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O uvrages / Book review (Les ouvrages précédés d’un astérisque ont été offerts par l’auteur ou l’éditeur à notre bibliothèque)

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O uvrages / Book review

(Les ouvrages précédés d’un astérisque ont été offerts par l’auteur ou l’éditeur à notre bibliothèque)

Auteur d’un grand nombre de publications sur les serpents, leurs venins, les envenimations ophidiennes, Jean-Philippe CHIPPAUX nous offre aujourd’hui un ouvrage de synthèse,

« Venins de serpent et envenimations », publié aux éditions de l’IRD. Cet ouvrage de près de trois cents pages comprend trois par- ties principales.

La première partie, intitulée « Zoologie », pré- sente la systématique actuelle des serpents, leur anatomie, mais aussi l’évolution des ser- pents depuis l’identification des premières formes fossiles connues du Crétacé, illustrée par des cartes, des schémas et une liste des principaux genres signalant les genres vivant encore aujourd’hui.

L’anatomie de l’appareil venimeux figure dans la partie suivante, consacrée aux « Venins », dont on sait l’étonnante diversité moléculaire et de mode d’action : neurotoxines pré- et postsynaptiques, cardiotoxines, myotoxines, protéases spécifiques entraînant des pertur- bations profondes de la coagulation, analo- gues de médiateurs vasoactifs, désintégrines, cytolysines, molécules à fonction inconnue, tel le facteur de croissance nerveuse ou NGF.

Toutes les familles de toxines connues sont répertoriées, décrites et présentées dans des tableaux d’une grande clarté. Les mécanis- mes d’action, les effets physiopathologiques, les caractéristiques toxicocinétiques de ces toxines sont très clairement expliqués ou commentés (troubles de la coagulation du syndrome vipérin, paralysies d’extension pro- gressive du syndrome cobraïque). Un chapitre original sur l’utilisation des venins en recher- che et en thérapeutique sert d’introduction à un chapitre largement développé sur les anti- dotes, les immunsérums et l’immunothérapie passive ou sérothérapie.

La dernière partie, « Envenimations », est sans

doute la plus personnelle, en raison de l’ex- périence incomparable de l’auteur, épidémio- logiste et clinicien qui a recueilli et traité de nombreux cas de morsures de serpent, surtout en Afrique mais aussi en Amérique du sud.

Dans le chapitre sur l’épidémiologie des enve- nimations sont successivement pris en compte l’écologie des serpents, les comportements humains et l’épidémiologie des morsures. Cli- nique et thérapeutique sont accompagnées d’un chapitre sur la prévention des envenima- tions. Enfin, l’auteur soumet à l’appréciation du lecteur les conclusions d’une remarquable enquête personnelle sur l’accessibilité des sérums antivenimeux pour les populations qui en ont le plus besoin et qui n’ont pas de ressources financières suffisantes pour s’en procurer ou pour gérer convenablement les faibles stocks dont ils disposent ou encore qui sont insuffisamment formées pour leur utili- sation rationnelle. Les contraintes actuelles de production et de contrôle pesant sur tout médicament d’origine biologique ont de plus grevé de façon sensible les coûts de fabrica- tion des sérums antivenimeux. La résultante de ces facteurs économiques a conduit à une réduction énorme de la production mondiale de sérums antivenimeux au cours des quinze dernières années, alors même que la technolo- gie de fabrication d’anticorps efficaces et bien tolérés (Fab’2) est bien au point.

Le livre est complété par des annexes (dont un rappel sur la réglementation relative à la détention d’animaux venimeux), une liste de références bibliographiques, un lexique, un index, un sommaire et une table des matières rendant particulièrement aisée la recherche d’un point particulier du livre. Les schémas et dessins (dus à l’auteur), les cartes, les figures, les formules chimiques, abondants, rendent particulièrement agréable la lecture

d’un ouvrage écrit par ailleurs dans un style limpide. Des photos et planches photographi- ques, pour l’essentiel dues à Daniel HEUCLIN, herpétologue et photographe animalier par- ticulièrement talentueux, complètent heureu- sement l’iconographie.

