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Etude expérimentale précise des spectres β

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HAL Id: jpa-00205957

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00205957

Submitted on 1 Jan 1965

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Etude expérimentale précise des spectres β

R. Quivy, J. Franeau

To cite this version:

R. Quivy, J. Franeau. Etude expérimentale précise des spectresβ. Journal de Physique, 1965, 26 (5), pp.241-245. �10.1051/jphys:01965002605024101�. �jpa-00205957�

(2)

241

comme c’est le cas pour une onde lumineuse, on peut s’attendre à ce que l’effet du premier ordre

s’annule en moyenne et ne soit pas observable :

ce n’est pas autre chose que dit l’équation (27).

Il faut donc, s’il existe, que le déplacement spectral ne dépende que des puissances paires de l’amplitude de l’onde incidente. Le déplacement

que nous trouvons est bien du second ordre et on

peut donc deviner que la correction suivante ne sera pas du troisième ordre mais du quatrième.

Remarquons maintenant que des déplacements spectraux analogues à ceux calculés ici l’ont été

déjà par d’autres procédés et expérimentalement

vérifiés. Signalons d’abord l’effet Bloch-Siegert [6]

qui consiste en un déplacement des raies de réso-

nance magnétique sous l’effet d’un champ magné- tique linéaire oscillant. Plus récemment, M. Winter [7] a calculé et observé un effet analogue dans le

cas plus général de deux champs oscillants de pola-

risation quelconque. Enfin, dans le cadre d’une étude sur le cycle de pompage optique, M. Cohen- Tannoudji [8] a mis en évidence théoriquement et

expérimentalement un déplacement des sous-

niveaux Zeeman de l’état fondamental sous l’effet de la source de pompage optique, donc d’une lumière se trouvant en résonance optique dans

l’atome éclairé.

Le calcul de M. Cohen-Tannoudji est effectué en

théorie quantique des champs et tient compte des

effets radiatifs et de résonance que nous négligeons

ici. En revanche le nôtre semble, intéressant par la

simplicité de la méthode employée et la généralité

du problème traité ; le système d’équations (34)

donne le déplacement et la structure fine du spectre

~quel que soit le système irradié.

Je ne saurais manquer, enfin, de signaler que le

présent travail fait partie d’une étude sur l’optique

non linéaire entreprise sur l’initiative de M. Louis de Broglie, çe dont je lui suis vivement recon-

naissant, ainsi que des fructueuses discussions que nous avons eues sur ces sujets. Je voudrais

également remercier MM. Joâo Luis Andrade e

Silva et Mumm Thiounn pour d’utiles échanges de

vues.

Manuscrit reçu le 12 mars 1965.

BIBLIOGRAPHIE

[1] DE BROGLIE (L.), Le principe de correspondance et les

interactions entre la matière et le rayonnement, Hermann, Paris, 1938.

[2] J. A. ARMSTRONG, N. BLOEMBERGEN, J. DUCUING, and P. S. PERSHAN, Phys. Rev. 1962, 127, p. 1918.

[3] BOGOULIOUBOV (N.) et MITROPOLSKY (J.), Les mé-

thodes asymptotiques dans la théorie des oscil- lations non linéaires, Gauthier-Villars, Paris, 1963.

Signalons que dans cette traduction, on désigne, à

notre avis à tort, sous le nom de méthode de « cen-

trage », la méthode dés moyennes.)

[4] LOCHAK (G.), C. R. Acad. Sc., 1964, 259, 3183.

[5] LOCHAK (G.), C. R. Acad. Sc., 1965, 260, 72.

[6] BLOCH (F.) et SIEGERT (A.), Phys. Rev., 1940, 57, 522.

[7] WINTER (J.-M.), Ann. Physique, 1959, 4, 745.

[8] COHEN-TANNOUDJI (C.), Ann. Physique, 1962, 7, 423.

ÉTUDE EXPÉRIMENTALE PRÉCISE DES SPECTRES 03B2

Par R. QUIVY et J. FRANEAU,

Institut Interuniversitaire des Sciences Nucléaires, Centre de la Faculté Polytechnique de Mons, Belgique.

