

( d e r r i è r e l a g-ax-et m s

DÉPÔT D'ACIERS ANGLAIS

en b a r r e s , tôles, bandes e t en fil S p é c i a l i t é

Aciers p o u r outils e t pour horlogerie.

F A B R I Q I I E D 1 R O R I O G E R I E I

5 E

5 E 5 Ξ 5 rai

&

SIENNE (Suisse)

Le seul fabricant de la

Montre remontoir dite Montre-canne Système breveté sous N 0 135

se remontant en tournant le pommeau de la canne, qui forme la boîte de la montre,

s'âdaptant sur cannes, cravaches, parapluies, etc.

Même système pour bracelets.

MODÈLE ABSOLUMENT NOUVEAU

isi Ξ 5 E 5 5 E

628 15 Z

IS

IE 5 5 E 5 5 5 5 ΓΕ 5

5 E

E 51

MONTRES GARANTIES

mmi&mmmmmmimM^mm>

• ' L'imprimerie de la F é d é r a t i o n h o r l o g è r e e u l e a e se recommande à MM. les Horlogers et aux Sociétés pour l'exécution prompte et soignée de tous les travaux dont ils ont besoin.

(5)

. , ' . ; · ••·

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

357

Peintres

Le s y n d i c a t d e s fabricants de c a d r a n s d'émail de la Chaux de-Fonds désire connaître l'adresse de peintres en romaines, faisant une belle romaine fidèle et régulière.

Ouvrage consciencieux. Prière de renseigner Messieurs (H. 231 Ch.) J. W y s s , fils, président, rue du Doubs, J e a n n e r e t , secrétaire ,

Loge 6. l'58

« HORLOGERIE fi

f β. M l I f El "

ί BIElVNE (Suisse) X 54a, Quartier-Neuf, 54a

i

Γ· Spécialité EENREnLLEMAiDS - g

SH

FABRIQUE DE BOITES OE MONTRES

Argent, galonné et acier

Longeau, près Bienne 1070 USINEHYDRAULIQE

MONTRES SOIGNÉES

TpOtJLV d a m e s ^ j . cylindre et ancre de 7 à Π lignes

BOITES FANTAISIE

RÉCOMPENSES:

Zurich 1883 Anvers 1885

c P a r i s 188Θ

H" THALMANN & G>

ΙΒΙΙΕϋΤΙΕΤΙΕ 928

Fabrique de verres de montres

en tous genres 103Î

Antienne Saison TASTOIX & BASTARB

J. BASTARD & REDARD

2 1 , QUAI DES BERGUES, 2 1

A. GHEIlSrIE]

-

VSl

FABBIOUE D'ASSORTIMENTS

à c y l i n d r e s

Spécialité de petites pièces

EXPORTATION 83^

LYDIC BEAUMANM-

Charquemont (Doubs)

BREVETS D'INVENTION en tous pays

ίϋ

A. RITTER

AICMI élert dt l'Ecole entnl· in ArIt e» Iiiifictgru le Fuii INGÉNIETJH-CONSEIL Ek MATIERE DE PROPRIÉTÉ INOUSTRIEUi

Heumattstrasse, 3, BAUi

" Dépôt de marques de fabrique et de "

desstoa et modelée industriels. '

fABRIQUE D'HORLOGERIE

FRÈRES'BERGEON

I ^ O C L E (Suisse Maison à'Livourne. (Italie) Chronomètres de poche, bulletins l'observatoire, τ- Montres de précis sion, bulletins de réglage. — Montrés^

civiles en tous genres (s| éci;ililés italiennes). — Spécialité de garnîtes*

secondes indépendantes, trois fonc- lions, échappement cylindre, mou- vement ayant un seul corps de rouage et un seul barillet.

Brevetée en Suisse, en France et en

« Belgique. s Récompenses obtenues : Diplôme d'honneur, Zurich 1883, Mé- daille, Anvers 1885, Médaille

d'or. P a r i s 1889. 109*

FEDERATION 1101!1.OCEIlE SCiSSE Téléphone

M É C A N I C I E N

IJn lion mécanicien, bien au courant de l'outillage et des estampes, ayant une conduite régulière et une moralité excellente, trou- verait une place stable et avantageuse dans une fabrique d'horlogerie.

