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Jeudi 20 Juillet 1893.

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Texte intégral

(1)

Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le j o u r n a l .

Septième Année. — N

0

58.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s .

Jeudi 20 Juillet 1893.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 27.

A B O N N E M E N T S

Un nn: Six mois

Suisse . . . . Fr. 6»— Fr. "2—

Union postale :> 12»— » 6»—

On s'abonne à tous les bureaux de po.ste Paraissant le Jeudi et le Dimanche à !a G^Mle-Fonds

ANNONCES

Provenant de la Suisse 20 et. la ligna

» de l'étranger 25 » » ; Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance Organe de la Société intercantonale des Industries du Jura, des Chambres de commerce, des Bureaux de contrôle

et des Syndicats professionnels.

A V J S

N o u s p r i o n s c e u x de nos a b o n n é s de l ' é t r a n g e r q u i n ' o n t p a s encore p a y é l ' a b o n n e m e n t de l ' a n n é e cou- r a n t e , de b i e n vouloir r é s e r v e r b o n accueil a u r e m b o u r s e m e n t que n o u s p r e n o n s s u r e u x , de la v a l e u r de cet a b o n n e m e n t .

Six siècles de pauvreté anglaise

On lit dans le Monde Economique:

De nombreux documents, précieux pour l'histoire économique, ont été re- cueillis, en Angleterre, depuis Sir Fre- derick Eden, il y a un siècle, jusqu'à Tooke and Nevmarch, Thorold Rogers, Cunningham et, pour l'état actuel, Char- les Booth, Les investigations déjà faites incitent à de nouveaux travaux. C'est ainsi que, sous le titre môme de cet ar- ticle, un tableau du salaire des ouvriers agricoles et des artisans vient d'être pu- blié dans un récent numéro du Nine-

teenth Centary par M. Gustav F. Steffen.

Je ne crois pas que l'auteur ait toujours raison dans ses appréciations des causes du mouvement; mais la plupart des faits qu'il rapporte sout fort intéressants.

La classe salariée se substitua à celle des serfs après la mort noire qui, en 1348-1349, faucha la population au point de la réduire sensiblement.

L'ouvrier agricole pouvait alors, avec son salaire d'un jour, acheter trois quarts de pain. L'insurrection de 1381 fut plu- tôt une manifestation du nouvel esprit d'indépendance de la masse. Dans la période de 1400 à 1520, celle du Merry

England (l'Angleterre gaie), le salaire

quotidien d'un ouvrier agricole lui per- mettait d'acheter 7V

2

quarts de pain, ce- lui d'un charpentier 12 quarts. Pendant la période suivante, de 1590 à 1660, ce n'était plus que 3V

2

et 4 quarts. Dans la

première période, 287p du salaire d'un ouvrier agricole et 17% de celui d'un charpentier suffisaient pour acheter les deux pains, ou 7 livres de froment, né- cessaires pour la nourriture de l'homme, 23% et 13% des mêmes salaires permet- taient d'acheter IV

2

livres de viande.

Dans la seconde période, le froment exi- geait 68 et 50%, la viande 42 et 32%.

L'ouvrier agricole pouvait, clans la pre- mière période, acheter deux fois plus d'orge, de pois, de- navettes, de farine d'avoine et de malte que dans la secon- de; le charpentier pouvait se procurer V

2

fois plus de ces mêmes objets pen- dant le XV

e

siècle que dans la première moitié du XVII

e

siècle. C'est à peu près le même rapport qu'avec le froment.

L'ouvrier agricole pouvait avoir 76 œufs, pendant la première période, contre 31, pendant la seconde, et le charpentier 125 au lieu de 42! L'ouvrier agricole pouvait acheter 9 pigeons, pendant le XV

e

siècle, contre 4V

2

, pendant la pre- mière moitié du XVII

e

siècle, et le char- pentier deux poules contre une. C'est à peu près la même relation que pour la viande de bœuf et de mouton. Seul, le poisson n'avait pas renchéri. On pouvait avoir le même nombre de harengs aux deux époques. L'ouvrier avait enfin, dans la première période, plus d'agréments, en dehors de son salaire.

