Séminaire Dubreil.
Algèbre et théorie des nombres
J EAN C ELEYRETTE
Dualisation dans les algèbres abstraites
Séminaire Dubreil. Algèbre et théorie des nombres, tome 22, n
o1 (1968-1969), exp. n
o12, p. 1-11
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12-01
DUALISATION DANS LES ALGÈBRES
ABSTRAITES
par Jean CELEYRETTESéminaire DUBREIL-PISOT
(Algèbre
etThéorie
desnombres)
22e
année, 1968/69,
n° 12 10 mars1969
1.
Généralités
sur lesalgèbres
ahstraites.Une
algèbre abstraite ’~
est uncouple noté ~)
oùA , support de
est un ensemble non
vide
p et Z est une familled’opérations
sur Aportant
surun nombre fini de variables. Une
sous-algèbre 03B2
=(B , Z>
deA , Z>
est un
couple
pourlequel
B est unepartie
non vide deA
~ stable pour tout fde ~ $
Une
congruence C de U
= est uneéquivalence définie
surA ,
telleque pour tout f de Z
(supposée
à nvariables)
et toutsystème
de 2n
éléments
deA , l’hypothèse
x. -.- y.(C)
pour i =1 ,
... , n entraîne1 1
On
appellera opérations composées
à nvariables,
lesapplications
deA
dans Adéfinies
comme suit :Ci)
Lesprojections e~ ( j
=1 , 2 ,
... ,n) ,
définies parn
sont des
opérations composées
à n variables.(ii) Si ... , , p sont
desopérations composées
à n variables,
et f uneopération à q variables,
... ,p ~ f définie
parest une
opération composée
à n variables.(iii)
Onobtient,
par( i )
et(ii),
toutes lesopérations composées
à n varia-bles. Leur ensemble est
noté
9 .Une
opération
à 0 variable consiste àdésigner
unélément.
Si S est une
partie
de.à y
il existe unesous-algèbre
minimum contenant S .Son
support
est des ... yx~)
décritN . gn
décritgn ,
et ... ,x
sont deséléments
deS , quelconques.
On montre que la fanille des
sous-algèbres
d’unealgèbre 2(
forme une famille deMoore
algébrique,
donc u-inductive.On
appellera translation,
uneapplication
de A dans Aobtenue à partir
d’uneopération (composée ou non)
, en fixant toutes les variables sauf une. Etantdonnée l’algèbre ~ = (A ,
nousnoterons S
la famille desopérations
compo-sées, H
celle destranslations, 1
ledemi-groupe
unitaireengendré
parK .
Une
équivalence
sur A est une congruence sur(A , ~~ si,
et seulementsi,
c’ estune congruence sur
?. ) . (Remarquons
que toutes lesopérations
deA , 1>
sont
à
une variable. On dit quel’algèbre
estunaire.)
S’il existe une
bijection
entre les famillesd’opérations F
et 5’ de deux al-gèbres U = (A , Z>
etN.’
=(A’ , Z’>
conservant le nombre de variables desopé- rations, à
etït’
sont dites demême type.
Nous utiliserons lamême
notation pourdésigner
deuxopérations homologues
dans labijection précédente.
Uneapplica-
tion co de A dans A’ est alors un
homomorphisme
(le; ?t ==~A , ~~
dans~’ ~
~A’ ~ S) si,
pour tout f(supposée
à nvariables)
et toutx2 ,
... ,x~
dansA,
Les classes
d’algèbres
dont nousparlerons
sont des classesd’algèbres
demême type qui, lorsqu’elles
contiennent unealgèbre,
contiennent toutes sesimages isomorphes.
Pour toutes ces
notions,
voirC 3~
parexemple.
