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La polarisation des neutrons de la réaction de stripping 12C(d,n) 13N

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Academic year: 2021

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HAL Id: jpa-00236265

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236265

Submitted on 1 Jan 1960

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La polarisation des neutrons de la réaction de stripping 12C(d,n) 13N

A. Budzanowski, K. Grotowski, H. Niewodniczanski, J. Nurzynski

To cite this version:

A. Budzanowski, K. Grotowski, H. Niewodniczanski, J. Nurzynski. La polarisation des neutrons de

la réaction de stripping 12C(d,n) 13N. J. Phys. Radium, 1960, 21 (5), pp.366-368. �10.1051/jphys-

rad:01960002105036601�. �jpa-00236265�

(2)

366

Une répétition de l’expérience ci-dessus avec 3He

au lieu de 4He a donné les asymétries gauche-

droite suivantes aux angles indiqués (C. M.) :

40o,201310 ± 8 % ; ;52.5°,-19 ± 5% 650, - 15 ± 7% ; 76°,-26 ± 5 % ; 85o, 2013 10 ± 5 % ; 1000, 12 ::1: 10 % ;

1100, + 40 ± 8 % ; 1200, +54 ± 9 %.

On peut voir que la diffusion élastique de pro- tons de 10 MeV par 3He donne lieu à des polarisa-

tions très considérables. Il est intéressant de spé-

culer jusqu’à quel point les forces spin-spin sont

comprises dans cette réaction, Ceci peut être

contrôlé en mesurant la polarisation des noyaux de 3He diffusés par les protons.

REMERCIEMENTS. - Les plaques photographi-

ques qui ont permis d’obtenir les données ci-dessus

ont été exposées à Los Alamos et analysées à Saclay. L’un des auteurs (Louis Rosen) désire

remercier les Laboratoires de Saclay pour l’aimable accueil qu’ils lui ont réservé, en particulier M. Thi-

rion et Mme Faraggi, pendant l’analyse des-données

ci-dessus.

LA POLARISATION DES NEUTRONS DE LA RÉACTION DE STRIPPING 12C(d,n) 13N (*).

Par A. BUDZANOWSKI, K. GROTOWSKI, H. NIEWODNICZANSKI et J. NURZYNSKI,

Centre de Physique Nucléaire, Cracovie, Pologne.

Résumé. 2014 On a étudié la polarisation des neutrons provenant de la réaction de stripping 12C(d, n) 13N pour l’angle 03B8lab

=

15° et l’énergie des deutérons Ed = 12,9 MeV. La valeur de la

polarisation des neutrons liés avec le niveau énergétique 3,56 MeV du noyau résultant 13N fut déterminée :

2014

(0,39 ± 0,11). On donne aussi quelques remarques générales sur les résultats préli-

minaires de la polarisation des neutrons pour les angles 03B8lab égaux à 30°, 45° et 60°.

Abstract. 2014 The polarization of neutrons emitted from the stripping reaction 12C(d, n) 13CN has

been investigated at the reaction angle 03B8lab = 15° and deuteron energy Ed

=

12.9 MeV. The pola-

rization of neutrons connected with the 3.56 MeV energy level in 13N nucleus was found to be

2014

(0.39 ± 0.11). Also some general remarks concerning the preliminary results of the pola-

rization of neutrons at the reaction angles 30°, 45° and 60° are given.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE ET LE RADIUM TOME 21, MAI 1960, PAGE 366.

1. Introduction.

-

La polarisation des nu-

cléons provenant de la réaction de stripping des

deutérons était prédite théoriquement et calculée

par Newns [14], Horowitz et Messiah [8], Ches-

ton [3], Sawicki [17], Newns et Refai [15], Sachtler [18] et autres. Expérimentalement cet effet était observé pour la première fois par Hillman en 1956 [6] dans la réaction 12C(d, p)13N pour des

protons liés avec l’état fondamental du noyau 13C.

Ensuite cette polarisation des protons de la réac- tion (d, p) avait été enregistrée dans quelques cas

pour les cibles suivantes : 9Be, loB, 12C, 28Si et

4oCa [2], [5], [7], [9], [10]. En ce qui concerne

l’évidence expérimentale de la polarisation des

neutrons de la réaction (d, n) il existe seulement

un court abstract unique par Haeberli et Rolland dans le programme de la Conférence à Washington (avril 1957) de la Société Américaine de Phy- sique [4]. Ces auteurs avaient examiné la polari-

sation des neutrons dans la réaction 12C(d, n)13N

(*) Une partie des résultats de ce travail concernant la

polarisation des neutrons pour l’angle de la réaction 01ab = 15° fut publiée dans le Bulletin de l’Académie Polo- naise des Sciences, Série des sciences mathématiques, astro- physiques et physiques, 1959, 7, 583.

avec les deutérons d’énergie 2,5 à 3,6 MeV. Cela

veut dire que dans ces expériences les neutrons de la réaction (d, n) correspondaient au niveau énergétique fondamental du noyau 13N.

