HAL Id: jpa-00234803
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publics ou privés.
Sur le spectromètre magnétique à rayonnements
électroniques
Mitsuo Sakai
To cite this version:
570
que les électrons dans des orbites se recouvrant doivent
avoir,
dans l’orbite commune, le même nombrequantique
principal.
Parconséquent,
les nombresquantiques
5 et 6sont,
effectivement,
réduits à4
dans lesalliages
à teneurs faibles avec des métaux de laquatrième période,
tandis
que lenombre
quantique
4
est élevé à 5 ou 6respecti-vement dans les
alliages
à teneurs fortes.Le travail dont le résultat est
rapporté
dans cette Communication a été fait dans leLaboratoire
d’Avesta JernverksAB,
Suède. Nous tenons àexprimer
notregratitude
à la Direction d’Avesta Jernverks AB pour bien vouloir nous donnerl’auto-risation de la
publier.
Manuscrit reçu le 13 février 195 3.
BIBLIOGRAPHIE.
[1] SLATER J. C. -
Phys. Rev., I930, 36, 57. [2] OWE BERG T. G. - J.
Physique Rad., I95I, 12, 4I8.
SUR LE
SPECTROMÈTRE
MAGNÉTIQUE
A RAYONNEMENTSÉLECTRONIQUES.
Par MITSUOSAKAI,
Laboratoire de Chimie nucléaire du Collège de France.
Sommaire. - Le
présent exposé est consacré à la présentation d’une méthode générale de compa-raison des caractéristiques des spectromètres magnétiques. A titre d’exemple de cette méthode, on
étudie trois types de spectromètres
: spectromètre
à lentille magnétique, spectromètre à focalisationsemi-circulaire et spectromètre à orbites spirales. On peut ainsi déterminer les grandeurs et les angles
limites de la source pour les conditions optima en fonction de la largeur à mi-hauteur W1/2 et en fonction de la grandeur caractéristique de l’appareil, c’est-à-dire la valeur du rayon de courbure de l’orbite
sur le plan perpendiculaire à la direction du champ magnétique. D’après ces valeurs déterminées, on pourrait également conclure les choses suivantes :
Si le corps radioactif a une activité spécifique donnée et si le pouvoir séparateur et la grandeur
caractéristique de l’appareil sont fixés, le spectromètre à orbites spirales a une luminosité environ
W-1/2 1/2
fois plus grande que les autres, le spectromètre à focalisation semi-circulaire a une luminosité aussi grande que les pectromètre à lentille magnétique, l’efficacité, c’est-à-dire le rapport de la luminositéà l’activité totale, est respectivement : 0,2I2
W1/21/2;
0,I23 W1/2 et 0,077 xW1/21/2
pour ces trois spectro-mètres, et finalement la luminosité par rapport à l’unité d’énergie magnétique conservée dans le volumedu spectromètre est respectivement :
LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM. TOME
14,
NOVEMBRE1953,
PAGE 570.1. Introduction. 2013 On a
employé depuis
long-temps
soit lespectromètre
à lentillemagnétique,
soit lespectromètre
à focalisation semi-circulairepour mesurer la distribution de la
quantité
de mouvement. Ungrand
nombre[1]
d’articlesconcer-nant le
développement
de cesappareils
et l’examen de leurscaractéristiques
ont récemment paru,répondant
à ungrand
besoin d’études sur ’lesspectres g
et sur la détermination des niveauxnucléaires
avec unegrande
précision
à l’aide duspectre
desphotoélectrons produits
par les rayons y;il y a
également
un certain nombre[2]
d’articles concernant lacomparaison
de ces deuxtypes
despectromètres.
Mais nous n’avons
jusqu’à présent
aucune étudequi
étende cettecomparaison
auspectromètre
à orbitesspirales qui
a été construit pour lapremière
fois par
Miyamoto
[3]
dont la théorie a étédéve-loppée
parIwata,
Miyamoto
et Kotani[4].
Cepen-dant,
quelques
expériences
ont montré que cespectromètre
était efficace dans certains cas[5].
Il nous semble donc intéressant de confronter les
caractéristiques
de ces troistypes
despectromètres
en utilisant une méthode
plus générale
que les méthodesprécédentes.
2.
Description théorique
de la méthode. -Si l’on met une source émettant desparticules
chargées
dans unchamp magnétique,
lesparticules
ayant
une certainequantité
de mouvement formentun groupe de
trajectoires
et dans certains endroitsspéciaux
del’espace
la densité de cestrajectoires
est en
général
plus grande
quedans,
les autres. Donc si l’onplace
unrécepteur
dans un de cesendroits et si l’on
dispose
unsystème
de fentesautour
de la source de telle manière que l’onpuisse
choisir seulement lesparticules qui
arrivent à cetendroit,
on obtient unsystème
despectromètre
magnétique.
