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6 Samedi 19 janvier 1889.

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(1)

P" M- Jules Gfeller.^i n.|

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β

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Troisième année. — N

0

6 Samedi 19 janvier 1889.

ABONNEMENTS

UQ au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Union poslale . -12 » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES V l,

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

•ο de l'étranger. . 25 » Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonct;!j se paient d

.

avance

O r g a n e d e l a Société i n t e r c a n t o n a l e d e s i n d u s t r i e s d u J u r a , d e s C h a m b r e s d e c o m m e r c e , d e s B u r e a u x d e c o n t r ô l e e t d e s S y n d i c a t s i n d u s t r i e l s .

P r i x du n u m é r o IO c e n t i m e s B u r e a u x : R u e d e l ' U n i o n , 2 S y n d i c a t s .

La Commission d'initiative pour la formation d'un syndicat des fabricants d'horlogerie a tenu hier, à Bienne, une séance importante, dans laquelle le cais- sier et le secrétaire ont présenté un rap- port verbal sur la situation.

Le chiffre exact des adhérents à r.e joui- est de 195, répaitis dans la région de Bienne, dans celle de Granges et dans le vallon de Sl-Imier. 151 adhérents ont versé la cotisation unique pour frais de propagande de fr. 10, et quelques comités locaux s'occupent, dans ce moment, de recueillir les cotisations non encore per- çues de 44 signataire.

Les receltes ont été de Ir. 1510 et les dépenses ascendent en chiffres ronds à 300 francs.

Comme on le voit, la situation finan- cière du nouveau groupement ne laisse rien à désirer, puisque fr. 1200 sont dis- ponibles et que, par conséquent, il restera un fort joli solde en caisse, lorsque la Commission d'initiative aura terminé la tâche qu'elle s'est donnée: grouper les fabricants des cantons de Berne elSoleure.

L'argent, ce nerf de la guerre, ne man- que donc pas et la Commission aurait, depuis longtemps déjà, terminé son man- dat, si les difficultés qu'elle a h vaincre étaient de simples difficultés matérielles.

Mais, si les ressources financières ont été assurées dès le début, grâce à l'excellent système employé, qui a consisté, dans la règle, à prélever la cotisation en même temps que l'on recueillait la signature des adhérents, si le bon vouloir et la sympa- thie des intéressés auxquels on s'adressait, a été généralement à la hauteur du but poursuivi, il s'est rencontré par-ci par-là des opposants contre lesquels les meilleurs arguments ont eu parfois peu de prise et

des indifférents qui opposent, à toute tentative de groupement, une force d'iner- tie contre laquelle il est bien difficile de lutter.

Certes, nul ne s'attendait,à ce que les choses allassent comme sur des roulettes.

Personne ne prétend, dans le monde horloger, que tout soit pour le mieux dans le meilleur des mondes, et l'on ne rencontre guère de contradicteurs quand on affirme qu'il faudrait tenter quelque chose pour apporter, dans notre situation industrielle et commerciale, des amélio- rations dont chacun admet l'absolue né- cessité. Mais, c'est sur ce quelque chose , que l'on a de la peine à s'entendre.

Le régime de la liberté illimitée en matière industrielle et commerciale a donné tout ce qu'il pouvait produire et, après une longue période pendant laquelle une grande prospérité est résultée de l'essor pris par toutes les industries sous le régime de la liberté, nous en sommes arrivés, grâce aux abus de celte même liberté et aux excès de la concurrence, à la misère relative pour beauconp de pa- trons et à la misère absolue pour un grand nombre d'ouvriers.

Ici, tout le monde est d'accord, quelque répugnance que l'on ail à reconnaître que l'on vit au milieu d'une organisation vi- cieuse. C'est sur le choix des moyens à employer que l'entente est difficile à réaliser.

Nous ne parlerons pas du grand et souverain moyen, selon les uns, qui con- sisterait à faire passer toutes nos institu- tions sociales au grand creuset d'un cata- clysme général — ce qui pourrait bien arriver un jour, si les classes dirigeantes ne se préoccupent pas davantage du sort de la classe la plus nombreuse et la plus digne d'intérêt. — Nous n'avons aucun

goût pour les moyens violents et nous sortirions de notre modeste rôle, en nous lançant, à propos de syndicat, dans les hautes sphères du socialisme révolu- tionnaire.