Une des causes de cette immense dif- férence fut la hausse des prix, par suite des découvertes de mines d'or. Le sa- laire ne suit toujours que lentement la hausse générale des prix. La coutume agit avec plus de force sur le salaire que sur les prix du commerce. Puis vinrent la révolution sociale, causée par la ré- formation religieuse et le développement économique, qui fit passer beaucoup de terres du labourage au pâturage de moutons. Les changements de prix furent encore aggravés par les édits des

princes, diminuant la valeur de la mon- naie. L'insurrection de 1549 fut une ten- tative, d'ailleurs vaine, des paysans pour maintenir leur situation.

Pour les temps modernes, l'auteur cal- cule que les salaires des ouvriers, à la campagne et en ville, ont haussé, de 1830 à 1880, de 45 à 50%, le pouvoir d'ache- ter du froment de 60 à 75%, celui d'ache- ter de la viande de moins de 30%.

Rapport commercial

do Ia Légation de Suisse dans Ia Républic|iie Argentine sur l'année 1892

Nous extrayons quelques passages de ce long et intéressant rapport, tout en regrettant que l'espace dont nous disposons ne nous permette pas de le publier dans son entier.

.Situation g é n é r a l e . — Au point de vue commercial, l'année 1892 a donné d'heureux résultats. L'exportation et l'importation sont en forte augmentation et la balance générale du commerce boucle par un solde considéra- ble en faveur de l'exportation. Le rendement des douanes dépasse de 50 0,0 celui de l'an dernier et de plus de 15 millions de francs les prévisions budgétaires. Les autres revenus de l'Etat ont augmenté dans les mêmes propor- tions. Ces constatations permettent d'espérer que la République Argentine sortira de la crise qui l'étreint depuis plus de trois ans et de considérer la situation économique du pays comme en voie d'amélioration sérieuse. Les résultats obtenus pendant les premiers mois de l'année courante confirment ces prévisions.

Pays neuf et voulant marcher trop vite, la République Argentine fit usage avec excès des crédits qu'on lui offrait de toutes parts et contracta, dans le courant des années quatre- vingt des dettes dont, fin 1890, le service dut être suspendu pour trois ans. Durant la même période, provinces, municipalités et de nom- breux particuliers imitèrent à l'envi l'exem- ple de l'Etat et, après avoir accumulé de leur coté emprunt sur emprunt et dettes sur dettes, se virent tout à coup dans l'impossibilité de faire face à leurs obligations. Cette situation d'insolvabilité s'étant révélée sans cause ap- parente, au moment où la prospérité parais- sait générale et oïi le mouvement des affaires avait atteint un chiffre inouï, la crise qui en résulta fut d'autant plus violente et fit d'autant plus de victimes.

(2)

246 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE

O b s e r v a t i o n s . — De l'exposé qui précède il est permis de déduire que la République Argentine tire ses ressources principales de son sol, que l'élevage et l'agriculture sont et seront longtemps encore les facteurs essentiels de sa richesse et de son développement, et que l'industrie ne joue à cet égard qu'un rôle se- condaire.

La République Argentine ne possède de traité de commerce à tarifs avec aucun pays.

Elle peut donc modifier à volonté ses droits de douane. Dans la règle le congrès (chambre des députés et sénat) les fixe à la fin de cha- que année pour l'an prochain, sur les propo- sitions du gouvernement. Il y a trois ans, les circonstances malheureuses qu'elle traversait, engagèrent la République Argentine à aug- menter dans une mesure considérable ses droits sur les importations, et à introduire môme des droits d'exportation sur certaines marchandises. Ces droits majorés d'importa- tion, protecteurs et presque prohibitifs pour certains articles, provoquèrent immédiatement la création des industries correspondantes sur le sol de la République. Depuis lors, et mal- gré les mauvais résultats financiers de la première année, 1891, du nouveau régime dou- anier, le Congrès persista dans sa ligne de conduite et maintient — dans ses dispositions essentielles — le tarif de 1891. Nous avons vu plus haut que le résultat pour 1892 a été sen- siblement meilleur ; aussi les tentatives n'ont- elles pas manqué d'engager le congrès encore plus avant dans le chemin de la protection.

