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Sur la forme des spectres β interdits du premier ordre

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Submitted on 1 Jan 1954

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Sur la forme des spectres β interdits du premier ordre

Jeanne Laberrigue-Frolow, Roger Nataf

To cite this version:

(2)

fonction de

Bloch,

celle

d’énergie

¿m et pour l’électron

une masse unité

(Tibbs, §

2.i).

Cette solution est

spécialement

bonne

près

du centre d’une zone à

symétrie

s et à masse effective voisine de l’unité. Dans le cas

général,

l’emploi

d’une masse

effective,

proposé

par Peckar n’est pas

justifié.

b. Une

infinité

de

fonctions

périodiques.

- La

solution de Peckar

(§ 2 . 2)

est valable pour E -

V,

voisine dans tout

l’espace

d’une valeur stationnaire du réseau. La solution d’Adams est

plus générale

que celle de Wannier et Slater

(§ 3. );

cette

dernière

est certainement

applicable

si

Vp

varie très len-tement et pour des

énergies

E -

Vp

pas

trop

voisines d’une valeur stationnaire. Les électrons libres des fonctions modulante sont dans tous ces cas la masse effective du réseau.

L’auteur tient à remercier les Docteurs C.

Herring,

E. N. Adams et J. Plaskett pour l’intérêt

qu’ils

ont

pris

à ce travail.

Manuscrit reçu le 7 janvier 1954.

BIBLIOGRAPHIE.

[1] BLOCH F. - Z.

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[2] PEIERLS R. - Z.

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[17] SLATER J. C. et KOSTER. - M. I. T. Techn. Rep. Sol.

State and Mol. Theory Group n° 5, 1954.

SUR LA FORME DES

SPECTRES 03B2

INTERDITS DU PREMIER ORDRE

Par JEANNE LABERRIGUE-FROLOW et ROGER NATAF,

Laboratoire de Chimie Nucléaire, Collège de France.

Sommaire. 2014 Calcul du coefficient de correction par

rapport à la forme permise des spectres

03B2-et 03B2+ pour les transitions interdites du premier ordre (0394J = 1, oui) dans le cas de l’interaction T pure pour Z = 5; 35 et 50 et Emax = 250 et 500 keV; 1; 1,5 ; 2; 2,5 et 3 MeV. Les formes de spectres

diffèrent peu, dans ce cas, de la forme permise. On donne également, avec ces différentes valeurs des

paramètres, les valeurs des expressions permettant le calcul du coefficient de correction pour une

interaction quelconque, en particulier du type (S, T). LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM.

°

TOME

15,

JUIN

1954,

Introduction. - La théorie de Fermi sur la

désintégration g

est,

à l’heure

actuelle,

la seule

qui

permette

d’expliquer

de

façon

satisfaisante les faits connus

[ 1 ].

Pourtant le choix entre les combinaisons linéaires

des

cinq

variantes d’interaction

(S,

scalaire;

V,

vec-torielle ;

T,

tensorielle;

A,

vecteur axial et

P,

pseudo-scalaire) possibles d’après

cette théorie n’a encore

pu être effectué avec

précision.

Seule la

comparaison

des

prévisions théoriques

aveC

l’expérience

peut permettre

de résoudre cette

question.

,

Les

points

fondamentaux de

comparaison

sont les suivants :

a.

Règles

de

sélection;

b. Forme des

spectres;

c. Valeurs des

produits

1: t;

d. Corrélations

angulaires p

-

y

et fi

- v

(c’est-à-dire 9

-

noyau de

recul).

La

technique

de la

spectrométrie

étant

main-tenant assez

précise,

les données sur les

fdrmes p

sont très

utiles

pour comparer

l’expérience

à la théorie.

Forme des

spectres p

et interaction. - 10 Dans le cas des transitions

permises,

quelle

que soit la

variante d’interaction

choisie,

la forme du

spectres

est donnée par

l’expression

.

(3)

g, constante de

Fermi;

..

a’Vl,

élément de matrice nucléaire de la

transition;

Yo = B1 1 - a2 Z2 (le

Z étant celui du noyau final

F0

(Z, e),

fonction rendant

compte

de

l’influence

du

champ

coulombien;

a,

énergie

totale de l’électron en unité mo

c2;

p,

quantité

de

mouvement;

¡==V l + p2

en unité

relativiste;

q = ev,

énergie

du neutrino.

