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Effets du recuit sur l'absorption optique de l'oxyde cuivreux

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HAL Id: jpa-00206653

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Submitted on 1 Jan 1968

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Effets du recuit sur l’absorption optique de l’oxyde cuivreux

C. Schwab, A. Diffiné, G. Koehl, C. Carabatos, M. Sieskind, P. Calme, C. Viel

To cite this version:

C. Schwab, A. Diffiné, G. Koehl, C. Carabatos, M. Sieskind, et al.. Effets du recuit sur l’absorption optique de l’oxyde cuivreux. Journal de Physique, 1968, 29 (4), pp.317-320.

�10.1051/jphys:01968002904031700�. �jpa-00206653�

(2)

EFFETS

DU RECUIT

SUR L’ABSORPTION

OPTIQUE

DE L’OXYDE CUIVREUX

Par C.

SCHWAB,

A.

DIFFINÉ,

G.

KOEHL,

C.

CARABATOS,

M.

SIESKIND,

P. CALME

(1)

et C. VIEL

(2),

Laboratoire de Spectroscopie et d’Optique du Corps Solide (associé au Centre National de la Recherche Scientifique),

Institut de Physique, Université de Strasbourg.

(Reçu

le 21

juillet 1967.)

Resume. 2014 Une étude

qualitative

de bandes

d’absorption

de la

cuprite (Cu2O)

dues

à des défauts de st0153chiométrie introduits par recuit dans

l’oxygène

a été

entreprise

à différentes

températures.

On donne une estimation de l’intensité d’oscillateur d’une des bandes observées.

Une tentative

d’interprétation

est

présentée.

Abstract. 2014 A

qualitative study

of the

absorption

bands of cuprous oxide

(Cu2O)

due to

stoichiometric defects introduced

by annealing

in oxygen is

performed

at different

temperatures.

An estimation of the oscillator

strength

of one of the observed bands is

given.

A tentative

interpretation

for the observed

spectrum

is

presented.

I. Introduction. - De nombreux travaux

exp6ri-

mentaux et

théoriques

ont ete consacr6s a 1’etude des

propri6t6s optiques

de

l’oxyde

cuivreux. On

peut distinguer

au moins trois

types

de transitions donnant lieu a une

absorption optique :

les transitions fonda- mentales li6es a la structure des bandes

électroniques,

les transitions associ6es aux vibrations fondamentales du reseau et les transitions dues a des

impuret6s

ou à

des d6fauts de stoechiometrie.

Les transitions

6lectroniques

fondamentales

(tran-

sitions de bande a bande et

excitoniques)

s’observent dans l’ultraviolet et la

partie

visible du

spectre.

Elles

sont d6crites dans de nombreuses

publications [1];

Elliott

[2]

et

plus particulierement Dahl,

Brahms et

Nikitine

[3]

ont calcule la structure de bandes de la

cuprite

et

explique

d’une maniere satisfaisante la

plupart

des r6sultats

expérimentaux.

On

sait,

par

ailleurs,

que deux modes de vibration du reseau sont

optiquement

actifs dans

l’infrarouge.

Deux bandes

d’absorption

tres

intenses, auxquelles

sont associ6s deux rayons restant observables par

reflexion,

ont effectivement ete mises en evidence a

16,3

ym et

68,5

ym

[4].

Mais certaines

propri6t6s 6lectriques, photo6lec- triques [5]

ou

optiques

comme, par

exemple,

1’emis-

sion de lumi6re dans le

proche infrarouge [6],

laissent

pr6voir

que d’autres transitions sont

possibles

dans

le cristal. Celles-ci doivent alors avoir pour

origine

soit des

impuretes,

soit des defauts de st0153chiométrie.

Dans ce

travail,

nous nous proposons d’établir une

correlation entre les defauts de st0153chiométrie et les

proprietes optiques

du cristal dans le

proche

infra-

rouge.

II.

Dispositif

et rdsultats

expérimentaux.