A toute
image homomorphe
d’unealgèbre 1
nous feronscorrespondre, dualement,
le noyau de
l’homomorphisme,
c’est-à-dire sa congruencenucléaire. C ’est pourquoi,
à la f ermeture de Moore : X ~ X
(de P(A)
surS(U) ,
ensemble dessous-algè-
bres nous pouvons faire
correspondre l’application R
’2014>(K(de
l’ ensemble deséquivalences
de A sur l’ensemble C(A) des congruencesde X ) qui
àune
équivalence
~, associe laplus grande
congruence ~~ contenue dans~.. C(A)
étant
un sous-treilliscomplet
de R existe pourtout R ;
c’est le pro- duit transitif des congruences contenues dans R . On ditque R
estanalysée
par~t
~ cf . ~ ~ ~~ .
Si
K
est ledemi-groupe unitaire, précédemment défini,
on montreaisément
que R estdéfinie
par~t ~S~ ~~ ~-~
D’autre
part,
les relations R ~R ,
R ~S , (R == ? y
montrentque
l’application précédente
est une fermeture de Mooreinversée.
On aSi
S , partie
deg ,
est telle que S= U ,
on di t que Sengendre 3..
Duale-ment,
nous dirons quel’équivalence
Ranalyse 1
si R estl’égalité dans U .
Toute
algèbre 1
a au moins unepartie génératrice (A)
et uneéquivalence analy-
sante
(l’égalité dans 1 ).
2. Produit direct, Produit libre.
( a)
Etantdonnée
une famille(Ui)i~I d’algèbres
demême type,
onpeut définir
sur le
produit cartésien 03A0 A,
une structured’algèbres
demême type,
endéfi-
nissant les
opérations compos ante
parcomposante
defaçon
habituelle.L’alèbre
ainsiconstruite,
notée11 51. y
estappelée produit direct
"(complet)
des
?~i .
Si une classe I~ contient leproduit
direct de toute familled’algèbres
nous dirons
qu’elle "admet
lesproduits directs ",
et nous noterons K.Il est clair que, dans une classe K contenant le
produit
direct d’une famille(Ui)i~I 4’ algèbres
de’K y ÎÎ Ui
a lapropriété
universelle habituelle. Laré- ciproque
n’est pas vraie : La classe T des groupes de torsion contient un groupeayant
lapropriété
universelle pour toute famille(Gi)i~I
deT ,
mais n’admetpas les
produits
directs([1] et [4]).
(b)
Ondéfinit également
leproduit
libre d’une familled’algèbres. U
est pro- duit libre dans K desalGè bres
si :Il existe pour tout i
homomorphisme injectif y. : tl,
->1 ;
1 l
e s t
engendrée
p ar~
1.E1 i i
(iv)
Si D est unealgèbre
de K etsi,
pour touti ~ c~. ~ ~
--~~3
est urlhomomorphisme,
il existe alors unhomomorphisme 03C6 : U ~ E
tel que03C6i
= (p oLPour
despropriétés
et des conditions suffisantes d’existence duproduit libre,
voir
et [4].
Si K contient leproduit
libre de toute familled’algèbres
deK ,
nous dirons que K "admet lesproduits libres ",
et nous noteronsPL~K~ ~ ~L . ~
3. Algèbres
libres(voir ~2 ~ et [4]).
(a) I s partie
dusupport A de U ,
est unepartie
libre de U relativement àune
classe K (contenant U ),
si touteapplication
de I dans unealgèbre quel- conque D
de Kpeut être prolongée
par unhomomorphisme
de lasous-algèbre
sdans On montre que cet
homomorphisme
estunique.
La famille des
parties
libres est u-inductive. Il existe donc desparties
libres maximales. De
plus,
toutepartie
d’unepartie
libre est libre.(b)
Unealgèbre U
est dite libre de base X sur une classeK ,
si :(iii)
X est unepartie
librede U
relativementà
K.( c)
Onmontre ([4]) qu’il
y aéquivalence
entre :(i)
Il existe une classe K surlaquelle 3[
est libre de baseX ;
(ii)
Il existe une classe K telle queS(K~ ~ K ( K
contient toutes les sous-algèbres
de sesalgèbres) , i~(K~ ~
K( K
contient toutes lesimages homomorphes
de ses
algèbres), K ,
surlaquelle 1
est libre de baseX ;
est
libre,
de baseX,
sur la classeréduite
à(ï) .
