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L'habitat palafittique au Néolithique

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L'habitat palafittique au Néolithique

CORBOUD, Pierre

Abstract

Depuis le milieu du siècle dernier, on connaît l'existence de restes de villages préhistoriques en bordure des lacs et dans les marais du Plateau suisse. Ces vestiges d'habitations anciennes, actuellement très souvent immergés, ont fait naître toute l'imagerie romantique des fameuses stations lacustres, construites sur des plateformes en rondins de bois, au-dessus des eaux. Aujourd'hui, le débat n'est pas clos entre les archéologues défenseurs de l'interprétation essentiellement "terrestre", c'est-à-dire des cabanes construites sur un sol asséché, et les chercheurs qui proposent des solutions moins tranchées, et qui admettent des habitations avec des planchers plus ou moins surélevés, pour parer aux remontées des eaux.

Depuis quelques années, ce problème tend à passer au second plan, face aux questions liées au cadre écologique de ces établissements de la zone littorale. Nous préférerons ainsi utiliser le terme de station littorale, qui sous-entend plutôt une adaptation de l'homme préhistorique à un milieu donné, que l'expression station lacustre, qui implique un mode de construction et [...]

CORBOUD, Pierre. L'habitat palafittique au Néolithique. In: Société suisse de préhistoire et d'archéologie. Habitat et habitation : 2ème cours d'initiation à la préhistoire et archéologie de la Suisse . Genève : Société suisse de préhistoire et d'archéologie, 1982.

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http://archive-ouverte.unige.ch/unige:96143

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L'HABITAT PALAFITTIQUE AU NEOLITHIQUE par Pierre CORBOUD (Genève)

3.1.

Depuis le milieu du siècle dernier, on connaît l'existence de restes de villages préhistoriques en bordure des lacs et dans les marais du Plateau suisse. Ces ves- tiges d'habitations anciennes, actuellement très souvent immergés, ont fait naî- tre toute l'imagerie romantique des fameuses stations lacustres, construites sur des plateformes en rondins de bois, au-dessus des eaux.

Aujourd'hui, le débat n'est pas clos entre les archéologues défenseurs de l'in- terprétation essentiellement "terrestre", c'est-à-dire des cabanes construites sur un sol asséché, et les chercheurs qui proposent des solutions moins tranchées, et qui admettent des habitations avec des planchers plus ou moins surélevés, pour parer aux remontées des eaux.

Depuis quelques années, ce problème tend à passer au second plan, face aux ques- tions liées au cadre écologique de ces établissements de la zone littorale.

Nous préférerons ainsi utiliser le terme de station littorale, qui sous-entend plutôt une adaptation de l'homme préhistorique à un milieu donné, que l'expres- sion station lacustre, qui implique un mode de construction et d'habitat parti- culier.

I. OPPOSITION ENTRE HABITAT TERRESTRE ET HABITAT PALAFITTIQUE

Dès que l'on aborde le problème des stations littorales, on doit considérer les raisons qui ont pu pousser des populations agricoles néolithiques à s'établir en bordure des lacs, dans une zone où l'humidité devait représenter un problème pour les habitants.

Cette question doit trouver une réponse complexe dans l'ensemble des contraintes, tant matérielles que culturelles, qui pesaient sur les groupes humains de l'épo- que néolithique.

Il est possible de dégager certaines de ces causes, sans pour autant pouvoir évaluer leur importance réciproque:

ll Emprise de la forêt sur le territoire

A la fin de l'Atlantique, les forêts occupent la plus grande surface du Plateau suisse. Les bords des lacs et les marais, à la faveur d'une baisse importante du niveau moyen des eaux, offrent des plages de terrain émergé, peu ou pas boisées, favorables à l'établissement des villages néolithiques mais présentant des ter- res impropres à la culture.

2) Substrat d'installation des villages

En général, les populations néolithiques cherchent des sols relativement meubles pour établir leurs habitations. Dans les habitats terrestres ce sont les plaines loessiques ou des terrains limoneux compacts. Les plateformes de craie lacustre, à cette époque émergées, présentent des propriétés fort semblables pour l'implan- tation des pieux des cabanes.

3) L'habitat littoral correspond à un groupe culturel particulier

On pourrait voir dans les habitats littoraux des villages appartenant à des popu- lations indépendantes des habitants des sites terrestres. Deux formes culturelles pourraient vivre en parallèle sur des territoires différents. Cette proposition est peu vraisemblable pour le Néolithique, car les éléments culturels des habi- tats terrestres ou littoraux sont très proches voir identiques.

