• Aucun résultat trouvé

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

J U,e sG f . » « r , a » f » * «M

Berne 3

Deuxième année. — N0 81 Samedi 13 octobre 1888.

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Autres pays . 8 » l » port en sus On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonces> se paient d

.

avance

P r i x du numéro IO centimes

SÎSÉfe

B u r e a u x : R u e Neuve 3 8 * Une baisse, les conflits.

(Fin.)

Nous avons, dans notre dernier numéro, commenté, en nous plaçant à un point de vue général, la décision prise au der- nier congrès de délégués des sections ouvrières de la Fédération, relativement à Ia question des baisses ; nous voulons examiner aujourd'hui quel rapport ont ces décisions avec lu cas de deux baisses successives opérées par un fabricant bien- nois sur le démontage et remontage de la pièces 11 lignes.

La preuve a été fournie que, même après Tes deux baisses qu'il a appliquées, ce fabricant n'est pas descendu aux prix payés par ses concurrents.

Dans ces conditions, le devoir des ou- vriers est tout iraeé. S'ils veulent le réta- blissement des prix anciens, ils doivent agir par les moyens en leur pouvoir pour obtenir l'unification du prix par l'établisse- ment d'un prix moyen, ainsi que cela est prévu dans les statuts de la Fédération ouvrière.

C'est ce qui a été compris, et comme la section ouvrière hésitait à prendre l'ini- tiative d'une convocation des patrons intéressés, elle s'est adressée, en date du 23 septembre, au Comité de Ia Société des fabr cants de Bienne, soit au syndicat que cela concernait, par une lettre dont nous reproduisons les passages suivants :

Nous vous signalons deux baisses succes- sives faites dans les remontages de la pièce 41 lignes, par M. . . . qui donne comme motif de ces baisses, que les autres fabricants de Bienne paient des prix inférieurs aux siens.

Nous attirons votre attention sur le fait que la pièce 11 lig. qui est difficile à fabriquer et pour laquelle le remonteur a beaucoup plus de peine que pour les autres grandeurs, est à la veille d'être avilie comme l'a été la 13 lig.

et qu'il est utile autant pour les patrons que pour les fabricants de ne pas la laisser des- cendre plus qu'elle ne l'est.

Nous vous demandons en conséquence de bien vouloir examiner attentivement cette question et de travailler avec nous pour que le repassage, démontage et remontage de la

pièce 11 lignes soit payé d'après un prix uniforme par tous les fabricants d'horlogerie de Bienne.

Il nous paraît urgent que vous vous occu- piez de cette affaire afin que Ie tarif soit éla- boré avant que les fabricants qui sont à la veille d'entreprendre aussi la 11 lignes aient commencé de la fabriquer.

C'est dans un sentiment de conciliation que nous vous écrivons et nous espérons vivement que notre syndicat ne sera pas obligé de prendre des mesures autres que celles que nous pourrions arrêter en commun.

Le Comité de la Société des fabricants convoqué d'urgence, décida une réunion des fabricants désignés par la lettre du Comité ouvrier comme produisant la pièce H lignes; cette réunion eût lieu quelques jours après.

On constata qu'il y avait, en effet, cer- taines inégalités dans les prix payés sur la place de Bienne pour le démontage et remontage de la pièce 1 1 lig. et que le fabricant incriminé payait des prix supé- rieures à ceux de ses concurrents.

La question fut posée comme suit : Les baisses qui se produisent dans les différentes parties de Ia pièce 11 lignes, ont-elles pour cause la concurrence que se font entre eux les fabricants de la place de Bienne "qui fabriquent ce genre, ou la cause en est-elle dans la concur- rence faite à la place de Bienne par d'au- tres centres de production ?

La question était ainsi placée sur son véritable terrain ; les fabricants présents à la réunion ont déclaré être favorables à l'unification du prix des repassages et remontages de la pièce 41 lignes, mais sous la réserve formelle que les prix payés à Bienne ensuite de cette unifi- cation ne soient pas supérieurs à ceux payés dans les autres centres horlogers où l'on fabrique celte pièce.

La section ouvrière, nantie de celte première décision, s'occupe de recueillir les renseignements nécessaires par l'in- termédiaire des autres sections ouvrières;

une fois ces renseignements obtenus et comparés, les fabricants biennois pour-

ront prendre une décision et discuter un prix moyen.

La question en est là ; et nous ne pen- sons pas qu'elle puisse être correctement résolue sans qu'il soit tenu compte de la situation qu'occupent, vis-à-vis l'un do l'autre, les producteurs biennois de la pièce 11 lignes, comme aussi de la posi- tion que la place de Bienne occupe vis-à- vis des autres places horlogères où l'on fabrique aussi cette montre.