Enfin, il convient de souligner une fois encore, à propos de cette publication, la qualité tout à fait remarquable des éditions de l’IRD. La parution de livres de venimologie de langue française est un événement trop peu fréquent qu’il convient en conséquence de relever, plus encore lorsqu’il s’agit d’ouvrages de ce niveau de qualité, auquel, il faut bien le dire, l’auteur nous a habitués. D’un volume peu encom- brant, d’une lecture facile, excellemment illustré, traitant tous les aspects essentiels des envenimations ophidiennes, s’ouvrant sur un chapitre de zoologie et de systémati- que complet et clair, ce livre intéressera aussi bien les médecins que les herpétologistes ou plus largement tout naturaliste, amateur ou professionnel.

M. GOYFFON

*Venins de serpent et envenimations

Jean-Philippe CHIPPAUX – IRD Éditions, 2002, 288 p., 28 €

Qu’est-ce qu’une épidémie ? Pourquoi la grippe vient-elle d’Asie ? Comment vont muter le sras, le sida ? Qui sera touché ? Qui sera épargné ?

Rendues plus fulgurantes encore par la géné- ralisation des transports et parce que leur monde s’adapte toujours plus vite que le nôtre,

Sous la direction de deux médecins issus de l’Institut Pasteur, une trentaine d’immunolo- giste, de virologues et de correspondants de l’OMS ont contribué à l’établissement de ce livre unique.

Méningites, légionelloses, grippe aviaire...

Comment naissent les épidémies, comment

*Le mystère des épidémies

Dr François RODHAIN, Dr Jean-François SALUZZO – Éditions Pasteur, 2005, 430 p.

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Bull Soc Pathol Exot, 2005, 98, 4, 336-339 337 Ce petit ouvrage comporte au total 130

pages ; il vient compléter une collection qui s’est rendu célèbre par son format très mania- ble qui englobe un contenu très complet et pratique, très utile à un large public. C’est le résultat de la coopération exemplaire de trois spécialistes de disciplines complémentaires : pathologie infectieuse, parasitologie et réani- mation médicale ; il apporte une information actualisée théorique et pratique. A priori, Palu- disme est plutôt destiné à l’étudiant en méde- cine et au généraliste susceptible de rencontrer des voyageurs, au départ et au retour. En fait, spécialistes et microbiologistes, chercheurs fondamentaux et de terrain y trouveront une mine d’informations, ainsi que la confirmation de la gravité toujours actuelle du paludisme, et comprendront pourquoi les auteurs moder- nes préfèrent parler des « paludismes », tant on peut distinguer, voire opposer, le paludisme causé par Plasmodium falciparum, véritable urgence médicale, notamment chez l’enfant, et le paludisme dû aux autres plasmodies, exceptionnellement résistantes à la chloro- quine, ce qui permet l’utilisation de ce dérivé en première intention.

L’avant-propos, très pertinent, pose bien le problème et précise bien les objectifs. Il rap- pelle avec force des formules parfois oubliées : bien qu’exceptionnels, les cas de « paludisme d’aéroport » et de paludisme induit « ne doi- vent pas être ignorés pour autant. Le diagnos- tic de paludisme doit être évoqué devant une fièvre persistante sans cause apparente, que le patient ait ou non voyagé » ; et aussi : « une autre raison qui explique la persistance de l’en- démicité palustre dans le monde à un niveau élevé est l’indifférence ».

L’initiative originale pour un ouvrage de ce format est de l’avoir doté d’un glossaire (59 entrées), très utile pour les non initiés (et pas vraiment superflu pour les autres) et de repè- res historiques substantiels (26 pages) « car l’histoire du paludisme fait partie de notre histoire, comme elle fait partie de l’histoire d’une humanité que le paludisme a contribué d e nombreuses manières à façonner… », jus- qu’à l’indépendance de la Grèce obtenue par l’émotion suscitée en Europe par la mort de BYRON causée par le paludisme et qui incita Angleterre, Russie et France à envoyer une flotte qui défit l’armada ottomane à Nava- rin !

Ce chapitre retrace une histoire passionnante écrite comme un véritable roman à suspense,

riche en rebondissements, avec un humour parfois un peu grinçant, mais juste et hon- nête : les mérites de Sir Ronald ROSS, par ailleurs bien égratigné, sont finalement recon- nus (p.12). Les formules-chocs très heureuses abondent : « si Versailles n’était pas le golfe du Bénin, le paludisme y faisait malgré tout de nombreuses victimes » ; MUSSOLINI traité de

« César de pacotille » et, dans un autre cha- pitre « A. gambiae, notamment, aime jouer au passager clandestin ».

