A NNALI DELLA
S CUOLA N ORMALE S UPERIORE DI P ISA Classe di Scienze
G EORGE D. B IRKHOFF
Sur le problème restreint des trois corps (second mémoire)
Annali della Scuola Normale Superiore di Pisa, Classe di Scienze 2
esérie, tome 5, n
o1 (1936), p. 9-50
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(SECOND MÉMOIRE)
par GEORGE D. BIRKHOFF
(Cambridge, Mass.).
II.
Partie qualitative.
1.
Quelques préliminaires.
Représentons
la surface de sectionSz
dans leplan ordinaire,
parexemple
enemployant Q+const.,
et 0 comme coordonnéespolaires
de ceplan.
AinsiSz
devientune
region
limitée par deux cerclesconcentriques é = é’
et9==,o".
Lespoints
8= 0de cette
région représente
des états du mouvement où la courbecorrespondante
traverse l’axe des x à
angle
droit dans le sens direct ourétrograde,
mais à ladroite de J
(voir
lafig. 1).
Ces deux séries d’étatsqui
coïncident àl’origine
c’est-à-dire au
point O=8=0
de~’2
constituent uneseule série
analytique.
Nousdésignerons
laligne correspondante
par où aet #
sontsitués
respectivement
sur la courbeLi
et surla courbe
L2 (voir
lafig. 4).
De la même manière la
ligne yô
pourlaquelle
0==ncorrespondra
à la seule séried’états du mouvement où la courbe traverse l’axe des x à
angle
droit mais à lagauche
de J.
Il existe aussi une autre série
analogue
àap correspondant
à despoints
de~93 qui
ne sont pas situés surSz quoiqu’ils soient,
au moins enpartie,
situés sursa continuation
analytique.
Cette sériecomprend
l’état de vitesse nulle à la droite de J. Les deux séries constituent une courbeanalytique
fermée dans~‘3,
à savoirles
points q=p’~0
en les coordonnéesrégularisantes
p,q, p’, q’.
Semblablement il existe aussi une autre sérieanalogue
àj>ò
en dehors deS2.
Soit la
ligne de S2
danslaquelle
lestrajectoires qui
sortent de la série despoints
associés àa~
traversentS2
pour lapremière
foisaprès
letemps
z.La
ligne symétriquement
située sera alors laligne
danslaquelle
les mêmes(1)
Sur le rest1.eint des trois corps. Premier mémoire. Annali della R. Scuola Normale Superiore di Pisa, s. II, vol. IV, pp. 267-306.trajectoires
traversentS2
pour lapremière
fois à untemps
z antérieur. Il ne faut oublier ni lasignification géométrique
deSz,
ni lasymétrie
deSz
et des courbes auxiliairesLi*
etLz*
de mouvement.Mais on a évidemment les relations
T(a’~’) = a"~B"
et(2),
d’oùil s’ensuit que
U(a’~’) = a’~’,
c’est-à-dire que constitue la moitié de l’axe de la transformation involutiveU, chaque point
de étant unpoint
fixe de ~7.L’autre moitié de cet axe est la
ligne analogue r’b’.
Semblablement leslignes
et
7"ô"
constituent l’axeanalogue
de la transformation involutive U= R UR où T=UR.
Il est évident que toutes les sixlignes a’~’,
doivent être entièrement distinctes.
Si l’on faisait une déformation convenable du
plan
onpourrait regarder
U commeune réflexion ordinaire par
rapport
à l’axer’Ó’.
On voit doncpourquoi
lesdeux courbes
y~
et les courbesa’ (3’, 7’ô’ jouent
des rôles tout à faitanalogues.
Nous savons aussi que pour on a
où le dernier terme à droite est
toujours plus petit
que n en valeurabsolue,
etpetit
en mêmetemps
que ~,. Donc la transformation RT= U devientPar
conséquent
leséquations
dea’ (3’
et7’ô’
pour/~==0
sontrespectivement
Donc ces
lignes
se trouventtoujours respectivement
au-dessus de l’axe 9=0 et au-dessous de cet axe, aveca’P’, près
de 0=0 et7’ô’, 7"Ô" près
de 8=npour petit (voir
lafig. 4).
De
plus,
laquantité
où areprésente
ledemi-grand
axe del’ellipse
dumouvement,
croîtquand
unpoint parcourt a#
de a à~.
Donc leslignes a~
etyô
seront tournées par T vers la droite de la direction
radiale ;
évidemment laligne
transformée par T de toute
ligne
radiale sera aussi tournée vers la droite(3).
De lamême manière on voit que les
images
de touteligne
radiale par la transformation inverse seront tournées vers lagauche
de la direction radiale. Cettepropriété qualitative
de la transformation des directions restera valable même pour à1assez
petit.
En effet la transformation de(e, 0)
en(01, 01)
resteanalytique
mêmepour
(O, 9)
un peu à l’extérieur deLi
et deL2.