Résumé. 2014 Les auteurs montrent la grande influence de l’épaisseur du support de source 03B2 sur

la déformation des spectres relevés expérimentalement, toutes les autres précautions de mesures

étant prises. Il n’est pas possible de préparer un support assez mince pour que la partie à basse énergie des spectres 03B2 ne soit pas déformée.

Les auteurs ont vérifié que cette déformation était due à des effets de rétrodiffusion. Ils pro-

posent une méthode de correction simple et rapide. Dans les cas envisagés, les spectres corrigés

ainsi obtenus satisfont bien à la théorie.

Abstract. 2014 The authors show the great influence of the thickness of the 03B2-source support on experimentally determined spectrum deformation, all other precautions having been taken for the measurements. It is not possible to prepare a support thin enough for the low energy part

of the 03B2-spectrum not to be distorted.

It has been verified that this deformation is caused by backscattering effects.

The authors propose a correction method which is simple and quick. In the cases considered,

the corrected spectra are in good agreement with theory.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE TOME 26, MAI 1965,

1. Introduction. - De nombreux travaux expé-

rimentaux semblent montrer que certains spectres B permis s’écqrtept de la droite de Fermi-Kurie dans

la région des basses énergies alors que d’autres

spectres permis confirment très bien cette loi

théorique,

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002605024101

(3)

Les auteurs ont proposé des facteurs de correc-

tion pour l’expression théorique du spectre [1]. Ces

facteurs de correction diffèrent d’un expérimen-

tateur à l’autre et dépendent très fortement de la valeur obtenue pour l’énergie maximum du

spectre [2]. Dans la plupart de ces travaux, les

sources étaient déposées sur des supports dont l’épaisseur, de l’ordre de 100 ug/CM2, était consi- dérée comme suffisamment petite pour ne pas pro- voquer de déformation du spectre ~.

Nous avons également constaté que la forme du

spectre [3, relevé expérimentalement, n’évolue que très peu pour des épaisseurs de support de source variant de cent à quelques centaines de ug/cm2.

Cependant, pour des épaisseurs inférieures à 100 lJ..gfcm2, la forme du spectre ~3, surtout dans la partie à basse énergie, varie rapidement en fonc-

tion de l’épaisseur.

Nos mesures nous permettent de dire qu’il n’est

pas possible, actuellement, de préparer des sup-

ports de source qui seraient à la fois assez minces pour ne pas déformer le spectre P et assez résistants

pour permettre une bonne préparation de la

source [3].

Il est bien évident que ces conclusions ne s’appli- quent que pour des sources dont l’épaisseur est négligeable vis-à-vis de celle du support.

Nous avons relevé la forme de spectres permis (phosphore 32 et sodium 24) en prenant de très

sérieuses précautions expérimentales et nous avons corrigé le spectre obtenu de l’influence du support

de source. Ces corrections ramènent les points expérimentaux sur la droite de Fermi-Kurie, aux

erreurs de mesure près.

Des résultats analogues ont été obtenus avec un spectre interdit (thallium 204).

2. Dispositions expérimentales. -- Les spectre

ont été relevés en utilisant un spectromètre magné- tique à double focalisation [4]. Les parois inté-

rieures de la chambre à vide ont été recouvertes d’une feuille de nylon rendue conductrice par une

mince couche de carbone et mise à la terre. Ces

précautions avaient pour but de minimiser les effets de diffusion des ~ sur les parois du spectro- graphe.

La détection se faisait par un compteur de Geiger dont la pression de remplissage était main-

tenue à une valeur suffisante pour que tous les

électrons, depuis 100 keV jusqu’à l’énergie maxi-

mum du spectre, soient détectés avec la même efficience [5]. Des contrôles étaient régulièrement

effectués lors des mesures.