Les chapitres suivants, tout aussi heureux et bien écrits, sont plus classiques.

2. Données biologiques et épidémiologiques élémentaires nécessaires à la compréhension du paludisme. (10 pages)

Y sont abordés les parasites et leurs cycles, les anophèles vecteurs, les notions de paludisme stable et instable, les concepts de niveaux d’endémicité et de réceptivité de l’hôte, les résistances, innées et acquises, les perspecti- ves du vaccin (« l’Arlésienne »).

3. Paludisme non compliqué : données clini- ques. (5 pages).

Données épidémiologiques sur le paludisme d’importation en France ; le diagnostic (impor- tance de l’anamnèse, la clinique souvent trom- peuse), l’impact de la chimio-pophylaxie.

4. Paludisme grave et compliqué : comment le reconnaître précocement. (10 pages) Ce chapitre donne la définition de l’OMS (2000) et ses limites concernant le paludisme d’importation et les populations à risque ; il précise quelques cas particuliers : fièvre bilieuse hémoglobinurique, redevenue moins exceptionnelle depuis le retour de la quinine et le développement d’autres amino-alcools pro- ches (halofantrine, méfloquine, luméfantrine) ; paludisme grave autochtone (une quarantaine de cas, de 1987 à 2001, en France).

5. Diagnostique biologique. (10 pages), direct et indirect, et les anomalies biologiques sou- vent associées au paludisme, place de la PCR.

6. Paludisme : qui hospitaliser ? (10 pages) Conduite à tenir pratique chez l’adulte et chez l’enfant, précisée par un arbre de décision très clair (p. 66).

7. Traitement du paludisme non-compliqué.

(7 pages)

Chez l’adulte et chez l’enfant ; la surveillance de l’efficacité du traitement n’est pas oubliée.

8. Principes de la prise en charge du paludisme.

(11 pages)

Toutes les molécules sont prises en compte,

éventuellement avec leurs limites : antibio- tiques (doxycycline, clindamycine), dérivés de l’artémisinine et les traitements dits adjuvants (exsanguinotransfusion ; etc.). Les modalités du traitement symptomatique et la surveillance en réanimation sont légitimement développés, ainsi qu’un sous-chapitre sur les négligences (et erreurs) à éviter dans la prise en charge du paludisme.

9. Prévention du paludisme chez le voyageur.

(11 pages)

Elle fait l’objet d’un développement soigneux et complet, repris dans quatre tableaux détaillés :

– répartition des pays par niveau de risque du paludisme ;

– caractéristiques des médicaments utilisa- bles dans la prophylaxie du paludisme chez l’adulte ;

– fréquence des effets secondaires modérés et sévères des antipaludiques préventifs ; – coût total approximatif des différents régi- mes prophylactiques.

Cent références assez récentes et bien choi- sies, dont une quarantaine en français, per- mettent aux lecteurs qui le souhaitent d’aller plus loin.

Le style est alerte et plaisant, non dénué d’humour, nous l’avons souligné. Une dizaine d’encadrés et des passages en caractères gras apportent une note pédagogique qui renforce l’intérêt d’un manuel en format « de poche » que l’on garde sous la main en permanence.

A. Chippaux

*Paludisme

Bertrand GACHOT, Fabrice BRUNEEL, Jean-François PAYS – Doin éditeurs, collection « Condui- tes », 2004, 110 + XIX pages.

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Les maladies infectieuses sont à la fois com- plexes et protéiformes.

Ceci tient d’abord à la diversité de leurs étiologies : bactériennes, virales, parasitaires ou fongiques. La microbiologie (bactériolo- gie, virologie) et la parasitologie-mycologie sont, en effet, indissociables de la pathologie infectieuse. Or, pour les bactéries, les virus, les parasites ou les micromycètes, les classi- fications et les terminologies sont difficiles, évolutives et souvent malaisées à exprimer avec la rigueur et la précision requises.

Outre la variété de leurs agents étiologiques, les maladies infectieuses présentent de mul- tiples facettes épidémiologiques, cliniques et thérapeutiques. Certaines d’entre elles sont ubiquitaires, d’autres sont limitées aux régions tropicales ou subtropicales ou à des environ- nements particuliers. D’autres sont communes à l’homme et aux animaux et constituent de

véritables zoonoses ou encore sont à l’origine de transmissions intra-hospitalières.

