• Aucun résultat trouvé

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

N/A
N/A
Protected

Academic year: 2022

Partager "Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne"

Copied!
6
0
0

Texte intégral

(1)

ABONNEMENTS

Un au : Six mois : Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Autres pays . 8 » 4 » port en sus On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES §*?

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » . „ . » * « . . Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonces se paient d

.

avance

P r i x du numéro IO centimes JL

B u r e a u x : R u e Neuve 3 8

a

Le crédit exagéré, c'est l'ennemi.

(suite.)

Voilà ce qui attend le plus grand nom- bre de ceux qui, sans capital et sans les connaissances commerciales indispen- sables à qui veut conduire convenable- ment sa barque au part, se font fabri- cants d'horlogerie.

S'ils éenappent au risque des laisser pour compte, des rabais et des \ entes sans bénéfice, ils viennent se briser sur l'écueil des pertes. Car' ce'crédit de con- fiance qu'on leur accorde, ils le font à leur tour et au delà, à l'exportateur ; et, si celui-ci vient à sombrer, tout s'écroule comme un château de cartes.

Voilà la mal et les coupables sont partout.

Coupable est le fabricant d'ébauches, qu'une trop forte production pousse à vendre un peu au hasard pour dégorger ses stocks.

Coupable est le monteur de boites qui donne pour 4 ou 5 mois les lingots sol- dés comptant au banquier, ou les pièces d'or et d'argent transformées en boites de montres.

Coupable est le fabricant qui, compro- mettant ce qu'il possède et ce qu'on lui confie, le livre sans garantie à l'exporta- teur.

Coupable est le banquier qui fait la chasse aux billets, pousse les porteurs à obtenir l'endossement d'amis ou de parents, escompte à tort et à travers pourvu qu'il se croie couvert par trois signatures et coupe les vivres à ses clients à la première alerte.

Coupable est Γ exportateur qui force

les affaires, achète sans besoins, expédie

sans demandes, entasse des marchandises en stocks improductifs, profite de la situa- lion précaire du petit fabricant pour l'écorcher vif, exploite tous les crédits, toutes les confiances, toutes les situations, pour se créer un énorme actif qu'il trans- porte à l'étranger, c'est-à-dire loin de la

portée de ses créancierRttixqiiels il pose un jour cet ultimatum rVe vous offiv.le tant pour cent de votre-créance à condi- tion que vous me laissiez liquider moi- même la situation; sinon, prenez tout et allez vous entendre avec les délenteurs de mes stocks à l'étranger.

Voilà où nous en sommes.

Voilà où nous a conduits cette dé- bauche du crédit qui est à la base de notre système commercial et qui est la cause du plus grand nombre des catas- trophes financières dont le contre-coup se fait sentir si douloureusement dans toutes les couches de notre population industrielle.

Une réforme du crédit est urgente ; elle s'impose à bref délai, si nous voulons conserver le peu qui nous reste et recons- tituer les capitaux engloutis.

* >

Nous ne sommes pas de ceux qui pro- clament la suppression totale du crédit comme le seul remède à notre situation présente. La suppression complète de tous les risques par le traitement au comptant de toutes les transactions com- merciales, quelque désirable qu'elle soit, n'est pas pratiquement réalisable.

De plus, la suppression complète de tout crédit commercial fermerait le porte des affaires à un grand nombres d'hommes intelligents, travailleurs et capables, aptes à faire valoir le capital qu'on leur confie ou le crédit qu'on leur accorde, et met- trait, plus encore qu'il ne l'est actuelle- ment, le monopole du commerce et de l'industrie entre les seules mains des capitalistes.

Ce que nous combattons, c'est ce crédit fictif, qui n'est basé que sur la seule con- fiance réciproque que deux négociants ont l'un pour l'autre ou qu'ils inspirent à d'aulres; crédit qui n'est assis sur au- cun fondement solide commercialement parlant, qui incite celui qui s'en sert à développer ses affaires bien au delà d'une

limite normale, l'encourage à contracter des engagements que le moindre contre- temps ou qu'un simple ralentissement dans son écoulement l'empêche de tenir, qui est en un mol une véritable loterie et constitue une coupable exploitation de l'avenir.

L'ouvrier doit être payé comptant, ou tout au moins à le fin de chaque quin- zaine; et, à ce sujet, nous pensons qu'il est grand temps d'appliquer a tous ceux qui utilisent le travail des tiers, les pres-^

criptions de la loi fédérale sur le travail dans les fabriques, qui ont trait au paie- ment des salaires.

Mais en ce qui concerne les transac- tions entre chefs d'atelier et fabricants et entre fabricants et exportateurs, la sup- pression de tout crédit est une impossi- bilité matérielle.

Qu'on le restreigne, et dans une forte proportion c'est ce que nous demandons;

qu'on suive, sur toute la ligne, et comme première mesure, l'exemple donné par les fabriques d'ébauches et 'plus récem- ment par les monteurs de boîtes argent, qui ont fixé 90 jours comme terme maxi- mum de crédit et qui accordent, de tels avantages à ceux qui paient à plus court terme, que l'on peut mettre dans la caté- gorie des clients douteux ceux qui ne pro- fitent pas de ces avantages.