Donc lesimages
deslignes
ra-diales varieront
analytiquement
avec /~ même en dehors deS~ .
(2 )
Nous avons vu que T = RU, où R est une réflexion ordinaireen 0==0,
et U estinvolutive.
(v)
VoirIII,
sections 42-46.Il est évident que les transformations
composées Te,
pourk=1, 2, 3,....,
fonttourner les directions radiales vers la droite et que les transformations inverses
T--le
font tourner les directions radiales vers lagauche.
De
plus,
si P est unpoint
dea’~’
où de7’ò’,
donc tel queU(P) = P,
et si l’onécrit
Tlc=RU(k)
où k estimpair
etpositif,
on auraPar
conséquent
l’axe de la transformation involutivepour k impair
etpositif
est la(k -1) /2ième image
de7’ô’
par T-1.De la même manière si P est un
point
dea#
ou de7b,
donc tel queR(P) = P,
on aura
pour pair
etpositif
Par
conséquent
l’axe depour k pair
estcomposé
desk/2ièmes images
deafl
et
7ò
par T-’.2. -
Hypothèse
de la transitivité ordinaire.Il semble être presque certain que le
problème
restreint des trois corps est transitif pour /~positif
et suffisamentpetit, quoiqu’on
n’ait pas pu en faire ladémonstration;
à vrai dire leproblème beaucoup plus simple
de la stabilité perma- nente auvoisinage
d’un mouvementpériodique elliptique (stable)
n’a pas été ré-solu, malgré
lesplus grands
efforts desgéomètres.
Nous allons maintenant introduire
l’hypothèse
de latransitivité
ordinaire de T et de sespuissances :
Etantdonnés,
pour etpetit,
deuxpoints quelcon-
ques P et
Q
de la surface de sectionS2,
et deuxvoisinages
arbitrairementpetits
de ces
points,
onpeut
trouver dans cesvoisinages respectifs,
despoints
P’ etQ’
tels que P’ soit transformé en
Q’
par unepuissance
convenable deT~ (k =-- 1, 2,....),
où l’entier k est arbitraire et donné d’avance.
Une
conséquence
immédiate de cettehypothèse
est que lespoints
fixes de71 T2,....
sont
toujours
isolés. Autrement il y aurait une courbeanalytique
despoints
in-variants par
rapport
à une certainepuissance T~
de T. Si cette courbe se trouvaitcomplètement
à l’intérieur de elle diviseraitSz
en desparties
invariantes parTk,
et l’on voit queT~~
nepourrait
pas être transitive. De la même manière si la courbe despoints
fixes sort deS2,
elle doit sortir un nombrepair
defois ; mais,
commeauparavant,
cette courbe nepeut
pas diviser82
en deuxparties
distinctes. Donc la seule
possibilité
est que la courbe s’étend deLi
àL2
sans avoiraucun
point multiple.
Mais selon lasymétrie
connue deTk
parrapport
àl’ image
de cette courbe parrapport
à 0=0 est forméeégalement
depoints
fixespar
rapport
àTk.
Ainsi les deux courbesdiviseraient S
en desparties invariantes,
àmoins que ces deux courbes
symétriques
ne se réduisent à laligne
0-0 ou àMais en ce cas tous les
points
dea~B
ou deyÔ
seraient fixes pourTk,
cequi
est
impossible puisque Tk
tourne les directions radiales vers ladroite.
3. - Classification des mouvelnents
périodiques symétriques.
Toute courbe
périodique symétrique
doit couper l’axe des x dans leplan des x, y,
deux fois et deux fois seulement à
angle
droit. En effet choisissons deuxpoints symétriques
de cette courbe. En faisant croître 03C4 à l’un de cespoints
et décroitreà
l’autre,
on obtient deux arcssymétriques. À
un certain moment ces arcs seréuniront en un
point
de croisement àangle
droit. En faisant croîtredavantage
zon obtient nécessairement en une
demi-période
un autrepoint
de la mêmeespèce.
D’autre
part
un arc terminé en deuxpoints adjacents
de cetteespèce joint
à sonimage symétrique
parrapport
à l’axe des x doit constituer une courbecomplète
de mouvement.
À
cepoint
de vue il y a dix classespossibles
de tels mouvementspériodiques symétriques
selon lestypes
des deux croisements que nous divisons enquatre catégories
de la manière suivante :Les classes d’une de ces
quatres catégories (aa), (ab), (aa’), (ab’)
admettent évi-demment la même
espèce d’analyse mathématique.
Parexemple,
on trouve dansla
première catégorie
tous les mouvementspériodiques symétriques
dont les deux croisements àangle
droitappartiennent
à une seule sériea’~’, yÔ,
Ces
points
de croisement doivent varieranalytiquement
avec je lelong
deslignes
desymétrie correspondantes.
