A nos abonnés

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La Chaux de-Fonds, Samedi 2 Juillet 1932. Bureaux : Rue de la Serre, 58. Quarante-septième Année. — N° 50.

I Ä T M M T I O N HORLOGÈRE

• S U I S S E

ORCANE de la CHAMBRE SUISSE DE L'HORLOGERIE, des CHAMBRES DE COMMERCE, des BUREAUX DE CONTROLE, des ASSOCIATIONS PATRONALES de l'INFORMATION HORLOGÈRE SUISSE et de la FIDUCIAIRE H0RL06ÈRE SUISSE (Fidhor)

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ABONNEMENTS: Un an Six mois Suisse Fr. 14.05 Fr. 7.05 Union postale » 28.— » 13.—

Majoration pour abonnement par la poste Compte de chèques postaux IV b 426

Paraissant le Mercredi et le Samedi à La Chaux-de-Fonds

LES CONSULATS SUISSES A L'ETRANGER REÇOIVENT LE JOURNAL

Annonces: Publicitas, S.A. suisse de Publicité, 21, rue Leopold Robert, La Chaux-de-Fonds.— Succursales et agences en Suisse et à l'étranger

A N N O N C E S :

suisses 15 centimes, offres et demandes de places 10 centimes le m i l l i m è t r e , étrangères 20 centimes le millimètre.

Les annonces se paient d'avance.

A nos abonnés

L a c r i s e q u e l ' i n d u s t r i e h o r l o g è r e s u b i t a c t u e l l e m e n t a y a n t p r o v o q u é u n e d i m i n u t i o n c o n s i d é r a b l e d e s a n - n o n c e s , »Lia F é d é r a t i o n H o r l o g è r e S u i s s e " n e p a r a î t r a p l u s , e n r è g l e

g é n é r a l e e t j u s q u ' à n o u v e l a v i s q u ' u n e f o i s p a r s e m a i n e , l e m e r c r e d i , m a i s a v e c u n f o r m a t d o u b l e d e c e l u i a c t u e l .

D è s q u e l e s c i r c o n s t a n c e s l e p e r - m e t t r o n t e t q u e l e s i n d u s t r i e l s e t c o m m e r ç a n t s v o u d r o n t b i e n f a v o r i s e r à n o u v e a u d e l e u r s a n n o n c e s , l a p a - r u t i o n foi-hebdomadaire d u j o u r n a l s e r a r é t a b l i e .

L ' A d m i n i s t r a t i o n d u j o u r n a l .

Vers une nouvelle conférence internationale

La conférence qui vient de se réunir à Lausanne, avait pour objet l'examen de trois questions dis- tinctes: les réparations et les dettes, la crise éco- nomique mondiale, le statut économique de l'Europe Centrale. Les Etats-Unis étaient naturellement, par- mi les principaux invités. Pour des raisons intelli-

gibles, leur gouvernement refusa. ' Nous n'avons pas à discerner parmi celles-ci,

celles qui sont du ressort de la politique inté- rieure: réélection présidentielle prochaine, et équi- libre budgétaire ou celles qui sont du ressort de la politique extérieure, spécialement la question des dettes interalliées. Or, s'il est possible de se passer de la collaboration des Etats-Unis pour régler le problème économique danubien, il ne l'est plus du tout lorsqu'il s'agit de trouver une solution à la crise économique mondiale. Les Américains eux- mêmes ne demandent pas mieux que de participer à cette dernière étude, eux qui ressentent singulière- ment les effets du désarroi mondial. Mais ce qu'ils ne veulent pas, c'est que leur présence à la Conférence soit achetée du coup d'épongé sur les dettes, au moment même où les contribuables se cabrent devant l'addition. La proposition britan- nique dé dissocier l'ordre du jour et de confier à un congrès séparé la solution de la dépression uni- verselle doit permettre au gouvernement de Was- hington de revenir, partiellement, sur son refus.

L'intérêt de ce revirement est que, bon gré, mal gré, les Etats-Unis seront amenés à envisager tous les tenants et aboutissants de la crise, les réparations comprises, si liées au problème des dettes inter- alliées, malgré l'opposition de principe des Amé- ricains à cet égard.

Jusqu'ici, rien qui ne se tienne. Le malheur est que la conférence «américaine» comme on l'appelle déjà, .doit avoir comme objet essentiel, et ceia pour tranquilliser l'Union, de stabiliser les prix mondiaux. Les dirigeants britanniques ne sont pas partisans, paraît-il, d'un effort massif en faveur

de la hausse des prix. Ils préfèrent la régulari- sation des marchés. Cela paraît logique à première vue, le monde souffrant durement de l'instabilité de toutes choses, accrue encore de l'abandon de l'éta- lon-or par nombre de monnaies, parmi lesquelles, en tout premier rang, la livre sterling précisément. Cette stabilisation, toutefois, ne peut guère opérer avec succès que sur le plan actuel qui ne saurait satis- faire les producteurs, cela se conçoit.