Quand l'ouvrier sere payé chaque quin- zaine, sans escompte ni retenue eten mon- naie courante, quand les fournisseurs du fabricant auront, par des mesures suc- cessives, réduit à 60 ou 30 jours le terme de leur crédit, le nombre des fabricants diminuera nécessairement parce que les grands et petits faiseurs qui fabriquent sans ordres et vendent sans bénéfice appréciable seront éliminés.

Alors, les fabricants d'horlogerie, ceux

du moins qui auront prouvé leur vitalité

en traversant sans encombre la période

de perturbation qui accompagnera l'exé-

cution de ces diverses mesures, n'ayant

plus devant eux la concurrence ineple et

(2)

304

LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

ruineuse des gâcheurs et des faiseurs, pourront s'unir pour limiter, à leur tour, Ie crédit qu'ils offrent aux exportateurs.

Et ceux-ci, ramenés à des procédés plus corrects et rappelés aux règles de la pru- dence ne seront plus tentés, comme c'est pour plusieurs le cas aujourd'hui, de bour- rer leurs agences de marchandises qu'il n'ont pas payées au risque de compromettre dans la liquidation finale, l'existence même de leurs fournisseurs, ainsi que la prospérité et le bon renom de notre industrie nationale. (A suivre.)

L a force hydraulique au service de l'industrie.

Dans un précédent numéro nous avons cherché à démontrer l'importance des forces hydrauliques pour le développement indus- triel de notre pays. Aujourd'hui, nous vou- drions donner quelques renseignements sur ce que l'on pense de la question aux Etats- Unis de l'Amérique du nord.

Ces contrées, favorisées par un sol fertile, n'ont pas tardé, et on sait avec quel succès, à entrer en concurrence avec la vieille Europe sur le terrain de la production agricole. Les principaux Etats européens se sont aussitôt émus de la situation faite aux cultures natio- nales et ont cherché par des mesures de pro- tection dirigées contre les céréales et la pro- duction de la viande, à se garantir contre les dangers dont ils se sentaient menacés.

Mais ce n'est pas du côté de l'agriculture et de l'élevage du bétail seuls que la concur- rence américaine est à craindre. L'industrie en effet, commence aussi dans différentes de ses branches à percevoir les conséquences de l'extension prise aux Etats-Unis par les entreprises industrielles et de la poussée qui en résulte sur les marchés d'exportation.

Ces industries, outre de grandes richesses en combustibles minéraux, ont à leur service de nombreux et abondants cours d'eau qui leur livrent à bon marché une force qu'on sait utiliser et apprécier. En 1880 déjà, d'après le recensement décadaire effectué aux Etats-Unis, le 3 6 % de la force totale utilisée aux Etats-Unis, avait une origine hydraulique. On ne comptait, en effet, alors pas mains de 55,404 moteurs donnant 1,225,379 chevaux-dynamiques. Et ce chiffre tout important qu'il est, paraît bien mesquin en présence de la force de 200 millions de chevaux recelée dans les cours d'eau de l'Amérique du nord. Ce sont naturellement les Etats du centre et du nord qui actuelle- ment emploient les plus grandes quantités de forces hydraulique. Parmi les industries qui usent dans la plus large mesure de l'eau, on cite les papeteries avec 70 % de la force dont elles disposent, les moulins avec 6 0 % , les industries textiles 5 0 % . Au contraire, la métallurgie emploie relativement peu les forces hydrauliques.

D'après des calculs présentés à la American Slatistical Association, la valeur annuelle des forces hydrauliques actuellement au service de l'industrie américaine, est de 24 millions de dollars, représentant un capital de 500 millions de dollars.

Ces indications sont de nature à faire ré- fléchir et à diriger de plus en plus l'attention sur nos propres richesses hydrauliques. G.

PROCÉDÉS D'ATELIER.

Remplacer un rochet d'arbie de barillet.

Je fais disparaître le rochet abîmé en limant en carré jusqu'à la portée qui fait pivot dans le pont, sans toucher à ce pivot, bien enten- du. Je m'arrête d'ailleurs à 1/3 de millimètre environ avant d'y arriver.

Les quatre angles, qui dépassent suffisam- ment, reposent toujours sur le fond de la creusure pratiquée pour le rochet.

Je prends un rochet ayant un diamètre convenable, auquel je donne l'épaisseur de celui limé. Je fais au centre un carré qui s'adapte parfaitement sur la partie limée ; cette opération, qui est vite exécutée et très facile à faire, se connaît à peine quand les angles joignent bien, et le nouveau rochet fonctionne aussi bien que l'ancien à l'état neuf. On trempe, on revient, et la partie supérieure doit être polie.

Veuillez agréer, Monsieur le Directeur, l'as- surance de mes sincères salutations.

Auguste GARY.

A F F A I R E S I C H E L .