On choisit unetrajectoire particulière
parmi
ce groupe detrajectoires
et on ladésigne
sous le nom de :
trajectoire
standard. Lepoint
dedépart
et la direction initiale d’uneparticule
qui
décrit latrajectoire
standard sontdésignés
respec-tivement sous le nom de :point
standard et de : -direction standard.Nous considérons le cas où une
particule
ayant
une
quotité
de mouvement p décrit latrajectoire
standard dans lechamp
magnétique
H et arriveau
récepteur.
Dans ce cas, pourqu’une
particule
arrive aurécepteur
en sortant d’unpoint
différent dupoint
standard dont lescomposantes
de distance sontrespectivement
É, n
et i
et en sortant dansune direction différente de la direction
standard
avec lesangles
et etP,
il faut la soumettre àun
champ
magnétique
d’intensité H + àH. Cette varia-tion àH estexprimée,
engénéral,
parl’expression
suivante en
supposant
que lerécepteur
ait unecourbe
spaciale désignée
sous le nom de :ligne
derécepteur pour
laquelle
lesparticules qui
y arrivent sontcomptées
totalement,
et queÉ,
n,,
etetc
soient desquantités
trèspetites
Autrement
dit,
si l’on considère lesparticules qui
sortent de diverspoints
et dans diverses directionscomme des
particules qui
sortent dupoint
standard et. dans la directionstandard,
on obtient un groupede
particules
qui
a, enapparence,
unedistribution
dequantité
de mouvement,p’.
Etp’
a la relationsuivante avec H :
-On
désigne p’
sous le nom de :quantité
demouve-ment
effective.
On
représente
lesgrandeurs
de la source par ±eo,
-1- n0 et +Ç0
et lesangles
limites dusystème
de fentes par + ao et ±P,.
Pour obtenir lescondi-tions
optima,
on doit les choisir de telle sorte quele nombre des
particules qui
passent
par lesystème
defentes
soit leplus grand
possible
etqu’en
mêmetemps
l’étalement de la distribution dep’
soit leplus
petit possible.
Ondésigne
le nombre departicules
qui
passent
par lesystème
de fentes sous le nomde :
quantité
transmise.Dans
l’expression (1),
les coefficients gi, ...seraient les fonctions du
point
standard,
de la direc-tion standard et de la distribution d’intensité duchamp
magnétique.
Leproblème
de la focalisation consiste donc à rendre ces coefficients aussipetits
quepossible.
Dans ce cas, si les coefficientsde ç,n
et c sont
égaux
àzéro,
on obtient la focalisationde
position
et si les coefficients de «et fi
sontégaux
à
zéro,
on obtient la focalisationd’angle.
Dans la formule
(1),
il faut remarquerqu’on
nepeut
pasréduire
à zéro tous les coefficients des termes du ier ordre depuissance
gi, .... Dans leprésent exposé,
on ne discute lacaractéristique
deconvergence que
jusqu’au
2eordre,
c’est-à-direqu’on
ne considère que
jusqu’aux
coefficients gij,gij
etg;.
Orl’équation
(1)
détermine une surface dansl’espace
(1,
1j,1,
a etp)
dont leparamètre
est s.Par
conséquent,
le nombre departicules
ayant
laquantité
de mouvement effective p(i - E)
est calculé engénéral
parl’intégrale
de volume suivantequi
n’estqu’un
calcul- du volumecompris
entre deux surfaces déterminées par deuxparamètres s .
et s + dE avec les conditions limites
appropriées
Dans ce cas et dans les discussions
suivantes,
lenombre des
particules
émises par unité desurface,
par
unitéd’angle
solide et par unité detemps
estsupposé
égal
à I. .La courbe I
(E) exprimée
dans la formule(3)
représente
dans le sensphysique
lespectre
d’uneraie
monocinétique
mesuré par unrécepteur
defente très
mince
et la surface formée par la courbe I(E)
et l’abscisse estégale
à laquantité
transmise. On
désigne
cette
courbesous’
le nomde :
courbe
catactéristique
de la source.Jusqu’ici,
on a considéré lerécepteur
comme unecourbe. Mais le
récepteur
actuel a une fente limitée.Par
conséquent,
mêmeq.uand
lesparticules
sortentmonocinétiquement
lelong
de la directionstandard,
leur
probabilité
decapture
par lerécepteur
serait étendue dans un certain domaine de l’intensité duchamp
magnétique.
Ondésigne
la courbe de varia-tion de cetteprobabilité
sous le nom de : courbecaractéristique
durécepteur.
Donc pour obtenir le
spectre théorique
d’une raiemonocinétique,
ondéplace
la courbecaractéristique
du
récepteur
par unequantité correspondant
à la variation duchamp
magnétique
et ensuite oncourbe
caractéristique
durécepteur
par celle d’unpoint
sur la courbecaractéristique
de la source,celui-ci
ayant
la même abscisse d’intensité duchamp
magnétique
quecelui-là.
On obtient ainsi unecourbe. Si l’on divise la
grandeur
de la surfaceformée par cette courbe et l’abscisse par la gran-deur de celle formée par la courbe
caractéristique
de la source et
l’abscisse,
cerapport
indique
la fraction de laquantité
transmisequi
estcaptée
par lerécepteur
pour cette intensité dechamp
magnétique.