Ils nepeuvent
pasdisparaître
sauf enpassant
par
Li
ou parL2,
ou en coïncidant avec un autrepoint
du mêmetype.
Pendant une telle variation de àl les deux entiers
caractéristiques
nepeuvent
pas
changer
sauf momentanément aux instants de coïncidencequand
le mouvementdégénère
en un mouvementpris m fois,
etquand k
et 1 sontremplacés
park/z
et
1/x respectivement.
Eneffet, pendant
cette variation toute relationanalytique identique
de la forme0) == (e, 0 + 21n)
doit subsister indéfiniment.L’indice
(4)
d’unpoint
fixe P deT~~
nepeut
paschanger
sauf aux moments~
(4)
En faisant circuler autour de P dans le sens positif un point Q dans le voisinuge, levecteur Q - - T- (Q)
tourne d’un angle 2in, où i est l’indice susdit. Un examendétaillé,
dansle cas d’une transformation qui conserve les
aires,
montre que l’indice sera 1, 0, ou unentier
négatif;
et que l’indice détermine engrande
partie le caractère du mouvement (stableou instable, etc.). L’étude des indices dans
quelques
cas simples a été faite par POINCaftÉ.La discussion la plus
générale
du cas d’unpoint
fixe isolé se trouve dans mes Mémoires IIIde
coïncidence
avec d’autrespoints
fixes de Une condition nécessaire d’un telchangement
est que la somme des indices reste la même avant etaprès
le momentde coïncidence.
Par
exemple
considérons lapossibilité
laplus simple
c’est-à-direquand
seu-lement deux
points
fixessimples Pi
etP2
se confondent etdisparaissent. Puisqu’il n’y
a pas depoints
fixesaprès
lacoïncidence,
l’indice total avant cette coïnci- dence doit être nul. Donc les indices avant la coïncidence sont 1 et -1respecti-
vement ou bien ils sont nuls tous les deux. Mais la seconde
possibilité peut
seprésenter
seulement auxpoints
fixesmultiples.
Onpourrait s’imaginer que Pl
soithyperbolique
avecéchange
des branchesasymptotiques
encycles
de 1(1+-l) puisque
l’indice est alors 1. Mais dans ce cas les racinescaractéristiques
réci-proques seraient
identiquement
des racineslièmes de 1,
même en coïncidence. Cela n’est paspossible, puisque
l’indice de est0,
tandisqu’à
unpoint
avecde telles racines
caractéristiques
l’indice est 1toujours.
Donc le seul cas
possible
est celui desindices + 1
et -1. Lepoint P2
de l’indice -1 doit êtrehyperbolique
et instable avecquatre
branches invariantes aboutissant à cepoint.
Cesbranches sont
groupées
ana-lytiquement
en descouples.
L’autre
point Pi
avec l’indice1 doit être
elliptique
et stable.La
figure
à droite éclaircirace cas. Les courbes en
poin-
tillés autour de
Pi représentent
une famille de courbes presque invariantesqui
l’entourent. Le cas limite de coïncidence se trouve à la droite de la
figure;
eneffet pour le
point
fixe a un indice nul et doit avoir deux branches asym-ptotiques
aboutissant à cepoint.
Ces branches sontreprésentées
par une même série formelle(5).
Elles forment engénéral
unpoint
de rebroussement àl’origine.
Il y a donc dans ce cas deux mouvements
périodiques,
l’unelliptique (stable),
l’autre
hyperbolique (instable)
avecquatre
branchesasymptotiques aboutissantes, qui
coïncident en un mouvementhyperbolique
avec deux branches aboutissantes avant dedisparaître.
Nous allons
appeler
dans cequi
suit« primaires »
les mouvementspériodiques
dont les entiers
caractéristiques k
et 1 n’ont pas de facteur commun ; « secon- daires » si lc et 1 admettent seulement le facteur 2 en commun ; « tertiaires »et IV. Le cas d’une
dégénérescence
extrême en des courbesanalytiques
des pointsfixes,
quin’entre pas ici à cause de la transitivité
supposée,
reste encore à être étudié.(5)
Si cette série converge les deux branches ne forment qu’une seule branche analy- tique qui passe par le point; autrement les deux branches sontanalytiques
sauf au but oùelles sont « hypercontinues ». Voir III, section 35.
s’ils admettent le facteur
3;
et ainsi desuite,
les mouvements de lasième espèce
étant ceux pour
lesquels
les entierscaractéristiques k
et 1 admettentprécisement
le facteur commun s.
Remarquons
que pour tous les mouvementspériodiques
sontprimaires.
En effet si
Tk(o, 0) =-- (9, 0+21n)
et si k et 1 admettent le facteur commun qavec
k= qkl,
on aura aussiTkl(O, 8) _ (o, e+2li7l).