Chaux-de-Fonds, le 5 septembre 1888.

Monsieur le rédacteur !

L'opinion publique et la presse se sont justement émus des circonstances dans les- quelles s'est produite la déconfiture de la grande maison d'exportation S, de notre place, et une vive irritation s'est manifestée au sujet de la facilité avec laquelle on peut obtenir un concordat, à la condition toutefois de faire grand et de ne pas s'oublier, comme l'a très bien fait ressorter l'un de vos corres- pondants.

Tout a été dit déjà, concernant les consé- quences matérielles et morales de l'arrange- ment sollicité par le maison S. aussi, je n'ai pas la prétention d'apporter aucun fait nou- veau ni aucune lumière nouvelle sur ce triste épisode de notre vie commerciale.

D'autant plus que, malgré les protestations indignées de l'opinion publique, les créan- ciers intéressés, cédant à une pression inouïe e«ercéesur eux, signent l'un après l'autre les propositions du concordat et que les quelques courageux qui restent en dehors et qui résis- tent à toutes les avances seront si isolés qu'il est improbable que leur opposition soit effi- cace.

Nous sommes donc à la veille de voir une grande immoralité commerciale être consa- crée par la volonté même des victimes et ceci n'est pas la moindre constatation étrange, pour ne pas dire plus, que les événements qui se déroulent ici obligent à faire.

On dit qu'il y a un côté comique ou tout au moins plaisant, dans chaque situation.

S'il faut en croire certains racontars qui cir- culent ici, la note gaie serait à la veille d'être donnée ; c'est ce qui m'a engagé à vous écrire aujourd'hui.

Toute invraisemblable que soit la nouvelle, je veux vous la transmettre ; un homme averti en vaut deux, dit-on, et vos confrères, ceux du moins qui ont eu le courage de publier ou de reproduire les impressions de ceux que le scandale indigne encore, pourront aussi en faire leur profit.

Voici la grosse nouvelle :

On prête à la maison S, l'intention de pour- suivre devant les tribunaux tous les journaux qui ont parlé, dans un sens défavorable, de son aventure commerciale, et de demander des dommages-intérêts pour le préjudice

matériel et moral ! ! ! qui en est résulté pour elle.

Ce serait une jolie conclusion à la comédie qui se joue actuellement et il ne manquerait plus, comme dernier acte, que M. Ch. le comptable retrouvé, intente un procès à la Commission du concordat S, à cause du mandat d'arrêt lancé contre lui sur la de- mande de la dite commission, dans un mo- ment, il est vrai, où la nouvelle de sa mort s'était fortement accréditée.

En fait de mandat d'arrêt, en voilà un qui porte joliment bien son nom, car il y a arrêt complet dans l'exécution de la mesure de- mandée contre le comptable Ch., qui arrivera certainement à prouver qu'il est, de même que son patron, innocent comme l'enfant qui vient de naître et victime d'une affreuse fatalité 1

Ceci est la nouvelle du jour; je vous la transmets sans autre, et dans l'espoir que l'événement se chargera de la démentir.

De l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, a dit Danton ; pourtant, je crois que chez-nous, et dans le cas particulier, ce seraitquelque peu périlleux pour l'audacieux, comme ce le tût pour le fameux révolution- naire.

Agréez, M. le rédacteur, mes sincères salu- tations. S. P. D.

Nous considérons comme une boutade, la dernière partie de la lettre de notre hono- rable correspondant et nous attendons avec la plus parfaite tranquillité que {'événement se produise ; nos confrères en feront autant, nous en sommes persuadés.

- Rédaction.

NOUVIiLLRS_D1VEHSES

U n e c o n s t a t a t i o n r é j o u i s s a n t e · — Suivant les Feuilles d'hygiène, la proportion des débits de vin du canton de Neuchatel diminue depuis quelques années, mais elle est encore trop forte, car si l'on retranche les enfants, on trouve qu'il existe un débit pour 50 adultes hommes et femmes. Voici, du reste, un tableau qui présente la situation d'une façon très claire :

Habitants Années Débits pour un débit

1884 889 117 1885 882 . 118 1886 855 123

1887 856 124 1888 829 125 Les cercles et établissements privés ne sont pas compris dans le nombre des débits, qui se décomposent comme suit:

Hùtels Cafés

et auberges et pintes Cercle?

1884 163 726 47 1885 164 718 53 1886 168 687 46 1887 164 693 45 1888 168 661 41 Comme on le voit, ce sont surtout les cafés et les pintes qui ont diminué : 65 en 4 ans.

C e r t i f i c a t s d ' o r i g i n e p o u r l ' A l g é r i e .

— Suivant l'article 25 du traité de commerce franco-suisse du 23 févrierl882, les marchan- dises originaires de Suisse à destination de l'Algérie ne peuvent être admises au bénéfice du traité à leur entrée dans cette possession qu'en transitant par la France.

Or, par suite de l'absence d'un traité de commerce franco-italien, les douanes algé- riennes appliquent depuis peu aux marchan- dises d'orgine suisse le tarif général franç.ais, lorsque celles-ci ont transité par l'Italie.