Cependant

pour des combinaisons

linéaires

conte-nant S et V ou T et

A,

on aurait dans

(1)

un terme

supplémentaire

en I

qui

donnerait une forme de

spectre

exclue par

l’expérience (1).

C’est ce

qui

a conduit Fierz

[2]

à exclure de telles

combinaisons.

2° Dans certains cas

également,

en

particulier

pour toutes les transitions d’ordre n telles que AJ == n + i, la forme du

spectre [3

est bien déter-minée et est donnée par une

expression

P,-

X

C,

oÙ C est un facteur de correction bien déterminé

quelle

que soit l’interaction

pourvu

qu’elle

con-tienne T ou A : dans ces cas, en

effet,

un seul des

différents

éléments de matrice

possibles

n’est pas

nul,

et

provient

de T ou A

[3],

[13];

ùne interaction

de ce genre est bien en accord avec la

règle

de sélec-tion

de

Gamow-Teller ,pour les transitions

permises

(àJ

= o ou i,

non).

Un

grand

nombre de formes

de

spectre

de ce

type

ont été

observées,

notamment

parmi

les éléments de fission

(soy,

.. ,, OJ = 2,

oui;

interdites d’ordre

i).

Notons que l’interaction P

apporte

toujours

un

terme nul ou

négligeable

sauf pour les transitions interdites du i er ordre AJ = o, oui. ’

30 Par

contre,

pour les transitions où AJ est

égal

à l’ordre

d’interdiction,

la forme du

spectre

dépend beaucoup

de la variante d’interaction choisie. Même pour une interaction T pure, cas que nous étudions

ici,

il intervient deux éléments de matrice

nucléaires

en

pu

et

goc

[ 1 ],

[13]

et la forme

du

spectre

dépend

de leur

rapport

qui

est,

dans

une certaine mesure, arbitraire

on

sait seulement

étant la vitesse moyenne des

nucléons dans les

nôyaux v/c ~ o,2

c

)

exclusion n’est pas totale évidemment. A la

précision actuelle des mesures, une combinaison contenant

plus de i pour i oo du plus petit des termes T et A, par

exemple, est exclue [16].

L’étude

précise

de la forme de ces

spetres

avec n == AJ = 2

(spqctres

de

36CI, 13?ces, 135CS,

99Tc,

cf.

[3],

[4])

a

permis

d’exclure la combinaison

(S, A).

Il reste les combinaisons

(V,

A), (,S,

T)

et

(V, T)

l’interaction T pure étant aussi

possible; (V,

A)

s’ajuste

d’ailleurs mal aux formes

expérimentales.

Mais le meilleur

argument

en faveur d’une combi-naison contenant T est actuellement fourni par les

expériences

de corrélation

(3 - ’IJ

de Rustad et

Ruby [5]

faites sur 6He

(transition

AJ = i

permise

par

T,

A)

qui

donnent T > A.

En admettant

rigoureusement

la condition de

Fierz,

il reste donc les

possibilités

(S,

T)

et

(V, T).

Une étude récente de Mahmoud et

Konopinsky

[6]

sur certains

spectres

interdits AJ = 1,

oui,

du

type

que nous examinons

ici,

dont la forme

expérimentale

est

permise,

permet

d’exclure la combinaison

(V,

T)

qui

donnerait aussi un

terme

supplémentaire

en I/e

Les deux termes S et T semblent bien tous deux nécessaires avec d’ailleurs S cu T.

a. Parce que l’on

rencontre, semble-t-il,

certaines transitions o - o

permises

par -S et non pas T

comme :

b.

D’après

l’étude dés

z f

pour les noyaux miroirs

et 6He

[7],

[8].

z

Nous donnons ici le terme correctif

C7,

provenant

de T.

En

général,

il faut y

ajouter

des termes

Cs,

CsT,

dont nous donnerons les

expressions

en fonction des

(p’,

9’0" LI,

définis dans le tableau. I.

Nous

laisserons de côté les transitions à = o,

oui,

semblables à celles que nous

étudions,

mais où

l’interaction P

peut

intervenir : Petschek et

Marshak

[9]

ont effectivement

expliqué

la forme du

spectre

de Ra E par une transition de ce

type

avec l’interaction

(T, P).

Actuellement,

on admet

que

l’interaction

est du

type

(S,

T,

P)

en raison de ces diverses preuves

expérimentales.