De plus, cet ensemble de maladies infectieu- ses « traditionnelles » s’est considérablement élargi ces dernières années avec les infections opportunistes, provoquées par des microorga- nismes normalement peu ou pas pathogènes, mais qui profitent des conditions particulières créées par les immunodéficiences majeures, pathologiques ou post-thérapeutiques. Des infections nouvelles ont aussi fait leur entrée en pathologie humaine. Il s’agit des infec- tions émergentes, provoquées par des agents pathogènes d’animaux, souvent inconnus jusqu’ici et qui, sous des influences variées, ont perdu leur spécificité d’espèce pour venir contaminer l’homme et provoquer parfois de véritables épidémies.

Le Dictionnaire des maladies infectieuses com- porte plus de 4 000 termes traduits en anglais,

accompagnés de définitions et de commentai- res encyclopédiques. Enfin un index anglais/

français complète l’ouvrage.

Dictionnaire des maladies infectieuses

Jacques FROTTIER, Pierre AMBROISE-THOMAS – CILF / PUF, Dictionnaire de l’Acadé- mie de médecine, 2005, 440 p.

Cet ouvrage, dirigé par le Pr BERTRAND, a été conçu pour les internes et médecins en Afrique confrontés à des urgences « tropicales » ou cosmopolites.

L’équipe de médecins français et africains qui a collaboré à cet ouvrage a choisi de faire un livre pratique, immédiatement utilisable sur le terrain, qui tient compte des réalités africaines d’aujourd’hui tout en mentionnant aussi les examens et traitements pouvant être disponibles demain.

Sur le plan technique, Il présente tous les élé- ments indispensables à une prise en charge du patient, avec calme, rigueur et efficacité, mais aussi prudence :

– assurer ou orienter le diagnostic clinique ; – faire les examens complémentaires utiles (s’ils sont possibles) ;

– traiter le patient ;

– annoncer le pronostic au malade ou à sa famille ;

– éviter les erreurs.

Chaque chapitre se conclut par une bibliogra- phie pour ceux qui souhaitent en savoir plus, et par des questions-réponses pour vérifier l’assimilation des connaissances sur les diffé- rents types d’urgences.

*Urgences médicales en Afrique

Edmond BERTRAND – Éditions Estem., coll. de l’Agence universitaire de la Francophonie, 2005, 516 p., 40 € (15 € pour l’Afrique, l’Asie, l’Amérique latine, le Moyen-Orient et Haïti)

Entomologo, consegue il Diploma in Tecniche Agrarie nel 2001 discutendo una tesi sugli insetti utili nel frutteto et nel vigneto. nello stesso anno consegue anche la specializza- zione in gestione e recupero del territorio.

Collabora con il Dipartivo di Entomologia del Museo Civico di Storia Naturale di Car- magnola e nel febbraio 2005 è stato eletto

Esotica con sede presso L’Istituto Pasteur di Parigi.

Attualmente dedica le sue ricerche alla sis- tematica ed alla bio-etologia dei Cetoniidae paleartici ed Africani oltre a dedicarsi attiva- mente allo studio dell’Entomologie e della Patologia Forense ed alla Parassitologia Cli- nica.

*Artropodi terrestri

Pericolosi sul territorio italiano

Moreno DUTTO – Fusta editore, 2005, 160 p., 29 €

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Bull Soc Pathol Exot, 2005, 98, 4, 336-339 339 Ce livre est né d’un scénario de formation

en recherche-action et d’un nombre élevé de missions sur le terrain ayant comme base le souvenir non-éteint des premières initiations vécues dans le village de Dioumaténé.

Avant d’initier leurs enfants de sexe mascu- lin à la vie sociale, politique et religieuse, les Sénoufo commencent par leur infliger une mort rituelle. C’est cette expérience qui est décrite ici avec en arrière-fond un bain dans la culture originale sénoufo.

L’auteur propose non seulement une descrip- tion de l’univers des rites sénoufo, mais aussi une analyse de leur actualité dans le contexte de crise que vit le système éducatif malien.

