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A.Utilisationencapteurdeforces Probl`emen 1–Mat´eriauxpi´ezo´electriques Devoirsurveill´edeSciencesPhysiquesn 1du23-09-2021

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Texte intégral

(1)

Devoir surveill´ e de Sciences Physiques n

1 du 23-09-2021

— Dur´ee : 4 heures. Solutions —

Probl` eme n

o

1 – Mat´ eriaux pi´ ezo´ electriques

Centrale TSI 2020

A. Utilisation en capteur de forces

Mesure de l’intensit´e d’une force s’exer¸cant sur une lame pi´ezo´electrique

1.L’amplificateur op´erationnel est id´eal et en r´egime lin´eaire : i+ =i = 0 etε=V+−V = 0. Comme le courant est nul sur l’entr´ee, la tension aux bornes de la r´esistanceR1 est nulle. On a doncV+ =Ve. On note i l’intensit´e qui traverse les deux r´esistances orient´ees de la sortie de l’amplificateur vers la masse. On a donc V = e1+R3i. Par application de la loi des mailles, on a Vs =e1+ (R2+R3)i. On peut grˆace `a ces deux relations exprimer la tension V = R2Re12+R+R33Vs. Comme l’amplificateur id´eal est en r´egime lin´eaire, on aε = 0 comme cela a ´et´e dit avant. On peut donc en conclure que Ve=R2Re12+R+R33Vs .

2.On trouve Ve= 0,95 V . 3.On a F = CVKe = 0,76 N .

Mesure de la fr´equence d’une force excitatrice sinuso¨ıdale s’exer¸cant sur une lame

4.On commence par former des imp´edances ´equivalentes `a R1 et C1 en s´erieZ1 =R1+jC11ω et `a R2 et C2

en parall`eleZ2 = 1+jRR22C2ω. Comme V+ = 0 puisque l’entr´ee + est reli´ee `a la masse, on peut voir queZ1 est soumise `a la tensionVeet queZ2l’est `a la tensionVs. On applique la loi des nœuds `a l’entr´ee−de l’amplificateur op´erationnel. La somme des courants qui arrivent `a ce nœud est nulle : ZVe

1+ZVs2 + 0 = 0. On peut en d´eduire la fonction de transfert entre la sortie et l’entr´ee :H(jω) = VVs

e =−ZZ21. On a H(jω) = −(1+jR2C2ω)(RR21+ 1

jR1C1ω). Apr`es calcul et mise en forme comme voulue par l’´enonc´e, on arrive bien `aH(jω) =−1+j(ω/ωA1ω2/ω)`a condition de poser A= R1CR12+RC12C2 , ω1= RR11CC11+RR22CC22 et ω2= R1C1+R1 2C2 .

5.On constate facilement que la limite deH(jω) est 0 lorsqueω→0 et aussi lorsqueω→ ∞. On a clairement affaire `a un filtre passe-bande .

6.On a|H|(ω) = q A

1+(ω1ωω2ω)2. Comme la pulsation n’intervient qu’au d´enominateur, le gain sera maximal lorsque le d´enominateur sera le plus petit possible. Compte tenu de sa forme, cela se produit lorsqueωω1ωω2 = 0.

La pulsation de r´esonance est donc : ωr=√ω1ω2 .

7.Pour v´erifier exp´erimentalement que les deux signaux sont en opposition de phase, on utilise un oscilloscope en reliant sa masse `a celle du circuit et la voie 1 `a l’entr´ee et la voie 2 `a la sortie par exemple. On peut utiliser l’oscilloscope en mode temporel, l’axe des temps est l’axe horizontal sur l’´ecran de l’oscilloscope ou bien en mode XY, c’est-`a-dire que l’on repr´esente une voie sur l’axe vertical et l’autre sur l’axe horizontal. On doit observer ce qui repr´esent´e `a la figure 1. Si l’entr´ee est d´ecrite par Ve = Vemcosωrt alors la sortie l’est par Vs=AVemcos(ωrt+π) =−AVemcosωrt. On a alorsVs=−AVece qui donne une droite d´ecroissante dans le modeXY.

t Vi

Ve

Vs

Figure1 – Mode temporel et mode XY

(2)

8.Pou que les deux signaux soient en opposition de phase, il faut queω=ωr car nous avons alorsH =−A avecA >0. CommeH est un r´eel n´egatif, la phase est bien deπentre la tension de sortie et la tension d’entr´ee.

La fr´equence est donc : f = 1

R1C1R2C2 = 318 Hz .