Il en sera d'ailleurs de même chaque fois que l'on voudra procéder à l'unifi- cation des prix d'une partie quelconque ; ces questions de prix et de tarifs doivent être traitées pour elles-mêmes, et résolues sans qu'il puisse en résulter un préjudice ou un avantage pour l'un ou l'autre de nos centres de production.

Le principe de la solidarité, qui est à la base de la Fédération horlogère reste- rait lettre morte ou serait une duperie s'il n'avait pour point d'appui la justice et Véquité. Or nous ne voulons ni les uns ni les autres, pas plus les ouvriers que les patrons, nous mettre au service d'in- térêts particuliers, locaux ou régionaux.

Nous aurons l'occasion de revenir sur cette affaire qui emprunte un intérêt tout particulier à la circonstance que c'est la première tentative faite, dans la partie du démontage et remontage, pour arriver à l'unification des prix, par une entente directe entre patrons et ouvriers.

Le nombre des fabricants qui produi- sent jusqu'ici la pièce 11 lignes, est assez restreint pour que l'on puisse espérer qu'une entente générale soit possible.

Ce sera un bon commencement et, quoi- que l'expérience soit tentée sur une très petite échelle, elle pourra servir de point de départ à l'unification successive des prix de revient d'autres genres de montres.

Mais une constatation intéressante a

été faite; c'est que les ouvriers qui sont

payés au tarif le plus élevé ne sont pas

(2)

' 362

toujours ceux qui réalisent les gains les plus élevés. La plus ou moins grande perfection des diverses parties de la mon- tre exécutées antérieurement au démon- tage et remontage et surtout les exigences plus ou moins grandes du fabricant en ce qui concerne l'état dans lequel l'ou- vrier doit livrer la montre terminée, inter- viennent dans la question du gain moyen réalisé.

C'est un facteur important, duquel il faudra sans doute tenir compte dans l'application des tarifs uniformes élaborés par les sections ouvrières.

» υ m • ι

Les syndicats industriels.

Le mouvement qui a abouti à la constitu- tion de la Fédération horlogère suisse est encore considéré par certaines personnes comme le produit d'une disposition d'esprit quelque peu subversive, qui exige plus de méfiance que de sympathie. C'est qu'aussi il est des gens doués d'une prudence parfois excessive, des gens qui voudraient bien ap- prendre à nager, n'était la crainte de se mouiller et le danger plus grand encore de se noyer.

Au risque d'effrayer davantage ces person- nages timides, nous leur dirons que les grou- pements industriels ne sont point une mani- festation d'origine absolument récente; et bien plus qu'ils se propagent rapidement un peu partout. En Allemagne, les syndicats industriels ou « cartels » comme on les ap- pelle dans ce pays, remontent à un demi- siècle environ. Si, en Suisse, on n'a pas jus- qu'ici recouru à ce genre de remède pour guérir les plaies industrielles, c'est que la surproduction, fille de l'expansion anormale de l'industrie, est de date toute moderne.

Actuellement, les syndicats industriels s'imposent aux industries qui gémissent sous le poids de la concurrence que ses membres se font entre eux. C'est une question de vie ou de mort, et bien aveugles sont ceux qui ne veulent pas se rendre à l'évidence. Vivre unis ou mourir individuellement tel est le dilemme !

Dans des circonstances aussi critiques, il y a un haut intérêt à se renseigner sur ce que l'expérience a appris à d'autres qui, avant nous, sont entrés dans la voie de l'entente et de la solidarité. Une occasion spécialement favorable à cet égard est l'enquête à laquelle

•la section économique de l'Académie libre allemande de Francfort s/M. va se livrer.

Aussi ne manquerons-nous pas dès que ses résultats nous seront connus d'en faire part à nos lecteurs. Dans la pensée qui a donné naissance à l'enquête en question, il s'agit notamment de savoir si l'influence exercée par les syndicats industriels est limitée aux prix d'achat et de vente, ou bien si leur ac- tion se fait également sentir sur la répartition des débouchés. A cet effet, des question- naires seront adressés à des associations, à des industriels et à des économistes. Les réponses reçues permettront d'étudier la question d'une manière approfondie, au dou- ble point de vue théorique et pratique, de façon à pouvoir se rendre compte de l'utilité de la création et du développement des syn- dicats de l'espèce. Voilà certes une enquête aussi utile qu'intéressante ! Puisse-t-elle éclairer d'une vive lumière cette vérité incon- testable qu'en toutes circonstances l'union

fait la force ! G.