Il faut

cependant

remarquer que le facteur de

correction total C de Petschek et Marshak varie

beaucoup

en fonction de

l’énergie

-, par suite d’une

compensation

assez accidentelle

(plusieurs

éléments

de matrice nucléaires interviennent et il faut choisir

leur

rapport), compensation qui

le rend

petit

en

valeur absolue. Nous rencontrerons des

exemples

analogues

dans notre calcul. Le

développement

en

série des différents termes doit alors être

poussé

assez

loin,

et le calcul très

précis.

Ces auteurs ont

effectivement utilisé les corrections de Rose et

Holmes

[10]

pour tenir

compte

du rayon fini de la

charge

nucléaire

(ce qui

n’est

peut-être

pas

entiè-rement

suffisant).

(4)

A. --- Interaction 7.

PRINCIPE DU CALCUL ET RÉSULTATS. - Les

calculs

généraux

dans le cas de l’interaction T ont

été faits

ailleurs

par l’un de nous

[12],

[13].

Nous rétablissons ici

l’expression

exacte de

cr ’0 ,

celle

qui figure

dans

[13]

étant,

comme

l’expression

générale

de

QnB

entachée d’une erreur de

copie

et

nous tenons

compte

de certains termes que nous

avions indûment

négligés

dans

(a)

ci-dessous.

Nos

expressions

ne diffèrent alors de celles de

Konopinski

et Uhlenbeck ou de

Greuling

[ 11

]

que

par des termes tout à fait

négligeables

(2).

Les

formules

pratiques permettant

de déterminer la forme du

spectre B

sont les suivantes :

L’élément de matrice n’étant pas

unique

dans ce cas,

P3

est la somme des trois termes

indiqués

dans le tableau ci-dessous et

pondérés

entre eux,

les coefficients de

pondération

approximatifs

sont

indiqués

dans la dernière colonne du tableau 1 :

TABLEAU I.

avec

Nous avons

pris

pour A les valeurs moyennes

suivantes :

,

Le deuxième terme

(b)

donne la forme

permise.

Le

spectre

de la transition

(AL

= AJ =

i)

diffè-rera donc de la forme

permise.

Le facteur correctif sera la somme des trois facteurs

A, B,

C

pondérés

tels que :

TABLEAU II.

Nous avons calculé ce facteur correctif C pour

les

spectres P-1-

et

g-

pour Z =

5,35

et 5o et pour

les différentes valeurs de

Eo = 250

et

5ookeV;

1,

1,5,

2,

2,5

et 3

MeV.

-Nous avons

pris

les valeurs extrêmes de

Pour

chaque

Z et

,Éa

il y avait donc

quatre

valeurs

possibles

du facteur correctif que nous avons

calculées :

(2 ) Notre expression (p’2 = R2 Mo de [11]

(5)

Fig. i. -

Facteur;de’ correction e : cas de fi-, Z = 5.

Fig. 2. - Facteur de correction e : cas de

B-, Z =35.

Nous avons donné sur les courbes :

1° Pour

Z =

35, les variations du facteur correctif

correspondant

aux différentes valeurs

de v

et de

Emax

pour

B-

( fig. 2) et

pour

(3+

(fig. 5);

20 Pour Z = 5, les variations du facteur correctif

correspondant

aux différentes valeurs

de v/c

et à la

valeur de

Eu,,,,

= 3

MeV,

celles-ci donnent la

varia-tion la

plus

grande

de e le

long

du

spectre

(B-, fig. i)

et

(B+,

fig. 4).

Fig..3. - Facteur de correction : c cas de y, Z = 50.

Fig. 4. - Facteur de correction c :

cas de

B+,

Z = 5.

3° Pour Z =

50,

les courbes

analogues

à celles

DISCUSSION DES RÉSULTATS. - On

voit que les variations du coefficient C sont relativement très

faibles, ,

1

Il est à noter que les

expressions

que nous avons utilisées sont en fait des

expressions approchées

résultant de

développements

en

série,

le facteur

correctif e est donc entaché d’une erreur

égale

à

la valeur des termes

négligés

et

qu’il

est assez diffi-(3) Les tableaux complets des valeurs de c pour Z = 5,35

et 5o pour tous les points reportés sur les figures relatives

à Z = 35 peuvent être communiqués sur demande aux

(6)

cile d’évaluer. Il est évident que les valeurs du

facteur de correction e obtenues par une des combi-naisons et

qui

sont très

petites

en valeur absolue

ne

peuvent

être retenues, elles sont en effet de l’ordre de

grandeur

des termes

négligés

et la varia-tion de C n’a alors pas de

signification,

l’erreur relative étant très

grande.