Il est évident quek, et Il
seront les entierscaractéristiques
de ce mouvementpériodique
pourEn
général
si l’on aTk(9, 0) = (e, e + 2ln)
lerapport 21nlk indique (quelque
soit
,u)
l’avanceangulaire
moyenne dupoint périodique (~, 0)
par l’itération ré-pétée
de T. Donc les entierscaractéristiques ki, li
nepeuvent
être que des sous-multiples égaux de k, 1,
avec4/ki=1/k.
4. - Une condition nécessaire pour l’existence des mouvements
périodiques.
Une condition
nécessaire
pour que des mouvementspériodiques, symé- triques
ou non, avec desentiers caractéristiques k,
1puissent
exister est que l’on aitoù a’ et u"
désignent
les deux coefficients de rotation lelorzg
deL2
etde
Li respectivement.
Pour démontrer ce
fait,
remarquons que laligne Tm(af3)
parexemple (m == 1, 2, 3, .... )
aura unpoint a~"~~~
surL1 qui
s’avance avec une vitesseangulaire
moyenne a"
quand
la transformation T est indéfinimentrépétée;
d’autrepart
lavitesse moyenne de
f3(m)
sera 6’.Remarquons
aussi quepuisque
toute courbe est tournée vers la droite de la directionradiale,
les
points
et doivent êtrerespectivement
le
plus
à la droite et leplus
à lagauche
en sensangulaire
de tous lespoints
de(voir
lafig. 6).
Parconséquent
on auraa’ > 6" (6).
D’autrepart
la vitesseangulaire
moyenne d’unpoint pé- riodique
P deafl
est21n/k.
Donc on doit avoir lesinégalités
énoncées pour un telpoint périodique
P.En
partant
de laligne
radialequi
lecontient,
on démontre
analoguement
lesinégalités énoncées,
pour tout autrepoint pério- dique.
Le cas où G’ ou 7" est celui où il existe un coefficient de rotation com-
mensurable avec le
long
deL,
ou deLi respectivement.
Pour une telle valeurun mouvement
périodique
vient à coïncider avecL,,
ouLi respectivement.
~
(~)
Voir III, section 46.5. - Les mouvements
périodiques symétriques primaires.
Étudions
maintenant les mouvementspériodiques symétriques primaires.
Noussupposerons que la condition nécessaire se trouve satisfaite.
Il
n’existe jamais
de mouvementspériodiques symétriques primaires
de la
première catégorie (aa).
Évidemment
le raisonnement sera le même pour tous lesquatre types
de cettecatégorie.
Considérons letype (afJ,
parexemple.
S’il existe un tel mouvement
primaire,
soient k et 1(sans
facteurcommun)
les deux entiers
caractéristiques
pour un telpoint (~, 0)
de Nous aurons doncpar
hypothèse.
Mais il y a aussi un autrepoint (~ 0)
dea~8
dans la série despoints
transformés parT,..,., Tk- i.
Soit(e, 0)
cepoint
avecIl s’ensuit maintenant de la
symétrie
que l’on doit avoir aussiEn combinant ces
relations,
on obtientPar
conséquent
on conclut quek=2k’, l=2l’,
cequi
estimpossible puisque
ket l n’ont aucun facteur en commun.
Démontrons maintenant les faits suivants concernant les mouvements
pério- diques
des autrescatégories (ab), (aa’), (ab’).
Si la condition
nécessaire
estsatisfaite
il existera un nombre de mouvementspériodiques symétriques primaires
dechaque type
desrespectives catégories: (ab)
si k estpair
et l est(aa)
si k estirnpair
et l estpair ;
si k et 1 sontimpairs.
Ces mouvements
primaires
varierontanalytiquement
avec ,ce etpeuvent
seulement ou
disparaître
à lacoïncidence
de deux mouvementsprimaires
de la mêmeespèce plus généralement, à
la coïncidence nombrepair
de tels mouvements.Supposons
enpremier
lieu que k soitpair
et que 1 soitimpair.
Nous pouvons supposer iciqu’un
des croisements àangle
droitcorrespond
à unpoint (p, 0)
dea/3.
k le
Par la définition de k et l nous aurons
Tk(g, 0)
=(e, 21n)
d’oùT2(e, 0)
=T 2(0,
k k k
Mais la
symétrie
des transformationsT2
etT 2
nous montre queT2(p@ 0)
le
et
T-2(e,0)
doivent être despoints symétriques
parrapport
à 8=0. Il en résulteainsi que ces
points
se trouvent sur 9 = 0 ou0=n,
etqu’ils
coïncidentgéomé-
.
k k
triquement. Nous
pouvons donc écrireT2(e, 0) = (~,
et T 2(e, 0) = (~O, Ainsi,
encomparant,
nous obtenons À=1.Puisque 1
estimpair
lepoint (Q, hc)
se trouve sur la
ligne
Parconséquent, quand k
estpair
et 1 estimpair,
un mouvement
correspondant primaire
doit être de lacatégorie (ab).