LA FEDERATION HORLC 3ÈRE SUISSE L ' h o r l o g e r i e e n A l l e m a g n e .

Dans son dernier rapport le consul géné- ral belge à Berlin, nous fournit les informa- tions suivantes :

L'horlogerie proprement dite est restreinte, à Berlin, à la fabrication des grandes hor- loges pour laquelle, outre plusieurs petits établissements, il existe une grande fabrique travaillant avec machine à vapeur, et occu- pant 20 à 25 ouvriers. La marche des affaires, durant l'année dernière, a été très satisfai- sante, mais cependant les profits ont diminué.

Le champ du débouché comprend l'Alle- magne, l'Autnche-Hongrie, la Russie et di- vers pays d'outre-mer. Une autre branche de l'horlogerie berlinoise, la fabrication de pen- dules de style à piédestal ou à suspension, ainsi que des régulateurs avec caisses en cuivre poli, ou en bois avec décoration de métal. Les mouvements d'horlogerie de Silé- sie ou de la Forêt-Noire, ont aussi fait des progrès et atteint un débit satisfaisant, quoi- que seulement à prix peu rémunérateurs.

Les affaires en régulateurs ordinaires ont pris une tournure très défavorable; leur prix et leur qualité ont été rabaissés par la surpro- duction presque au niveau de ceux des hor- loges ordinaires de la Forêt-Noire. On a sans doute atteint un grand chiffres d'affaires à force de bon marché, mais en se contentant d'un profit excessivement restreint.

Il en a été à peu près de même du com- merce des montres. L'excès de production et le commerce illimité ont encore déprimé davantage le prix déjà très bas, et détérioré la qualité de l'article fabriqué. A cela est venu s'ajouter le fait incontestable qu'une grande quantité de montres entrent en Alle- magne par contrebande et y sont écoulées à des prix avec lesquels la concurrence est impossible pour le fabricant et le commerçant sérieux. La contrebande a pris de grandes proportions depuis la surélévation des droits de douane sur les montres. Grâce aux efforts des maisons de Berlin, le commerce en gros des montres de tout genre a pris une exten- sion considérable, et Berlin peut maintenant être nommé à côté des centres principaux de ce commerce, Francfort et Leipzig. Par con- tre, pour le petit commerce, l'année écoulée a été défavorable: Le plus grand nombre des établissements n'ont réalisé qu'un chiffre d'affaires presque insignifiant, à des prix extrêmement réauils. Les données statis- tiques suivantes en fourniront un aperçu.

L'année dernière, Berlin possédait 514 hor- logers pour montres qui, au moment de la période la plus active, n'occupaient que 334 auxiliaires. Sur ces 514 horlogers 53 étaient inscrits dans les catégories supérieures de l'impôt des patentes, 128 dans la catégorie moyenne à 24 marks par an, et 323, c'est-à- dire le plus grand nombre, dans la pus basse catégorie, à raison du chiffre toujours insigni- fiant de leurs affaires. Les Américains es- saient encore de lutter contre la concurrence des montres suisses établies et vendues aux plus bas prix imaginables. C'est ainsi que dans ces derniers temps, la Waterbury Watch Company a lancé sur le marché allemand une montre qui, malgré son bon marché et la réclame qui lui a été faite, ne trouve pas grand accueil.

La nouvelle loi sur le titre d'or et d'argent, entrée en vigueur le 1e r janvier 1888, et qui s'applique naturellement aux boites de mon- tres faites en métaux précieux, commence déjà à exercer son effet salutaire sur la fabri- cation, car les fabricants de boîtes de mon- tres de Suisse, comme de Silésie, font appo- ser le nouveau poinçon impérial sur les ar- ticles fabriqués, et, à l'avenir, le commerce des montres d'or et d'argent trouvera plus

de facilité auprès de la clientèle qui réclame un article loyal et sérieux.

COMITÉ CENTRAL

de l a F é d é r a t i o n h o r l o g è r e . Le Comité central de la Fédération horlogère est convoqué pour

Lundi 15 octobre courant,

an Bielorhof, à Bienne, à 2 heures du soir.

ORDRE DU JOUR :

1° Examen de la situation.

2°· Rapport sur les syndicats.

3° Programme d'activité pour l'année prochaine.

4° Question du journal.

5° Communications des sections.

Présence par devoir.

Les membres du Comité central qui Seraient empêchés d'assister à la réunion sont priés de se faire remplacer par leurs suppléants.

Le 9 octobre 1888.

Bureau du Comité central : Le Sécréta ire, Le Pi 'êsiden t, Fritz

HUGUENIN.

R.

COMTESSE.