Mais il a résisté et l'on peut admettre qu'il résistera aussi dans l'avenir à de semblables pressions, d'abord dans l'intérêt du fisc, qui ne peut songer à se dépouiller au profit de quelques industriels (bien qu'il soit sérieuse- ment question de demander aux industries protégées une compensation équitable de la protection dont elles jouissent sous la forme d'impôts directs, ce qui profiterait à la con- currence étrangère, et ensuite pour éviter des mesures rétorsives de la part des autres Etats et ils sont nombreux, auxquels la République Argentine vend beaucoup plus qu'elle ne leur achète. Ces raisons autorisent donc l'espoir que les droits actuellement en vigueur ne se- ront pas élevés d'une manière sensible dans

l'avenir et que le bouquet des industries « na- tionales » protégées à outrance, ne sera pas augmenté de nouvelles fleurs. La République Argentine aura d'autant moins de raison de suivre une autre ligne de conduite que les re- cettes actuelles des douanes peuvent lui per- mettre — l'expérience le prouve — de satis- faire honnêtement aux exigences de ses cré- anciers.

La loi de douanes actuellement en vigueur prévoit, à l'imitation de ce qui se pratique en France, deux tarifs, un tarif minimum, qui se- rait appliqué aux provenances des pays qui traitent les produits argentins comme ceux de la nation la plus favorisée, et un tarif maxi- mum, qui sortirait ses effets vis-à-vis de tous les autres pays. La Suisse et la République Argentine étant en négociations pour conclure un traité de commerce sur la base du traite- ment respectif de la nation la plus favorisée, on peut considérer comme certain que le tarif maximum ne sera pas appliqué à nos mar- chandises.

E x p o r t a t i o n s e t i m p o r t a t i o n s d e l a Suisse. — D'après la statistique fédérale du commerce, la Suisse à exporté en 1892 dans la République Argentine, des marchandises pour une valeur de fr. 4,445,614. En 1891, le chiffre de nos exportations était tombé à fr.

2,587,947. La différence en faveur de 1892 serait donc de fr. 1,857,667, ou de plus de 75 0/0.

Mais, dans la statistique de 1891, la Répu- blique Argentine est désignée comme pays d'exportation pour une série d'articles d'une valeur totale d'environ fr. 100,000, tandis que cette désignation a été remplacée dans la sta-

tistique de l'an dernier par la rubrique « pays divers ». Il faut donc augmenter d'autant les importations suisses de 1892. Nous aurions ainsi fr. 4,545,614 pour l'exportation totale et fr. 1,957,667 pour l'augmentation.

Cette somme ne représente cependant pas le chiffre réel de nos exportations dans l'Ar- gentine. Toutes nos marchandises — et leur valeur est considérable — qui sont déclassées en Allemagne, en Belgique, en France, en Italie et même en Angleterre, pour être intro- duites ici comme articles allemands, belges français, italiens ou anglais, n'y sont pas com- prises. Je signale cet état de choses, car il me parait regrettable que nous abandonnions une grosse part des bénéfices de notre travail na- tional à des intermédiaires, quand il serait facile de s'en passer. Mais il en a été ainsi dans les années 1889 et 1890 et cependant la statistique fédérale indique que notre com- merce d'exportation dans la République Ar- gentine atteignait, en 1889, fr. 10.700,000 et en 1890, fr. 6,800,000. Nous avons encore à travail- ler jusqu'à ce que nous ayons reconquis ces positions.

L'importation en Suisse des produits argen- tins a augmenté en 1892 dans une forte pro- portion. Voici en quintaux nets, le tableau comparatif des principaux articles importés :

Maïs BIe Tabac brut Laine brute

1891 1892 1891 1892 1891 1892 1891 1892 2,835 48,800 3,378 9,355 170 511 430 5,096

La valeur totale des importations argen- tine était estimée, dans la statistique pour 1891, à fr. 649,434. La statistique pour 1892 ne contient plus cette indication. Selon mes ap- préciations — très approximatives — la va- leur de l'importation argentine de 1892 en Suisse peut être estimée à fr. 2,000,000. Ce qui nous donnerait fr. 6,645,614 comme total du mouvement général du commerce entre la Suisse et la République Argentine en 1892.

Il est cependant évident que les denrées im- portées directement de la République Argen- tine ne représentent non plus qu'une partie des produits de ce pays consommés en Suisse.