-1. PRE-

PARATION DES ECHANTILLONS. - Des lames minces

polycristallines

de

Cu20

sont obtenues par une oxy- dation

preliminaire

de feuilles de cuivre

Johnson

et

Matthey (Londres)

de

qualite spectroscopiquement

pure,

d’6paisseur

100 ym, suivant la m6thode d6crite par Schwab

[7].

Cette

oxydation

se fait a 1 050 OC et

sous une

pression identique

de 200 torrs pour tous les

echantillons;

elle dure environ 10 minutes.

Ces lames sont ensuite recuites

pendant

6 heures

a la

temperature

de 1 050 OC et sous différentes condi- tions de

pression : 10, 25, 50,100

et 200 torrs

d’oxyg6ne.

La duree de 6 heures

correspond

a la saturation de 1’effet

optique

observe. Les echantillons sont ramenes a la

temperature

ambiante dans les conditions sui-

vantes : on fait le vide dans 1’enceinte

d’oxydation

et

(1)

Centre de Recherches sur les Macromolecules,

Strasbourg.

(2)

C.E.R.C.O.A.

(C.N.R.S.),

Thiais.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01968002904031700

(3)

318

F’zG. 1. -

Dispositif d’oxydation

et de recuit.

simultan6ment on evacue l’échantillon dans la

partie

froide du tube de silice

(3) ( fig. 1).

2. ANALYSE DES ECHANTILLONS. - Une

tentative

a ete faite pour doser simultan6ment le cuivre et

l’oxy- g6ne

contenus dans les differents echantillons. La teneur en

oxyg6ne

est obtenue par reduction de la

cuprite

a

temperature

6lev6e dans un courant gazeux d’azote et

d’hydrog6ne.

La masse du cuivre est d6ter-

minee soit par

microélectrolyse,

soit par

analyse complexométrique [8].

Ces

analyses

ont

permis

de

mettre en evidence que la

quantite d’oxygène presente

dans l’échantillon augmente en meme

temps

que la

pression d’oxygene

de recuit. Ces r6sultats semblent

en accord avec la theorie de

l’oxydation

du cuivre

de

Wagner [9].

3. SPECTRES D’ABSORPTION. - Les

spectres d’absorp-

tion ont ete

enregistr6s

sur un

spectrophotomètre

« Beckmann DK 2A »

(4).

Nous avons d’abord vérifié que nos echantillons

oxydes

mais non recuits ne

pr6sentaient

pas de bandes ni de

paliers d’absorption

nouveaux dans le domaine

spectral

entre

0,6

et

3,5

ym

(fig. 2).

Au

contraire,

un

recuit de

quelques

heures sous les différentes

pressions d’oxyg6ne

fait

apparaitre

un certain nombre de raies

d’absorption

et un

palier ( fig.

3 et

4).

Ces

spectres sugg6rent plusieurs

remarques.

A 290

OK,

le

spectre comporte plusieurs

bandes

d’absorption

dont la

principale

se situe a

1,23

ym

(1 eV)

et est

accompagn6e

de bandes moins intenses situ6es a

0,92

ym

(1,34 eV)

et

1,65

ym

(0,75 eV).

Ces bandes sont d’autant

plus

fortes que la

pression d’oxygene

est

plus

6lev6e

pendant

le recuit.

A 77

OK,

on retrouve un

spectre analogue

mais

pr6sentant

une structure. Entre la raie a

0,90

ym

(3)

Nous

exprimons

nos remerciements a M. Schwalbach pour son aide lors de la

preparation

des echantillons.

(4)

Nous

exprimons

nos remerciements a M. le Pro- fesseur H. Saucier et a M.

Dupuy,

Institut de

Min6ralogie

de

Strasbourg, qui

ont bien voulu mettre leur

appareil

a notre

disposition.

FIG. 2.

Spectre d’absorption

d’un echantillon non recuit.