Ondésigne
cerapport
sous le nom de :degré
decapture.
Si l’onrépète
ceprocédé
pourchaque
intensité duchamp
magnétique
et si l’on trace une courbereprésentant
la relation entre ledegré
decapture
et l’intensité duchamp
magné-tique,
on obtient lespectre
d’une raie. Si l’ondésigne
le nombre maximum des
particules
arrivant aurécepteur
sous le nom de :luminosité,
elle
estexprimée
par leproduit
dudegré
decapture
maximum par la
quantité
transmise.La discussion ci-dessus
comporte
deuxapproxi-mations :
premièrement,
on asupposé
quel’angle
limite était constant en
chaque
point
de la sourceet,
deuxièmement,
ont a admis que la courbecarac-téristique
durécepteur
restait constante pour laquantité
de mouvement effective. Ces deuxsuppo-sitions
peuvent
être admisesapproximativement
pour tous lesspectres
enquestion.
’
On
peut
sommairement résumer la discussion ci-dessus comme suit : .i° On examine l’influence, de la
grandeur
de la. source et celle de
l’angle
limite sur laquantité
demouvement effective et l’on obtient une formule
correspondant
àl’équation (1);
90 On déduit la formule de la courbe
carac-téristique
durécepteur;
3° On cherche les conditions
optima
en choisissantconvenablement la
grandeur
etl’angle
limite de lasource et l’on calcule
l’intégrale (3)
enemployant
ces conditions et les conditionslimites;
4°
A l’aide de la courbecaractéristique
de la source et de la courbecaractéristique
durécepteur,
on calcule le
spectre
d’une raie et l’on obtient ledegré
decapture,
lepouvoir séparateur
et lalumi-nosité ;
en faisant varier leparamètre
de la courbecaractéristique
durécepteur,
onpeut
déterminer la valeur desparamètres qui
donnerait la luminositémaximum pour un
pouvoir séparateur
donné;
50 De cette
façon,
lagrandeur
de la source,l’angle
limite,
lalargeur
durécepteur
et lalumi-nosité
dans les conditionsoptima
sont déterminés pourchaque
spectromètre
enfonction
desparamètres
du
pouvoir séparateur.
A l’aide de cesrelations,
onpeut
connaître lescaractéristiques
dechaque
sp ectromètre.3.
Quantité
de mouvement effective et courbecaractéristique
durécepteur.
2013 Nous allonscomparer le
spectromètre
à lentillemagnétique,
lespectromètre
à focalisationsemiieireulaire
et lespectromètre
à orbitesspirales,
en tenantcompte
des articles de du Mond[6],
Geoffrion[7]
et Iwata[4].
Lespectromètre
à lentillemagnétique
et lespectro-mètre à focalisation semi-circulaire sont considérés selon les articles cités ci-dessus comme ceux
qui
utilisent un
champ magnétique
uniforme. Onprend
un
système
de coordonnées dont l’axe z estparal-lèle à la direction du
champ
magnétique
(voir fig.
I, 2,3).
Dans cesfigures,
la flècheépaiss.e
et la courbe fineindiquent
respectivement
la direction standard et latrajectoire
standard.Quand
on nepeut
pasmontrer facilement cette
dernière,
on trace dans lafigure
une autretrajectoire,
que décrit uneparti-cule sortant dans une direction un peu différente
de la direction standard. Puis les dimensions de la
source et celles de
l’appareil
sont choisies comme on le montre dans lesfigures
pour comparerchaque
appareil systématiquement.
I° SPECTROMÈTRE A LENTILLE
MAGNÉTIQUE.
[6].
2013Le
point
standard est unpoint
0 sur. l’axe et lasource èst un
disque
circulaire de rayon ro situéperpendiculairement
etconcentriquement
à l’axe.Fig. a et b. -
Spectromètre à lentille magnétique.
On
prend
un cercle de rayon yiconcentrique
à l’axe commeligne
durécepteur
pour obtenir unefocalisation
annulaire. yl
est l’ordonnée dupoint
P où deuxtrajectoires
dont les directions dedépart
sont un peu différentess’interceptent.
po
est déter-miné par le fait que la direction standard est la direction danslaquelle
la variation duchamp
magnétique
AH est minimum parrapport
à lavariation de
l’angle
solide et l’on trouve y, d’en- , viron45°
(fig.
i a etb).
573
composante
P.
-- La variation duchamp
magné-tique
AH nécessaire pourqu’une
particule
sortant dupoint
0
dans ladirection (?
+ p
arrive sur laligne
durécepteur
s’écrit :où B
(cp)
est une fonctiondue
cpqui
a été donnéeFig. 2 a et b. -
Spectromètre à focalisation semi-circulaire. dans l’article
[6].
Étant
donné Cf =45o,
on a :La base de la courbe
caractéristique
de la sources
s’écrit donc : .
.
B.
Quantité
de mouvementeffective
résultant descomposantes
§,
TJ et1.