NOUVELLES DIVERSES

l i e s b r e v e t s d ' e n s e i g n e m e n t e n F r a n c e . — La statistique du ministère de l'instruction publique continue à être lamen- table : la grande armée des brevetées s'ac- croît sans relâche. De 1882 à 1885, 70,700 jeunes filles ont reçu des brevets élémen-

taires, et 7,350 des brevets supérieurs. On calcule qu'il doit y avoir, actuellement, en France, 125,0 0 titulaires féminins du brevet élémentaire, et 13,000 du brevet supérieur.

Or, pour caser tout ce monde breveté et enjuponné, l'Etat ne dispose que de 20,000 écoles publiques, auxquelles il faut ajouter 3,000 écoles libres, tous ces établissements ensemble ne pouvant créer que 35,000 insti- tutrices Il se présente, annuellement, de 1,600 à 1,700 vacances, pour 4,000 à 5,000 candidates.

C h a m b r e d e c o m m è r e • à l ' é t r a n g e r . A l'exemple des colonies italienne et française, le commerce espagnol vient, lisons-nous dans la Revue commerciale, maritime et financière de la chambre de commerce française de Montevideo, d'organiser une chambre de com- merce à Montevideo sous les auspices du ministère de fomento. Les sections dont elle se compose sont nombreuses et toutes les branches seront représentées dans le conseil ; on compte deux membres pour l'importation et l'exportation, deux comme représentant la confection et la mercerie, deux appartenant à la quincaillerie, deux représentant l'impor- tation de comestibles et liquides, deux la chaussure et la sellerie, deux les produits du pays, deux pour les bois et matériaux de construction, deux pour les éleveurs et pro- priétaires, deux représentant les courtiers, deux pour les industriels espagnols établis dans le pays, deux agents de vapeurs trans- atlantiques, deux commerçants de détail et quatre membres adjoints non classés, soit en tout vingt-neuf conseillers représentant des spécialités diverses. Des donations impor-

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 363

tantes assurent à la chambre de commerce espagnole les moyens d'inaugurer ses travaux sur un pied que ne peuvent soutenir les au- tres chambres de commerce étrangères. En outre, la subvention qui lui est promise par le ministère de fomento de la métropole dé- passera la subvention considérable dont jouit la chambre de commerce italienne.

A r g e n t i n e . — Une chose qui indique le développement rapide de la République ar- gentine, c'est que depuis le mois de janvier 4887 de nouvelles banques ont ajouté une somme de 52,500,0001. st. à leur capital et sur ce 42,000,000 1. st. ont été souscrits par des citoyens de la république. Le besoin de ban- ques pour prêter de l'argent sur hypothèque se fait sentir.

C o m m e r c e d ' h o r l o g e r i e d e l e S u i s s e a v e c l ' é t r a n g e r , en août 1887 et 1888.

Importation 1887 1888 pièces pièces Horloges fines 868 1.352

•Carillons et boites a musique 116 10!) Montres métal 5,209 1,712

» argent 1,794 2,321

» or 1,282 871

Exportation 1887 pièces

29 20,305 74,211 158,641 37,057

1888 pièces 12 25,002 96,286 159,786 34,669

-*«>-»«*-

V A R I E T E S

I i ' o r i g i n e d e s b o u c l e s d ' o r e i l l e s . — Voici, d'après une légende orientale quelle serait l'origine des boucles que les dames ont l'habitude de porter à leurs oreilles :

Lorsque Agar s'enfuit pour échapper au courroux de la femme d'Abraham, Sarah jura de faire mutiler sa servante si jamais

elle revenait, pensant ainsi porter atteinte à sa beauté et l'empêcher d'être de nouveau la

•cause de troubles domestiques. Le temps eut

toutefois pour effet d'adoucir sa colère, à tel point que lorsqu'Agar revint et se défendit devant elle, elle décida de renoncer à sa ven- geance, et d'accorder à son ancienne 'ser- vante sa rentrée en grâce. Mais un serment n'était pas une chose dont on pût se jouer, et comme Sarah avait solennellement juré de mutiler Agar, elle se demandait avec anxiété comment elle pouvait le faire sans la blesser ou porter atteinte à la beauté de son visage.

Finalement, elle Jimagina, comme expédient, de percer un petit trou à chacune des oreilles d'Agar et l'on raconte qu'Abraham, pour atténuer la punition de la jolie servante, lui fit présent de deux belles pierres fines pour suspendre aux trous ainsi pratiqués.

Lorsqu'elle apparut ainsi ornée, elle excita une telle admiration parmi les autres femmes de la tribu, que la mode de porter des pen- dants d'oreilles devint bientôt générale chez elles.