(d)
BIRKHFFF aétabli
l’existence(et donné
uneconstruction) d’algèbres
libressur toute classe K telle que :
K , K,
K . Deplus,
deuxalgèbres
libres sur unemême
classe de bases X et X’équipotentes,
sont isomor-phes.
(e)
On montre que toute base d’unealgèbre
libre est unepartie
libre maximale etun
système générateur
minimal. Lesréciproques
sontévidemment
fausses(voir
laclasse des
A-modules
àgauche).
(f) Enfin,
si dans la classe K existe unealgèbre finie,
deux bases d’unemême
algèbre
ontmême
cardinal.Pour résoudre le
problème général
des cardinaux des bases d’unealgèbre libre,
y on a recours à unthéorème d’échange i
Si
1 ==1
u J(I0
n J =Ø)
est une basede U ,
et siI ,
est unepartie
libre telle queI’ = I1 ~ J
est une autre basede U .
La
plupart
de cespropriétés peuvent
êtredualisées.
Malheureusement les raisonne- ments seront faits sur desalgèbres
dont lesopérations
sont à unevariable,
ou"algèbres
unaires ".4.
Définition
et existence des universels avec~-analyse.
(a)
Unecongruence C (A y Z>
est "universellementanalysée"
sur uneclasse
K,
parl’équivalence R
deA ,
si :t
(iii)
Pour toutealgèbre D
de K et touteapplication
f de B dansil existe un
homomorphisme
03C6de B
dans telque f
o cp(où
rr est lasurjection canonique U/C ~ U/R ).
L’algèbre ~t
est un ’Universel avec~-analyse"
surK,
si :(iii) IdU
est universellementanalysée
par(b)
L’existencepeut
se montrer enadaptant
un raisonnement deGreen ([5]) .
Ilest clair que les congruences d’une
algèbre unaire A = (A , S)
et que les homo-morphismes de 1
dans B =(B ~ ~~
sont les congruences def
=(A , ~. )
et leshomomorphismes
de~t
dans ~3’ =(B , ~ ~ (voir § 1) .
Nous supposerons donc dans la suite que la familled’opérations
est undemi-groupe
unitaire F ’Soit N un ensemble. Posons
(avec
~~I = N pour touts ).
On munit U d’une structure de¿-algèbre
pars
On pose U =
(U £) ( (pu)
u est lau-ième composante
de uaé
est la
composante
deu ).
1° ~ est alors un
demi-groupe
unitaired’opérations
pour tl. Eneffet,
pour tout ade 03A3 , tout de 03A3 , tout
vde £ ,
tout u deU ,
Si i est
l’unité
deF , ~i~u~ ~ -
u .a ce
2°
L’équivalence nucléaire ~.
de laprojection analyse
~.. Si G1
est une
¿-congruence
contenue dans~. ~
et si u ~v ~ ~~ ,
pour tout a deI ,
1
ou ~ 03C3v (C) , soit ou = csv
(Qi) .
Donc(au).
=(av). ,
soitu.
=v..
Fina-"
1 1 1 ic ia
lement,
pour tout Q de~ ,
u = v , soit u = v .z a
=
3°
Toutdiagramme
où est la
surjection canonique,
et D unealgèbre
d’une classecontenant ~ , peut
être rendu commutatif par unhomomorphisme
-~ Il existe unebijec-
tion
canonique
entre et Soit co. l’application
de 03B2 dansNi
cor-respondant
à f .Pour tout s on
définit
(D s :
03B2 20145> Ns par os(b) = 03C61(sb) .
Cecidéfi-
nit une
application unique m :
03B2 ~ Uqui
rend commutatif lediagramme ( 1),
etqui
est tel queIl reste à montrer que 03C6 est un
03A3-homomorphisme.
(c)
Lamême démonstration peut
se faire àpartir de Q ,
aoù
a est unélément
inversible à droite de £ .
