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Colloque international sur les solutions solides métalliques - Organisé au Laboratoire de Physique des Solides de la Faculté des Sciences, à Orsay, du 9 au 11 juillet 1962

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Texte intégral

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HAL Id: jpa-00236642

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236642

Submitted on 1 Jan 1962

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Colloque international sur les solutions solides

métalliques - Organisé au Laboratoire de Physique des Solides de la Faculté des Sciences, à Orsay, du 9 au 11

juillet 1962

A. Guinier

To cite this version:

A. Guinier. Colloque international sur les solutions solides métalliques - Organisé au Laboratoire de

Physique des Solides de la Faculté des Sciences, à Orsay, du 9 au 11 juillet 1962. J. Phys. Radium,

1962, 23 (10), pp.593-593. �10.1051/jphysrad:019620023010059300�. �jpa-00236642�

(2)

LE JOURNAL DE PHYSIQUE

ET

LE RADIUM

COLLOQUE INTERNATIONAL

SUR LES SOLUTIONS SOLIDES MÉTALLIQUES

Organisé au Laboratoire de Physique des Solides de la Faculté des Sciences,

à Orsay, du 9 au 11 juillet 1962

Tome 23

ne 10 OCTOBRB 1962

AVANT-PROPOS On peut dire quel métallurgie est l’art de pré-

parer et d’utiliser les alliages métalliques car on ne

sé sert pratiquement pas de métaux purs, dont les

qualités sont généralement insuffisantes.

L’élément essentiel de l’alliage est la solution solide, c’est dire l’intérêt technique que présente

l’étude des solutions solides ; mais en outre celles-ci

ouvrent aux physiciens du métal un très large champ d’expérience. On peut préparer des alliages

en nombre quasi-infini, non seulement en faisant

varier leur composition, mais aussi par des trai-.

tements thermiques de plus en plus complexes Ainsi, le théoricien peut souvent trouver une solution solide pour vérifier telle ou telle de ses prévisions.

Les propriétés que l’on mesure sur les solutions solides sont si variées, souvent si différentes de celles des métaux purs, qu’il est devenu rapidement

évident qu’une théorie ne pouvait prendre comme

base le schéma simpliste de la solution solide idéale.

Les atomes étrangers introduits dans une matrice sont modifiés, par cela même, dans leur structure électronique. Les électrons, dits libres, des métaux

doivent ressentir la diversité des atomes aux

noeud du réseau. Ce réseau même d’ailleurs n’est

plus strictement périodique ; il est influencé non,

seulement par la composition globale mais par la

répartition des différents atomes entre eux (des dé-

formations locales se produisent, etc...).

Ce problème de la solution solide, à la fois théo.

rique et expérimental, est étudié dans de nombreux laboratoires et J. Friedel, P. G. de Gennes et moi-

même, nous avons pensé que le moment était

opportuù de faire le point, en réunissant des phy-

siciens qui étudiaient les mêmes alliages à des

points de vue très variés. Nous avons immédia-

tement reçu de nombreux encouragements de la part de collègues étrangers, et c’est ainsi qu’est née

l’idée d’un Colloque international consacré aux

solutions solides métalliques.

Notre jeune laboratoire de Physique des Solides

d’ûrsay pouvait constituer un bon germe pour une telle réunion, puisque de nombreux et très divers travaux y sont relatifs aux solutions solides.

Monsieur le Directeur Général Coulomb a bien voulu approuver notre projet et accepter d’en faire

un Colloque du Centre National de la Recherche

Scientifique. Nous voudrions ici lui exprimer notre grande reconnaissance de nous avoir permis de réa-

liser notre idée dans les meilleures conditions, et

nous adressons nos très vifs remerciements aux Services du C. N. R. S., près desquels nous avons toujours trouvé une aide à la fois aimable eL effi- cace, tant pour l’organisation du colloque, que pour la publication des communications. Notre gratitude

va aux nombreux auteurs étrangers et français, qui

nous ont réservé d’importants mémoires et qui se sont, de très bonne grâce, imposés de nous donner

leur manuscrit à la date fixée. En6n nous remer-

cions le Journal de Physique d’avoir accepté de publier ces rapports et de l’avoir fait dans un délai

très court.

A. GUÏNIER.

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphysrad:019620023010059300

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