B. Utilisation d’un mat´ eriau pi´ ezo´ electrique dans un airbag

Principe d’un acc´el´erom`etre

9.La massemsubit son poidsm~g=−mg~ez perpendiculaire `a l’axeOx, une composante normale de contact N~ = N~ez avec N > 0. Comme l’´enonc´e ne signale pas l’existence de frottements secs de Coulomb, on ne prendra pas en compte de composante tangentielle. Le ressort exerce surmla force−k(x−L0)~ex, l’amortisseur la force−α~V et la force d’inertie d’entraˆınement due au caract`ere non galil´een du r´ef´erentiel constitu´e par la voiture : f~i,ent=ma~ex .

10.Le principe fondamental de la Dynamique, projet´e sur l’axe Ox, permet d’´ecrire quemddt2x2 = −αdxdt − k(x−L0) +ma. En posantX =x−L0, on arrive `a l’´equation diff´erentielle ddt2X2 +mαdXdt +mkX =a. On a donc ω02=mk et ωQ0 = mα. On peut conclure en ´ecrivant : ω0=q

k

m et Q=mkα . R´esolution

11.Commex=L0, on a X(t <0) = 0 .

12.On pose Q= 12. L’´equation caract´eristique associ´ee `a l’´equation diff´erentielle est r2+ 2ω0r+ω02= 0 = (r+ω0)2.r=−ω0est une racine double. On se trouve dans le cas du r´egime critique. La solution de l’´equation homog`ene est de la formexh = (At+B) exp−ω0t. La solution particuli`ere est trivialexp = ωa2

0. Par lin´earit´e de l’´equation diff´erentielle, on obtient la forme suivante pour la solution : x(t) = ωa2

0 + (At+B) exp−ω0t.

Pour d´eterminer les constantes d’int´egration A et B, on utilise les conditions initiales qui portent, ici, sur la position et la vitesse. Avant le freinage, on avaitX(t= 0) = 0 et ˙X(t = 0) = 0. La condition sur la position permet d’´ecrire que ωa2

0 +B = 0 d’o`u B =−ωa20. Commen¸cons par calculer l’expression g´en´erale de la vitesse :

dX

dt = Aexp−ω0t−(At+B)ω0exp−ω0t. `A t = 0, l’expression pr´ec´edente permet d’´ecrire que A = Bω0. On peut donc terminer la d´etermination de l’expression de la position de la masse relativement `a sa position d’´equilibre : X(t) = ωa2

0[1−(1 +ω0t) exp−ω0t] . Si le r´egime transitoire est suppos´e termin´e, cela veut dire que X(t0) = ωa2

0 =mak . Lorsque le freinage est termin´e, l’´equation diff´erentielle est ddt2X2 +QωdXdt02X= 0. Lorsque t→ ∞, la solution correspond au second membre, on a donc ´evidemmentXt→∞= 0. Si l’on veut d´eterminer - ce qui n’´etait pas demand´e - la solutionX(t) pour cette nouvelle phase, on utilise la mˆeme forme de solution que pr´ec´edemment (au second membre pr`es. . . ) et on utilise les conditions `a la datet=t0pour lesquelles on a X(t0) = ωa2

0 et ˙x(t0) = 0. On arrive alors `a la formeX(t≥t0) = ωa2

0[1 +ω0(t−t0)] exp−ω0(t−t0).

Utilisation du mat´eriau pi´ezo´electrique Cas num´ero 1 : Freinage brutal

13.La vitesse passe de 25 m·s1 `a 0, l’acc´el´eration (d´ec´el´eration) moyenne est amoy=|∆V∆t|= 10 m·s2 . Cette valeur correspond `a peu pr`es `a l’acc´el´eration de la pesanteur.

Cas num´ero 2 : Arrˆet suite `a un choc

14.On trouve dans le cas du choc a = 167 m·s2 . Cette valeur est tr`es ´elev´ee, c’est plus de quinze fois

(3)

D´etecteur de tension

18.L’amplificateur lin´eaire int´egr´e est mont´e en suiveur. En effet, puisque ε = 0, on a V = V+ = Ve. La r´etroaction entre l’entr´ee−et la sortie ´etant r´ealis´ee avec un simple fil suppos´e de r´esistance nulle, on retrouve la tensionVe en sortie pour alimenter le circuit compos´e de la diode et de la r´esistanceR. C’est l’alimentation

±15 V qui assure le courantiqui va traverserRet la diode. La diode devient lumineuse pouru=Ud= 1,9 V, on peut d´ej`a constater que l’´etat ´eteint ou allum´e de la diode correspond bien au fonctionnement souhait´e `a savoir discerner le choc brutal et le freinage. Par contre, il faut r´egler la valeur de la r´esistance R pour rester dans le domaine de fonctionnement de la diode qui ne doit pas dissiper une puissance sup´erieure `a Pd = 100 mW.