Supposons
maintenantque k
soitimpair
etque 1
soitpair. Supposons aussi,
par
exemple, qu’un
des croisements àangle
droitcorresponde
à unpoint (g, 0)
de Nous aurons donc
Tl~(O, o) - (o, 2ln).
Considérons maintenant lespoints
k-1
_
symétriques T 2 (p, 0)
et T 2(e, 0)
que nousappellons Q
etQ.
Evidemmentnous avons
Q = T(Q)
en mêmetemps
queQ = R(Q).
Parconséquent
nousavons
U( Q) = Q.
Donc lepoint Q
se trouve sur laligne a’~’
ou sur laligne y’ô’.
Soit
(~o, 9 ~ 2~,~)
cepoint
où00yr
siQ
se trouve sura’#’
etoù -,-r 0 0
si le
point Q
se trouve sury’ô’.
Nous avons alorsMais si nous supposons que R est la réflexion en
8=0,
et si ensuite nousdéfinissons nous trouvons dans le
premier
cas007r
puisque U
laisse lespoints
de03B103B2 invariants.
Parcomparaison
nous concluonsque
Â==1/2,
cequi
estpossible puisque
1 estpair
selon notrehypothèse.
Dansle second cas nous trouvons
puisque,
pour lespoints (~O, 0)
dey’b’,
on a0) = (e, 0+2n).
Parcomparaison
il résulte
l’égalité ~==(~-}-1)/2~
cequi
contredirait notrehypothèse.
Donc le mou-vement doit être dans ce cas de la
catégorie (aa’).
Évidemment
si k et 1 sontimpairs
tout mouvementprimaire
doit être de lacatégorie (ab’)
selon ce même raisonnement.Il reste à démontrer que ces mouvements
primaires
sont en nombreimpair
et varient
analytiquement
avec ,u de la manière énoncée. Pour le faire voir dans lepremier
cas nous raisonnerons de la manière suivante.k
Puisque
la courbe est tournée vers la droite de la directionradiale,
elle
coupera 03B303B4 (0=In)
en un nombreimpair
depoints
ou elle ne la couperak
en aucun
point.
Mais cette secondepossibilité
n’a pas lieu. AutrementT
ne
couperait
pas 0= - In. Souvenons-nous maintenant de lasymétrie
de ces deuxcourbes par
rapport
à 8=0 et du fait que la rotationangulaire
relative aux/kB
’
points a 2
et est mesurée par et auxpoints 03B2(-k/2) et fl 2 jkj
’ ’
k
par
ka".
En faisant aller lepoint 0)
dea
lelong
de et en’
(-k x’
’
’
2
’même
temps
lepoint symétrique (9, -8)
dea
2à P k)
on voitqu’on
aura0=In un nombre
impair
de fois. Ce sontprécisement
lespoints primaires
dutype (afJ, rb),
dont il estquestion.
Evidemment ces
points
varieront avec panalytiquement
de la manière énoncée.Les deux autres cas se traitent d’une
façon analogue.
6. - Les mouvements
périodiques symétriques
secondaires.Nous avons vu
qu’il
n’existe pas de mouvementspériodiques symétriques pri-
maires de la
première catégorie.
En revanche nous allons démontrerqu’ il n’existe jamais
de mouvementsp6riodiqîtes symétriques
secondaires sauf de lapremière catégorie.
Pour commencer, supposons
qu’il
y ait un mouvementpériodique symétrique
de la deuxième
catégorie,
parexemple
dutype qui
est secondaire. Nous pouvons poser alorsk=2ki, l=2li où ki et 1,
sont sans facteur commun. Deplus
nous devons avoiroù
k’ +k" =k=2ki
et où l estimpair.
En effet il y a un état de croisement àangle
droit aupoint (~ 0)
deau ; puis, après k’ -1
intersections avec la surface de sectionS2,
il y a un autrepoint
de croisement àangle
droit aupoint (ê, ~,~)
de
yÔ; puis après
k" -1 autresintersections,
lepoint
de latrajectoire
revientà
(e,
De
plus,
on a0) = (~, - Â,-r)
à cause de lasymétrie,
doncPuisque
le mouvement est secondaire il s’ensuit que k’ =k"=k1, À=2li.
Mais Àétait
impair
selon notrehypothèse.
Si nous avions commencé en
supposant
que le mouvement considéré était de la troisièmecatégorie (aa’),
parexemple
dutype
nous raisonnerions d’une manièreanalogue.
Ici nous devons avoiroù
(~0)
est unpoint
dea’p’
avec00j-T
et où Mais selonla
première équation
on a7’~(~0)==(~2013ë20132~)=~(~020132~) puisque T(~, 8) _ .~ U(~o, 8) _ (~, -0).
Donc on obtient7~+~0)==(~4~).