4) Rapprochement autour des points d'eau lors de périodes de sécheresse importante Les établissements littoraux néolithiques correspondent à des périodes de basses eaux vraisemblablement liées à des épisodes de sécheresse, pendant lesquels les cours d'eau coulaient irrégulièrement. L'homme néolithique s'est rapproché des seuls points d'eau permanents, c'est-à-dire des lacs.

Cette dernière cause, sans entrer seule en ligne de compte, est probablement dé- terminante pour l'apparition des établissements littoraux néolithiques.

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II. PERIODICITE DES OCCUPATIONS LITTORALES

Les stratigraphies complexes des sites littoraux montrent une succession de ni- veaux de craie lacustre et de sables stériles, en relation avec les phases de transgression lacustre, tandis que les phases de régression sont marquées par des niveaux de fumier lacustre, correspondant à l'occupation du terrain par l'homme.

L'étude sédimentologique des sites des bords des lacs nous indique des fluctua- tions du niveau des lacs très fréquentes, d'ordre annuel et pluridécennal.

L'analyse dendrochronologique des bois (pieux et bois couchés) récoltés dans les stations littorales confirme la périodicité des occupations montrée par la stra- tigraphie. Il est possible grâce à cette méthode de connaître la durée des phases d'occupation et des périodes d'abandon des sites étudiés. Ainsi on peut comparer les durées moyennes d'occupation de certaines stations :

Stations Civilisations Nombre d'occupations Durées extrêmes et moyennes

Auvernier-Port NE Cortaillod 4 6-49 ans 17.8 ans

Auvernier-Sannerie NE 2 3-4 ans 3.5 ans

Twann BE 10 3-19 ans 10.2 ans

Burgaschi S+SW BE 1 15 ans

Egolzwil 5 LU Cortaillod- 1 ~ 12 ans

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Ces valeurs montrent une durée d'occupation moyenne de 11.5 ans.

Des occupations aussi courtes peuvent être expliquées par deux raisons

la périodicité des transgressions lacustres, qui à certains moments, innondent les villages littoraux et les rendent inhabitables pendant la remontée des eaux.

Une autre explication pourrait faire appel à l'appauvrissement des terres culti- vables aux abords immédiats du village, obligeant l'habitat à se déplacer dans une zone plus propice à l'agriculture en suivant l'axe du rivage.

III. STRUCTURES DE L'HABITAT

Rares sont les villages palafittiques néolithiques fouillés et étudiés complète- ment. Il est donc difficile d'établir des règles générales relatives à l'étendue, l'organisation et l'extension des agglomérations de cabanes.

Il apparaît pourtant que les villages néolithiques sont de dimensions plus limi- tées que ceux des périodes ultérieures (par exemple le Bronze final).

Le village comprend en général un ou deux rangs d'habitations \parfois plus:

6 pour Niederwil TG), situés parallèlement au rivage.

On constate souvent la présence d'une palissade qui limite l'extension des habi- tations du côté terre (clôture du village, palissade pour les bestiaux?)

Certains sites nous renseignent sur l'étendue possible de ces villages

Stations Civilisations Nombre de cabanes Surface du village

Burgas chi Sud BE Cortaillod 3 (2?) 680 2

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Auvernier-Port NE Luscherz-B. 20 350 2

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La surface occupée par le village est comprise entre la palissade, côté terre, ou les dernières cabanes observées, et la limite moyenne de battement des eaux.

Les habitations sont présentes en nombre très variable (3-30), leur grande lon- gueu.r peut-être orientée parallèlement ou perpendiculairement au rivage, proba- blement en fonction de la direction du vent dominant.

Les dimensions et les proportions des maisons des villages littoraux néolithiques montrent aussi une certaine variabilité d'un site à l'autre. Cependant, la surfa ce la plus fréquente pour une seule unité d'habitation correspond environ à 20 m

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La reconstitution des plans de cabanes, grâce à la dendrochronologie et à l'étude des éléments de construction, indique que les unités d'habitation peuvent être disposées de deux façons : soit en unités isolées, (les cabanes sont séparées

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par des ruelles étroites, elles sont alignées l'une par rapport à l'autre); soit par groupe de plusieurs unités d'habitation qui forment ainsi une longue maison avec probablement des cloisons internes.