Ce fait étant peu connu du commerce suisse et quelques maisons ayant eu dernière-

(3)

•ment à payer les droits élevés imposés aux produits italiens, le consul suisse à Alger croit utile d'Informer le commerce suisse de ce qui précède par l'organe de cette feuille.

Il engage les négociants qui travaillent avec l'Algérie à expédier leurs marchandises pour cette destination en transit voie de Genève- Marseille et à s'abstenir de les faire transiter par l'Italie, s'ils veulent éviter des droits

onéreux.

• t o u t e * . — On pourrait croire que le développement extraordinaire des voies fer- rées a exercé une influence défavorable sur les routes ordinaires; il n'en est rien cepen- dant. A aucune époque, en effet, on n'a attaché une importance plus grande à un réseau complet de routes et de chemins faci- litant aux contrées privées d'autres voies de -communication, les moyens d'exploiter leur sol commodément et d'en expédier les pro- duits au dehors. Personne n'ignore que la valeur des propriétés foncières et des im- meubles dépend de la proximité plus ou moins grande d'une route ou d'une station de chemin de fer, et que l'industrie ne peut prospérer dans les contrées privées de bonnes routes.

Si les anciens, les Romains surtout, ont laissé la trace de routes bien construites, qui reliaient les différentes parties de l'empire, on doit cependant reconnaître que le temps présent est en grand progrès sur eux. La construction et l'entretien des routes sont maintenant organisés d'une manière très re- marquable et, chaque année, des sommes importantes viennent grossir le capital utile- ment employé dans ce but. En 1878, on n'évaluait, pas à moins de 173 millions et demi de francs la somme dépensée en Suisse pour la construction des routes de 1er classe.

Dès lors, l'étendue kilométrique des routes a considérablement augmenté, d'ailleurs aux routes principales, il convient d'ajouter un développement au moins triple de chemins vicinaux. Des routes alpestres ont été cons- truites avec une subvention de la Confédé- ration, lorsqu'elles présentaient un intérêt général ou lorsqu'elles pouvaient servir à la défense du pays. Dans les montagnes, on se sert, pour le transport des bois, de traîneaux circulant sur des voies de bois ou sur des chemins rendus glissants par une aspersion d'eau.

Voici des données statistiques sur la lon- gueur des routes utilisées dans les principaux pays par les services postaux ; nous les ferons suivre d'un tableau très complet sur les routes suisses : Allemagne 84,596 km. ; répu- blique Argentine, 33,360 ; Autriche, 40,477 Hongrie, 38,905 ; Belgique, 1800 ; Bulgarie 1795; Canada, 71,875; Chili, 6362; Dane- mark, 2248 ; Egypte„4000 ; Espagne, 59,786 Etats-Unis d'Amérique, 365,116; France 52,823 ; Algérie et Tunisie, 6783 ; Haïti, 744 Hawaï, 1932 ; Honduras, 5040 ; Inde britan- nique, 113,153; Italie, 32,108; Japon, 57,437 Luxembourg, 343; Nicaragua, 1866; Nor- vège, 9532 ; Pays-Bas, 8388 , Portugal, 9323 Roumanie, 2127 ; Russie, 130,201 ; Suède 25,529; Suisse, 5457; Chypre, 496; Grenade 97 ; Honduras britannique,35; Saint-Vincent 40 ; Terre-Neuve, 1168 ; Antilles danoises, 27 Cochinchine, 726; Guadeloupe, 210; Mayotte, 56; Réunion, 194; Taïti, 295; Indes orien- tales néerlandaises, 7907.

Extrait de l'ouvrage intitulé voies et moyens du développement industriel et commerial, par Jules GFELLER, à Berne.

U n i v e r e i t é B . — Le nombre des étudiants qui ont fréquenté les universités suisses pen-

dant le semestre d'été s'est élevé à 2050, dont 197 dames; 1772 étaient immatriculés, les autres de simples auditeurs. En voici la ré- partition par universités :

Théologie Droit Médecine Philosophie Bàle . . 118 31 121 100 Zurich. . 39 81 269 142 Berne . . 56 128 229 87 Genève . 2 5 79 182 181

Total 238 319 801 510 BfUe a 407 étudiants, Zurich 579 (dont 87 femmes), Berne 527 (57 femmes et 8 étudiants en théologie àla faculté des vieux-catholiques), Genève 537 (dont 45 femmes).

Dans les femmes qui suivent les cours, 103 étudient la médecine et 94 la philosophie.

Sur les 2050 étudiants, la Suisse en four- nit 1237 (Berne 284, Zurich 206, Bâle-VilIe 120, Genève 89, Argovie 77, St-GaIl 76, Thur- govie50, Lucerne43, Vaud41, Neuchâtel36, Grisons 34, Bâle-Campagne 32, Soleure 30, SchafThouse 25, Appenzell 20, Tessin 14, GIa- ris 13, Fribourg 12, Schwytz 10, Zoug 9, Ob- wald 3, Nidwald et Uri chacun 1).