Elle est plus malencontreuse encore, si possible, au point de vue principes. Elle porte la marque irréfutable de l'interventionnisme, dont, à notre épo- que d'économie dirigée, on n'a pas encore saisi non seulement la vanité, mais encore les déficits.

C'est en vertu du même système que les pays se sont infligés, les uns après les autres, et à plusieurs reprises, ces droits de douane, dont on sait l'effi- cacité, puisque suivis de répliques immédiates. Que constatant cependant l'inutilité de leurs efforts, ils ont ajouté à leur incompréhension le contingente- ment limitateur d'échanges, donc de richesses. Que revenant, peu à peu, de leur foi dans le nouveau régime, ils se précipitent, en désespoir de cause, vers le troc renouvelé des Anciens ou des sauvages, dont ils attendent, maintenant, monts et merveilles.

Ce n'est pas qu'ils n'aient été duement avertis de la folie de leur conduite. Le rapport du Comité économique au Conseil de la S. d. N. n'a pas caché ses vues à cet égard. Sa condamnation du nationalisme économique est manifeste. Il demande le retour à la liberté de circulation que sanction- naient les traités de commerce, traités dont la conclusion se fait de plus en plus rare el l'applica- tion de moins en moins sincère.

Intervention dans le domaine des prix, interven- tion dans celui de l'économie, intervention en ma- tière douanière, maintenant. C'est le fait que Roger Alheinc, directeur de la Banque du commerce exté- rieur, en France, quand il met en parallèle le carac- tère aigu du drame économique qui se joue aujourd'hui et des mesures administratives sévères qui éliminent des mouvements financiers internationaux 69 °/o dû monde civilisé. Lui aussi, ne croit pas à la sa- gesse de l'Etat dans le domaine des affaires, entre- voyant la paix financière dans l'organisation natio- nale et internationale des crédits, qui suppléerait comme régulatrice de la production, au mécanisme des prix faussés par l'interventionnisme et les dé- sordres monétaires. L'idée est-elle réalisable Sans le concours de l'Etat, nous ne l'affirmerons pas, mais si ce dernier devait s'en mêler, on reviendrait, surtout pour une idée nouvelle, à ce que nous con- sidérons comme une erreur, ce que les faits n'au- raient pas de peine à démontrer.

La situation, pourtant, semble nette: L'écono- mie est prête à rebondir. Parmi les indices nom- breux de ces derniers jours, deux nous paraissent péremptoires : l'argumentation de M. de Peyerim- hoff, de la Chambre de commerce internationale, et les conclusions du Comité économique, dans le rapport auquel nous faisions allusion tout à l'heure.

M. de Peyerimhoff a confié à la Neue Freie

Presse la situation actuelle de l'économie mondiale.

Il établit, en particulier, l'élargissement progres- sif de la dépression, le record de baisse atteint, les troubles sur le marché des capitaux. Il aboutit à cette persuasion personnelle que le fond de la dépression est atteint, en tous cas une autre con- ception lui paraît impossible en présence des massés de capitaux qui cherchent un emploi présentement et du cours, incroyablement bas, des matières pre- mières. Quand bien même sporadique, l'animation des marchés des valeurs, spécialement aux Etats- Unis, est un signe auquel on ne peut guère se tromper. Il existe, d'ailleurs, un certain parallélisme sur plusieurs bourses de marchandises. C'est la preuve que la demande temp à reprendre. Au sur- plus, les producteurs, rudement frappés, se sont, en plusieurs cas, organisés internationalement, pour échapper aux trop vives oscillations des cours.

Le Comité économique de la S. d. N. tire des convictions analogues, sans oser toutefois y mettre de prédiction, des chiffres de l'exportation dans le monde, ceux des premiers mois de cette année-ci en parallèle avec ceux des mois correspondants de

1929, donc immédiatement avant la crise. Il est à peine vraisemblable que les exportations, surtout pour de grands pays, dont les moyens sont nombreux et complexes, soient tombées, quantitativement, au- delà de 50 °/o, presque aux 2/3 comme aux Etats- Unis (exactement 63 % ) sans parler du 70 °/o de pays à l'économie plus simple, donc moins souple, l'Espagne et la Hongrie. Ces ont encore là des indices auxquels l'homme d'affaires ne se trompe généralement pas.