2. L'architecture d'une cabane

L'instabilité des terrains littoraux impose de planter profondément les pieux de soutien du toit et des parois. En général les pieux porteurs sont enfoncés jusqu' au contact d'une couche de sédiments plus durs (sable, moraine) ou du moins sont- ils enfoncés "à refus" si le sol est plus compact.

Les données sur le mode de couverture des toits sont pratiquement nulles; on peut supposer qu'ils étaient constitués de roseaux ou de paille, disposés selon une pente suffisante pour l'écoulement des eaux de pluie.

Les parois étaient montées en treillis de branchages (éventuellement enduites de torchis) ou avec des planches de bois refendu.

Le milieu humide propre à l'habitat littoral ou de tourbière nécessite la cons- truction de planchers pour s'isoler du sol. Les planchers peuvent être mobiles, c'est-à-dire formés de matériaux disposés à même le sol naturel de l'habitation, ou alors construits avec la cabane et plus ou moins surélevés.

Les planchers mobiles sont formés d'écorces ou de branchages étendus en couches successives, l'étanchéité peut être parfaite par une chape~argile plus ou moins épaisse et régulière.

Certains planchers étaient surélevés, pour fournir une meilleure isolation et garantir les habitants de la cabane d'une remontée brutale des eaux. A Thayngen- Weier, i l a été mis en évidence un plancher surélevé de 0.8 m, avec un système de pieux verticaux à mortaises qui soutiennent des perches horizontales.

L'aménagement intérieur d'une cabane, tel qu'il nous est montré par les fouilles, est limité à un foyer placé au centre de l'habitation. Ce foyer est constitué par une masse d'argile, avec parfois un soubassement de branches entrecroisées.

Les pierres et galets retrouvés dans les villages littoraux ont été amenés par l'homme. Leur fonction est encore mal connue, on peut les interpréter comme des pierres de chauffe. Les dispositifs d'isolation des cabanes ou des aires de tra- vail externes, etc • • • •

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LEGENDE DES ILLUSTRATIONS

Planche 1 : L'organisation du village

Fig. 1. Thayngen-Weier SH. Organisation des habitations dans l'établissement II (Guyan, 1967, plan IIC).

Fig. 2. Niederwil TG. Hypothèse d'extension du village basée sur les chapes d'argile (Waterholk et Zeist, 1978, fig. 107).

Fig. 3. Egolzwil 4a LU. Alignement des cabanes le long de la palissade (Vogt, 1969, fig. 12, p. 166).

Planche 2 : L'habitation

Fig. 4. Auvernier-Port, Les Ténevières NE. Interprétation du plan des cabanes, phase Luscherz (Passard, 1980, fig. 58, d'après J.-L. Boisaubert).

Fig. 5. Riedschachen ID. Infrastructure de la maison 2 (Passard, 1980, fig. 57).

Fig. 6. Thayngen-Weier II SH. Reconstitution du plan de la maison 7, plan IIC (Guyan, 1967, fig. 13).

Planche 3 : Les structures de l'habitat

Fig. 7. Egolzwil 4d LU. Chape d'argile sur une structure en perches de bois (Vogt, 1969, fig. 20).

Fig. 8. Egolzwil 3 LU. Isolations de sol en écorces (Vogt, 1969, fig. 19).

Fig. 9. Egolzwil 5 LU. Reconstitution de la construction d'un foyer avec chape d'argile, maison 2 (Wyss, 1976, fig. 23).

Fig. 10. Thayngen-Weier SH. Plancher d'une cabane en perches de bois (Guyan, 1955, fig. 3, p. 228).

Planche 4 : Les essais de reconstitution

Fig. 11. Burgaschi-Sud BE. Reconstitution de l'habitat au niveau du sol (Strahm, 1975, fig. 36, d'après Müller-Beck).

Fig. 12. Clairvaux-Les-Lacs F. Schéma interprétatif de la construction d'une ca- bane avec habitat surélevé ou non (Passard, 1980, fig. 35).

Fig. 13. Thayngen-Weier SH. Reconstitution d'une maison de l'établissement II (Guyan, 1967, fig. 11).

Fig. 14. Thayngen-Weier II SH. Schéma de fondation sur poutres horizontales (Guyan, 1967, fig. 12).

Fig. 15. Thayngen-Weier II SH. Reconstitution du plancher surélevé d'une maison (Guyan, 1967, fig. 11).

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