AVIS

Les a n n o n c e s c o n c e r n a n t les offres et d e m a n d e s d ' o u v r i e r s o n d'em- ployés p u r l'horlogerie, a i n s i u n e les convocations d'assemblées d'as- sociations p a t r o n a l e s et o u v r i è r e s j o u i r o n t d ' u n p r i x de faveur et s e r o n t insérées à r a i s o n de IO centimes Ia ligne ou son espace.

Le rédacteur responsable : Fritz HUGUENIN.

ÉCOLE D'HORLOGERIE ET DE MÉCANIQUE

de Bienne. 412 Apprentissage d'horlogerie complet: 3 ans. Apprentissage d'horlogerie

pour spécialités: Ii à 18 mois. Apprentissage mécanicien: 3 ans ; les élèves apprennent à faire les outils pour fabrication mécanique, système perfectionné.

-Cours théoriques dans les deux langues. Nouvelles méthodes d'enseignement donnant d'excullents résultats. Entrée à toute époque. S'inscrire auprès du Directeur. LA COMMISSION.

O B ,

P L A Q U É

ARGENT

& GALONNÉ

GENÈVE-

Marque do fabrique déposée 2Î0

PFAFFLI & MARQUIS

GENÈVE & SOLEURE

Î V W W Y Ï ' Ï W W ^ ' W ^

Mflfl 1

Le plus avantageux de tous

SEUL FABRICANT EN SUISSE:

E . I N D E R M U H L E 1 B I E N N E

Envoi d'échantillons et prix-courant sur demande. 405

FABRICATION

de

CADRANS EN «TOUS GENRES G. PFUND & F I L S

• - • Λ Ι ^ Ι , ^

,d BIENNE

Usine pour le traitement des matières or, argent et platine P Ά H W W W

I : S S I \ H I K - . I I m : « I PIiOMK FEHEKAL

ACHAT ^m- VENTE

Rue de Nidau — B I E N N E — Rue Neuve Pulvérisation de cendres et fontes à prix- réduits

Creusets de tous pays — Charbons — Coke de St-Etienne

O R O S E T D É T A I L .399

HOTEL DE BIENNE

(BIELERHOF) an

v i s - à - v i s c l e l a g a r e

Établissement recommandable à MM. les voyageurs de commerce,

^ touristes ainsi qu'aux Sociétés. ,^

Bonne cuisine · - Vins naturels — Chambres à différents prix — Grandes salles — Bains et donches à l'hôtel — Table d'hôte à midi 10 minutes

— Plats du jour — Restauration à la carte à toute heure — Exposition permanente de montres. Tous les mardis, marché d'horlogerie.

Se recommande C. RIESEN-RITTER, propriétaire.

(4)

306

LA FEDERATION HORLOGÊRE SUISSE

S E R V I C E H Y D R O G R A P H I Q U E D E L A M A R I N E F R A N Ç A I S E

Concours des chronomètres du 2 janvier au 31 mai 4888 (I)

A Ecart maximum des marches à la température ambiante. Limite 2S5.

B Id. successives. Limite 4S.

G Id. au chaud (30° environ). Limite 2S5.

F Id. au froid (0° environ). Id. 3S5.

/ Id. aux petites amplitudes. Id. 35O.

E Id. aux positions sur XII et VI, ou sur III et IX. Limite 6S0.

N Nombre de classement [égal h A; plus B, plus 1/21 , plus Ie plus grand de C ou de '/2 F] (2).

425

Construc- teurs Classés Delépine Delépine Leroy Leroy Leroy Leroy Delépine Leroy Leroy L.Toy&fils Leroy

Leroy

Leroy Leroy Thomas Leroy Leroy .Non classés

Leroy Leroy Lerov Rousseau-

Lecocq Cal lier

Nos des Chrono-

mètres 1505

1468 695 669 684 654 1508 663 681 146 664 706 680 643 2 688 658 692 659 682 5 575

1

I A

0,42 0,67 0,66 0.97 1,00 0,95 0,68 1,01 1,07 1,06 0,99 1,13 0,96 1,51 1,87 1,30 1,92 2,63 1,72 2,65 2,86 2,38

B

0,30 0,40 0,46 0,78 0,45 0,47 0.29 0,40 0,46 0,38 0,47 0,33 0,42 0,34 0,67 0,47 0,42 0,46 1,10 1,66 0,64 0,78

C OU VJ F

0,33 0,97 1,21 0,80 0,82 1,43 1,47 1,58 1,47 1,12 1,26 1,57 1,57 2,00 2,02 1,95 2,10 0,90 1,11 0,82 1,46 2,29

V2I

0,94 0,49 0,23 0,88 0,78 0,72 0,65 0,20 0,24 0,93 1,04 1,06 1,20 0,86 0,54 1,18 1,13 0,71 1,40 1,10 0,87 1,49

E

2,40 5,10 4,03 5,97 1,43 2,07 5,37 2,27 4,37 1,90 1,33 1,96 1,63 4,90 4,73 2,05 1,67 3,74 4,03 5,53 2,65 2,23

N

1,99 2,53 2,56 , 2,93(3)

3,05 3,07(3) 3,09 3,19 3,24 3,49 3,70 4,09 4,15 4,71 4,85(4) 4,90 5,57 4,70 4,83(3) 5,73(3) 5,83 6,94

Détails de construction

Bal. cire Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Id- Id.