FIG. 3. -

Spectre d’absorption

d’un echantillon, recuit

sous 25 torrs

d’oxyg6ne, 6pais

de 150 ym

(T

= 290

et 77

°K).

(1,37 eV)

et la raie a

1,23

ym

(1 eV) qui

est

devenue

plus intense,

on note

l’apparition

de deux

raies situ6es a

1,06

ym

(1,17 eV)

et

1,15

ym

(1,07 eV).

La raie a

1,65

ym s’est

16g6rement d6plac6e

vers

1,69

ym

(0,77 eV).

(4)

FIG. 4. -

Spectre d’absorption

d’un echantillon, recuit

sous 100 torrs

d’oxyg6ne, 6pais

de 150 ym

( T

= 290

et 77

OK).

D’une mani6re

g6n6rale,

on observe un

16ger d6pla-

cement des bandes vers les

grandes longueurs

d’onde

quand

la

temperature

s’616ve de 77 OK a 290 oK.

Nous avons évalué a 77 OK le coefficient

d’absorp-

tion maximum

kmax

de la raie la

plus

intense situ6e a

1,25

ym. Pour

cela,

nous avons

prolonge

le fond

continu

d’absorption

par continuite entre

0,7

et

1,4

ym

( fig. 4).

Pour un echantillon de 150 ym

d’épaisseur environ,

recuit

pendant

6 heures a la

pression

de

100 torrs

d’oxyg6ne,

nous avons trouve :

De

plus,

nous avons calcule l’intensit6 d’oscillateur

experimental

de la meme bande et du meme échan-

tillon,

en utilisant

graphiquement

la m6thode de Krawetz

[10] :

Dans cette

formule, f d6signe

l’intensit6 d’oscillateur de la

raie;

mo la masse de 1’electron au repos; c la vitesse de la

lumiere;

N le nombre d’atomes par unite de

volume; e

la

charge

de

1’electron; n

l’indice de

réfraction; k

le coefficient

d’absorption.

L’indice de refraction variant peu dans la

region spectrale consideree,

on

peut

le conserver constant et

6gal

a

2,62 [11].

On

peut

alors écrire la formule de Krawetz sous la forme

plus simple :

oii a est une constante et S =

i k.dv

est

l’int6grale

de la courbe

d’absorption

de la raie 6tudi6e. Nous pouvons

alors,

comme dans le cas des raies excito-

niques [12], definir f

par cellule 616mentaire

Vo :

La valeur de S

depend

essentiellement du trace du fond continu

d’absorption.

Comme sa forme nous est

inconnue,

il est evident que la valeur de S ne peut etre

qu’approximative

et que la valeur de

hxp

sera

fortement entach6e d’erreur. Avec le trace que nous avons

adopt6,

nous avons obtenu :

On remarque que cette valeur

de f

est

comparable

a celles d6termin6es pour les raies

excitoniques

de la

s6rie

jaune [7

et

12]

de

CU20.

Par

ailleurs,

on note

I’apparition

d’un

palier

d’ab-

sorption qui

debute par un bord

qui

se situe vers

0,70

ym

(1,77 eV)

a 77 oK et vers

0,73

ym

(1,7 eV)

a 290 oK.

Enfin,

certains echantillons recuits dans

l’oxyg6ne

semblent

presenter

une raie

d’absorption

peu intense a

4,2

ym

(0,3 eV).

III. Discussion des rdsultats

expdrimentaux.

-

1. LES DIFFERENTS TYPES DE LACUNES. -

Wagner [9], Kroger

et al. et Bloem

[13]

ont

analyse

les

equilibres

entre les diff6rents

types

de defauts lies a la non-

stoechiometrie de

Cu20

et calcule les concentrations de ces defauts en fonction de la

temperature

et de la

pression d’oxyg6ne

lors du recuit des echantillons.