S'adresser au bureau du journal. HGO

UN ÉTABLISSEUR D'HORLOGERIE

d é s i r e e n t r e r e n r e l a t i o n a v e c u n n é g o c i a n t q u i l u i f o u r n i r a i t b o î t e s e t m o u v e m e n t s , p o u r t e r m i n e r 3 à 6 d o u z . p a r s e m a i n e , d a n s n ' i m p o r t é q u e l g e n r e . O u v r a g e d e b o n n e q u a l i t é g a r a n t i . ' • .'• A d r e s s e r l e s o f f r e s s o u s c h i f f r e s A . B . a u b u r e a u d e c e t t e

f e u i l l e . 1156

? MANUFACTURE D'HORLOGERIE Ï I

Spécialité démontres à clef pour à'Angleterre, l'Amérique, l'Orient et les colonies

COULLERY FRÈRES

CONTENAIS près Porrentruy (Siisse)

AVIS AUX INTÉRESSÉS

Par suite de contrefaçon de nos modèles d'aiguilles de montres, déposés à Berne, nous avons chargé Monsieur L o u i s B o i i r c i i i i n , avocat en notre ville, de poursuivre tout contrefacteur, suivant les

prescriptions de la loi fédérale sur les dessins et modèles industriels

du 21 décembre 1888. 1144

>*>..- · La Ghaux-de Fonds, le 21 août 1890.

•·*··-·.: Boillot frères.

* M

BIQUl 31 EOIfI!

ARGENT & GALONNÉ

EN TOUS GENRES

GRANGES

HGl

Usine hydraulique et Usine à vapeur. ψ

PIERRES EN TOUS GENRES

pour mouvements d'horlogerie, en un mot tout ce qui se fait en pierres poi r le mouvement de la montre : Contre-pivots, ellipses rouleaux Dupleix, elc. Pierres

pour boussoles, télégraphes, distributeurs d'eau, et-j.

Assortiments spéciaux p o u r Ie rhabillage. ' Calibres de précision basés s u r le système métrique

au 1/10 et 1/100 mm , savoir:

Filière à pivot.filièrc au grand diamètre, filières po' r ellipses, rouleaux Dupleix, etc.

L-E. JUNOD, LUCENS (Suisss)

Maison (ondée en 1850, occupant plus de 800 ouvriers

Marque de fabrique

La plus importante du moi.ds

!:!

RéeompM.'i! aoi eipositioss de londres I8G2, Chaux dc-Fends ISSl, l'aiis ISSiI.

VENTF, EXCLUSIVEMHNr EN GHOS AUX MAhCIIANDS UE 1-OUItNITUItES

• Kut-oi de prix-courants sur demand-i. Mil Achat de diamants, rubis, saphir chrysolithe, grenat bruts.

J FABRIQUEDEBOITESDEMONTRES

• Métal et acier finies

TTSXÏvriE]

1 3 1 " 2 " P ^ J L T J X J I Q Z T J E I

Système interchangeable

par procédé mécanique 1067

CBATILÂXN ι neoi

à la Rasse de Fournet blanche, Roche (DouL s)

FABRIQUE D'HORLOGERIE

ERNEST JUVET, St-Imier (Suisse)

Exportation pour tous pays de montres simples et compliquées. Sp lité de 1 article a c i e r · , oxidage soigné en tous genres et toutes grandi ,lepines et savonnettes.à guichet.

Dépôt de finissages

4e la fabrique Dubail, Monnin, Frossard & Cie, P o r r e n t r u y .

lécia-

eurs, 1125

(6)

' • ; · ' . · - ·

358 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

USINE GENEVOISE DE DEGROSSISSAGE D'OR, GENÈVE

£3 Représentants exclusifs en Suisse de la IScrmloi-ïci- J X I e t a l l w a a r e i i - l T a b i ' i k (Sckoller &-.Ciè),

*

r

'' de Vienne, pour la venie des alliages de î ^ d

'* m N I C K E L E T C H R Y S O C A I J E

destinés aux fabriques d'horlogerie, de boîtes de montres, de bijouterie, etc.

D É G R O S S I S S A G E S E N C A R R U R E S , L U N E T T E S

5

C I S E L É

D é c o u p a g e s en p l a t i n e s , r o n d e l l e s e t c e r c l e s

984

ÉCOLE D'HORLOGERIE ET DE MÉCANIQUE

d e I S i e n n e , i 40 Apprentissage d'horlogerie ccmplet: 3 ans. Apprentissage d'tnrloge'-ie pour spécialités: 12 à 18 mois. App:entissage mécanicien: 3 ans; las élè\es odprennent à faire les outils pour fal rication mécanique,système perfectionné.

Canrs théoriques dans les deux langues. Nouvelles méthodes d'ense gnemi.nt donnant d'excellents résultats. Entrée à toute époque. S'inscrire auprès du Directeur. LA COMMISSION.