- Dansce cas, il
n’y
a pasFig. 3 a et b. - Spectromètre à orbites spirales.
de
composante §
de la source. La variation duchamp
magnétique
AH nécessaire pourqu’une particule
sortant du
point (ç, Tl)
dans la direction standard arrive sur laligne
durécepteur
est calculée par la relation suivante : îEn tenant
compte
de :a est
exprimé
ainsi :Puisque 1
prend
la valeur zéroquand n
estégal
à ro, la base de la courbecaractéristique
de la source-résultant des
composantes
et n est :C.
Quantité
de mouvementeffective
résultant de lacomposante
os. - Uneparticule
sortant d’unpoint
A et faisantl’angle
a avec la direction durayon
dela source est
équivalente
aupoint
de vue de laprobabilité
à uneparticule
sortant d’unpoint
Bdans la direction standard
(fig. 4).
Parconséquent,
l’influence de cette
composante
estdéjà
incluse dans la discussion A.Fig. 4.
D. Contribution de-
chaque
composante
à la quan-ttté de mouvementeffective.
-D’après
leséqua-tions
(5)
et(8),
on a uneexpression
correspondant
à la formule
(1)
E. Courbe
caractéristique
durécepteur.
- Si laligne
durécepteur
a lalargeur
de 2d,
une par-ticulequi
a laquantité
de mouvement p arrivera aurécepteur
dans un domainecompris
entre H - AHet H
+A
H. Cette variation IH est calculée parla relation suivante : .
La courbe
caractéristique
durécepteur
est alorsdonnée par :
go SPECTROMÈTRE A FOCALISATION
SEMI-CIRCU-LAIRE
[7].
- Lepoint
standard 0 et la direction standard sontindiqués
dans lafigure
2. Une574
long
de la direction standard dans unchamp
magné-tique
Het,
en décrivant undemi-cercle,
elleinter-cepte
l’axe x aupoint
P. Alors OP =2p et
On choisit la
ligne
durécepteur x
= 2p.A.
Quantité
de mouvementeffective
résultant descomposantes
ce etp.
- Onpeut
voir facilement l’effetdes
composantes
ceet p
sur laquantité
demouve-ment
effective,
c’est-à-dire : .Les bases de la courbe
caractéristique
de la sourcede ces
composantes
s’écriventrespectivement :
Dans ce cas, on doit remarquer que la
longueur
dans la direction z de la source
et
celle durécep-teur satisfont
respectivement
aux relations sui-vantes :- à condition que
l’angle
limitede P
soitégal
àP,.
B.
Quantité
de mouvementeffective
résultant de lacomposante
ç.
- L’effet de cettecomposante
s’écrit :
La base est donnée par :
C.
Quantité
de mouvementeffective
résultant descomposantes
n et i. - Lasource n’a pas de
compo-sante . n. Il
n’y
a pas nonplus
d’influence de lacomposante i
duchamp
magnétique,
étant donnéque celui-ci est
perpendiculaire
auplan (x,
y).
D. Contribution de
chaque
composante
à la quan-tité de mouvementeffective.
-D’après
leséqua-tions
(14)
et(18),
on obtient uneexpression
corres-pondant
à la formule(1)
E. La courbe
caractéristique
durécepteur.
- Selonla
définition,
on n’a à considérer que laprobabilité
de
capture
par lerécepteur
d’uneparticule
sortant dans la direction standard. Si l’onplace
unrécep-teur de fente 2 d dont le bord le
plus éloigné
de lasource coïncide avec le
point
P,
cetteprobabilité
est donnéepar :
3° SPECTROMÈTRE A , ORBITES SPIRALES
[4].
-Une
particule qui
sort d’unpoint
de la surface de la source et sur leplan
médian en faisant unangle
« avec le rayon de la source a uneproba-bilité de
capture
par lerécepteur
situé sur le cerclede convergence p. Cette’
probabilité
est donnéed’après
l’article[4] :
où a
est -
et x est une constantequi
a une relationp
avec le rayon de courbure de la courbe du
potentiel
vecteur de
champ
magnétique
sur le cercle de convergence. Onprend Oy
comme directions stan-dard et le cercle de convergence commeligne
derécepteur (fig.
3)
’A.
Quantité
4e
mouvementeffective
résultant descomposantes 1
et -n. - La variation duchamp
magnétique
àH nécessaire pourqu’une
particule
sortant d’un
point
P((,
Y,)
converge sur le cerclede convergence est
exprimée
par la relation :D’où l’on a :
La base de la courbe
caractéristique
de la sourcede la
composante 1
est donc :Puisque
l’équation
(23)
necomprend
pas n, iln’y
a pas dequantité
de mouvement effective résultantde la
composante
n. Le domaine où lespoints
ont la même valeur de s est un arc dont l’abscisse Oxest
4.
L’intensité desparticules
ayant
la valeur sest donc obtenue par
575
lacomposante
Ç.
- Dans le cas de cespectromètre,
il existe une
quantité
de mouvement effectiverésultant de cette
composante
à cause del’inhomo-généité
duchamp
magnétique.
Pourconnaître
précisément
ceteffet,
il faut faire uneintégrale
numérique.