L o u p e h y g i é n i q u e . — Les loupes dont la monture est en liège sont fort légères, mais elles ont l'inconvénient de conserver à l'in- térieur une certaine quantité d'air qui s'é chauffe rapidement et qui, par suite, place l'œil dans des conditions défavorables.

Cet inconvénient est évité par la loupe dont la monture est formée d'un léger treillis en fil de fer, qui, tous en ayant la légèreté

<Iu liège, permet à l'air de circuler librement.

Nos horlogers ne seront pas embarrassés pour fabriquer nn instrument de ce genre.

PROCÉDÉ D'ATELIER

S o u d u r e d e l ' a l u m i n i u m . — La Revue, des bijoutiers indique le procédé suivant, dû

à M. Eug. Caillot, de Paris, pour souder l'aluminium :

La soudre est composée de : Bismuth - 1 partie Etain 39 » Aluminium 9 »

Il faut au préalable limer la surface du métal, puis l'étamer à l'aide d'un alliage formé de :

Etain 30 à 35 parties Aluminium , 12 » Bismuth 5 »

On enlève avec un chiffon gras l'excès d'alliage. Cet étamage a pour but de per- mettre à la soudure d'adhérer parfaitement au métal.

Ce genre de soudure tient très bien, et les pièces ainsi traitées peuvent être laminées et étirées.

La seule difficulté consiste dans la prépa- ration de Ia soudure : il faut obtenir un mé- lange homogène au moyen d'un refroidisse- ment brusque, et n'employer que de l'alu- minium pur.

AVIS

t e s sociétés, associations et corpo- r a t i o n s de fabricants, de p a t r o n s o u d ' o u v r i e r s sont informées q u e Ie j o u r n a l r e n d r a compte des décisions de q u e l q u e i m p o r t a n c e p r i s e s d a n s l e u r s assemblées. — Un e x e m p l a i r e d u r è g l e m e n t de c h a q u e société h o r - logère s e r a a u s s i r e ç u avec plaisir.

P r i è r e d ' a d r e s s e r les c o m m u n i - cations à la R é d a c t i o n de la F E D E - RATION

H O R L O C Î È R E

SUISSE, à Bienne.

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

B ^ 3 H N & C îe

aeiwa©

Dès ce jour,

LE S P I R A L

SPML INC0MEAMBIE

NESE ROUILLANT PAS

ANTI MAGNETIQUE

BAEHNI.

nous fabriquons

INCOMPARABLE

m.uu7in'j ORiIV. BEDH * * * ^ * ^ * • > • · · · · · » · A i » Λ _

anti-magnétique, ne se rouillant pas, (Marque déposée).

Nous pouvons livrer ces spiraux COULEUR OR ou BL4NCS. Le numérotage est le même que celui de nos spiraux trempés.

Les demandes peuvent être aussi adressées à nos dépositaires : MM. Henri Sandoz, Chaux-de-Fonds ; Phil. Faure, Haldimann & Perrenoud, Locle ; A. Béguin-Bourquin, Neuchâtel; Mme S. Jeanneret-Lebet, Fleurier ; Mme E. Gostely- Amez-Droz, Sonvillier ; MM. Arnold Brand, St-Imier ; Ussc Robert-Tissot, Villeret ; Mme Ve Ate Robert-Tissot, Tramelan,

et M. L. Tschopp, Bienne.

(4)

364 LA FEDERATION HORLOGËRE SUISSE

Φ •

• φ

φ

Métaux ANTI-MAGNÉTIQUES brevetés

de l'Usine genevoise de Dégrossissage d'Or

A UUSAGE DES FABRIQUES D HORLOGERIE B a l a n c i e r s c o m p e n s é s , genres soignés et courants.

S p i r a u x de première qualité.

M é t a l p o u r é c h a p p e m e n t s »

Ces produits ont subi les épreuves les plus minutieuses et ont donné des résultats supérieurs à tout ce qui a été fait jusqu'à ce jour.

447

S'ADRESSER A L'USINE GENEVOISE DE DÉGROSSISSAGE D'OR

à G E N È V E

• φ * 4 + * φ * * + φ φ φ + « φ φ « + * * « * * 4 * φ φ * * + * φ * + * * φ φ 4 + φ φ φ φ φ « φ f ^ v ^ -

xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx

* FABRIQUE DE SPIRAUX * χ χ

χ χ

IAEiIiI I Γ, H l I I I Ί

X

U En réponse à certaines circulaires et K X demandes, nous déclarons que le PALLA- X X DIUM est entièrement exclu de nos pro- X

cédés dans la fabrication de nos

448

^ d - V>V>VA^£3 U I X l I t J I U i J l U J J l I U U U l U U V i f U U U HHQ ^φ

X SPIRAUX ANTI-MAGNÉTIQUES. X

X Ces spiraux peuvent donc être employés X S pour tous les pays sans aucune restriction. 5

XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX

ÉTUDES D'AVOCAT ET DE ΝΟΤΑΠΙΕ .