OOOOOOOOOOOQOOOOCOQQOOO g ÉTABLISSEMENT MÉTALLURGIQUE g

Q A c h a t d e c e n d r e s e t l i n g o t s s u r e s s a i Q

f% Fonte de déchets de toute nature «ps>

g VENTE D'OR FIN POUR DOREURS g

8AVI1AI· * «•»

ο

Q > « α ΙΒΤΉΙΊϊΤΙϊΓΈ} ©**>-

U Dépôt de coke de St-Etienne — Charbons de bois O Creusets de toutes espèces

POUR INDUSTRIELS

A vendre ou à louer à Langnau (Emmenthal)

une mai-on contenant deux logements atelier avec tran mission force motrice, en eau, de 2 chevaux, un tour anglais, un balancier, une machine a tailler et divers autres outils. — Jardin attenant à la maison. Conditions

1res avantageuses. \\i&

S'adresser à F \ S o h l a t t e r , député à Madretsch.

O

Gl· R O S w<&. D E T A I L

O OOOOOOOGaGOOOOOOTOOOOOO

BUREIlJ D'HOIILOfiEi l "

CHARLES HOURIET, C O U V E T (Suisse)

Eludes de calibres pour montres simples et compliquées ; mélhode maii.émalique très exacte.

Confection des pointeurs, modMcs, filières, jauges pour la pariai le interchangeabilité de lotîtes les parlies.

Inslallalion complète do fabrications de l'ébauche et de la montre entière avec outillage perfectionna.

Mélhode spéciale d'étampage, anglage pour pièces soignées, plantages très précis de tous les mobiles,

Machines-outils simples et automatiques pour fabriques et

ateliers. 377 P l a n s , D e v i s , R e n s e i g n e m e n t s , C o n s e i l s ,

FABRIQUfS D H O R L O G E R I E

f en tous genres

spécialité de montieo umontoità jmt dames

de 10 à 13 lignes

VCILLIOMEMT-REJMIARDT

B I E N N E (Suisse)

W § * P ^ < W W & & W §

Fabrique de montres — Usine à vapeur

p ! S8T Qd a ii i ^dnr g,e n t· E xP °s i t i o n universelle, P a i s 1 8 7 8 . - Pansl889.-MedailleChauX-de-Fondsl881.-DiplômeZurichl883.

FABRlOCE D'AIGUILLES D E M O N T R E S EiHOLS fiEXRES ET QUALITÉS

Tn WAGlTOlT FRÈHES

JSÏi, WuCOTOlT FHEHES S , ,

M a i s o n f o n d é e e n . X S 1 J2 HJ6

DÉPÔT AU LOCLE

Spécialité d'aiguilles Louis XV, ciselées or, acier, en composition dorée Peines et grandes secondes, Chronographes, quantièmes, compteurs? etc.

NIEDERBIPP (Suisse)

903

Spécialité de remontoirs 18 lignes en tous genres

DEC pour le traite/fient fe maires or, argent et pialine

H. OA.RRE

ESSAVKl K - J U K É DIPLOlTIK F É D É R A L ·

ACHAT **Pm VENTE

RueileNidau — B I E N N E — Rue Neuve Pulvérisation de cm il r es et fontes à prix réduits

Creusets de tous pays Charbons - - Coke de St-Etienne G R O S E T D É T A I L ·

es

Imprimerie de la Fédération horlogère suisse.

Références

Documents relatifs

Beaucoup, qui savent cependant se plaindre amèrement de leur sort dans les conversa- tions particulières, sont incapables du moin- dre effort pour y remédier ; ils reconnaissent

Le contrôleur du Syndicat des patrons monteurs de boites argent et des fabricants de galonné et d'assortiments pour la boîte de la montre, nous prie de communiquer aux

Cette initiative a été couronnée d'un plein succès et les groupes patronaux et ouvriers, rivalisant de zèle dans un but d'utilité générale, ont compris toute l'im- portance qu'il

Tant que la question de notre organi- sation industrielle s'est présentée comme une chose plus ou moins abstraite, tant qu'on l'a discutée au point de vue théori- que, des

Cette assemblée, à laquelle toutes les sections se sont fait repré- senter, a eu lieu dimanche 1 er décembre, à Langendorf, et elle a décidé à l'unanimité, en se basant

phone ont été sacrifiés aussi de la même façon à la sécurité publique. Toute la population de la ville est dans la plus grande agitation ; une foule énorme passe la journée

L'appui financier et moral des bureaux de contrôle ne manquerait pas de contribuer puissamment aux progrès d'une œuvre qui tend au relèvement de l'industrie horlogère en général

Mais les patrons dissidenls avaient fini par s'accoutumer à vivre avec celle pers- pective d'une grève loujonrs annoncée et toujours différé et quoique des offres très