Aussi, en attendant que la grande re- fonte qu'on prêche, ait trouvé ses exécu- teurs, ou que l'aveuglement des grands de la terre ail conduit la société moderne aux abîmes d'où l'on nous dit qu'elle doit sorlir régénérée et vivifiée, nous voulons nous borner à rechercher l'amélioration de ce qui peut être amélioré dans noire ménage industriel et commercial.

Si nous nous sommes permis celte petite incursion dans un domaine qui n'est pas le nôtre, c'est que la recherche d'un remède implique obligatoirement la recherche des causes du mal. Or, des causes du mal dont nous souffrons, les unes sont en dehors de nous puisqu'elles tiennent à l'état général des affaires et qu'elles échappent ainsi à noire action, tandis que les autres sont en dedans de nous et qu'il nous appartient d'y porter remède.

* >

Ainsi, qui nous empêche de restreindre notre crédit intérieur ? seul moyen d'amener la restriction du crédit extérieur et, partant, la diminution graduelle des risques de pertes.

Qui nous empêche d'unifier, dans une certaine mesure, le prix de production des genres similaires de montres? condi- tion première de l'unification si désirable des prix de vente.

Qui nous empêche de mettre un terme à la concurrence slupide et ruineuse des prix de vente et de lui substituer la con- currence intelligente, émulatrice et fé- conde de Ia qualité du produit ?

Qui nous empêche de relever le niveau des connaissances de nos ouvriers en

(2)

26

LA r£D£r.ATION HORLOGÉRE SUISSE réglementant l'apprentissage ; de leur

assurer un gain rémunérateur en enrayant la baisse des prix; de substituer l'arbi- trage à la grève, la solidarisation des in- térêts aux luttes professionnelles, la fra- ternité à la guerre des classes?

Ce qui nous empêche de réaliser, chez- nous, ce programme auquel tout homme de cœur, tout citoyen soucieux de l'avenir de son pays peut souscrire, c'est le manque d'union et d'entente, c'est l'é- goïsme, c'est l'indifférence, c'est l'impré- voyance.

Voilà ce que nous voulions dire aujour- d'hui aux membres de la grande famille horlogère qui hésitent encore à donner leur appui et leur sympathie à l'œuvre de relèvement dont le couronnement sera le groupement des syndicats patronaux et ouvriers de l'industrie horlogère.

— » « < —

T é l é p h o n e s .

Pour faire suite à l'article que nous avons publié sur le projet de loi du Con- seil fédéral, dans notre numéro du 12 courant, nous publions les documents suivants qui se rapportent à la même question.

La Chaux-de-Fonds, le 9 janvier 1889.

A la Société intercantonalc des industries du Jura, Neuchàtel.

Monsieur le Président et Messieurs, . Dans sa réunion du 7 courant, notre Com-

mission s'est occupée du message du Conseil fédéral accompagnant le projet de loi sur les téléphones, soumis à la discussion des sec- tions de :a Société suisse du commerce et de l'industrie, par la circulaire de son Vorortdu 17 décembre écoulé, qui nous est parvenue par votre entremise.

Nous regrettons de vous annoncer que l'opinion qui a prévalu dans notre section n'est pas favorable au projet de la loi qui est à l'étude. Loin d'apporter un allégement, qui a été réclamé depuis plusieurs années instamment par nos députés aux Chambres, ce projet, s'il passait à l'état de loi, se tra- duirait, en effet, pour la grande majorité de nos industriels par un renchérissement des correspondences téléphoniques, vu le carac- tère spécial de notre industrie, qui exige de fréquents rapports entre les fabricants et les chefs d'ateliers des parties si multiples que doit passer la montre avant d'être terminée.

On chercherait en vain chez nous un éta- blissement qui fait du téléphone l'emploi abusif de 30,000 correspondances par an, auquel fait allusion le message, mais il est certain par contre, que peu de nos abonnés pourraient se maintenir dans la limite de cinq conversations par jour, que leur accor- derait le projet de loi incriminé pour la con- tribution de Ir. 150 qu'ils paient actuellement.