Id.

Id.

Id.

Id.

Bal. cire, Id.

Id.

Id.

Id.

, ipiral palladium

al. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. id.

id. acier id. palladium id. id.

spiral palladium id. id.

id. id.

id. id.

id. acier I (1) Nombre des chronomètres présentés : 43. Classés, 17 ; non classés, 9, dont 4 retirés ou avec

résultats incomplets ; renvoyés avant la fin du concours, 17. Le service hydrographique a d e - mandé au Ministère l'acquisition des six premiers chronomètres.

(2) Voir le règlement des concours dans le Journal suisse d'Horlogerie, XIm e a n n é e , page 143.

(3) Déduction faite d'une bonification de 0,50 résultant du précédent concours (art. 17 du règlement).

(4) Id. Id. 0,25 Id. ( Id. ).

ÉTABLISSEMENT MÉTALLURGIQUE

A c h a t d e c e r x c l r r e s e t l i n g o t s s u r e s s a i Fonte de décliele de foute n a t u r e

VENTE D'OR FIN POUR DOREURS

A U F R A N C & G

- 4 - B I E i s T I T E - > -

I E

Dépôt de coke de St-Etienne — Charbons de bois

Creusets de toutes espèces 316

G - X = I O S B T D E T A I L

Iiiï!-Siî@m@i Ifaylan

BRASSUS

F a b r i c a t i o n île m é c a n i s m e s tels que : Répétitions à minute en tous genres, 5 minutes et quart ; Chronographes sur répétitions sur tous calibres. Ouvrage extra soigné. Grand avantage pour la série.

A VENDRE

6 répétitions à minute 19 lignes et 2 14 lignes, savonnettes à pont,

chronographe en vue, nickel. 436 Mécanismes entièrement faits par les bons ouvriers de la Vallée.

FABRIG.ÏÏM 1'BOILtKIUI

J . R U F E N E R

26, Rue du Parc, 26 C H A U X - D F - F O l V U S S p é c i a l i t é p e t i t e s m o n t r e s 347 de 7 à 10 lignes

φ pour . 357 'j)

\ EXPORTATION ET FABRICATION

I BOURQUTN-BOREL

J BIENNE

J;»*-*! •_•»»-• I^Kv^ V"»*"* 1V**-" V i e

R e p

BUREAU DE PLtCENENT

Dt)ILlKlIl-IN

Un bon démonteur

travaillant à la maison, aurait de l'ou-

vrage suivi au comptoir 23 Ruefli-Flury, Bienne.

Peintres^» cadrans JS^o™-

raient être occupés dans un atelier,

à B>enne. 20 S'adresser au bureau du journal.

,QQCSûn-n 0 n demande de

α CIuOOU.! suite un bon ou­

vrier repasseur, connaissant toutes les parties du repassage. Inutile de se présenter si on n'est pas capable. 22 On d e m a n d e pour Genève 440

un visiteur capable

de diriger une fabrication d'horlogerie soignée· Connaissances sérieuses exi- gées. Ecrire avec indications détail- lées, N. M. 3. poste restitue, Genève.

On d e m a n d e u n jeune 437

Horloger

connaissant l'échappement cylindre et ancre et ayant les connaissances nécessaires pour la terminaison du mouvement prêt à être mis en boites.

Il aurait la surveillance du détail de la fabrication dans une fabrique du pays. Bons appointements. Adresser les offres sous chiffre H4088J, à l'a- gence Haa«enstPin aVogler, St-Imier.

Vil h o r l o g e r v t o i t e u r - a c h e v e u r c h e r c h e à s e p l a - c e r d a n s u n e b o n n e m a i e o n d e s u i t e o u dnnti β à 3 m o i s . C e r t i f i c a t s e t r é f é r e n c é e d e p r e m i e r o r d r e d e C h a t i x - d e - F o n d s e t G e n è v e . S'a- d r e e e e r s o u s I I « 3 ? CIi., à l ' a g e n c e H a a e e n s t e i n Λ· Vo- g l e r , à C h a u x - d e - F o n d e . 439

E M P L O Y É

Un jeune homme au courant de la fabrication d'horlogerie et pouvant tenir une comp'abilité cherche une place dans un Comptoir ou chez un négociant en horlogerie. Références sérieuses à disposition.

Adresser les demandes sous A. T.

1092 au Bureau du journal. 433

4 graveurs

pour l'or soigné sont cherchés, deux pour de suite et les deu\ autre= pour la quinzaine, chez Lévy,Chapelle3, à Chaux-dfi Fonds. _ (H 240Ch)441

Machine aux boites

On derrande à acheter une bonne machine à tourner les boites métal.