C’est le cas, par

exemple,

des combinaisons

correspondant

aux cas suivants :

Remarquons

que l’on obtient l’ordre de

grandeur

de C en

prenant c -

(5É

V)2

Cette

expression

de e en

prenant

e rv

2

+

C . Cette

expression

s’annule en effet pour

et pour

Le fait que ces valeurs des très

petites

sont

inexactes en raison de termes

négligés

du même ordre

apparaît

nettement pour les 5e et

7 e

cas où

certaines valeurs ,sont

négatives.

Il est confirmé par la valeur de

tt

trop

grande

pour des transitions interdites du 1 er ordre que l’on obtiendrait avec ces valeurs

(pour c- c~ 10. 10-4

-

fi

~

5.1’08)’, d’après

ce

critère,

les résultats inférieurs à IOO.IO-4

nécessi-teraient un

développement

plus

poussé.

Nous n’avons pas donné les courbes dans les

4e,

5e et

7 e

cas. CAS PARTICULIER DE LA TRANSITION

B-

DE Z =

36,

Emax

== 2 MeV

(i1J

= 1,

oUI).

- Nous

avons

également

effectué le

calcul

de la forme du

spectre

de cette transition afin de nous rendre

compte

de la variation

des

quatre

formes

corres-pondant

aux

quatre

combinaisons

’ v

=

± ô, I ;

C

v 012

par

rapport

à la forme

permise;

les

C

résultats sont

reproduits

sur la

figure

7. On voit

qu’en

fait le

spectre

fi-

diffère peu de la forme

permise,

mais est nettement différent de la forme du

spectre correspondant

à la transition

(àJ

= 2,

oui)

(fig.

8).

On

voit d’ailleurs que dans ce cas, la forme

de

spectres

correspondant

à la combinaison obtenue

avec v = - 0,1

et celle obtenue

avec -

=== -- 0,2

c c

ne sont pas très différentes de la forme

permise,

bien

que e

ait alors une variation

importante.

Fig. 5. - Facteur de correction e : cas-de fi+, Z = 35.

Fig. 6. - Facteur de correction c :

cas de j3+, Z = 5 0.

En

définitive,

on

peut

conclure que, pour

l’inter-action T pure la forme du

spectre

correspondant

aux transitions interdites du

premier

ordre

(AJ

= I,

oui)

diffère peu de la forme

permise.

(7)

443

qu’il

avait utilisés semblent

beaucoup

trop

grands.

Sliv

[15]

a lui aussi fait des calculs dans le cas de l’interaction T pour les transitions interdites du

premier

et du second ordre et a conclu en faveur de la

prédominance

de cette interaction.

Fig. 7i (Voir l’échelle des abscisses, fig. 8).

-Formes possibles de spectre P- interdit du premiers ordre. AJ = I, oui; dans le cas de l’interaction T.

Fig. 8. -

80 = forme de spectre B- permise (E max= 2 MeV) ;

S, = forme de spectre fi- interdite de premier ordre

(AJ =

2, oui) cas de l’interaction T.

B. - Cas de l’interaction

(S, T).

D’après

les résultats de

[11]

]

et de

Pursey

[14],

les facteurs de correction

es

et CST sont donnés par

Dans le facteur correctif total relatif à une inter-action

(S, T) apparaît

une nouvelle constante :

le

rapport

On sait seulement

que

(4) Comme dans le tableau I, nous désignons par r un

vecteur unité, et non un vecteur de longueur R.

Avec cette notation :

Pour l’interaction

(S,

T),

à

laquelle

se

réduit

(S,

T,

P)

dans le cas étudié IJ = i,

oui,

(8)

441

Nous donnons seulement ici les courbes des valeurs

y 20,

cp ô,

Li

( fig.

g, I o, II, 12,

13) qui

nous

ont servi dans

A,

et

qui

permettent

de calculer e

dans chacun des cas de

A,

quand

on se donne en

plus

la valeur K et le

rapport

os dans l’interaction

g T

Nous remercions M. le Professeur Joliot pour l’intérêt

qu’il

a

pris

à la réalisation de ce travail.

. Manuscrit reçu le 19 décembre 1953.

BIBLIOGRAPHIE.

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Références

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