MM es H. HODLER & J. STEFFEN

19, Rue Neuve B I E N N E Rue Neuve, 19

Renseignements juridiques et commerciaux. Représentation dans les faillites. Procès. Encaissements. Recouvrements.

Passation d'actes. Rédaction de contrats d'association et autres. Ecritures consciencieusement tenues de toutes affaires se rattachant à l'exercice de nos professions. .

sis H. HODLER & J. STEFFEN.

TELEPHONE

A R N O L D H U G U E N I N

AS, R u e dn Progrèe, 4 5

CHAUX-DE-FONDS

HORLOGERIE COMPLIQUÉE

Répétitions quarts et minutes, avec tous genres de complication, grandes sonneries quarts et minutes, quan- tièmes perpétuels, chronographes avec compteurs minutes.

Toutes m e s répétitions sont réglées

aux t e m p é r a t u r e s 287 et peuvent obtenir des bulletins à l'observatoire

TÉILiÉIPIHIOIETE

A

Le plus avantageux de tous

SEUL FABRICANT EN SUISSE:

E . I N D E R M U H L E 1 B I E N N E

Envoi d'échantillons et prix-courant sur demande^ 405

.

(5)

.-

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 365

Pour conserver et maintenir les P a r q u e t s d e b o i s d u r , p l a n c h e r s d e s a p i n , e s c a l i e r s d e b o i s , employez la

RÉSINOLINE-LA CLAIRE

Exiger la marque aux deux hiboux

Exiger la marque aux deux hiboux

W

Cette excellente préparation entretient admirablement le bois, auquel elle donne de la dureté. Elle empêche pendant un très long temps la formation de la poussière sur les planchers et rend ainsi un service à l'hygiène des habitations. Elle se laisse étendre facilement au moyen d'un chiffon de laine et sèche immédiatement sans laisser d'odeur. On l'emploie pour enduire et conserver les parquets et plan- chers des locaux où l'on circule beaucoup, comme les F a b r i q u é e , A t e l i e r s , B u r e a u x , N a g a e i n e , C a l é e - R e e t a u r a n t e , S a l l e s

«l'école*, e t c .

Rabais par forte quantité. 348 Dépôts à la Chaux-de-Fonds, MM. Alex. Stauffer, rue de l'Hôtel-de-

Ville ; AIb. Breguet, rue du Temple allemand ; Verpillat, négociant. — St-Imier, J. von Gunten. — Neuchàtel, AIf. Zimmermann. — Gormon- drèche, William Dubois. — Fleurier, Margot-Vaucher. — Ste-Croix, Emile Recordon. — Bienne, J. Graedel, Pasquart.

Usine de Produits chimiques, La Claire, LOCLE

B MiIFACTuRE D'HORLOGERIE POUR TOUS PAYS Hl

s

5 H 5 Έ.

S S Z 5 Ξ 5 H 5 H 5 H Sl

5 5 E E 51

PROCEDES MECANIQUES

C O M M I S S I O N — E X P O R T A T I O N 406

LHl

E

IS E S E 5 E 5 E 5 E 5 E 5 E E 5 5 E 5 E

Georges FtVRE-JiCOTl 5

L O C L E (SUISSE) 151 Usine pour le traitement te matières or, argent et platine

i : s s A Y K i R - . i i i n : DIPIiOlIK FEDERAL·

ACHAT "-7W VENTE

Rue de Nidau — B I E N N E — Rue Neuve

Pulvérisation de cendres et fontes à prix réduits Creusets de tous pays — Charbons — Coke de St-Etienne

O K O S E T D É T A I L 399

ÉTABLISSEMENT MÉTALLURGIQUE

A c h a t d e c e n d r e s e t l i n g o t s s u r e s s a i F o u t e «le déchets <le toute n a t u r e

VENTE D'OR FIN POUR DOREURS

A U F R A N C & G I E

- ^ s -

IB I I E JSI I T I E «Φ-

Dépôt de coke de Sl-Elienne — Charbons de bois

Creusets de toutes espèces 316

G R O S E S T " D E T A I L

l S l o f l T l i i r " J

ET D'HORLOGERIE 303

Spécialité de

R E M O N T O I R S ;

en or, a r g e n t

et métal P I È C E S

de rechange

A BIENNE

C H A I N E S CLEFS et MÉDAILLONS

en or,

a r g e n t et doublé

Chronomètres, chronographes simples et avec compteurs à minute»

* Répétitions et secondes indépendantes, montres sans aiguille/ "

»s©sseeeapgo92®Î4ee© 3ées@e ses@ae88eoeae©88©©SBig

^Poinçons

I pour le I Contrôle anglais

P o i n ç o n s pour le i

Contrôle allemand f

Atelier pour la frappe de boîtes de montres, médailles, insignes, jetons pour cafés, restaurants, etc.