Les laines argentines que nos importateurs achètent sur les marchés de Londres, Anvers et Hambourg, le blé argentin qu'ils achètent à Anvers, au Havre, à Marseille, etc., ne figurent pas dans notre statistique. C'est avec plaisir que je vois nos maisons d'importation venir de plus en plus se fournir dans le pays pro- ducteur en préléritant les marchés intermé- diaires. C'est, je crois, dans leur intérêt. II leur sera facile d'entrer en relations sur la place de Buenos-Ayres avec des maisons de premier ordre.

L'examen de nos exportations en Argentine donne lieu aux observations spéciales qui suivent.

Nous avons exporté pour francs 305,090 de chaussures en cuir, fines (fr. 496,693 en 1891.

La diminution s'explique par ce que j'ai dit plus haut du développement extraordinaire pris ici par l'industrie du cuir. Je crois qu'il faut s'attendre à de nouvelles pertes dans ce domaine, grâce surtout au droit de 60 0/0 qui frappe ces articles.

La montre est en reprise. Notre exportation atteint fr. 600,000, supérieure de près de moi- tié à celle de l'an dernier. La statistique ar- gentine indique une importation de montres pour 101,500 dollars or en 1892. On peut ad- mettre que c'est la Suisse qui a fourni à peu près toute cette importation.

La montre suisse a presque monopolisé le marché de Buenos-Ayres ; pour la bonne montre ordinaire, seule la Whatham Watch C"> lui fait quelque concurrence. Dans les pièces de choix, la montre d'or anglaise est encore appréciée à cause de sa cuvette si bien travaillée et si solide.

Les pendules et réveils viennent presque tous d'Allemagne, une partie cependant de J

l'Amérique du Nord. La Forêt-Noire fournit de nombreux coucous.

Le marché de la bijouterie, or et argent, est entre les mains de l'Allemagne (Hanau et Pforzheim). Nous n'importons que pour envi- ron fr. 10,000 de bijouterie au titre et au-des- sous. Pforzheim par son bon marché à com- plètement évincé Paris.

Les pierres précieuses non montées sont presque toutes importées de cette dernière ville. Nous continuons à ne pas importer de boites à musique. Les magasins en ont encore des stocks depuis 1889 et 1890.

(A suhifë.)

Nouvelles diverses

T a r i f s d o u a n i e r s . — On écrit de Berne à la Correspondance politique:

La guerre de tarifs avec la France a été loin d'exercer sur les finances et sur l'indus- trie et le commerce du pays un contre-coup aussi défavorable qu'on le craignait de cer- tains côtés. La Suisse a trouvé de nouveaux débouchés dans Γ Autriche-Hongrie, en Alle­

magne et en Italie et, de leur côté, ces pays ont à enregistrer une forte augmentation de leur exportation en Suisse. Ces résultats favo- rables ne pouvant que s'améliorer à l'avenir, il est permis d'admettre qu'en cas de nouvelles négociations politico-commerciales avec la France, la Suisse se montrera beaucoup plus exigeante que jusqu'ici, avant de rouvrir son marché aux produits français.

Mouvement c o m m e r c i a l en F r a n c e . — Il résulte des chiffres officiels qu'en France, pendant les six premiers mois de l'année cou- rante, les importations se sont élevées à 2,048,552,000 francs et les exportations à francs 1,700,891,000, soit un total de 3,749,443,000 fr pour les transactions extérieures. Comparés à la période correspondante de l'année 1892, les chiffres de 1893 accusent une diminution de 518,039,000 fr. sur les importations et une diminution de 35,475,000 francs sur les expor- tations. Cet écart est relativement considéra- ble. Mais, dira-t-on, l'année 1892 ne peut être regardée comme une année normale : elle a été influencée, au moins pendant les premiers mois, par une augmentation extraordinaire des importations et une baisse des exportations provoquée par l'application des nouveaux ta- rifs. L'année 1891 donne un point de compa- raison plus exact. Or, pendant les six pre- miers mois de cette année les importations se sont élevées à 2,291,989,000 fr. et les exporta- tions à 3,989,092,000 fr. Kn 1890, pendant le six premiers mois, le total des transactions exté- rieures avait atteint 4,076,086,000 francs, dont 1,822,499,000 fr. pour les exportations. Ainsi, comparés à 1890, les résultats de 1893 accusent une diminution totale de 326,643,000 francs, dont 121,608,000 francs sur les exportations.