On en con-elurait que
2k’+1==2k,, ~==2/~
cequi
est absurde.Annali della Scuola Norm. S’up, - Pisa. 2
De la même manière la
possibilité
que le mouvement secondaire soit de la caté-gorie (ab’)
doit être exclue.Il reste à considérer la
possibilité
des mouvementspériodiques symétriques
secondaires de la
première catégorie,
parexemple
dutype (a~, a~).
Dans ce casnous aurons
avec
k’ +k" =k=2ki.
Enemployant
lasymétrie,
commeauparavant,
nous obte-nons
T-k(9@ 0) == (ê, - 2Ân),
doncTzn’(o, 0) == (e, 4Ân),
et ainsik’=-- k " =-= ki, À = 4 .
Ces
équations
deviennent alorspuisque
le mouvement est secondaire.Mais la deuxième
équation
résulte de lapremière
et de lasymétrie
de T. Eneffet nous obtenons
T-kl(e, 0) == (é,
-2lin),
cequi équivaut
à la deuxièmeéquation.
Donc la seule
équation T7cl(e, 0) = (è,
donne ces mouvements se-condaires.
Ainsi on voit que les intersections de avec
a~ (0=2Gn)
donnent lespoints
secondaires rattachés à2ki, 21,,
ou bien lespoints primaires
rattachés àL1
suivant que
e=Fe ou 9.
Tous lespoints
pourlequels
on ae=e
seront néces- sairementprimaires
avec des entierscaractéristiques k1
etli.
Cespoints
existeronttoujours
en nombreimpair
si la condition nécessaire se trouvesatisfaite,
commenous avons vu. Les autres
points
sontgroupés
en descouples (p, 0), (~, 0), chaque couple correspondant
à un mouvement secondaire.Supposons
que ài croît àpartir
de#=0. Pour 03BC
trèspetit
il n’existera aucunpoint périodique symétrique
secondaire dutype (a~,
avec les entiers carac-téristiques (2ki’ 2li).
En effet eta#
secroisent,
pourà1=0
et mêmepour li assez
petit,
une seule fois auplus
en unpoint primaire.
Comment
peuvent
s’introduire les autrespoints
de croisement deavec
a~ qui correspondent
à despoints
secondaires dutype (afJ, appartenant
aux entiers
caractéristiques (2ki, 2/J?
Nousallons voir que cela
peut
arriver de deuxmanières assez différentes.
Au moment
quand
de nouveauxpoints
de cetteespèce
s’introduisent ou de telspoints disparaissent,
la courbeTkl( af3)
devient
tangente
àa~3
auxpoints
de coïnci- dencecorrespondants.
Considérons le voisi- nage d’un telpoint.
Supposons
enpremier
lieu que cepoint P
n’est pas unpoint primaire (voir
lafig. 7),
donc il est secondaireL’image
deafJ
parT-k1
occupera uneposition symétrique
parrapport
à
a~ (voir
le traitpointillé
de lafig. 7).
Il y a ici deux cas selon que coupe
a(3
ou ne la coupe pas aupoint
P.Si
Tkl( a(3)
ne la coupe pas, il y a un contact double dans le cas« général » (7).
Evidemment à ce moment il ne
peut
seproduire
quel’apparition
ou ladispa-
rition de deux
points simples
de cetteespèce.
Mais alors il y a un autrepoint
Pde
a~ qui appartient
au même groupe depoints
oùP=Tkl(P) (voir
lafig. 7).
La transformation
T-k1 change Tkl( a(3)
en eta,~
enqui
estl’image symétrique
de Donc il y a aussi en P unpoint
double de la mêmeespèce
que celui en P.
Examinons les indices dans ce cas. Si u et v sont des coordonnées
symétriques
dans
S2 qui
s’évanouissent aupoint
fixe P deT2kl,
la transformation correspon- dantepeut
être écrite dans la formeoù ad-bc=1
(voir l’équation (33), partie I).
Mais l’axe despeut
êtretransformé en une courbe
tangente
avec contactdouble,
seulement dans le casoù c=0 et où le
coefficient 9
de U2 dans la série de v n’est pas nul. Il s’ensuit que la transformation doit avoir la formeplus spéciale
D’autre
part
à cause de lasymétrie
deT2k1
et de la transformation de(u, v)
en
(~, v)
doit êtreidentique
à la transformation de(Û, -v)
en-v)
c’est-à-direPar
conséquent
on doit avoira=*1.
Dans le cas ~_ -1 on doit avoirg=0,
ce cas est donc inadmissible et l’on a a =1. Il résulte aussi
qu’on
doit avoir2f= bg.
Donc la transformation
T2ki
en de telles coordonnées sera de la formeMais on aura alors
Le vecteur
correspondant (u, v) - (~, v)
aura presque la même direction que celui défini par(’)
C’est le seul cas que nous considéronsici,
afin d’éviter des complications inutiles.Tous les instruments analytiques nécessaires dans le cas vraiment
général
sontdéveloppés
dans mon Mémoire III.