Les sources furent préparées par projection ther- mique sous vide et seules furent utilisées celles dont le dépôt actif avait une épaisseur suffisam-

ment petite pour que son influence soit négligeable

vis-à-vis de celle du support de source (dans ces conditions, le dépôt actif était invisible). L’épais-

seur de la source était trop faible pour pouvoir

être mesurée.

Les supports de source étaient constitués d’une

ou de plusieurs feuilles très minces de formvar.

Comme la mesure de l’épaisseur de chaque feuille

entraînait la destruction de celle-ci, nous avons été

amenés à procéder de la façon suivante. Par une

mesure d’absorption dans l’infrarouge (bande d’absorption à 9,8 y), nous avons sélectionné un

lot de feuilles de formvar dont les épaisseurs étaient

aussi voisines que possible. Une méthode directe

(mesure des chemins optiques) a montré que

l’épaisseur moyenne des feuilles de formvar était de 12 yg/cm2 et était constante d’une feuille à l’autre, à 10 % près. Les films support de source

étaient rendus conducteurs par projection d’une

mince couche d’aluminium et mis à la masse du

spectrographe.

Le support de source proprement dit était cons-

titué de deux films de formvar superposés (épais-

seur minimum compatible avec la résistance méca-

nique du support, lors de la projection de la source)

et collés sur un anneau de laiton. De façon à faire

varier artificiellement l’épaisseur du support de

source, un ou plusieurs films supplémentaires,

tendus sur un très mince anneau de plexiglass,

étaient placés derrière le support proprement dit

et à une distance"aussi faible que le permettait la

sécurité mécanique des films (presque en contact) ( fcg.1).

FiG. 1. - Disposition de la source et des filmi de formvar.

3. Résultats. - a) TRANSITION PERMISE. -

Nous avons relevé le spectre B du phosphore 32,

transition permise, AJ = 1, sans changement de parité, règle de sélection de Gamov-Teller (fig. 2).

FIG. 2. - Schéma de désintégration de 32P.

(4)

Nous avons utilisé six sources de formes chimiques

différentes (acide phosphorique et orthophosphate)

et de provenances différentes (Saclay et Amersham)

Nous avons effectué les corrections de décrois-

sance (période 14,3 j) et nous avons normalisé les spectres obtenus avec les différentes sources en nous basant sur les quatre points à plus haute énergie du spectre.

Les mesures ont été effectuées pour des énergies supérieures à 250 keV de façon à nous prémunir

contre l’influence éventuelle du spectre ~ du phos- phore 33.

Comme d’autres expérimentateurs, nous avons

observés des décollements du spectre expérimental

par rapport à la droite de Fermi, mais l’impor-

tance des décollements est fonction de l’épaisseur

du support de source (fla. 3a et 3b), ce qui semble

montrer l’influence de la rétrodiffusion. A la

figure 3a, nous n’avons tracé que deux diagrammes

de Fermi, uniquement pour la clarté du graphique.

Ensuite, nous avons construit les courbes don- nant en fonction de l’épaisseur du support

FIG. 3a. - Diagramme de Fermi relatif au 32P.

A : source projetée sur 2 films.

B : source projetée sur 12 films.

C : diagramme corrigé.

de source, pour des valeurs constantes de l’énergie

des électrons (fig. 3b). Par extrapolation de ces

résultats au cas du support d’épaisseur nulle, nous

avons obtenu les ordonnées du diagramme de

Fermi correspondant à un spectre n’ayant subi

aucune déformation causée par le support de

source. D’où le « spectre corrigé » de la figure 3a, qui, aux érreurs de mesure près, coïncide avec la

droite de Fermi pour des énergies d’électrons égales

ou supérieures à 250 keV.

Pour vérifier que les décollements observés étaient bien dus à des effets de rétrodiffusion, nous

avons effectué une série de mesures, en dehors du

spectromètre, avec un dispositif géométrique très proche de celui du spectromètre. Dans ces condi- tions, le placement, derrière la source, d’un film d’environ 120 yg/cm2 provoque une augmentation

de (1,4 ~ 0,7) % de la vitesse de comptage initiale.