T a r i f p o s t a l . — Le tarif postal de poche pour la Suisse et l'étranger a été édité de nou- veau pour le 1er juillet 1893. La nouvelle édition a été complétée dans le sens que les taxes et conditions principales concernant les branches de service suivantes y ont été insérées : Jour- naux abonnés dans l'échange interne et avec l'étranger; distribution dans le service interne, des commandements de payer et des commi- nations de faillite; tarif de messagerie pour l'Espagne et le Portugal.

On peut se procurer le tarif de poche au prix de 40 cts., auprès des offices de poste comptables.

Cote de l'argent

du 19 Juillet 1893

I Argent fin en grenailles . . fr. 127»— le kilo

(3)

LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 247

Tableau comparatif

des poinçonnements effectués et des essais faits par les bnreaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent

p e n d a n t le 3m e t r i m e s t r e d e c h a c u n e des a n n é e s Ι8Θ2 et 1893.

Bureaux

Boites de montres poinçonnées Boîtes d'or

1892 1893

Boites d'argent 1892 1893

Total des boîtes

1892 1893

Boîtes payant double taxe, et

bottes refusées au poin- çonnement

Objets de bijouterie et d'orfèvrerie poinçonnés

11)92 1893 1892 1893

Essais de lingots d'or et d'argent

1892 1893

1. Bienne

2. Chaux-de-Fonds . 3. Fleurier

4. Genève

5. Granges (Soleure) 6. Locle

7. Neuohâtel . . . . 8. Noirmont . . . . 9. Porrentruy . . . 10. St-Imier . . . . 11. Schaffhouse . . . 12. Tramelan . . . .

Pièces

2,462 56,244 1,535 4,326 309 13,768 2,276 1 581 285 2,711

Pièces

3,176 84,101 1,936 5,550 215 19,028 2,864 1,197 1 339 4,018

Pièces

85,599 7,395 19,355 12,709 42,219 11,538 4,182 24,930 53,228 40,177 14,669 96,086

Pièces

98,931 11,393 23,909 16,280 53,549 11,361 2,836 27,649 66,495 40,922 14,350 107,316

Pièces

88,061 63,639 20,890 17,035 42,528 25,306 4,182 27,206 53,229 40,758 14,954 98,797 Total .

Plus 1893 . Moins 1893 .

84,498 122,425

37,927 412,087 474,991

62,904 496,585 /o 17,8 12,8 4,2 3,4 8,6 5,1 0,8 5,5 10,7 8,2 3,0 19,9

Pièces

102,107 95,494 25,845 21,830 53,764 30,389 2,836 30,513 67,692 40,923 14,689 111,334 100 597,416 100,831

% 17,1 16,0 4,3 3,7 9,0 5,1 0,5 5,1 11,4 6,9 2,3 18,6

Pièces

35 348 5 13 87 49 24 72 62 48 12 206

Pièces

1,122 356 27 16 60 182 180 144 222 379

Pièces 1,397 146 7 1,992 12 21

4,707

100

20,3 961 2,688 1,727

8,282 16,8 /o

1,7 0,1 24,1 0,2 0,3

56,8 100

Pièces

2,007 160 1 1,904 37 1

4,130 8,240 42

24,4 /o

1,9 23,1 0,5

50,1 Nombre

439 1,783

163 40 142 156 92 52 113 145 71 131 100

0,5 3,327

0I Io 13,2 53,7 4,9 1,2 4,3 4.7 2,8 1,5 3,4 4,3 2,1 3,9 100

Nombre 574 2,207 165 16 146 170 48 100 181 169 53 158 3,987 100

660 19,9 la 14,4 55,5 4,1 0,4 3,7 4,3 1,2 2,5 4,5 4,2 1,3 3,9

Berne, le 13 juillet 1893. D é p a r t e m e n t f é d é r a l d e s a f f a i r e s é t r a n g è r e s , Bureau fédéral des matières d'or et d'argent

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