L’auteur, le Dr N’do CISSÉ, est un linguiste. Il a surtout travaillé à la promotion de la langue sénoufo au Mali (description scientifique, con- ception de documents d’alphabétisation, etc.).

Actuellement, il dirige un programme à Sikasso au sud du Mali.

*Les rites initiatiques chez les Sénoufo (Sud-Mali)

N’do CISSÉ – L’Harmattan, 2005, 186 p., 16,20

« Guérisseurs », « devins », « sorciers », aucune traduction n’est appropriée : les bruxos, leurs clients et le monde au sein duquel s’organise leur rencontre, sont au cen- tre de cette étude. Situés à la frontière entre le visible et l’invisible, entre le quotidien et la surnature, les bruxos s’occupent surtout des maladies qu’ils appellent spirituelles. Tous sont également consultés pour leurs facultés de voyance / divination et pour exercer des influences sur des tiers.

Cette recherche en ethnologie fait usage d’outils conceptuels et méthodologiques issus d’autres disciplines, en particulier l’eth- nométhodologie et l’ethnopsychiatrie. Ces

outils n’ont pas été utilisés comme « cadre de référence » à l’intérieur desquels les phé- nomènes étudiés trouveraient « leur » sens, mais comme des moyens permettant d’explo- rer les phénomènes à l’intérieur de leur propre contexte.

La question de l’efficacité, centrale pour les bruxos et ceux qu’ils soignent, l’est aussi pour l’ethnologue. Sous sa conduite, l’activité thé- rapeutique des bruxos et les expériences et les vécus de leurs clients sont envisagés dans toute leur complexité

Un beau livre d’initiation à la culture tradition- nelle du Portugal.

*Les Bruxos :

Des thérapeutes traditionnels et leur clientèle au Portugal

Miguel MONTENEGRO – L’Harmattan, 2005, 316 p., 27 €

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A rticles acceptés pour publication dans un prochain numéro / Articles in press

Motifs de consultations liés à l’usage des dépig- mentants chez 104 utilisatrices à Brazzaville, Congo.

Bleaching consultations motives about 104 using women in Brazzaville, Congo. – Gathse A, Obengui & Ibara JR Dépistage de la syphilis dans le cadre d’un program- me de réduction de la transmission mère-enfant du VIH : exemple du centre de santé de Wassakara à Abidjan, Côte-d’Ivoire. Syphilis test proposed within the context of a programme to reduce mother/child HIV transmission: example of the Wassakara health care cen- ter in Abidjan. – Rey JL, Coulibaly M & Noba V Mucormycose cutanée et diabète : à propos d’une observation. Cutaneous mucormycosis and diabetes: a one case report. – Jemli B, Garsallah H, Lebben I, Ferjeni M &

Gargouri M

Les crises vaso-occlusives drépanocytaires chez l’enfant et l’adolescent à Brazzaville, Congo. Étude rétrospective de 587 cas. Sickle cell vaso-occlusive crisis in the child and teenager in Brazzaville, Congo. A retrospective study of 587 cases. – Mabiala Babela JR, Nzingoula S & Senga P

Causes d’hospitalisation des enfants drépanocytai- res : influence de l’âge (Brazzaville, Congo). (courte note). Effects of age on causes of hospitalization in children with sickle cell disease. (short note) – Mabiala- Babela JR, Nkanza-Kaluwako SAT, Ganga-Zandzou PS, Nzingoula S & Senga P

La lutte contre l’ulcère de Buruli. Expérience de la Côte-d’Ivoire. Fighting Buruli ulcer in Côte-d’Ivoi- re. – Kanga JM, Kacou ED, Kouame K, Kassi E, Kaloga M, Yao, JK Dion-Laine M, Avoaka LE, Yoboue-Yao P, Sangare A, Ecra JE, Ahogo C, Djedje MS, Kadiri AJ &

Aye C

Aspects épidémiologiques, cliniques et pronostiques du tétanos juvénile à Dakar, Sénégal. Epidemiological, clinical features and prognosis of juvenile tetanus in Dakar, Senegal. – Soumaré M, Seydi M, Ndour CT, Ndour JD & Diop M

Entomophthoromycose rhinofaciale. À propos de deux nouveaux cas diagnostiqués à Mayotte.