S'il fallait les confirmer par la théorie, cela ne serait pas difficile. Le Journal des Economistes a établi ce qu'il nomme les devis d'une crise. En premier lieu, la restriction de la concurrence, entraî- nant une élévation artificielle des prix (protection- nisme, cartels, monopoles, etc.). Mais cette élé- vation même provoque une accélération de la pro- duction dont le corrélatif est la réduction des dé*

bouchés. Il va y avoir, par conséquent, ce désé- quilibre entre l'offre et la demande qu'on appelle, à tort, surproduction. Il faut—faire du stockage, et les producteurs résistent avec la dernière énergie pour maintenir les prix de vente au-desssùs des prix de revient. Mais les acheteurs sentent venir la baisse. Ils s'abstiennent, et c'est, tôt ou tard, la débâcle des prix, l'avilissement des stocks, leur liquidation, avec les déconfitures bancaires usuelles, auxquelles s'associe involontairement le public épar- gnant. Il y a disparition du crédit, ce terme tech- nique qui couvre la confiance. La baisse des prix au-dessous du revient et la disparition du crédit découragent la production. La pénurie sévit, mais elle termine là crise. Le boom peut recommencer:

les prix remontent.

C'est le moment que choisissent les gouverne- ments qui s'étaient déjà efforcés d'enrayer la baisse, pour contrecarrer la hausse.

Cette action de freinage, ainsi que celle dé

limitation et de prohibition, et encore d'improvisa-

tion, dont il fut question ci-dessus, doit être aban-

donnée. Les affaires reprendront du jour au lende-

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270 L A F É D É R A T I O N M O R L O G È R E S U I S S E N" 50. - 2 Juillet 19

mum — elles y sont prêtes — lorsque les hommes auront la certitude que leurs dirigeants ne convoquent pas des conférences internationales, dont il ne sort généralement rien, pour masquer l'incapacité dans laquelle ils se trouvent de se mettre d'accord, lorsqu'ils seront convaincus que la finance honnête, et elle l'est dans sa grande généralité, a' su se débar- rasser de la spéculation malsaine qui lui fait tort actuellement, lorsqu'ils ne se laisseront plus entraî- ner à croire sur parole les politiciens de bas étage qui ont intérêt à faire circuler des nouvelles alar- mantes et à entretenir ainsi la défiance, laquelle est bien la marque la plus funeste de notre temps.

CL B.

Remboursement de la taxe d'importation française

I n s t r u c t i o n s

p o u r l ' é t a b l i s s e m e n t d e s b o r d e r e a u x . Pour compléter les instructions générales publiées dans la Fédération Horlogère Suisse des 18 et 29 juin écoulé, nous publions ci-dessous quelques indi- cations relatives à la manière d'établir les borde- reaux de remboursement, en priant les maisons inté- ressées de bien vouloir s'y conformer strictement, pour éviter les pertes de temps.

1. Sous la rubrique « Désignation de la marchandise » doit figurer la désignation complète de la marchandise suivant la nomenclature douanière fran- çaise (Tarif douanier), de même que le nombre de pièces. .

2. Sous la rubrique « Poids brut » doit figurer le poids brut de l'envoi.

3. La rubrique « Tarif » doit contenir le numéro du tarif français.

4. Sous la rubrique « Valeur en francs français », indiquer la valeur déclarée pour l'importation en France.

5. Les demandes de remboursement et les duplicatas des déclarations d'exportation doivent porter le timbre et la signature de la maison demande- resse; en outre, les duplicatas des déclarations posté- rieures au 5 juin doivent être visées par le bureau (suisse) de douane de sortie.

Pour tous autres renseignements, s'adresser à la Chambre Suisse de l'Horlogerie, La Chaux-de-Fonds.

Chronique financière et fiscale

Mexique.

Factures commerciales et taxes consulaires.

Selon communication télégraphique du Consulat général de Suisse à Mexico et d'après une circulaire du Consulat de Mexique au Havre, des factures commerciales en 6 expéditions et visées par un consulat du Mexique sont exigées dès le 1er juillet cou:

rant pour toutes les expéditions de marchandises à destination du Mexique. Le coût du visa consulaire est de 5 o/o ad valorem.

. - On sait que les factures commerciales n'ont plus été exigées depuis fin 1929.

Les Chambres de Commerce suisses renseigneront plus complètement.

P é r o u . — F a c t u r e s c o n s u l a i r e s .

D'après une loi entrée récemment en vigueur les formulaires des factures consulaires pour des envois à destination du Pérou sont fournis par l'Etat à raison de 10 cents-or américain au profit de l'Etat; les formulaires privés ne sont plus admis. Se rensei- gner auprès des Chambres de commerce suisses.