Nous estimons, comme le dit du reste fort bien le message en question, que le dévelop- pement de la téléphonie n'est pas encore arrivé à son apogée et qu'une réglementation définitive des conditions de son emploi serait peut-être prématurée. Dans ces circonstances nous désirerions simplement, au lieu d'un comptage coûteux et incommode, une réduc- tion du prix annuel de l'abonnement à fr.100 par exemple (sans limiter le nombre des conversations) qui serait un chiffre suffisant pour équilibrer le budget de l'administration,

lequel bouche actuellement par un joli excé- dant des recettes au profit de la caisse fédé- rale. (Voir budget de 1889.) Nous sommes également opposés à une augmentation des taxes pour les conversations de réseau à ré- seau, soit 20 centimes par 5 minutes jusqu'à 100 kilomètres, car il est certain que le tarif nouveau (75 centimes par 3 minutes) équi- vaudrait simplement à la suppression de ce moyen de communication.

Cette manière de voir nous paraît d'autant mieux justifiée que l'initiative de l'emploi du téléphone est partie des communes et que les communes demandant l'installation d'une ligne reliant deux réseaux doivent fournir à l'administration fédérale une garantie repré- sentant le montant de l'intérêt et de l'amor- tissement du capital dépensé.

Par ce qui précède, nous n'entendons nul- lement récriminer contre la régale fédérale sur les téléphones ; nous concédons au con- traire dans notre opinion expressément cette revendication à l'Etat, en tant qu'il s'agit de l'utilisation d'une force naturelle appartenant à tout le monde et dont l'emploi privé peut devenir abusif et préjudiciable à la société;

— mais nous voudrions voir le pouvoir cen- tral à l'abri du reproche de s'être arrogé ce monopole dans le but de s'en faire, à son tour, une source de revenus aux dépens des abonnés.

Les abus, pensons-nous, pourraient être réprimés par voie administrative et, à notre avis, il ne serait pas difficile de les découvrir, puisque d'après le message du Conseil fédéral des fait sont déjà signalés d'une manière très explicite.

En signalant les abonnés qui font un usage considérable du téléphone, il serait bon aussi de mentionner ceux, et il sont nombreux, qui emploient cet instrument de communication dans des limites fort restreintes. Bon nombre se sont abonnés à l'origine par sympathie pour une invention utile et pour vulgariser un progrès appelé à rendre de grands ser- vices, it ais qui ne pourrait être obtenu que moyennant un nombre déterminé et minimal d'adhérents. Nous craignons de nombreuses défections parmi cette catégorie d'abonnés si, contre toute attente, le projet de loi avec son caractèie fiscal était adopté, tandis que, avec une réduction réclamée depuis long- temps, il est certain que le nombre des abon- nés augmenterait immédiatement dans une forte proportion qui compenserait amplement par une augmenlation de recettes la dimi- nution résultant de la modification du taux de l'abonnement.

Nous espérons que les commissions des conseils de la Confédération voudront bien prendre en considération les nombreuses pétitions qui leur parviendront sur la matière et arriveront, sans peine, à modifier le projet de la loi d'une manière conforme aux intérêts réels du public et de Ia caisse fédérale, et nous vous présentons, Messieurs, l'assurance de notre parfaite considération.

Au nom de la Commission du commerce de la Chaux-de-Fonds :

Le Président, Le Secrétaire : (signé) A. G r o s j e a n . (signé) F . I l n y i .

Neuchàtel, le 4 janvier 1889.

Au bureau de la Société intercantonale des industries du Jura, La Chaux-de-Fonds.

Monsieur le secrétaire,

Ensuite de l'invitation du Vorort de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, dans sa circulaire n°119, nous venons vous trans- mettre le préavis de notre section sur le projet de loi fédérale sur les téléphones.

Il résulte du message du Conseil fédéral du 13 novembre écoulé que les téléphones

ont donnés l'année dernière un bénéfice de fr. 442,000 et, qu'au cas où les taxes d'abon- nements prévues dans le projet de la loi seraient appliquées, il resterait encore un excédant annuel de fr. 179,00Q,

Or, le seul bon côté du projet de loi en question est précisément, selon nous, la ré- duction des taxes d'abonnements que l'art. 13 fixe à fr. 120 pour l'année, à fr. 100 pour la seconde, et à fr. 80pour les annéessuivantes.

Mais celte réduction perd toute sa valeur par le fait de la fixation d'un maximum de 500 conversations par an auquel chaque abonné aurait droit ; de telle sorte que celui qui ferait usage de son téléphone deux fois par jour en moyenne, aurait un supplément de taxe à payer.