Il suffit donc de raisonner dans le cas d’un
demi-groupe
unitaire Eayant plu-
sieurs
éléments
inversibles àdroite,
pour obtenir ununiversel, universellement
analysé
parplusieurs équivalences.
5. Propriétés
des universels sur des classesd’algèbres
unaires.PROPOSITION 1. - y a
équivalence
entre :(i)
U =S)
est universel avec~--analyse
sur une classeK ;
(ii)
U =(U , X)
est universel avecR-analyse
sur la classeréduite à (U) ; (iii)
U =E)
est universel avecR-analyse
sur une classeK !
telle queIl suffit de montrer que
(i)
=>(iii) .
On voitimmédiatement qu’on peut
seramener au cas où
K ,
K .Si
03C8(03B2)
estimage homomorphe
d’unealgèbre 13
deK,
et si g est uneappli-
cation de dans il
existe Ç homomorphisme
de 03B2dans U ,
tel que*% ~ 6
a ~,~ . Si b etb 1
de r~ ontmême image par ;,
on a, pour tout (yC,
se factorise et il existe03B6’ (qui
estévidemment
unhomomorphisme)
tel que
(,
=CI o ~ .
Nous
parlerons
doncd’universel
sanspréciser
surquelle
classe.PROPOSITION 2
(Unicité). -
Si Uet
U’ sont deux universels sur unemême
classeK ,
avec ~-(resp. !n’- ) analyse,
tels queju/Tt
= IL et U’ sontisomorphes.
Le
diagramme
où j et j
sont deuxbijections réciproques,
montrel’existence
de deux homo-morphismes
8 et 03C6 tels que 03B803C6 = et03C0R
03C603B8 = On endéduite
PROPOSITION 3 (Unicité
del’homomorphisme 03C6 associé
àune application
f don-née de B dans U/R ). -
Si 03C6 et 03C8sont deux homomorphismes dans U ,
tels
comme précédemment, 03C6 = 03C8 .
PROPOSITION
4. -
Si tt est un universel avecN-analyse,
et si R’ est uneéquivalence contenant R , R’ analyse
universellement une congruence C .Utilisant la
surjection canonique r :
- on associe à touteapplica-
tion f d’une
algèbre
03B2 dans uneapplication g
de D dans telle que 03C0 o g= f ,
etl’homomorphisme Ç
dans U tel que = g .Posant C =
~’ ~
on montreaisément
que, si estl’homomorphisme surjectif canonique
de U surU/C ,
03C0P oC
estl’homomorphisme qui
rend commutatif lediagramne
suivant :( n’ surjection canonique) .
PROPOSITION
5. -
Si1 ~ équivalence analyse
universellement !n est maxi- maleparmi
leséquivalences qui analysent
îi .Si une
équivalence
Mcontient R ,
soientN1
etN2
deux ?-classes conte-nues dans une ~2~classe. Soit une
application
telle que si b de D estfixé,
etf(x)=N2 (pour x ~ b ). L’homomorphisme 03C6 : 03B2 ~ U
qui
rendcommutatif
lediagramme
est tel que, pour tout a
PROPOSITION
6. - Si
~tanalyse
universellementU
y TIest minimale parmi
leséquivalences
de ~~qui analysent
universellement des congruences de U .Si alors
~’ ==
Id . Il existe alors uneapplication
1à
laquelle
on nepeut
associerd’homomorphisme de ~
dans U. Il suffit de consi-dérer
fqui
envoie unélément
de D surune R’-classe,
et les autres sur uneautre R
’-classe,
contenue dans la même fi-classe. Ladémonstration précédente s’applique
alors.6.
Diverseséquivalences analysant
universellement un universel(les algèbres
sentunaires).