Adresser les offres à MM. Louis Brandt & fils, usine de la Gurze-

len, Bienne. 431

XXXXXXXXXXX

L GIRARDIN-BOURGEOIS

BIENNE (Suisse) FUIHiIIIi: D'HORLOGERIE

en tous genres et pour tous pays

Spécialité Genres anglais

(5)

Pour conserver et maintenir les P a r q u e t s d e b o l s d u r , p l a n c h e r s d e s a p i n , e s c a l i e r s d e b o i s , employez la

RÉSINOLINE-LA-CLAIRE

Exiger la marque aux deux hiboux

Exiger la marque aux deux hiboux

Cette excellente préparation entretient admirablement le bois, auquel elle donne de la dureté. Elle empêche pendant un très long temps la formation de la poussière sur les planchers et rend ainsi un service à l'hygiène des habitations. Elle se laisse étendre facilement au moyen d'un chiffon de laine et sèche immédiatement sans laisser d'odeur. On l'emploie pour enduire et conserver les parquets et plan- chers des locaux où l'on circule beaucoup, comme les F a b r i q u é e , A t e l i e r s , B u r e a u x , m a g a s i n e , C a l é e - R e s t a u r a n t s , S a l l e s d ' é c o l e s , e t c .

Rabais par forte quantité. 348 D é p ô t s à la C h a u x - d e - F o n d s , MM. Alex. Stauffer, rue de î'Hôlel-de-

Ville ; AIb. Breguel, rue du Temple allemand ; Verpillat, négociant. — S t - I m i e r , J. von Gunten. — Neuchàtel, AIf. Zimmermann. — G o r m o n - d r è c h e , William Dubois. — P l e u r i e r , Margot-Vaucher. — S t e - C r o i x , nmile Recordon. — B i e n n e , J. Graedel, Pasquart.

Usine de Produits chimiques, La Claire, LOCLE pi^ggggggolSBSBSBSBSBS^SBSBSBSBiEl S T . „ „ „ „ , „ „ , . „ „ _ „

Λ

„ „ „.·;,„ 15

51 2 H 5 H 5 H 5 H 5

5 E 5 EL 5 Έ.

5 E 5 E 5 E 5 E E 5 5 E 151

MANUFACTURE D HORLOGERIE POUR TOUS PAYS

PROCÉDÉS MÉCANIQUES 406 C O M M I S S I O N — E X P O R T A T I O N

151 g

E 5

lii'iiïMS FIfRE-JiCOT

L O C L E (SUISSE)

L51

E 5 E 5 [El

CONTREFAÇON DE MARQUE DE FAIVRIQUB

La fabrique de boîtes de montres

SGHLATTER & FLOTRON

à M a d r e t s c h

signale aux intéresses a l'industrie horlogère le fait que sa marque de fabriqxte — une locomotive — étant souvent imitée, elle livrera à la rigueur des tribunaux les individus coupables de cette contravention.

V l V E R É C O M P E N S E

sera donnée, après jugement rendu, à toute personne qui fournVra à la maison sus-nommée, des renseignements exacts et précis sur les

contrevenants. 315

aeseeeeeeesea

! P o i n ç o n s

pour le Contrôle anglais

&

P o i n ç o n s i pour le m

Contrôle allemand |

Atelier pour la frappe de boîtes de montres, médailles, insignes, jetons pour cafés, restaurants, etc.

Gravure artistique et industrielle sur métaux et sur bois

Poinçons et estampes pour l'horlogerie

SPÉCIALITÉ DE MARQUES DE FABRIQUE

ŒjBC On se charge gratuitement de l'enregistrement des marques de

fabrique au bureau fédéral de Berne. "SXS 355g

F. HOMBERG, g r a v e u r , BERNE

FABRIGATIOI DE BIJOUTERIE

ET D'HORLOGERIE

303

C H A I N E S CLEFS et MÉDAILLONS

en or,

a i » g β η t

et doublé

X X

X

• •

Chronomètres, chronographes simples et avec compteurs à minute.»

* Répétitions et secondes indépendantes, montres sans aiguiUet''

•••••••••••••••••••••••

X FABRICATION D'HORLOGERIE X

• J0A10T-BALTISBERGR BlRI %

PENDULES •

CADRES SCULPTES contenant:

Baromètre anéroïde et THERMOMÈTRE Spécialité

de

Pendules et Montres

à nouveaux cadrans lumineux

Montres-Boussoles

nickel el argent (brevetées)

(Hauteur 45 dm.) 278 CONDITIONS AVANTAGEUSES A MM. LES NÉGOCIANTS EN EORLOGERIE

Grand Cadran lumineux

EXPORTATION pour t o u s j p a y s

X

É T U D E S D ' A V O C A T E T D E N O T A I R E

M 8 H. HODLER & J. STEFFEN

19, Rue Neuve B I E N N E Rue Neuve, 19

• — — —

Renseignements juridiques et commerciaux. Représentation dans les faillites. Procès. Encaissements. Recouvrements.