D’après

Bloem et

Kroger,

dans les conditions

exp6ri-

mentales dans

lesquelles

nous avons

opere

le recuit

et la trempe, on doit s’attendre a trouver au moins deux

types

de lacunes

( fig 5) :

des lacunes de cuivre

FIG. 5. - Variations des concentrations des lacunes

en fonction de la

pression partielle d’oxygène [13].

neutre et des associations de centres ou de lacunes

qui peuvent apparaitre

durant la trempe a la suite du

rearrangement

du reseau cristallin.

2. LES NIVEAUX D’ENERGIE LIES AUX LACUNES. -

Un certain nombre de centres

peuvent

etre associ6s

a ces lacunes. Par

exemple,

une lacune de cuivre se

comporte

comme un centre accepteur. Elle

constitue,

avec son trou associe

charge positivement,

un centre V.

Un tel centre

peut s’apparier

a un exciton pour

(5)

320

former un

complexe :

le

centre P

accepteur,

d’après

la

terminologie adopt6s

par Khas

[14] (5).

D’autres types de centres

plus compliqu6s

peuvent

6galement apparaitre

dans le cristal comme par

exemple

des associations de lacunes de cuivre et

d’oxyg6ne.

De tels centres,

analogues

aux centres

M, peuvent

aussi s’associer avec des excitons.

La

position,

par

rapport

au bas de la bande de

conduction,

des niveaux

d’6nergie

des 6tats fonda-

mentaux des centres

V et P

a 6t6 calcul6e par Khas

[14]

et, d’une mani6re

plus precise,

par

Munschy [15].

Ces niveaux se situent a environ

0,7

a

0,8

eV en dessous

de la bande de conduction.

Bien

qu’aucun

calcul n’ait encore ete effectue dans le cas de la

cuprite

pour les centres M et les

complexes

centre

Af-exciton,

on peut admettre que ceux-ci sont

plus

stables que les centres V et

P.

Les niveaux d’éner-

gie

associ6s a ces centres devraient donc se situer dans la zone interdite entre les

niveaux P

et la bande de valence.

3. TENTATIVE D’INTERPRÉTATION DES SPECTRES

OBSERVES. - A titre de

tentative,

nous proposons

l’interpr6tation

suivante. L’ensemble des quatre

(5)

Il est a noter que F. Seitz

(Rev.

Mod. Phys., 1964, 26,

7)

avait

appel6 centre

un exciton cree au

voisinage

d’un

centre F

(donneur).

bandes

d’absorption qui

se situent entre 1 eV et

1,37

eV

pourrait provenir

de la creation

optique

de centres

p.

(L’6tat

initial du cristal comporte un centre V. L’etat final comporte un

complexe

exciton-centre

V.)

Remar-

quons que ces raies ont ete

6galement

observ6es par

Spyridelis et

al.

[16]

dans des conditions

exp6rimen-

tales différentes des

notres,

mais que ces

experiences

ne contredisent pas notre

interpretation.

Le fond

continu d6butant a

1,77

eV

pourrait

etre du a un

chevauchement de raies

d’absorption correspondant

à

des transitions vers des 6tats excites des centres V et

P.

La bande situee a

0,75

eV visible sur nos

spectres

n’a encore

jamais

ete observ6e en

absorption.

C’est

pourquoi

nous la

separons

du groupe des autres raies.

Elle

correspond

a un niveau situe

plus pres

de la

bande de valence. Pour cette

raison,

nous pensons

pouvoir

l’attribuer a une transition entre la bande de valence et le

complexe

lacune cuivre-lacune

oxyg6ne.

Notre

interpretation precise

et

complete

celle que

Bloem et

Kroger [13]

ont

proposee

pour

expliquer

les

raies d’6mission de

Cu20.

On remarquera toutefois que nous avons inverse les niveaux

correspondant

au

centre V et 1’ensemble lacunes de cuivre et

d’oxy- g6ne Veu Vo.

Nous

exprimons

nos remerciements a M. le Pro- fesseur S. Nikitine pour les discussions

profitables 6chang6es

a propos de ce travail.

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