Bureaux de Contrôle

A u B u r e a u d e c o n t r ô l e d e s o u v r a g e s d ' o r e t d ' a r g e n t d e G e n è v e .

M. Henri Piguet, chef du Bureau de contrôle des ouvrages d'or et d'argent de Genève a fêté hier, 1er juillet, le 25e anniversaire de son entrée au Bureau de Genève. Pendant plusieurs années, M.

Piguet a fait partie du Comité de la Société des Essayeurs-jurés des Bureaux de contrôle et en a été le président de 1926 à 1931. M. Piguet occupe en ce moment le poste de commissaire spécial du Bureau fédéral des matières d'or et d'argent.

Nous joignons nos sincères félicitations à celles qui k>nt été exprimées à M. Piguet par son administration, ses collègues et amis, pour la belle carrière qu'il a

fournie et nous souhaitons qu'il puisse pendant de longues années encore faire bénéficier le Bureau de contrôle de Genève de ses précieux services.

Informations

Avis.

La maison

Maximilian Spitzmann, Dusseldorf,

est en faillite. Les créanciers sont priés de nous envoyer le relevé de leur compte en triple au plus vite, afin que nous puissions produire dans les délais.

— Nous mettons en garde contre Schluep Robert, Bienne.

Sporl-Bloch, Poznan.

L'Information Horlogère Suisse La Chaux-de-Fonds. Rue Leopold Robert 42.

Douanes

S u i s s e . — C o m p t e u r s d e v i t e s s e .

Par arrêté du Conseil fédéral du 29 juin 1932, entrant en vigueur le 5 juillet courant, les compteurs de vitesse pour véhicules à moteur (pos. tarif doua- nier 924 d) seront soumis à un droit d'entrée de 500 fr. par 100 kg.

T u r q u i e . — C o n t i n g e n t s .

N" du tarit Contingentements la.«

turc Juillet Août Sept.

587 Articles de bijouterie (non

garni de pierres précieuses) : kilos

a) de platine 1 0 0

b) d'argent 1 1 1

593 Montres de poche et de bra- celet (les bracelets des montres sont séparément soumis aux droits afférents aux ma- tières dont ils sont fabri- qués) :

b) le boîtier entièrement ou partiellement en argent; en _ . écaille, en nacre, en agate,

doré ou plaqué en or ou en pièces argent (avec ou sans cou-

. . vercle) 97 3 1 c) le boîtier en d'autres ma-

tières 1075 216 80, 595 Pendules murales, pendules

de table (y compris) celles dans des cadres ou étuis, ou sur statues, à musique ou à

réveil) : ; b) les parties autres que la

machine entièrement ou partiellement en .argent, en écaille, en nacre, en agate,

plaquées en or ou en ar- kilos gent, ou dorées ou argen-

tées . . - . - . 6 15 4

• c) les parties autres que la

• machine en d'autres ma-

tières 261 815 2089 596 Horloges pour bâtiments 31 0 121 597 Machines de montres et leurs

parties (y compris les élé- importation ments simples) hors contingent 598 Baromètres, taximètres, etc.,

et àufres instruments à mou- importation vements d'horlogerie hors contingent N.-B. — L'importation des marchandises ne figurant

pas sur cette liste est prohibée.

E g y p t e . — M o d i f i c a t i o n s d o u a n i è r e s . Le « Journal Officiel » égyptien du 2 juin publie une liste des articles dont les droits de douanes sont modifiés dès le jour de la publication du décret, soit le 2 juin. Entre autres articles, les bracelets, broches, chaînes de montres, médaillons, etc. en métaux com- muns, acquitteront dorénavant 20 % ad valorem, au lieu de 15 % précédemment (pos. 886).

E t a t s - U n i s . — E x c i s e t a x e s .

Selon télégramme du Consulat général de Suisse à New-York, adressé au Département fédéral de l'Economie publique, la nouvelle loi américaine sur le revenu prévoit à son chapitre 4, article 601 c 7, un droit de 3 cents par livre sur tout article dans lequel le cuivre est le composant de valeur prédo- minante et 3/i cent par livre sur tout article dont le poids du cuivre est 4 o/0 au plus du total.

Les fabricants d'horlogerie sont donc rendus atten- tifs à ce qui précède, attendu que selon des informations sérieuses, les douanes américaines prévoient

la possibilité d'une perception des droits précités, soit de 3 cents par livre sur les boîtes de montre*

et 3/4 cent par livre sur les mouvements de montres.