Les courbes
intégrales
de cetteéquation
différentielle sont .Donc
l’indice correspondant
doit être 0.Par
conséquent
dans ce cas l’un des nouveauxpoints
secondaires aura l’in- dice 1. Les racinesréciproques
del’équation caractéristique
sont alorsimaginaires.
près
de1,
et de module1, puisque
les termes linéaires dans les séries varient d’unefaçon
continue avec à1. L’autre de cespoints
aura l’indice-1,
avec desracines
caractéristiques
réellesréciproques près
de 1. Lepremier point
estellip- tique
et engénéral
dutype
stable. L’autrepoint
esthyperbolique
et instable avecquatre
branchesasymptotiques
aboutissant à cepoint.
Il reste à considérer le cas où la courbe
Tkl( afJ)
devienttangente
àa~
enun
point P
dea~ qui
estprimaire
et dutype (afJ, yÔ)
ou d’un destypes a’~3’), (afJ, y’ô’)
selon quek1
estpair
ouimpair.
Nous allons traiter le casde kt pair.
Le cas
de kt impair
est tout à faitanalogue.
Remarquons
enpremier
lieu que dans ce cas l’ordre de contact aupoint
Pdoit être au moins trois. En effet supposons que l’ordre de contact soit deux.
Selon le raisonnement de
plus
haut la forme de la transformationTk1
sera la même que celle deT2kl;
et les deux directions destangentes
menées en P coïnciderontavec celle de l’axe
positif (voir
lafig. 8).
Donc si deuxpoints P2 apparaissent (voir
lafig. 8),
ils nepeuvent
pas êtreéchangés
entre eux par la transfor- mation Ici on aurait toutsimplement
deux nouveauxpoints primaires ;
nousn’avons
aucun besoin depoursuivre
l’étude de ce cas.Nous avons donc à considérer maintenant le cas de contact du troisième
ordre,
où les deux courbes se croisent.
Mais,
selon la mêmeanalyse
des séries pour le cas a=1 nepeut
pas sepresenter
ici. Autrement les nouveauxpoints
seraientencore
primaires.
Ainsi nous obtenons nécessairement pourTki, en P,
la formeet la
fig.
9 est cellecorrespondante.
On voit ici que~’~
etP2
sontéchangés
entre eux par tandis que le
point
P entrePl
etP2
doit être transformé enlui-même.
Donc nous aurons le
point primaire simple P
dutype y~) qui
varie ana-lytiquement
et deuxpoints
secondaires dutype af3)
dans levoisinage.
L’in-dice des deux
points
de ce nouveau groupe est+ 1
et lespoints peuvent
êtrestables ou directement instables.
Je dis
qu’en
mêmetemps
il y a un contact de troisième ordre deTkl(yô) avec ra
aupoint P
deyô
associé àP. À
vraidire,
la forme de la transformationTk1
est la même aupoint
associé Pqu’au point P,
au moins parrapport
aux axes convenables à P. Enparticulier
les racinescaractéristiques
sont toutes deuxégales
à -1. En
prenant
en P des coordonnéessymétriques analogues
et en nous sou-venant du fait que
Tk1
renverse toutes les directions aupoint P
aussi bienqu’au point P,
il nous devient évident que doit avoir la formePar
conséquent
lakiième image de 7ô
aura un contact du deuxième ordre aumoins avec
yÔ.
Mais si l’ordre de contact était seulementdeux,
les courbeset
T-kl(yb) (qui
estl’image symétrique
de auraient aussi un contactdirect de cet ordre et il y aurait deux
points primaires
dutype (a~, yô)
dans levoisinage,
cequi
estimpossible
dans le cas que nous considérons.Donc selon notre
hypothèse
il y a un contact de troisième ordre aupoint P
aussi bien
qu’au point
P. Parconséquent
au même moment ilapparaîtra
deuxmouvements
périodiques symétriques
secondairesappartenant
à2ki, 2l1,
dans levoisinage
du mouvementprimaire
dutype yb).
Ces mouvements secondaires sont des deuxtypes
et(yb, y8)
de lapremière catégorie.
Si
ks
estimpair,
ouy’ b’
doitremplacer 03B303B4
dans ceraisonnement,
suivantque
li
estpair
ouimpair.
Pour étendre ce raisonnement au cas le
plus général
nous aurions besoin dela théorie des
points
fixes lesplus compliqués.
Le fait essentiel dontdépend
leraisonnement est
qu’il
y a unesymétrie complète
parrapport
àap, yô
et àen des coordonnées convenables.