Une remarque
précédente
amontré qu’un
universelpouvait
admettreplusieurs équi-
valences
l’analysant
universellement.PROPOSITION 1. - Si une
algèbre U = U , T)
est un universel sur une classecontenant une
algèbre finie,
deuxéquivalences M et R analysant
universellement U sont tellesque =
Soit D
unealgèbre
finie de K. On a~)
= p . Il est clair quel’ensemble
deshomomorphismes
de 03B2 dans U estéquipotent
àl’ensemble
desapplications
de33 dans
U/R (cardinal : |U/R|p ),
ou à celui desapplications
de D dansti/R
DE U =
(U , 03A3>
étant un universel avecB-analyse
sur uneclasse
K ,
telle queP(K) ~ K ,
et M deuxéquivalences
telles quer~
5l
une équivalence analysant universellement
Ti= !!R == C ~
alors nanalyse
universellement Uet
n x(La démonstration
est lamême avec 03B2 ~ Id
analyse
universellement ‘~( sur
K telle queK ) , et
siK
et m sont
deuxéquivalences,
tellesue U/03B2 ~ U/
x U estisomorphe à
Puisque K ,
il suffit de montrerqu’à.
toutcouple d’homomorphismes
c? : ~S ~~ et ~ -2014i>
t)/M ~
onpeut
associer unhomomorphisme unique
rendant commutatif le
diagramme :
Soient
03C0M : U/M
~U/M
etU/
~ U/ lessurjections canoniques
habi-tuelles. Posons f =
03C0
. o 03C6 ,f1 = 03C0M
p03C61 .
Ellesdéfinissent
uneapplication
g ; 03B2 ~
U/03B2 .
SoitÇ l’homomorphisme correspondarlt de 03B2
dans U . Montronsrépond
â 1 aquestion.
On a03C0 03C0 03B6(b) = 03C0 03C6(b)
pour tout b de " .Alors (~ 03C3 ~ 03A3) , (~
b ~03B2) , 03C0 03C303C0 03B6(b) = 03C0 03C3(b) .
L’unicité de Ç
estévidente,
car s’il existe~’ ayant
la mêmepropriété,
Démonstration théorème
de 1 et Manalysent
universellementet (prop. 4, § 5).
1
’application
rendant commutative lapartie gauche.
Lesapplicatians : xt ~ ~ :
~3 .-~‘~~ ~ 6’ ; ~ -~’~~, i permettent
dedéfinir
Le lemme montre que
~;
x xU/5 .
D’où = congruence uni- verselle. Finalement n xIl reste
à
montreranalyse
universellementSoient a
uneappli-
cation de B dans n
03C0n
lasurjection canonique
de nK)
surest universellement
analysée par n ,
il existe donc un homomor-phisme h : 33 ’2014>
rendant commutatif lapartie
droite dudiagramme :
Soit h
l’homomorphisme
de B dansU , associé
à s .(a)
Lesdéfinitions
de s et de h montrent que lediagramme
ci-dessous estcommutatif :
(b)
Lapartie
droite dudiagramme
ci-dessous estcommutative, d’après
ladéfini-
tion de a’ .
On montre aisément
03C0CM03C0C
h .L’unicité
del’homomorphisme
de Ddans
t/C associé
àa ’
montre queh -
h .(c)
Soit lasurjection canonique
U --~.t/(~ n ~~) . Utilisant
la commuta-tivité
desdiagrammes précédents,
on montre que cr et h ontmêmes
compo- santes sur et donc scntégales.
Remarque. -
Onpeut
alorsétablir
que, si un universel U est universellementanalysé par R et B
telles que divise il existe uneéquivalence
telle
que
~.1
, et uneéquivalence ~~ ,
telles queOn
peut
alors montrer que, si Met ? vérifient
les conditionsprécédentes,
etsi n
analyse
universellementU,
les cardinaux desensembles-quotients,
corres-pondant
auxéquivalences analysant
universellement forment desprogressions géométriques.
BIBLIOGRAPHIE
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COHN(P. M.). -
Universalalgebra. -
NewYork, Harper
andRow, 1966 (A Harper
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Universalalgebra (à paraître).
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GREEN(J. A.). -
Aduality
in abstractalgebra,
J. London math.Soc.,
t.27, 1952,
p.64-73.
(Texte
remis le 17 mars1969)
Jean CELEYRETTE Ass. Fac. Sc. Paris
63
avenue des Lacs94 -
12-11