La polarisation dans la réaction de stripping est théoriquement interprétée par la distorsion de l’onde plane du deutéron entrant et celle du nu-

cléon sortant. Le signe de la polarisation causée

par la distorsion de l’onde plane des deutérons est opposé à celui de la polarisation causée par la dis- torsion de l’onde plane du nucléon sortant [15], [18].

L’effet final de la polarisation est obtenu pratique-

ment par une simple addition de ces deux effets.

Les résultats expérimentaux obtenus jusqu’ici in- diquent pour la plupart des cas pour 1

=

1 de la

particule capturée la prépondérance de la distor- sion de l’onde plane du deutéron.

Le degré de la polarisation du nucléon sortant dans la réaction de stripping fournit des infor- mations concernant le mécanisme de la réaction considérée et l’extension de la contribution de la formation du noyau composé à cette réaction. Il semble probable que sij une connaissance exacte du mécanisme de la polarisation dans les réactions

de stripping était obtenue, le signe de la polarisation

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:01960002105036601

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367

pourrait être d’une grande aide dans la distinction entre les valeurs 1 + 1/2 ét 1 - 1/2 du spin des

niveaux énergétiques du noyau résultant.

Ce rapport présente les résultats préliminaires

des travaux sur la polarisation des neutrons dans

la réaction 12C(d, n)13N. Ces résultats sont limités

aux mesures de la polarisation des neutrons à un

seul angle’ de la réaction 6lab

=

15° et à l’énergie

des deutérons Ed

=

12,9 MeV.

II. Arrangement expérimental.

-

Le faisceau

de deutérons de 12,9 MeV d’énergie du cyclo-

tron de 120 cm de Cracovie traversant les lentilles

quadrupolaires magnétiques et l’aimant déviateur était concentré sur la cible située à environ 11 m

de l’aimant du cyclotron (v. fig. 1). L’intensité du

FIG. 1.

-

Arrangement expérimental : 1. Anneau de tungs- tène ; 2. Cible de charbon ; 3. Collimateur en paraffine ;

4. Compteur proportionnel rempli d’hélium ; 5. Comp-

teur à scintillation de Hornyak ; 6. Écran de plomb ;

7. Écran d’eau.

courant d’ions au cours de ces expériences était de

3 à 4uA. La cible était une feuille de tungstène de 0,3 mm d’épaisseur, que l’on refroidissait par de l’eau, couverte par une couche de charbon ie

7 mg/cm2 d’épaisseur. L’angle de la réaction Ol.b

=

15° correspondant à 0c.m. =17° avait été choisi à cause de la valeur relativement grande

que la théorie prévoit pour l’intensité du faisceau de neutrons et la polarisation différente de zéro à cet angle [13], [18]. ’

Le procédé de la diffusion n - oc était utilisé

comme analyseur de la polarisation. A cause du

fond élevé de neutrons et de la nécessité de distin- guer les neutrons appartenant aux divers groupes

énergétiques la méthode de coïncidence était appliquée. Les neutrons diffusés élastiquement sur

les noyaux d’hélium dans le compteur proportion-

nel étaient enregistrés par un compteur à scintil-

lation pour neutrons rapides du type de Hornyak.

Les coïncidences entre les noyaux de recul de

l’hélium et les neutrons diffusés étaient enregistrées

pour les deux positions du compteur de Hornyak,

droite et gauche. Le compteur proportionnel était rempli d’hélium spectroscopiquement pur à la

pression de-11 atm. L’angle de diffusion des neu-

trons était de 90° dans le système des coordonnées de c. de m., correspondant à 76° dans le labora- toire. Les mesures étaient contrôlées par un nombre fixé de coups du compteur proportionnel. Le fond produit par les coïncidences accidentelles était déterminé par un branchement et retrait périodi-

que d’un circuit de 25 u sec. de retard entre le

compteur de Hornyak et le système des coïnci- dences.

Une séparation plus exacte des groupes de neu- trons des différentes énergies n’était pas possible à

cause de la mauvaise qualité de notre analyseur de

la polarisation. Néanmoins, l’analyse du spectre

des impulsions de coïncidences du compteur pro-

portionnel démontre une forte abondance des neu-

trons correspondant au niveau excité de 3,56 MeV

du noyau 13N. Les résultats obtenus par Middleton,

et autres [13] pour Ed

=

8,1 MeV corrigés afin de correspondre à l’efficacité de notre compteur proportionnel donnent pour les nombres relatifs des neutrons correspondant au premier niveau excité, au second niveau excité, et au fondamental dans le noyau 13N les chiffres suivants : 1 : 0,3: 0,14.

Conformément à nos résultats pour Ed = 12,9 MeV

les neutrons correspondant au second niveau ex-

cité des noyaux 13N sont relativement encore plus

nombreux. Ceci est compatible avec les résultats des mesures du spectre d’énergie des protons provenant de la réaction 12C(d,p)13C pour Ed

=

14 MeV [12]. Des mesures auxiliaires faites

en usant une cible de tungstène nu sans charbon

ont montré que l’effet de fond des neutrons de la réaction du stripping des deutérons sur le tungs-

tène ne dépasse pas 10 % de l’effet obtenu pour la cible recouverte d’une couche de charbon.