I t a l i e . — S u r t a x e d ' i m p o r t a t i o n . Par décret-loi du 7 juin, sont entre autres produits exonérés du paiement de la surtaxe d'impor- tation de 15 o/o ad valorem imposée par l'art. 1er du décret royal du 24 septembre 1931, les pierres précieuses, non travaillées, inclusivement celles pour des buts techniques.

I n d e s n é e r l a n d a i s e s . M a j o r a t i o n s d o u a n i è r e s .

Selon communication de la Légation de Suisse à La Haye, les majorations douanières projetées dès février dernier pour l'importation de produits dans les Indes néerlandaises sont entrées en vigueur le 15 juin 1932.

La surtaxe douanière de 20 o/o prélevée sur les droits d'entrée primitifs est portée dès le 15 juin à 50 o/o à quelques exceptions près n'intéressant pas nos lecteurs.

Registre du commerce

Raisons sociales:

Modifications:

16/6/32. — Fabrique d'horlogerie de Fontaine melon, soc. an. (Siège à FontainemeFon), succursale du iMiuIsro/i. Raoul-Armand Goetschmann et Auguste Roulet ne font pfus partie du Cons. adm. Les sign, de Sydney de Coulon et Charles Hahn fils, sont éteintes.

18, 6'32. — Fabrique d'horlogerie de F ontainemelon, soc. an., Fontainemefon. Raouf-Armand Goetsch- man et Auguste "Roulet ne font pfus partie du Cons. adm. La sign, de Sydney de Coufon comme fondé de procuration est éteinte.

21/6/32. — Millier et de, soc. n. coll., fabrication de 6oîtes or, Renan. La procuration conférée à Jean Meyer est éteinte.

27/6 32. — Ed. Kummer A. G. Ariston Inventic Uhrenfabrik Bettlach (S. A. Ariston Inventic Ma- nufacture d'horlogerie de Bettlach) (Ltd. Ariston Inventic Watch Co. Bettlach (S. A. Ariston Inven- tic Fabbrlca d'orologeria di Bettlach). Est nommé comme nouveau membre du Cons. adm. sans sign, sociale Sidney de Coufon, de Neuchâtel.

24/6,32. — Matières Lumineuses S. A., Bienne. La procuration conférée à Dile. Anna Tschetter est radiée.

27/6 32. — R. Meuslin & Co., soc. n. coll. (siège à St-Imier, achat et vente d'outils, fournitures d'hor- logerie), ont ouvert une succursale à Bienne, Rue Dufour 44.

Radiations:

21/6 32. — Groupement des employeurs de l'indus- trie horlogère, Le Noirmont.

21/6 32. — Paul Junod, horlogerie, bijouterie, or- fèvrerie, réparations, Neuchâtel.

23/6/32. — Oscar Helfer, fabrique de cadrans métal et émail, Ce Locle.

25/6/32. — Joseph Rudolf, fabrication d'horlogerie, Neuchâtel.

25/6/32. — Montres Juwil, société anonyme (Juwil Watch Limited), Bienne.

Concordat.

Prolongation du sursis concordataire.

« Novos » Watch Ltd. S. A., Lugano. Le sursis est prolonge de deux mois, Passembrée des créan- ciers reportée au 2 septembre 1932.

Dessins et Modèles

Prolongations:

No. 40008. 16 décembre 1926, 17 h. — "(Ile pé- riode 1931-1936). — 1 modèle. — Calibre de montres. — Agassiz Watch Co. S. A., St-Imier (Suisse). Mandataires: Bovard et Co., Berne; enregistrement du 8 février 1932.

No. 40370. 26 février 1927, 13 h. — (Ile période 1932-1937). — 1 modèle. — Calibre de montre.

— A. Michel A.-G., Grenchen (Suisse). Manda- taire: W. Koelliker, Bienne; enregistrement du 11 février 1932.

No. 40476. 24 mars 1927, 20 h. — (Ile période 1932-1937). — 1 modèle. — Calibre de montre.

— Manufacture d'horlogerie Pretto S. A. (Pretty Watch Co. Ltd), Bienne (Suisse); Mandataire: A.

Bugnion, Genève; enregistrement du 17 février 1932.

No. 40477. 24 mars 1927, 20 h. — (Ile période 1932-1937). — 41 modères. — Bride et crochets de ressorts de barillet; calibres de montres. — Fabrique d'horlogerir La Glycine, Bienne (Suisse).

Mandataire: A. Bugnion, Genève; enregistrement du 16 février 1932.

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N-50. illet 1932 L A F E D E R A T I O N H O R L O G E R E S U I S S E 271

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