Rhinoentomophthoromycosis. About two new cases in Mayotte. – Receveur MC, Roussin C, Mienniel B, Gasnier O, Malvy D & Lortholary O

Anticorps recombinants : Vers un renouveau de la sérothérapie anti-scorpionique ? Recombinant anti- bodies: new application in scorpion envenomation? – Muzard J, Billiald P, Goyffon M & Aubrey N La candidose cutanée congénitale : à propos d’une observation et revue de la littérature.

Congenital cutaneous candidiasis: a case report and review. – Moutaj R, Tligui H, Sbai M, Lmimouni B &

Elmellouki W

Phlebotomus (Larroussius) langeroni Nitzulescu, 1930 en Tunisie : présence de la femelle et actuali- sation de la distribution géographique. Phlebotomus (Larroussius) langeroni Nitzulescu, 1930 in Tunisia: pre- sence of the female and actualisation of geographical distribution. – Ghrab J, Rhim A, Bach Hamba D, Aoun K

& Bouratbine A

Données épidémiologiques, cliniques et parasitologi-

Les teignes du cuir chevelu dans le service de dermatologie-vénéréologie du C.H.U. de Donka- Conakry, Guinée. Tinea capitis, in department of der- matology and venerologiy in the University hospital of Donka at Conakry, Guinea. – Cisse M, Diare FS, Kaba A, Magassouba F, Keïta M & Ecra EJ

Leishmaniose sporotrichoïde de la verge. Penial sporotrichoid cutaneous leIshmaniasis. – Masmoudi A, Boudaya S, Frigui F, Meziou TJ, Akrout F, Turki H &

Zahaf A

Composition corporelle des enfants drépanocytaires congolais. Étude longitudinale. Body composition in Negro-African children with sickle cell disease. a mixed cross-sectional longitudinal study. – Mabiala Babela JR, Nzingoula S & Senga P

Étude rétrospective de 53 érysipèles hospitalisés au CHU de Brazzaville (Congo). Retrospective study of 53 erysipelas cases in Brazzaville university hospital. – Gathse A, Obengui & Ntsiba H

Valeur pronostique de l’antigénémie PP65 et de la PCR semi-quantitative dans la détection de la réac- tivation du CMV chez les greffes de moelle osseuse.

Detection of CMV reactivation in bone marrow transplan- ted recipient antigenemia pp65 and semi-quantitative PCR (comparative study and clinico-biological correla- tions). – Ksouri H, Lakhal A, Ben Amor R, Achour W, Ben Othmen T, et al.

Profil biochimique de l’ulcère de Buruli en Côte- d’Ivoire. Biochemical profile of the Buruli Ulcere in Côte- d’Ivoire. – Hauhouot-Attoungbre ML, Yao Kouadio D, N’guessan-Edjeme A, Ahiboh H & Monnet D

La bilharziose urinaire chez des migrants ayant consulté dans des centres médico-sociaux à Paris en 2003. Schistosoma haematobium among immi- grants consulting in municipal free Clinics in Paris in 2003. – Deniaud F, Collignon A, Squinazi F, Rouvier J, Guesnon MS, Derouineau J & Ayache B

Evaluation of deltamethrin-impregnated bed nets and curtains for control of zoonotic cutaneous leis- hmaniasis in a hyperendemic area of Iran. Évaluation des rideaux et moustiquaires imprégnés de deltaméthrine dans la lutte contre la leishmaniose cutanée zoonotique d’une zone hyperendémique d’Iran. – Yaghoobi-Ershadi MR, Moosa-Kazemi SH, Zahraei-Ramazani AR, Jalai- Zand AR, Akhavan AA, et al.

Facteurs étiologiques de la prématurité au cen- tre hospitalier régional de Ziguinchor (Sénégal).

Etiologic factors of prematurity in Ziguinchor hospital center maternity (Senegal). – Ndiaye O, Lamine Fall A, Dramé A, Sylla A, Guèye M, et al.

Programme africain de lutte contre l’onchocer- cose (APOC) : transmission d’Onchocerca volvulus par Simulium squamosum dans deux régions de la République du Cameroun. African Programme for Onchocerciasis Control (APOC): Onchocerca volvulus’

transmission by Simulium squamosum in two regions in the Republic of Cameroon. – Enyong P, Traoré S, Demanou M, Esum M, Fobi G, et al.

Portage vaginal du streptocoque du groupe B chez la femme enceinte en Tunisie : facteurs de risque et

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