Les mouvements
périodiques symétriques
secondaires de lapremière catégorie peuvent apparaître
oudisparaître
endes couples
du mêmetype
ou même de deux
types
différents. Cette dernièrepossibilité
aura lieu engénéral quand
ilsparaissent
oudisparaissent
dans levoisinage
inimécliatd’un mouvement
primaire ayant
le mêmerapport caractéristique,
autourduquel
ils circulent deux foispendant
unepériode.
7. - Les mouvements
périodiques sy métriques tertiaires,
etc.Les mêmes raisonnements nous conduisent aux résultats
analogues
concernantles
espèces plus
élévées :Soient k=ski
et(s > 1)
des entierscaractéristiques
donnés oick,
et
li
sont sans facteur commun.Quand
s estimpair,
tout mouvementpériodique symétrique
de lasième espèce
avec ces entierscaractéristiques
sera des
catégories respectives (ab), (aa’)
ou(ab’)
suivantqu’on
aki pair
et
li impair, ki impair
etli pair
ouk,
etli impairs. Quand
s estpair
tout mouvement
périodique symétrique correspondant
doit être de la pre- mièrecatégorie (aa).
De tels mouvements de la
sième espèce peuvent apparaître
oudispa-
raître en des
couples
du mêmetype
pour s Pour spair
ilspeuvent, apparaître
oudisparaître
de cettemanière,
ou même les deux mouvementsqui
coïncidentpeuvent
être de deuxtypes
différents de lapremière
caté-gorie.
8. -
Remarque
sur les interrelations des mouvementssymétriques.
Si l’on voulait aller
plus
loin encore avecl’analyse
des mouvementssymé- triques
onpourrait regarder
l’entrelacement desimages
deafl, yô, a’fl’, y’b’
avec
a(3, yô, a’p’, r’ b’
comme uneespèce
desymbole complet
pourl’arrangement
relatif des mouve-ments
périodiques.
Parexemple
le
symbole partiel
àgauche,
oùn’ont pas de facteur com-
mun, et sont tous les deux im-
pairs, indique
l’existence d’un seul mouvementpériodique symétri-
que
primaire
dutype (c~8, yô)
avec des entiers
caractéristiques 2ks,
Cecicorrespondrait
aupoint
P. Il existerait aussi un seul mouvement secon-daire du
type
avec des entierscaractéristiques 4k,,
aveclequel
doitêtre associé un autre mouvement secondaire du
type yô).
Ce mouvement dutype (aj3, correspond
auxpoints P2
dusymbole partiel.
Nous
n’allons
pas pousserplus
loin l’étude de cetteespèce
desymbolisme, qui jouit
de nombreusespropriétés
inté-ressantes. Par
exemple,
à cause du faitque les
images
dea~
ety~
parT, T2,...,, sont toujours
« tournées vers ladroite »,
lesymbole partiel indiqué
estessentiellement le seul
qui
soitpossible
dans le cas de trois croisements de
a
par
T2kl( a(3).
Ainsi ils’ensuit
que le mouvementsymétrique
secondaire dutype (afJ,
donne lieu à deux croi- sements àangle
droit avec l’axedes x,
l’un à droite
(e plus grand)
et l’autreà
gauche (e plus petit)
du croisement du mouvementpériodique symétrique pri-
maire
(voir
lafig. 11).
9. - Coïncidence des mouvements
symétriques
avecLi
ouL2.
Jusqu’ici
nous n’avons pas considéré le cas =0’ oua",
où tous les mou-vements
périodiques symétriques
aveck/1=ki/1*
viennent à coincider avecLi
ou
L2,
etpuis disparaître.
Il ne faut pas oublier que la transformation T setrouve définie même un peu en dehors de
Li
etL2.
Il est à remarquer iei que pour par
exemple,
a, y,a’
ety’
seronttransformés en a, y, a’ et
y’ respectivement
parTkl.
En effet supposons parexemple
que
ki
soitpair
etIl impair.
Il existerajusqu’au
moment de coïncidence deux mouvementssymétriques primaires,
l’un detype (afJ, yô),
l’autre detype (a’~’, r’ c5’),
rattachés aux entiers
caractéristiques ki, li . Donc a, y, a’, y’
seront despoints
fixes de dans ce cas. Les autres cas
peuvent
être traités d’une manière ana-logue
enemployant
nos résultatsprécédents
sur l’existence de mouvementspériodiques primaires.
Maintenant,
remarquons que toutes lestrajectoires périodiques qui
se trouventdans le
voisinage
deLi
traversentS2
et l’extension deS2
un peu en dehors deLi
alternativement. Parconséquent quand
u’ passe par tous les mou-vements
périodiques primaires correspondant (symétriques
ou nonsymétriques) disparaissent
à la fois en une coïncidencemultiple
avecLi ;
les autres mouvementspériodiques correspondants d’espèce supérieure
aurontdéjà disparu puisque
lesimages
successives d’un rayonqnelconque
sont situées en sensangulaire
entreleurs deux