HAL Id: jpa-00237977
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Submitted on 1 Jan 1882
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E. KITTLER. - Ueber Spannungsdifferenzen zwischen sich berührenden Flüssigkeiten mit Berücksichtigung der
Concentration (Sur la différence de potentiel entre des liquides résultant de la concentration); Wiedemann’s
Ann., t. XII, p. 572; 1881. E. KITTLER. - Ueber Spannungsdifferenz zwischen einem Mettal und Flüssigkeiten verschiedener Concentration (Sur la différence de potentiel entre un métal et des liquides de concentration différente); Wiedemann’s Annalen, t. XV,
p. 391; 1882
G. Gouré de Villemontée
To cite this version:
G. Gouré de Villemontée. E. KITTLER. - Ueber Spannungsdifferenzen zwischen sich berührenden Flüssigkeiten mit Berücksichtigung der Concentration (Sur la différence de potentiel entre des liquides résultant de la concentration); Wiedemann’s Ann., t. XII, p. 572; 1881. E. KITTLER. - Ueber Span- nungsdifferenz zwischen einem Mettal und Flüssigkeiten verschiedener Concentration (Sur la différence de potentiel entre un métal et des liquides de concentration différente); Wiedemann’s Annalen, t. XV, p. 391; 1882. J. Phys. Theor. Appl., 1882, 1 (1), pp.385-387. �10.1051/jphystap:018820010038501�.
�jpa-00237977�
385
principal
etqui
laissent entre elles un espace annulaire. Dans cetespace
s’engage
une troisième bobine parcourue par le courantdérivé,
dans le sens du courantprincipal
sur la moitiésupérieure
de sa
longueur,
en sens contraire sur la moitié inférieure. Cette bobine estsuspendue
à un fléau de balance 111uni decontre-poids
convenables. Le courant
principal
repousse la moitié inférieure et attire la moitiésupérieure
de la bobine mobile.La balance s’incline et
règle
l’orientation des roues traçantes.Malgré
la variation despositions
relatives desbobines,
on peutrégler
les dimensions del’appareil
en sorte que cette variation n’affecte l’intensité des actionsélectromagnétiques
que d’unefaçon négligeable.
Lecompteur enregistre
ainsil’énergie dépensée.
Cet
appareil
peut êtreappliqué
à l’étude de ladépense d’énergie
par un
foyer
de lumièreélectrique. Quand
on écarteprogressive-
ment l’un de l’autre les deux charbons à
partir
du contact, l’éner-gie dépensée
croîtd’abord,
atteint unmaximum, puis
décroît.L’appareil permet
de saisir ce maximum et d’en obtenir la réalisa-tion. FOUSSEREAU.
E. KITTLER. - Ueber Spannungsdifferenzen zwischen sich berührenden Flüssig-
keiten mit Berücksichtigung der Concentration (Sur la différence de potentiel
entre des liquides résultant de la concentration); Wiedemann’s Ann., t. XII,
p. 572; 1881.
E. KITTLER. - Ueber Spannungsdifferenz zwischen einem Mettal und Flüssig- keiten verschiedener Concentration (Sur la différence de potentiel entre un métal
et des liquides de concentration différente); Wiedemann’s Annalen, t. XV, p. 391; 1882.
IVI. Kittler déterlnine la différence de
potentiel
aux extrémitésd’une chaîne
liquide
formée de la manière suivante : lesliquides
soumis aux
expériences, placés
dans des verres, sont mis en com-munication par des
siphons
fermés par duparchemin
etremplis
avec le
liquide
dont lepoids spécifique
est leplus
faible. Lespoids spécifiques
des dissolutions et lesproportions
enpoids
dessels dissous ont été déterminés avec le
plus grand
soin.La différence de
potentiel
aux extrémités de la chaîne a été mesurée avec l’électromètred’Edelmann,
modification de l’élec- tromètre àquadrant,
de siriv. Thomson.L’aiguille
était char-Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018820010038501
386
gée
par unepile
de Zaolboni dont la constance avait été constatée.On mesurait les
déviations,
par la méthode de réflexion, surune échelle
placée
à 3"’ de l’électromètre. La différence de poten- tiel aux deux-pôles
de i élément daniell étaitprise
pour unité.L’auteur déduit -de ses mesures l’influence de la concentraLion
sur les valeurs des différences de
potentiel.
La remarque suivantepermet
en outre de reconnaitre dansquel
cas la loi de Voita estapplicable
à une chaîne formée deliquides
en contact.On
forme,
avec troisliquides
différentsF, , F2, F3
et un mé-tal
M,
trois chaînes aux extrémitésdesquelles
on détermine les dif- férences depotentiel
a,b,c :
Si
Inexpérience
montre queil s’ensuit que
Les trois
liquides
suivent la loi des tensions de Volta.Si,
ancontraire,
la différence (l - b n’est paségale
à c, les troisliquides
ne suivent pas la loi des tensions.
Les recherches de M. Kittler ont eu pour
objet
les dissolutions dPs chlorures dans veau. En voici les résuillats :i" La difl’érence de
potentiel
aux extrémités de la chaîne GuL + L Cu SO4- CuSO4
Cu,dans
laquelle
Lreprésente
une dissolution concentrée dans l’eau de l’llll des chlorures inscrit dans le tableau suivante est :387 L’ordre suivant
lequel
sontranges
les chlorures cités reste le même si l’on met de l’eau distillée à laplace
du sulfate decuivre.
Cette dernière
proposition
a été vérifiée par l’auteur dans le ca;des chlorures
AzH4Cl, K CL, NaCl, NiCl2;
2° La force électromotrice de l’élément diminue avec le
degré
due concentration de la dissolution
saline;
31 Dans la chaîne
précédente,
le courant va du chlorure au sul- fate ou du chlorure à l’eau, de la solution concentrée à la solutionétendue ;
4° Les dissolutions des chlorures inscrits dans le tableau
précé-
dent sui vent la loi de
Volta ;
5" L’ordre suivant
lequel
sontplacés
les chlorures dans le ta-bleau
précédent,
pour que les forces électromotrices aillent t cum-stamment en diminuant du
premier
audernier,
n’estplus
le mêmelorsdn’on remplace
dans la chaîne le sulfate de cuivre par de Feauacidulée ;
6° Les dissolutions des chlorures en contact avec l’acide sulfu-
rique
étendu ne suivent pas la loi des tensions deVolta ;
7° La
différence depotentiel
aux extrémités de la chainel!qu)de
Cu SO4 1 L - L
[H2
SOI + H2 SOI Cu SO4,dans
laquelle
CuSO4 et H2SO4représentent respectivement
uncmême dissolution de sulfate de cuivre et de l’eau contenant la même
proportion
d’acidesulfurique, change
considérablementavec le
degré
de concentration de la dissolution de chlorure L.G. GOURÉ DE VILLEMONTÉE.
J. PULUJ. 2014 Radiant matter from électrodes (Matière radiante provenant des électrodes); Chem. Centr., p. 193; 1881.
Ce travail a pour conclusion une
critique
très détaillée desexpé-
riences de NI.
Goldstein (1). D’après l’auteur,
laprétendue
ma-tière radiante consiste essentiellement en
particules
détachées des(1) Journal cle Physique, 1 re série, t. X, p. 53i.