Mais onpeut
l’estimergrossièrement
par
le raisonnement
suivant :D’abord,
on déduitl’équation
qui
détermine lepoint
r où uneparticule
sortant d’unpoint
diffé-rent du
point
standard revient vers l’axe. Cetteéquation
s’écrit[8] :
où
A o
etAi
sont définis selon l’article[4]
de la manière suivante :Après
desimples
calculs de la variation duchamp
magnétique
’nécessaire pour que r devienneégal
à p, on obtient
approximativement :
La base est donc :
C.
Quantité
de mouvementeffective
résultant des.
composantes
oc et
p.
- On neconsidère
pas l’effet
de la
composante
oc, parce que la source a unesymétrie
de révolution et que son influence adéjà
été considérée dans la discussion de la
composante ,
ce
qui
est le même raisonnement que celui utilisédans
le cas
duspectromètre
à lentillemagnétique.
Quant
à lacomposante g,
on nepeut
pas laconsi-dérer
séparément
des effetsde )
et de ceux de -n à cause del’inhomogénéité
duchamp magnétique.
Mais pour estimer son influence un peugrossiè-rement,
onpourrait
adopter
le même raisonnementque pour le
spectromètre
à focalisationsemi-circu-laire,
et l’on aurait :D. Contribution de
chaque
compôsante
à la quan-tité de mouvementeffective.
--D’après
leséqua-tions
(23), (29)
et(31),
on obtient une relationcorrespondant
à la formule(1)
E. Courbe
-caractéristique
durécepteur. ,
- Laprobabilité
decapture
par lerécepteur
d’unepar-ticule sortant du
point
standard lelong
de ladirec-tion standard est obtenue en
prenant
roégal
à zéro dansl’équation (22),
c’est-à-dire :TABLEAU I.
Contribution de chaque composante à la quantité de mouvement effective.
Courbe caractéristique du récepteur.
,Spectromètre à
lentillemagnétique.
Spectromètre à
focalisation
semi-circulaire.où,
lorsque
J devientplus
grand
que i, onprend
Jégal
à i. Il est facile de voir que la courbe obtenue enplaçant
unsystème
de fentes devant lerécep-teur dont la source voit l’arc sous
l’angle
0,
est cellequ’on
obtientquand
on abaisse l’ordonnée dela courbe de
l’expression
(34)
de laquantité 0398/203C0·
2n4°
RÉSUMÉ DU PARAGRAPHE 3. - Onprésente
sommairement les résultats obtenus dans les dis-cussions °, 2° et 3° dans le tableau I.
4. Détermination de la courbe
caractéris-tique de
la source dans les conditionsoptima.
-Si la source a une certaine dimension et un certain
angle
limite,
la courbecaractéristique
de la source est calculée parl’intégrale (3)
en tenantcompte
del’équation (1)
et de la condition limite.Dans ce cas, il y aurait
plusieurs
moyens de composerchaque
composante
pour obtenir les conditionsoptima.
Dans
cetexposé,
on les composede
façon
que la surface formée par la courbecarac-téristique
de la source etl’abscisse,
c’est-à-dire laquantité
transmise,
devienne laplus large possible
pour une base donnée de cette courbe.I ° SPECTROMÈTRE A LENTILLE
MAGNÉTIQUE.
-Si l’on
représente
par W la base de la courbecarac-téristique
de la sourcecomposée.,
on a :La
quantité
transmise T s’écrit :La condition pour avoir T maximum pour une
valeur donnée de W est donnée par :
.
d’où :
On
peut
calculerl’intégrale
(3)
en utilisant la condition(37)
et les conditions limites. Dans cecas, les conditions limites sont :
.
En introduisant ces conditions dans
l’équation
(10)
on obtient :
D’après
la condition(37),
lepremier
terme dedroite de
l’inégalité (40)
estnégligeable
parrapport
au deuxième est au troisième terme. Donc on
peut
poser :
Le volume
compris
entre deux surfacesprésentées
par deuxparamètres
E et s + d E del’équation (41)
est calculé parl’intégrale
suivante .en tenantcompte
de la condition(38) :
La courbe calculée est
représentée
dans lafigure
5(voir
Appendice
1).
Fig. 5. -
Spectromètre à lentille magnétique.
2° SPECTROMÈTRE A FOCALISATION SEMI-CIRCU-LAIRE. - W s’écrit :
Quand
on choisit lalargeur
h de la source selonl’équation
(17), chaque
point
de la source aapproxi-mativement un
angle
solide
constant 2a0p0,
Parconséquent,
on a : ,On obtient donc les conditions
optima
suivantes :En
posant :
d’où
l’on
obtient
la courbecaractéristique
de la source(voir
Appendice II).
La courbe est tracée dans lafigure
6.Fig. 6. -
Spectromètre à focalisation semi-circulaire.