La loi des mailles donneVe =Ri+Ud avecVe= 2,8 V etUd = 1,9 V pour le choc brutal. On en d´eduit que Ri= 0,9 V. Or, dans le pire des cas on doit avoirPd=Udimax. On en d´eduit que imax= 52 mA. Il faut donc choisir une r´esistanceR > VieUd

max ce qui donne R >18 Ω . En prenantR= 100 Ω, on a une bonne marge pour ne pas griller la LED.

C. Microg´ en´ erateur pi´ ezo´ electrique

19.Le termeMddt2z2 repr´esente le produit de la masse par l’acc´el´eration du centre d’inertie de la poutre. On peut encore dire qu’il s’agit de d~dtp .

20.−kz correspond `a l’ ´elasticit´e de la poutre , sa capacit´e `a s’allonger ou se contracter dans le cadre d’une loi lin´eaire de type ressort.−αdzdt correspond `a un terme dissipatif d’´energie, cela est `a mettre en rapport avec l’´energie dissip´ee `a l’int´erieure de la poutre lorsqu’elle se d´eforme.

21.En passant en complexe, on arrive rapidement `a [(k−M ω2) +jαω]Zm=F0. Cela nous permet d’exprimer l’amplitude complexe du mouvement vertical de la poutre : Zm= jαωF00 puisque l’on se place `a la pulsation ω=ω0=q

k M.

22.Nous venons de voir queZm=−jαωF00. On a donc un d´ephasage de−π/2 et comme cos(ω0t−π2) = sinω0t, on en d´eduit que : z(t) =αωF00sinω0t.

23.Nous savons quevz= dzdt, on arrive ais´ement `a vz= Fα0 cosω0t .

24.La capacit´eC0correspond `a la capacit´e du quartz pi´ezo´electrique `a faire apparaˆıtre des charges oppos´ees sur les deux faces concern´ees par la pression exerc´ee.

25.β est en N· V1. Si l’on multiplie par une vitesse et une force ( N), on obtient une puissance en watt ( W). En ´electricit´e P = ui, donc en divisant une puissance par une tension, on obtient bien une intensit´e :

βvzest en A .

26.On ´ecrit la loi des nœuds dans le circuit propos´e :βvz=C0dV

dt +VR. On passe cette ´equation en complexes dans l’espace des pulsations :βFα0 = (jC0ω0+R1)Vm. On peut donc conclure sur : Vm= R

βF0 α

1+jRC0ω0 . 27. La puissance moyenne r´ecup´er´ee P par la r´esistance d’utilisation est P = V

2 ef f

R o`u Vef f est la tension efficace correspondant `a la tension sinuso¨ıdale d’amplitude complexeVm. On sait que l’on a Vef f = |Vm2|. La puissance dissip´ee est donc : P= R

β2 F2

0 α2

2(1+R2C02ω02) .

(4)

Probl` eme n

o

2 – D´ etection optique dans un AFM

X MP 2020

A. D´ etection de la fl` eche

1.On peut montrer facilement grˆace `a la loi deDescartessur la r´eflexion que si un miroir tourne d’un angle θ alors le rayon qu’il r´efl´echissait subit une d´eviation d’un angle 2θ. Pour le d´emontrer, le plus simple est de faire un sch´ema avec un rayon arrivant sous incidence normale sur le miroir. Ce rayon repart sur son chemin initial. Si l’on tourne le miroir de l’angleθ, l’angle du rayon incident avec la normale est deθ, angle qu’il fera aussi avec cette mˆeme normale (mais de l’autre cˆot´e. . . ). Par cons´equent, il fait un angle 2θ par rapport `a sa premi`ere direction d’´emergence. Comme l’angle est petit, la d´eviation angulaire de 2θprovoque un d´eplacement de ∆ = 2θd `a la distanceddu point de r´eflexion.

2.On peut imaginer que l’on utilise plutˆot une diode laser qu’un laser mˆeme si cela ne change pas fondamen- talement le probl`eme1. La longueur d’onde est λ≃0,5µm = 5×107m. Compte tenu de la taille de 20µm donn´ee par l’´enonc´e, on peut penser que la laser est soumis `a la diffraction. Le diam`etre d’ouverture de la diode laser peut ˆetre situ´e `a D = 1 mm, ce qui fait que la divergence angulaire li´ee `a la diffraction peut ˆetre ´evalu´ee en effectuant δα= Dλ ≃ 5×104rad. Cette valeur est tr`es classique pour des lasers ou des diodes lasers. Si l’on imagine une source ponctuelleS au d´epart, cette source est `a une distanced1 de la lame, on en d´eduit que b=d1δα. `A la distancedde la lame, on obtient une tache laser de diam`etre 2ad= (d1+d)δα=b+dδα. L’ap- plication num´erique conduit `a 2ad= 70µm . Cette taille si elle est bien estim´ee va obliger `a avoir un d´etecteur suffisamment pixellis´e pour obtenir de la sensibilit´e.