Passation d'actes. Rédaction de contrats d'association et autres. Ecritures consciencieusement tenues de toutes affaires se rattachant à l'exercice de nos professions.

#

3i3 H. HODLER & J. STEFFEN.

(6)

308

LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

,J pIïii!

B ^ l H N I & C

ί%©^^@

Dès ce 'jour,

LE S P I R A L

SPIBâl INCOMPARABLE

NE SE ROUILLANT P A S

ANTI MAGNETIQUE

BAEHNI.

' 1 U 9 ii

MOMBBRB BKAV. BERN

nous fabriquons m

INCOMPARABLE

anti-magnétique, ne se rouillant pas. (Marque déposée).

Ce spiral a donné de meilleurs résultats que celui en palladium ou autres alliages.

Les demandes peuvent être aussi adressées à nos dépositaires : MM. Henri Sandoz, Chaux-de-Fonds ; Phil. Faure, Λ Haldimann & Perrenoud, Locle ; A. Béguin-Bourquin, Neuchàtel ; Mme S. Jeanneret-Lebet, Fleurier ; Mme E. Gostely-

£? Amez-Droz, Sonvillier ; MM. Arnold Brand, St-Imier ; Ussc Robert-Tis30t, Villeret ; Mme Ve Ate Robert-Tissot, Tramelan, et M. L. Tschopp, Bienne.

F A B R I Q U E D ' É B A U C H E S

FLURY FRERES, BIENNE

et Finissages

ANCRE ET CYLINDRE

(P Pièces à clef de 15 à 20 l i g Tj CAL. DE PARIS ET VACHERON 5 3A Plat.

i

&

J FINISSAGES GENRE ANGLAIS Sj

A1 Genres américain! LjL Tj Qualité soignée avec H- QJ P i g n o n s d e S a v o i e JS

Système Gouvre-rochet

et

Remontoir à v u e BASCULE S

2

$ REMONTOIR

Pièces en laiton et nickel de 11 à 20 lignes

En suite de l'organisation du Syndicat des fabriques d'ébauches (convention passée le 20 décembre 1887), les prix de vente de nos finissages sont fixés comme suit :

S

Finissage* à clef t

15 et 16 lignes, çyl., cal. Vacheron, genre anglais, fr. 20.— la douz.

M ? ·2 0 J 74 Plat. » > 20.— » 18 lignes, 3U plat, a calottes » » » 24.— » 20 » Boston avec cercles » » » 24.— »

Finissages r e m o n t o i r , système bascule :

13 lignes . . . . fr. 28.—la douz.

15, 18, 19 lignes , 26.— » Finissages r e m o n t o i r , système visible :

i l lignes . . . . fr. 48.—la douz.

1L ' . . . . » 36.— > ·

123/4 a 19 lignes . . . . . , 34.— »

» 36.— » Γut\ 1 ZM a 1» lignes

V * ù 20 lignes

D i m i n u t i o n

pour finissages, rem., barettes couvre-rochets, fr. 2.— par douz Augmentation

pour la 1 " qualité, pignons avec rivures polies, roues de grandes moyennes anglées

» raquettes finies

> arrêtages aux barillets

» encliquetages à masses brisées

> aiguillages

» brides de tiges

Valeur à 90 jours sans escompte ou à

30 jours avec 3 % d'escompte, date du relevé de fin de mois.

fr. 2.— par douz.

» 1 . -

» 1 . -

» 1.50

» 1 . -

> t . —

Imprimerie du Nouveau Pressverein de Bienne.

Références

Documents relatifs

Beaucoup, qui savent cependant se plaindre amèrement de leur sort dans les conversa- tions particulières, sont incapables du moin- dre effort pour y remédier ; ils reconnaissent

Le contrôleur du Syndicat des patrons monteurs de boites argent et des fabricants de galonné et d'assortiments pour la boîte de la montre, nous prie de communiquer aux

Cette initiative a été couronnée d'un plein succès et les groupes patronaux et ouvriers, rivalisant de zèle dans un but d'utilité générale, ont compris toute l'im- portance qu'il

Tant que la question de notre organi- sation industrielle s'est présentée comme une chose plus ou moins abstraite, tant qu'on l'a discutée au point de vue théori- que, des

Cette assemblée, à laquelle toutes les sections se sont fait repré- senter, a eu lieu dimanche 1 er décembre, à Langendorf, et elle a décidé à l'unanimité, en se basant

phone ont été sacrifiés aussi de la même façon à la sécurité publique. Toute la population de la ville est dans la plus grande agitation ; une foule énorme passe la journée

L'appui financier et moral des bureaux de contrôle ne manquerait pas de contribuer puissamment aux progrès d'une œuvre qui tend au relèvement de l'industrie horlogère en général

Mais les patrons dissidenls avaient fini par s'accoutumer à vivre avec celle pers- pective d'une grève loujonrs annoncée et toujours différé et quoique des offres très