3° SPECTROMÈTRE A ORBITES SPIRALES. - On
peut
déduire dans ce cas :Les conditions
optima
s’écrivent ainsi :D’après
l’article[4],
uneparticule
qui
sort dansune direction un peu
différente
de la. directionstandard
prend
la valeur maximum de lacoor-donnée z
près
de0,75
p à cause duchamp
magné-tique inhomogène
et revient vers leplan
médian. Dans cetteposition,
onplace
une fente dont lalargeur
dans le sens z est h’ pour quel’angle
limite soitégal
àB0.
Puisque
laparticule
décrit unetra-jectoire
delongueur égale
à p à peuprès
pour arriver aupoint
0,75
p, on obtient la relation sui-vante pour quechaque point
de la source ait unangle
solide constant7rp.
’D’après
les
équations (50), (30)
et(32),
on a : :Mais on
peut
prendre
h’ d’une valeurplus
grande
que celle déterminée par
(52),
parce que cette condition esttrop
stricte parrapport
aux conditionsexpérimentales
ordinaires.Posons
l’équation (33)
à la manière suivante :l’intégrale (3) prend
la formesuivante,
en tenantcompte
de la relation(25) :
Cette
intégrale
est calculée en utilisant larela-tion
(50) (voir
Appendice
III).
Le résultat estrepré-senté dans la
figure
7. .Fig. ;. -
Spectromètre à orbites spirales.
5.
Composition
du
spectre.
- Si l’onappelle
L la luminosité et K ledegré
decapture maximum,
on a selon la définition :
Quand
onexprime
T en fonction deW,,
Qn obtient
en
général :
2
Par
conséquent,
si l’on cherche le maximum de Ka-,en variant le
paramètre
de la courbecaractéristique
578
luminosité en fonction du
pouvoir
séparateur
dansle cas des conditions
optima,
et lalargeur
du récep-teur est déterminéed’après
ceparamètre.
Etaussi,
les diverses constantes de
l’appareil
pourront
êtreexprimées
en fonction deWj.
1° SPECTROMÈTRE
A
LENTILLE MAGNÉTIQUE.-Wr Les
spectres
calculés pourchaque
paramètre
Wr/W
sontreprésentés
dans lafigure
8,
où Wr est la baste de la courbecaractéristique
durécepteur.
D’après
leséquations (36),
(38), (55), (56),
onpeut
écrire :
5
On doit donc chercher le
maximum
de Ka2.
La 5variation de la valeur
de K (5
a)
estégalement
représentée
dans lafigure
8.D’après
cettecourbe,
onadopte
Wr/w = 3/5
et l’on trouve a= 3,48/5
En tenantcompte
de ces valeurs et des relations(9), (6), (12)
et
(38),
on obtient les valeursoptima
de r 0’90
et d
qui
sont montrées dans le tableau III. EnFig. 8. 2013 Variation du spectre
. dans le cas du spectromètre à lentille magnétique.
employant
cesvaleurs,
on a finalementl’expression
de la luminosité :
20 SPECTROMÈTRE A FOCALISATION
SEMI-CIRCU-LAIRE. - Les
spectres
dont
leparamètre
est
deW’
W
sont
figurés
dans lafigure
g.D’après
leséqua-tions
(44), (55)
et(56),
on a :La valeur maximum de, K
a -2,
est obtenuede
lamême
façon
que dans I o(fig. 9).
Onadopte
Wr/W = 2/5
et l’on trouve a =
2,65/5.
En tenant-compte
desrelations
(19),
(15),
(16),
(21), (17)
et(45),
on trouve les valeursoptima
de r 0’ ao,po, h et d qui
Fig. 9. - Variation du
spectre
dans le cas du spectromètre à focalisation semi-circulaire.
sont montrées dans le tableau III. Avec ces
valeurs,
on al’expression
de la luminosité :Note. - Dans les
paragraphes I°
et 2°, on auraitpu
présenter
la luminosité et les autres constantes del’appareil
en fonction deWo
au lieu de lespré-senter en fonction de
W,
(ici, Wo
est lalargeur
totale duspectre).
2
Dans le cas où on les
exprime
en fonction deWo,
ils
peuvent
être calculés de la mêmefaçon
que dans le cas où on lesexprime
en fonction deW,.
Et l’ontrouve que le
spectromètre
à lentillemagnétique
a une luminosité à peuprès
deux foisplus grande
que lespectromètre
à focalisationsemi-circulaire,
ce
qu’on
peut
estimer facilement enremarquant
que la courbe
caractéristique
de la source duspectro-mètre à
lentillemagnétique
(fig.
5)
est de la forme d’untrapèze
tandis que celle duspectromètre
àfocalisation semi-circulaire
(fig.
6)
est de formetriangulaire.
30 SPECTROMÈTRE A ORBITES SPIRALES. -
Puisque
la courbe
caractéristique
durécepteur
(34)
contientdeux facteurs d et
0398,
elle a une forme trèscompliquée
et l’on
ne. pourrait
pas composer unspectre
àl’aidè
de cette courbe et de la courbe
caractéristique
de la source. Parconséquent,
on utilise uneapproxi-mation un peu
grossière
pour voirl’aspect général,
c’est-à-dire que l’on considère la courbe
càractéris-tique
de la source comme une formerectangulaire
3d’une base
de -,W,
parcequ’on
peut
estimer quela queue de la
courbe (W
n’aurait pas unegrande
influence
(fig. 7).
où la distribution de la
quantité
de mouvement est une formerectangulaire
de base w. Posonsla courbe
caractéristique
durécepteur
estexprimée
ainsi : .