Cette clause nous paraît inadmissible, car l'un des principaux avantages du téléphone est de pouvoir l'utiliser à tout instant, sans avoir à se préoccuper du nombre de conver- sations faites par cette voie ; en outre, comme le contrôle de ce chiffre de conversations ne serait guère possible, les abonnés seraient à la merci des employés du téléphone et il en résulterait nécessairement de fâcheuses con- testations.

Une autre disposition, non moins inoppor- tune du projet de loi en question, cVst celle relative à l'augmentation de la taxe de con- versation d'un réseau à un autre, que l'art. 15 fixe à 75 centimes par 3 minutes, tandis que la taxe actuelle est de 20 et. par 5 minutes.

Nous admettons à la rigueur la réduction de la durée des conversations d'un réseau à l'autre de 5 à 3 minutes, mais l'augmentation de la taxe de 20 à 75 centimes serait désas- treuse, surtout pour les petits réseaux, dont elle entraînerait la disparition à brève échéance.

Les derniers alinéas de l'art. 13a prévoient aussi une forte augmentation de la taxe sup- plémentaire pour les distances au-delà de 2 kilomètres, ce qui ne nous parait pas justifié;

nous demandons donc le maintien de la taxe actuelle.

L'art. 13 b augmente celle des phonogram- mes d'une manière sensible; là aussi, il nous semble que les prix actuels devraient être maintenus.

L'art. 14 fixe à 20 centimes la taxe d'une conversation de 3 minutes dans l'intérieur du réseau, lorsqu'elle a lieu dans une station publique ; actuellement, les abonnés paient 5 centimes, et les non-abonnés 10 centimes ; nous sommes d'accord pour que tout le monde paie 10 centimes, mais si l'on élève cette taxe à 20 centimes, on ira téléphoner dans un café ou ailleurs, et les stations publiques seront abandonnées.

Nous pourrions encore citer comme étant contraires à notre manière de voir les art. 12 (priorité pour les autorités politiques et de police) et art. 19 (suppression de l'abonne- ment en cas d'inconvenance envers les em- ployés du téléphone), mais nous ne voulons pas allonger notre communication outre mesure.

Les points que nous avons relevés nous paraissent suffisants pour faire ressortir les principales défectuosités du projet de loi en question et nous vous prions de bien vouloir transmettre au plus vite notre préavis dans cette affaire au Vorort de l'Union suisse du commerce et de l'industrie, à Zurich.

Veuillez agréer, Monsieur le secrétaire, l'expression de notre considération très dis- tinguée.

Aunom du Comité de Γ Association industrielle et commerciale de Neuchàtel :

Le Président, J . B a r e l - C o u r v a i e r .

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(3)

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LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 27

BREVETS D'INVENTION

LISTE DES BREVETS ENREGISTRÉS

c o n c e r n a n t l ' i n r i u e t r i e I i o r l o g è r e . Cl. 123, n° 498. 47 déc. J888, 8 h. — Nouvel

encliquetage pour rochets de remontoirs.

— B r R i u l t e t file, I i o u i e , fabricants, Bienne (Suisse). Mandataire : Imer-Schnei- der, E., Genève.

Cl. 123, n° 204. 24 déc. 4888, 8 h. — Echap- pement système Gottfried Cïinsch. — C t t n s c h , Ô o t t i r i e d , rue de Bel-Air, 28, Cliaux-de-Fonds (Suisse).

Cl. 423, n° 207. 20 déc. 4888, 4 h. — Méca- nisme de chronographe - compteur. — H e n c l i o z f r è r e s , fabricants d'horlogejie, Locle (Suisse). Mandataire : Imer-Schnei- der, E., Genève.

Cl. 423, n» 208. 20 déc. 4888, 6 h. — Simpli- fication apportée à l'échappement bascule ou détente. — H o b e r t - K l e o u d , J u l e s , Chaux-de-Fonds (Suisse). Mandataire:

v. Waldkirch, Ed., Berne.

Cl. 423, n" 214. 27 déc. 4888, 8 h. — Montre double, double face. — l t o e e e l e t , S i . - C . Fleurs, 20, Chaux-de-Fonds (Suisse).