B. Localisation par photod´ etection de la position du point P

1

3.Si l’on suppose que l’intensit´e du laser est uniforme dans toute sa section, on a φ1=γS1 etφ2 =γS2 o`u S1 et S2 sont les surfaces de la tache laser sur la photodiode 1 et sur la photodiode 2. Le contraste propos´e peut donc s’´ecrire C = SS22+SS11. On a S1+S2 = πa2p. On peut donc ´ecrire le contraste commeC = 1− 2Sπa12p. Comme la distance ∆ ≪ ap, on peut raisonner rapidement en disant que S1 est constitu´ee par la surface d’un demi-disque π2a2p `a laquelle il faut retirer un rectangle de surface 2ap∆. Ainsi 2S1 = πa2p−4ap∆. On arrive au contraste : C= πa4∆p . On peut aussi chercher `a faire un calcul exact. Il existe plusieurs m´ethodes.

Celle propos´ee `a l’aide de la figure 2 ´evalue la surface perdue par rapport au demi-disque repr´esent´ee du cˆot´e sup´erieur. On peut jouer sur le compl´ement entre la surface d’un secteur circulaire d’angle β et un triangle rectangle. L’angleβ v´erifie la relation sinβ = a

p. La surface gris´eeSg = 2(β2a2p+2q

a2p−∆2). On en d´eduit la surfaceS1= π2a2p−(βa2p+ ∆q

a2p−∆2). Si l’angleβ est petit, on peut ´ecrire que sinβ ≃β et doncβ ≃ap. En ne gardant que les termes du premier ordre en a

p, on arrive `a S1= π2a2p−2∆ap. Cette expression est bien coh´erente avec celle qui a ´et´e utilis´ee en effectuant l’approximation de la surface gris´ee `a un rectangle.

b β

ap

qa2p−∆2

(5)

s’int´eresse au contraste, on arrive `aC=C(t). On constate queC(t) est le contraste et qu’il est bien ind´ependant des fluctuations thermiques deφ0(t).

C. ´ Etude de la photod´ etection

6.Il y aφ photons dans la lumi`ere laser qui arrivent sur la surface de d´etection par unit´e de temps. L’intensit´e du courant correspondant est donc I = eφ. La sensibilit´e th´eorique est Sth =e ≃0,6 A· W1 . Avec les caract´eristiques propos´ees dans la partie o`u l’intensit´e est constante on observe que S = ∆I∆φ = 0,2 A· W1. Cette valeur est tout `a fait dans le mˆeme ordre de grandeur que celui ´evalu´e avec la correspondance d’un photon pour un ´electron. Mˆeme si cette correspondance ne se r´ealise pas, on peut dire que l’on a un ´electron pour trois photons arrivants. On pourrait parler de rendement de 13.

7.On ´ecrit la loi des maillesU =RI+V. Cela permet d’arriver `aI=URVR que l’on passe en valeur num´erique avec pourIdes milliamp`eres et pour la tensionV des volts. L’´equation num´erique est alors :I=−0,25−0,05V. On trace cette droite sur le graphique propos´e et, pour le flux lumineux de 0,5 mW, on trouve par intersection des caract´eristiquesI=−0,1 mA et V =−3 V .

8. On veut optimiser la mesure pour l’intervalle [0,1 mW]. On a U = VR+V. On veut que VR = 0 pour φ= 0 mW et doncV =U =−5 V. Pour l’autre valeur extrˆeme, on veut que VR =−5 V et doncV = 0 pour φ= 1 mW. CommeVR=−RI avecI=−0,2 mA, on doit avoir une pente R=2×1054 = 25 kΩ .

9.La loi de mailles donne toujoursU =RI+V. Il faut ´ecrire la loi des nœuds :I=CdVdt −Iph(φ). En d´erivant par rapport au temps la loi des mailles, on obtient dVdt =−RdIdt. Cela permet d’´ecrire l’´equation diff´erentielle v´erifi´ee par l’intensit´e : RCdIdt+I=−Iph(φ) .

10.L’´equation diff´erentielle pr´ec´edente nous donne imm´ediatement la fr´equence de coupure : fc= 2πRC1 . On trouvefc≃150 kHz.

11.Plus la r´esistance est ´elev´ee, plus la sensibilit´e est importante. On peut avoir l’intention de forcer surR mais la fr´equence de coupure chute. Nous avons vu que les fr´equences caract´eristiques des vibrations de la lame sont de l’ordre de fp0 ≃100 kHz. Avec la valeur retenue de la r´esistance, on a finalement un bon compromis puisque la fr´equence de coupurefc est sup´erieure `afp0.

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