Ensuite la
largeur
à mi-hauteuru1
et ledegré
de2
capture
duspectre
construit à l’aide de J et m s’écriventrespectivement :
D’où l’on obtient :
La condition nécessaire
pour
faireW1
aussipetit
quepossible
et en mêmetemps
L aussigrand
que’possible
n’est autre que de donner àL
sa valeur 2maximum.
D’après
leséquations
(66)
et(67),
onpeut
écrire :avec :
Donc,
pour obtenir les conditionsoptima,
il faut chercher la valeur maximum de la fonctionÇ.
TABLEAU II.
On montre dans la
figure
10 leschangements
duspectre
par 0
dans le cas de v =o,4
et l’on montreaussi dans le tableau II les variations des
valeurs /,
g
et cL
dans ce cas. Les courbes de la variationde Ç
par 0 avec le
paramètre v
sont tracées dans lafigure
1. On trouve ainsi par cettefigure
que la .valeur maximum
de Ç
est9,7.I0-2
dans le casoù v est
égal
ào,4
etoù
estégal
ào,08.
Dansce
x
cas, on
emploie
la courbecaractéristique
durécep-.
teur de x = 2. Parconséquent,
il est nécessaire defaire une correction dans le cas où x est différent de cette valeur. Mais il ne faut
qu’une
trèspetite
correction pour cet effet si l’on utilise x dei jusqu’à
3.Fig.io.
Fig.11.
3
Ensuite,
onremplace M
par 3
W et en serappelant
4
que 03BC1 -- T, 22 dans les conditions
optima (voir
L
tableau
II),
on a :ro, h et h’ sont alors déterminés par les relations
(24),
(34), (50)
et(51).
Ils sont donnés dans le tableau III.On a
l’expression
de la luminosité suivante :40
RÉSUMÉ DUPARAGRAPHE
5. - Le tableau III ’580
Si l’on
exprime
L en fonction de l’activité totaleA,
on a lesexpressions
données dans le tableau IV.Enfin,
lorsqu’on
exprime
L en fonction del’énergie
magnétique
conservée dans le volume duspectro-mètre,
on obtientapproximativement
les résultatsindiqués
dans le tableau V. TABLEAU III.TABLEAU IV.
TABLEAU V.
6. Conclusion. 2013 Les
caractéristiques
des appa-reilsexprimées
en fonction de p etW,
figurent
dans2
les tableaux
III,
IV et V.10 Pour
W,
constant,
la luminosité duspectro-2
1
mètre à orbites
spirales
est à peuprès
W7
foisplus
grande
que celle des autres. Il est facile aussi de voir que lespectromètre
àfocalisation
semi-circulairea une luminosité aussi
grande
que lespectromètre
à lentille
magnétique.
D’autrepart,
onpeut
remar-quer que x a une influence très
importante
sur laluminosité du
spectre
à orbitesspirales
[9].
go Pour mesurer un
spectre
continu derayon p
avec une
précision
suffisante,
la
source doit être aussimince que
possible.
D’après
le tableauIII,
pourobtenir la même luminosité et le même
pouvoir
séparateur,
lerapport
desépaisseurs
de la source1
dans ces trois
spectromètres
doit être I:I:X-1W21.
23°
Quant
à l’efficacité(tableau
IV),
lespectro-mètre à lentille
magnétique
est bien meilleur que lespectromètre
à focalisation semi-circulaire. Lacomparaison
de Frankel[2]
concernant la sourceponctuelle
côrrespond
à ce cas, parcequ’on
éliminel’effet de la dimension de la source à l’aide de A. Et elle est en accord avec notre conclusion.
581 luminosité et
l’énergie magnétique
conservée dansle volume du
spectromètre qui
peut
être considérée comme une mesure dé consommation depuissance
électrique.
50 Si l’on utilise le
spectromètre
commespectro-mètre de masse, les
caractéristiques
desappareils
sont obtenues ennégligeant
lescomposantes
angu-laires dans le tableau III et la
dépendance
de la luminositéexprimée
en fonction deW1
estrespec-1 2
tivement
W21,
W 1
etW 1
pour les troisspectromètres.
2 -i 2 1
- L’auteur tient à
exprimer
saprofonde
reconnais-sance à M. le Professeur F. Joliot-Curiequi
l’a accueilli au titre de boursierétranger
duGouver-nement
français
dans son laboratoire auCollège
de France où il a pu terminer cette étude
qui
a été-commencée à lasuggestion
de M. le Professeur R.Sagane
dont il a puapprécier
les fructueuses discussions etauquel
il tiént àexprimer
saprofonde
gratitude.