Cl. 423, n» 216. 26 déc. 4888, 8 h. — Bépé- tition. — P f i s t e r , A m i - F r é d é r i c , Grand'rue, 460, Locle (Suisse).

Cl. 423, n" 217. 26 déc. 4888, 8 h. — Nou- velle boîte de montre, décorée au moyen d'appliques en cuivre émaillé et pailleté sous fondant.— F a v r e - J a r o l , G e o r g e s , Locle (Suisse).

Cl. 423. n" 223. 20 déc. 48-8, 6 h. — Système de remontoir. — Momiiei-, L u c i e n - Aiigiiste, directeur de la Société d'hor- logerie de Bosières, canton de Soleure

(Suisse). Mandataire: v. Waldkirch, Ed., Berne.

Cl. 423, n° 225. 22 déc. 4888, 42 h. — Nou- veau système d'accrochement et de décro- chement pour montres à répétition. — l i u g r i n , A., fabricant, Orient-de-1'Orbe, canton de Vaud (Suisse). Mandataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 423, n° 228. 24 déc. 4888, 6 h. — Nouveau système d'embrayage de mécanismes de mise à l'heure de tous systèmes. — B o u r - q u i n , F e r d i n a n d , fabricant d'horloge- rie, St-Imier (Suisse). Mandataire: lmer- Schneider, E., Genève.

Cl. 423, n» 235. 34 déc. 4888, 8 h. — Nouveau système de chronographe. — AnBtert, A d r i e n , fabricant d'horlogerie, Sentier canton de Vaud (Suisse). Mandataire : Imer- Schneider, E., Genève.

Cl. 123, n° 239. 24 déc. 4888,8h. — Nouveau mécanisme de mise à l'heure pour monti es se remontant par la couronne. — l i i u i - e l i e r t fils, C o n s t a n t , Montilier, près Morat (Suisse). Mandataire: Imer-Schnei- d&v E Genève

Cl. 429, n° 210, 26 déc. 4888, 8 h. — Comp- teur universel.— F a v r e - I > e u l i a e t Cie, Locle (Suisse).

Cl. 437, n° 248. 27 déc. 4888, 8 h. — Perfec- tionnements dans les coupecircuits à métal fusible. — GriTOIas fils, C l a u d e , fabri- cant, rue Montgolfier, 46, Paris (France).

Mandataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 487, n° 490, 48 déc. 4888, 6 h. — Machine à tourner les boîtes de montres. — Con- f e s s e , I i é o n , mécanicien, Fontenais, district de Porrentruy, canton de Berne (Suisse). Mandataire : Comment, Jxdes, traducteur au département fédéral des chemins de fer, Berne.

NOUVELLFS DIVERSES

P o s t e s . — L'administration des postes suisses voulant former un certain nombre d'apprentis postaux, fait savoir que les ci- toyens suisses qui désirent concourir doivent adresser leur demande, jusqu'au 25 courant au plus tard, à l'une des directions postales d'arrondissement de Genève , Lausanne, Berne, Neuchâtel, Bâle, Aarau, Lucerne, Zurich, St-GaIl, Coire et Bellinzone.

Les postulants doivent avoir au moins 46 ans révolus et ne peuvent être âgés de plus de 30 ans. Ils doivent remettre leur demande personnellement et par écrit à l'une des di- rections précitées.

On exige entre autres la connaissance d'au moins deux langues nationales.

Eu égard aux conditions actuelles de ser- vice, on ne pourra, pour cette fois, pas prendre en considération les demandes des personnes du sexe féminin.

T é l é g r a p h e s . — L'administration des télégraphes suisses voulant former des jeunes gens au service télégraphique, met au con- cours des places d'apprentis. Les postulants doivent justifier d'une bonne instruction secondaire et de la connais?ance de deux langues nationales. Bs ne devront pas être âgés de moins de 46 ans, ni de plus de 25, et ne pas avoir une constitution physique qui les rendrait impropres au service télégra- phique.

Bs devront adresser leur offres, par écrit et franco, d'ici au 5 février 4889, à l'une des inspections des télégraphes à Lausanne, Berne, Olten, Zurich, St-GaIl, Coire ou Bel- linzone.

On ne prendra ni dames ni demoiselles.

Le rédacteur responsable: Fritz HUGUENIN.