Gravure^ artistique et industrielle sur métaux et sur bois

Poinçons et estampes pour l'horlogerie

SPÉCIALITÉ DE MARQUES DE FABRIQUE

BJMB" On se charge gratuitement de l'enregistrement des marques de

fabrique au bureau fédéral do Berne. -JBKl 355'j

F. HOMBERG, graveur, BERNE FABRICATION

de

CADRANS EN «TOUS GENRES G. PFUND & F I L S

*-*Λ*τί««—«

J. BIENNE k. 186

GOKTKËFACOÏV DE HAUUUE »E FABRIQUE

La fabrique de boîtes de montres

: >, SCHLATTER & FLOTRON

à M a d r e t s c h

signale aux intéresses a l'industrie horlogère le fait que sa marque de fabrique — une locomotive — étant souvent imitée, elle livrera à la rigueur des tribunaux les individus coupables de cette contravention.

U I V E I I É € « M I * K \ S K

sera donnée, après jugement rendu, à toute personne qui fourmra à la maison sus-nommée, des renseignements exacts et précis sur les

contrevenants. 3*5

(6)

366

; • ! . · > • .

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E Concours des chronomètres du 2 janvier au 31 mai 1888 (1)

A Ecart maximum des marches à la température ambiante. Limite 2S5.

B Id. successives. Limite ls.

C Id. au chaud (30° environ). Limite 2S5.

F Id. au froid (0° environ). Id. 3*5.

I Id. aux petites amplitudes. Id. 33O.

E Id. aux positions sur XII et VI, ou sur III et IX. Limite 6S0.

JV Nombre de classement [égal à A, plus B, plus y21, plus le plus grand de C ou de V2 F](2).

425

Construc- teurs Classés Delépine Delépine Lsroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy Lsroy &fils Leroy Leroy Leroy Leroy Thomas Leroy Leroy Non classés

Leroy Leroy Leroy Rousseau-

Lecocq Callier

Nos des Chrono-

mètres 1505 1468 695 669 684 654 1508 663 681 146 664 706 680 64(5 2 688 658 692 659 682 5 575

A .

0,42 0,67 0,66 0,97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2,63 1,72 2,65 2,86 2,38

B

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0,29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 1,10 1,66 0,64 0,78

C ou V2 F

0,33 0,97 1,21 0,80 0,82 1,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29

V2I

0,94 0,49 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0,87 1,49

E

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

N

1,99 2,53 2,56 2,93(3) 3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,76 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,73(3) 5,83 6,94

Détails de construction

Bal. cire.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Bal. cire, Id.

Id.

Id.

Id.

• spiral palladium

id. id.

id. id.

id. id.

id. . id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. acier id. palladium id. id.

spiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. acier (1) Nombre des chronomètres présentés : 43. Classés, 17 ; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec

résultats incomplets ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a de- mandé au Ministère l'acquisition des six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans Ie Journal suisse d'Horlogerie, XIme année, page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du règlement1»

(4) Id. Id. 0,25 Id. ( Id. ).'

Fabrique de verres de montres

en tous genres 453 Ancienne Maison TASTOlX & BASTARD

J. BASTARD & REDARD

2 1 , Q U A l DES BERGUES, 2 1

J'offre

à tous, hommes ou da- mes, 20 à 50 fr. par jour pour offrir article breveté que chacun désire posséder, dernière découverte, se demande par quantité. S'adr. avec timbre pour réponse à M. de Boyères, 173, Bd Murât, Paris. (H6920X)454

ÉCOLE D'HORLOGERIE ET DE MÉCANIQUE

d e B ï e n n e . 1)2

Apprentissage d'horlogerie complet: 3 ans. Apprentissage d'horlogerie pour spécialités:· 12 à 18 mois. Apprentissage mécanicien: 3 ans ; les élèves apprennent à faire les outils pour fabrication mécanique, système perfectionné.

Cours théoriques dans les deux langues. Nouvelles méthodes d'enseignement ponnant d'excellents résultats. Entrée à toute époque. S'inscrire auprès du Directeur. LA COMMISSION.