III. Résultats.

-

Le degré de la polarisation des

neutrons calculé à partir de l’asymétrie gauche et

droite de la diffusion sur les noyaux d’hélium dans le plan de la réaction est (- 0,39 ± 0,11).

Comme direction positive de la polarisation on adopte la direction du produit Kentr. X Ksort.

où .Kentr. et Ksort. indiquent le vecteur d’onde de la

particule entrante et sortante respectivement.

Les mesures faites pour vérifierl’appareillage et

les méthodes expérimentales appliquées donnèrent

les résultats suivants pour l’asymétrie au-dessus

et au-dessous déterminée comme :

où Nau-dessus et Nau-dessous indiquent les nombres de coïncidences obtenu9 avec le compteur à scintilla.

tion respectivement au-dessus et au-dessous du plan

(4)

368

de la réaction perpendiculairement à ce plan.

Ce degré de la polarisation des neutrons élas- tiquement diffusés dans l’hélium était déterminé par l’analyse du déphasage (phase shift analysis)

faite par Seagrave [19] et Levintov [11].

IV. Discussion.

-

Le niveau énergétique de 3,56

MeV dans le noyau 13N, lequel est le plus res- ,ponsable pour les, neutrons observés, est un

niveau à une particule avec l

=

2.

En ce qui concerne les résultats obtenus par Juveland et Jentschke [10J, Hensel et Parkin-

son [5], Hillman [6] et Hird, Cookson et Bokhari [7]

pour le niveau du noyau résultant avec 1

=

1 le

signe négatif de la polarisation suggère pour le niveau énergétique de 3,56 MeV de 13N la valeur du spin 3/2+.

D’autre part, le signe négatif de la polarisation

des protons de la réaction 12C(d, p)13C correspon- dant au deuxième niveau excité 5/2+ du noyau 13C

avec 1

=

2 nous permet de supposer que dans ces

deux cas le signe négatif de la polarisation déter-

mine la valeur j = l --1%2. Cela pourrait être lié

avec la prépondérance de la distorsion de l’onde du nucléon sortant.

La polarisation obtenue dans ce travail dépasse

considérablement la valeur calculée par Newns et Refai [15]. Cette discordance est semblable à celle des mesures de Hillman [6] qui, pour la pola-

risation des protons dans la réàction 12C(d, p)13C

avec Ed

=

4,05 MeV et 0c.m.

=

30°, a obtenu la

valeur

-

(0,58). Il est possible que cette haute

valeur de polarisation soit liée avec la petite diffé-

rence entre l’énergie des nucléons sortants et celle de la diffusion à la résonance de ces nucléons.

Une analyse plus exacte de ces effets serait pos- sible si la dépendance angulaire et énergétique de

la polarisation des neutrons de la réaction (d, n)

était connue. Les mesures dé la polarisation des

neutrons de la réaction 12C(d, n)13N ont été effec-

tuées ensuite pour les angles de la réaction 6iab égaux à 30°, 45°, et 600.

Les évaluations préliminaires de ces mesures

démontrent que les valeurs absolues de la pola-

risation des neutrons pour les angles 8iab au-dessus

de 150 décroissent graduellement, la polarisation

restant négative. A peu près pour l’angle 6Iab

=

300

la polarisation change de signe et devient positive.

Pour les angles 01ab égaux à 45° et 600 la polarisa-

tion des neutrons continue à s’accroître eu restant

positive.

L’interprétation exacte de ces résultats est impossible sans la connaissance de la distribution

angulaire et énergétique des neutrons dans cette

réaction. Les travaux ayant pour but la détermi- nation de ces dépendances, effectués avec la mé-

thode des émulsions nucléaires, sont maintenant

en cours.

C’est seulement en ayant ces données qu’on pour- rait déterminer les participations relatives, pour les différents angles la réaction, des neutrons corres- pondant aux divers états excités du noyau ré- sultant 13N. Pourtant, les résultats concernant les distributions angulaires et énergétiques obtenues

par les autres auteurs pour des énergies de deu-

térons différentes démontrent que, probablement

aussi pour les angles de la réaction 01ab au-dessus de 150, la part des neutrons correspondant aux

transitions avec Al

=

2 est prépondérante.

Les auteurs témoignent leur reconnaissance au

personnel du cyclotron pour son travail continu pour maintenir et améliorer les conditions de travail du

cyclotron, au Dr E. Zielinski de l’École des Mines et

Métallurgie à Cracovie pour le remplissage de leurs compteurs proportionnels avec de l’hélium spec-

troscopiquement pur, ainsi qu’à MM. A. Radwan

et Z. Wronski pour leur aide substantielle à la pré- paration de l’appareillage.

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Références

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