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Métaux ANTI-MAGNÉTIQUES brevetés

de l'Usine genevoise de Dégrossissage d'Or

A L'USAGE DES FABRIQUES D'HORLOGERIE B a l a n c i e r s c o m p e n s é s , genres soignés et courants.

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447

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à G E N È V E

(4)

28

LA FÉDÉRATION HORLOGÈKE SUISSE

S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E

Concours des chronomètres du 2 janvier au Sl mai 1888 (1)

A Ecart maximum des m a r c h e s à la t e m p é r a t u r e ambiante. Limite 2S5.

B C F

I E

N Nombre dp Id Id.

Id.

Id.

Id.

successives. Limite l5.

au chaud (30° environ). Limite 2S5.

au froid (0° environ). Id. 3S5.

aux petites amplitudes. Id. 3S0.

aux positions sur XII et VI, ou s u r III et IX. Limite 65O.

521

X U . C l U A ^ U O l L l U l J a S U l Λ 1 1 CL * A, \JU O U I LLi C L Ι . Λ . . 1 J 1 111 1 L.C \T\J,

classement [égal à A, plus B, plus y2 / , plus le plus grand de C ou de '/2 F] (2).

Construc- teurs

Nos des Chrono-

mètres

C

ou «/î F V2I Détails de construction

Classés Delépine Delépine Lsroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy L. roy&fils Leroy Leroy Leroy Leroy Thomas Leroy Leroy Non classés

Leroy Leroy Leroy Rousseau-

Lecocq Callier

1505 1468 695 669 684 654 1508

663 681 146 664 706 680 643 2 688 658 692 659 682 5 575

0,42 0,67 0,66 0,97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2.63 1,72 2,65 2,86 2,38

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0.29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 1,10 1,66 0,64 0,78

0,33 0,97 1,21 0,80 0,82 1,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29

0,94 0.49 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0.87 1,49

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

j 1,99 2,53 2,56 2,93(3) 3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,76 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,73(3) 5,83 6,94

Bal. cire, Id.

Id.

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Id.

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Id.

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id. acier id. palladium id. id.

Bal. cire, spiral palladium Id. id. id.

Id. id. id.

Id.

Id.

id. id.

id. acier

(1) Nombre des chronomètres présentés : 4 3 . Classés, 17 ; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec résultats i n c o m p l e t s ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a d e - mandé au Ministère l'acquisition des six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans le Journal suisse d'Horlogerie, XIrae a n n é e , page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du règle

TJ TA (Ί O^ I d . ( IH

0)

Id. Id. 0 25

•glement).

Id. ).

L a f a b r i q u e d u R o c h e r , Neu- c h â t e l , demande

u n j e u tac m o n t e u r «le noitc.·* a r g e n t

connaissant les rhabillages et capnble de faire les encageages.

A la mémo adresse, on donnerait a domicile des réglages Brefcuet. Indi-

quer les prix 527

Un jeune homme

de 19 a n s . employé dans un ma- gasin de fournitures d'horlogerie, ayant suivi dans u n e école les cours d'ébauche et finissage, d e - m a n d e emploi dans un magasin ou une fabrique d'horlogerie.

S'adresser au bureau. 528

ON DEMANDE

un bon ouvrier sertisseur connais- sant les chàums et si possible le ser- tissage à la machine

Uu ou deux réglours. 525 Adresser les offres sous les initia

les M. C. D., au bureau du journal.

Une fabrique d'horlogerie demande

un bon 536

Soudeur d'assortiments

Entrée de snile.

S'adresser au bureau du journal.

La fabrique de Montilier de-

mande de 538

bons mécaniciens.

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de la Chambre syndicale mixte du 7rae arrondissement.

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MM. Adolphe Décrevel, St-Imier.

Lucien Eobert, Corgémont.

François Lozeron, aux Bois.

Wille frères, à la Ferrière.

Nicolas Liniger, „ Ces i n t e r d i c t i o n s ont dû prononcées en exécution de la vention réciproque arrêiée entre les deux fédérations patronale et ou- vrière, à laquelle les sus-nommés refusent de se soumettre. (H2 5J)

Chambre syndicale mixte.

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Le Bureau de la maison J.Blancke-tt see & Co1 à la Chaux-de-Fon Is (repré- sentant : Emile Sohneitter fils), est transféré dès ce jour R u e N e u v e 6,

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