Ce même film, disposé derrière la source, placée

cette fois dans le spectromètre, entraîne une aug- mentation de (1,0 ~ 0,6) % de l’intégrale du spectre N(W) = f(W) pour W > 250 keV. La

1

FIG. 3b. - Courbes de correction relatives au 32P.

xi : épaisseur du support de source

x2 épaisseur du support de source en nombre de films.

(5)

bonne concordance de ces résultats montre la

grande importance de la rétrodiffusion dans le

phénomène qui nous occupe.

En ce qui concerne le sodium 24, AJ = 0, sans changement de parité, transition permise, règle de

sélection de Fermi (fig. 4), on signale le plus sou-

vent que son spectre est en accord avec le dia-

gramme de Fermi.

Nous l’avons également étudié en utilisant

comme source du chlorure et du carbonate de sodium en provenance de Mol (le contrôle de la

période de nos sources n’a pas montré la présence

dans celles-ci de radioisotopes de période différente

de celle de Na 24). Nous avons procédé exactement

de la même façon que pour le phosphore 32. Cepen-

FIG. 5a. - Diagramme de Fermi relatif au 24Na. A : source projetée sur 2 films.

B : source projetée sur 4 films.

C : source projetée sur 8 films.

D : diagramme corrigé.

fortement le nombre de points expérimentaux (fige 5a et 5b). Nous avons constaté un décol-

lement pour des énergies inférieures à 400 keV

environ, ce qui est également observé par d’autres

expérimentateurs [2]. En corrigeant ces résultats

par la méthode que nous proposons, on retrouve bien une droite de Fermi, ce qui confirme la validité de cette méthode de correction.

b) TRANSITION INTERDITE. - Dans le cas du thallium 204, la transition est unique, interdite du premier ordre, AJ = 2, avec changement de parité

a

FIG. 4. - Schéma de désintégration du 24Na.

dant, à cause de la courte période (15 h) du

sodium 24, nous avons été contraints de limiter

FIG. 5b. - Courbes de correction relatives au 24Na.

xi : épaisseur du support de source en (Lg/cm2.

x2 : épaisseur du support de source en nombre de films

FIG. 6. - Schéma de désintégration du

Le radioisotope était sous forme de sulfate

thalleux, en provenance d’Amersham.

Nous avons utilisé le facteur de forme S [6].

e == 9Li + (W 0 - W) 2 Lq. 1

(6)

245

FIG, 7a. - Diagramme de Fermi relatif au . : source projetée sur 2 films.

-h : source projetée sur 4 films.

X : source projetée sur 6 films.

+ : source projetée sur 10 films.

o : source projetée sur 13 films.

Les points du diagramme de Fermi, corrigés par

extrapolation comme ci-dessus, se placent bien en ligne droite ( fig. 7a et 7b).

4. Conclusions. - Les résultats que nous avons obtenus montrent de façon indubitable l’influence de l’épaisseur du support de source sur la défor- mation des spectres P relevés expérimentalement.

Cette altération de l’allure du spectre semble indé-

pendante du type de transition, ce qui est logique puisqu’il s’agit d’un effet dû au dispositif expéri-

mental.

En outre, ces résultats montrent qu’on ne peut

réaliser de support suffisamment mince pour ne pas déformer le spectre.

.

FIG. 7b, - Courbes de correction relatives au 304Tl.

.ri : épaisseur du support de source en fJ.g/cm 2.

x : épaisseur du support de source en

nombre

de films.

En conclusion, la détermination expérimentale précise d’un spectre g n’est pas possible direc-

tement. Il est nécessaire de relever les spectres

émis par des sources minces (quelques . déposées sur des supports d’épaisseurs différentes

et inférieures à une centaine de on peut

alors corriger de la déformation due au support. La

méthode de correction que nous proposons (extra- polation au cas du support de source d’épaisseur nulle) est simple et relativement rapide.

Nous tenons à remercier M. J. Descamps pour l’aide qu’il nous a apportée lors de très longues

mesures nécessitées par notre travail.

Manuscrit reçu le 27 février 1965.

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Références

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