Il remercie aussi M. le Ministre des AffairesÉtrangères
de Francequi
lui a accordé le soutienmatériel
grâce
auquel
il a pupoursuivre
ses études en France.APPENDICE
I.Calcul de la courbe
caractéristique
de la source duspectromètre
à lentillemagnétique
- Considérons d’abord le
sens
physique
de.l’inté-grale (42).
Lepremier
facteurVA2--
SI
nousindique
l’intensité desparticules
dont laquantité
de mouvementefïective
de lacomposante -o
est en et le deuxième facteurI
l’intensité
despar-JE -
En ,P
ticules dont la
quantité
de mouvement effectivede la
composante g
est s 2013 e7’l.Donc,
quand
onmultiplie
l’un par l’autre et que l’on faitl’intégrale,
on obtient la distribution de l’intensité dans le cas où la somme des
quantités
de mouvementeffec-tives des deux
composantes
est E. Pour calculerl’intégrale (42),
on transfèrel’origine
à-A,.
Dansce cas, la distribution résultant de la
composante n
s’écrit :
En
employant
cetteexpression
et en en considérantsa
signification physique,
on obtient troisinté-grales :
où
p est
Ag
et F et E sontrespectivement l’intégrale
An
.elliptique
depremier
ordre etl’intégrale elliptique
de deuxième ordre. En utilisant le tableau de valeur de cettefonction,’on
peut
en tracer la courbe dansla
figure
5.APPENDICE
II.Calcul de la courbe
caractéristique
de la source duspectromètre
à focalisation semi-circulaire. -- Lasignification
del’intégrale (47)
estque d’abord l’on compose le groupe des
particules
dont la
quantité
de mouvementeffective
est E - E et.qu’ensuite
l’on
compose lesparticules
dont laquantité
de mouvement effective est ê. On calcule d’abord la courbecomposée
par lescomposantes
a ,où l’on pose s - êç = 8. Puis on
compose la
compo-sante
(.
Enremarquant
la relation(45),
ondis-tingue
lescinq
domaines suivants :La courbe
caractéristique
de la source tracée àpartir
de ceséquations
estreprésentée
sur lafigure
6.APPENDICE III.
Calcul de la courbe
caractéristique
de lasource du
spectromètre
à orbitesspirales.
--Le deuxième facteur de la
fonction
intégrée
dansl’intégrale
(54) indique
lacomposition
de lacompo-sante §
avec lacomposante p.
Pour calculer cetteintégrale,
ondistingue
deux domaines :avec
Ensuite,
on fait lacomposition
de lacomposante (.
Poursimplifier
lescalculs,
on posef
et l’on obtient les
quatre intégrales :
La deuxième
intégrale
del’expression
(87)
estimpossible
à calculer. Dans ce cas, on utilise la for-muleapproximative
employée
parl’article [4] :
583
Après
un calculcompliqué,
maisélémentaire,
on obtient la formule suivantereprésentant
l’inté-grale
indéfinie :avec On
peut
calculer la courbecaractéristique
de la source avéc cetteexpression.
Le résultat estdonné
dans lafigure
7.Manuscrit reçu lie 17 décembre 1952.
BIBLIOGRAPHIE.
[1] Articles concernant le spectromètre à focalisation semi-circulaire :
SIEGBAHN K.
et SVARTHOLM N.
2014Nature, I946, 157, 872.
SHULL F. B. et DENNISON D. M. -
Phys. Rev., I947, 71,
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LANGER L. M. et COOK C. S. 2014 Rev. Sc. Instr., I948,
19, 257.
BEIDUK L. M. et KONOPINSKI E. J. 2014 Rev. Sc. Instr.,
I948, 19, 594.
Articles concernant le
spectromètre à
lentille magné-tique :FRANKEL S. -
Phys. Rev., I948, 73, 804.
DU MOND J. W. M. - Rev. Sc. Instr., I949, 20, I60. AGNEV H. M. et ANDERSON H. L. - Rev. Sc. Instr., I949,
20, 869. GRIVET P. - J.
Physique Rad., I950, 11, 582.
[2] HUBERT P.. 2014 J. Rech. du C. N. R. S., I947, n° 3. FRANKEL S. -
Phys. Rev., I948, 73, 804. PERSICO E. et GEOFFRION C. - Rev. Sc.
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VERSTER N. F. 2014 Thèse de doctorat, Amsterdam, I95I.
[3] MIYAMOTO G. 2014 Proc. Phys. Mat. Soc. Japan, I943, 17, 587.
[4] IWATA G., MIYAMOTO G. et KOTANI M. - J.
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Japan, I949, 2, I.
[5] SAGANE R., MIYAMOTO G., NAKANURA K. et TAKECHI. - Proc.
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SAGANE R., GARDNER W. L. et HUBBARD H. W. 2014 Phys. Rev., 95I, 82,
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[6] DU MOND J. W. M. - Rev. Sc. Instr.,
I949, 20, I60.
[7] GEOFFRION C. - Rev. Sc. Instr., I949, 20, 638.
[8] SAKAI M. 2014 J. Phys. Soc.
Japan, I950, 5, I78.