COMMERCE ET LAMINAGE D'ACIERS

en tous genres et pour tous usages 321

SPÉCIALITÉS POUR L

5

HORLOGERIE

C O R G É M O N T

(Suisse)

Médaille à l'Exposition nationale horlogère de Chaux-de-Fonds en 1881

*XKXXXXXXKK

L,

BIENNE (Suisse)

« 2

D'

en tous genres et pour tous pays

Spécialité Genres anglais

xxxxxxxxxxx

• • • • • • • • • • w w • • • • • • w w • •

BUREAU DE PLiCENENT

H l - I T I A X W i :

Remonteur n e Zt.

teur très consciencieux dans son travail, pour la pièce 11"' cylindre.

S'adresser au Bureau. 37

AVIS

Un commerçant qui pourrait disposer du temps nécessaire, après ses heures de travail, se chargerait de la réprésentation d'une maison d'horlogerie sur la place de Chaux-de-Fonds et des localités voisines.

Pour renseignements, s'adres- ser à M. Emile FLOTRON, à Ma-

dretsch. 457

MONTRES SOIGNÉES

P O U R D A M E S

L-A C O L O I V i B E 30Î

DIPLOME

Zurich 1883

MEDAILLE

Anvers 1885 Mouvements cylindre de 8 à 13 lignes

et ancres de 10 à 13 l i g n e s avec

BOITES VABIÉES E T FANTAISIE

H"THALMANN

Téléphone B I E N N E EneRcare 64h

DE

Plitlilelc p u l m o n a i r e , bronchite*, c a t a r r h e s chroniques, a s t h m e , affec- tions du l a r y n x et de la gorge. Mala- dies du cœur. Cancer.- Clinique spéciale, unique en Europe. Guérison sûre, même dans les cas les plus sérieux, par un trai- tement nouveau, véritablement spécillque, re- connu supérieur a tous les autres, dont milliers de guérisons et six années d'expé- riences comparatives dans les hôpitaux de France, de Russie, d'Angleterre, d'Autriche, etc., etc., ont prouvé jusqu'à l'évidence toute la puissance et la haute valeur curàlive.

Méthode p a r t i c u l i è r e de MM les pro- fesseurs Ferruaz, Saunderson, Williams, Oujardin, Beaumont. Consultations p a r correspondance et Instructions en français. Ecrire franco avec timbre pour

la réponse à M. le professeur 306

G.-U. FERRUAZ,

Dr- m é d . à Z u r i c h .

LE RUBIS

Huile extra u n e p. montres

G. MILLOCHAU

Chimiste, P A R I S

L'huile Rubis est spécialement prépa- rée pour les montres; elleestinoxydable, insaponiflable. imputrescible, elle ne sè- che pas, ne forme ni crasse ni cambouis et ne se congèle jamais, même par les plus grands froids.

Dépôt général pour la vente en gros

chez MM. Henri Picard et frère

H , rue Bergère, Paris.

26 et 27, Bartlelt's Buildings, Londres.

12, rue Léopold-Robert, Chaux-de-Fonds

(Suisse). 305 Echantillon» gratis ri la ditpoiition det

marchand» de fourniture» d'horlogerie,

Imprimerie du Nouveau Pressverein de Bienne.

Références

Documents relatifs

Beaucoup, qui savent cependant se plaindre amèrement de leur sort dans les conversa- tions particulières, sont incapables du moin- dre effort pour y remédier ; ils reconnaissent

Le contrôleur du Syndicat des patrons monteurs de boites argent et des fabricants de galonné et d'assortiments pour la boîte de la montre, nous prie de communiquer aux

Cette initiative a été couronnée d'un plein succès et les groupes patronaux et ouvriers, rivalisant de zèle dans un but d'utilité générale, ont compris toute l'im- portance qu'il

Tant que la question de notre organi- sation industrielle s'est présentée comme une chose plus ou moins abstraite, tant qu'on l'a discutée au point de vue théori- que, des

Cette assemblée, à laquelle toutes les sections se sont fait repré- senter, a eu lieu dimanche 1 er décembre, à Langendorf, et elle a décidé à l'unanimité, en se basant

phone ont été sacrifiés aussi de la même façon à la sécurité publique. Toute la population de la ville est dans la plus grande agitation ; une foule énorme passe la journée

L'appui financier et moral des bureaux de contrôle ne manquerait pas de contribuer puissamment aux progrès d'une œuvre qui tend au relèvement de l'industrie horlogère en général

Mais les patrons dissidenls avaient fini par s'accoutumer à vivre avec celle pers- pective d'une grève loujonrs annoncée et toujours différé et quoique des offres très