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F. KOHLRALSCH. — Ueber das elektrochemische équivalent des Silbers (Sur l'équivalent électrochimique de l'argent); Annales de Poggendorff, CXLIX, p. 170, 1873

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236993

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236993

Submitted on 1 Jan 1874

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F. KOHLRALSCH. - Ueber das elektrochemische équivalent des Silbers (Sur l’équivalent électrochimique

de l’argent); Annales de Poggendorff, CXLIX, p. 170, 1873

E. Mascart

To cite this version:

E. Mascart. F. KOHLRALSCH. - Ueber das elektrochemische équivalent des Silbers (Sur l’équivalent

électrochimique de l’argent); Annales de Poggendorff, CXLIX, p. 170, 1873. J. Phys. Theor. Appl.,

1874, 3 (1), pp.351-356. �10.1051/jphystap:018740030035101�. �jpa-00236993�

(2)

tille

peut

par ses deux moitiés et aiit rem-

placer

deux lentilles

identiques

1

source de lumière celle qui est envoyer âr une

traversée par les rayons

parallèle.,-

du Soleil, et si l’en

place trajer une lentille achromatique, on obtiendre facileament une

nette de la fente sur un éran

placé

au fover

conjugue

de la

Interposons

maintenant entre le lemilleet

tout pres de

cette dernière, deux

prismes

dont les arètes sont distingués

lement, l’un

servant de support à l’autre il est

par llll morceau

de carton); puis

élevons ou abaissons simultmément

ces

prismes,

de

façon

que chacun deux recoive la moitié du fais-

ceau incident : cc dernier sera devié de sa direction

première

et une

tombera

plus

sur la

lentille.

On

déplace

alors celle-ci

jusq’u ce que

le faisceau la traverse de nouveau) tout en la maintenant à la même distance de la fcntc. On voit alors chacune des moitiés de la lentille éclairée par ul

petit

spectre

qui

deviendra

très-pur

sur un écran

placé

dans la nouvelle direction des rayons déviés et a la même distance de la lentille que celui

qui

recevait au commencement de

l’expérience l’image

de la fente. On continuera

alors à disposer 1 expérience

en

interposant

l’écran au, dt’U’ fentes et lez

prisme,

comme il a été dit tout d’abord.

F. KOHLRALSCH. 2014 Ueber das elektrochemische équivalent des Silbers (Sur l’équivalent électrochimique de l’argent); Annales de Poggendorff, CXLIX,

p. I70, I873.

L’intensité absolue d’un courant étant déterminée par une bous- sole des tangeiites et des observations d’intensité horizontale du

magnétisme

terrestre, on a

pesé l’argent déposé

d’une dissolution à 15 pour 100 de bitrate

d’argent

et

trouvé,

pour le rapport du

poids (en milligrammes)

a

l’intensités

les nombres

.,11360, 0,11365, o, i 1363.

En

adoptant 107,93 comme équivalent

de l’ugent, on arrive à

0mm,009476

pour le

poids

de l’eau

décomposée

par le courant d in- tensité i en une seconde. Examinant ensuite les nombres tiuuyés

autérieurement,

et discutant les valeurs des iintensités magnetiques

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018740030035101

(3)

admises par les divers auteurs, M. Kohlrausch ratifie comme suit la liste donnée par M.

Terquem (t.

I de ce

Journal) :

Il résulte clairement de ces chiffres que l’incertitude

qui règne

encore sur le nombrc véritable vient des erreurs inévitables sur

l’intensité du

magnétisme

terrestre, et montre la nécessité de les

contrôler,

comme l’a fait 31.

Cazin,

par d’autres

procédés.

A. POTIER.

LUNDQUIST.2013 Sur la réflexion de la lumière à la surface des corps isotropes.

(Présente à la Société Royale des Sciences d’Upsal le 6 décembre 18,3.) Le

problème

de la réflexion de la lumière a été

déjà l’objet

d’un

grand

nombre de travaux, tant au

point

de vue

théorique qu’au point

de vue

expérimental ;

c’est dire que la

question présente

de

grandes

difficultés et n’a pas encore été résolue d’une

façon

entiè-

rement satisfaisante. Le Mémoire de M.

Lundquist

renferme d’abord

un

historique

étendu et très-savant des différentes tentatives de tliéorie

proposées successivement,

et un résumé des résultats fournis par l’obscrvation.

Il y

aurait bien certaines réserves à faire à propos de

quelques opinions

émises par M.

Lundquist

sur la

théorie,

mais il

faudrait,

pour

cela,

entrer dans des détails que ne

comportent

pas les limites d’une

analyse ;

néanmoins cette

première partie

du Mé-

moire

préscnte

un

grand intérêt,

et sera lue avec

profit.

On sait que la théorie de Fresnel rend

compte

d’une manière à peu

près complète

du

phénomène

de la réflexion à la

surface

des corps

transparents

et

isotropes ; mais,

sans insister sur l’insuffisance de certains

raisonnements,

on

pourrait prévoir,

par l’examen des

phénomènes, qu’il

doit rester dans la théorie

quelques points

dou-

teux. Si la lumière incidente est

polarisée

autrement que dans l’un des azimuts

principaux,

c’est-à-dire dans un

plan qui

ne soit ni

le

plan d’incidence,

ni un

plan perpendiculaire,

la lumière réfléchie est, pour les rayons voisins de la

normale, polarisée

dans un

plan

symétrique

du

plan primitif

par

rapport

au

plan

d’incidence. Les.

(4)

rayon

s écartant de

plus

en

plus

de la

normale,

le

plan

(le

prjaii-

sation des ravons réiléchis se

rapproche

du

plan

d’incident jus-

qui a l’incidence

de

polarisation compète

et s’en écarte ensuire de

l’autre coté, de manière à se confondre avec

le primitif pour

la lumière rasante. A ce

point

de vue, le

phénomène

est

continu,

niais la discontinuité ce manifeste si l’on considère la différence de

pliase

des ray ons

polarisés

dans les deux directions

principales:

1 azimuts zéro et l’azimut yu

degrés,

Il

résulte,

en

etlet,

de cette ro-

tation continue du

plan

de

polarisation,

que la ditlërence de

phase

des rayons

polarisés

dans les deux aazimuts

pricipaux

est d’abord

nulle

jusqu’à l’angle

de

polarisation,

c’t devient ensuite

égaie

à une

demi-circonférence

jusqu’à

l’incidence rasante. Cette variation

brusque

de la différence de

phase

ne

parait

pas conforme aux lois de continuité des

phénomènes

naturels. M. Jamin a

montre,

en

eilèt,

que la

polarisation

par réflexion n’est

jamais

absolue. et que la différence de

phase varie,

en

réalité,

d’une mùaniere

continue, quoique très-rapide

pour certaines

incidences, depuis

zéro

jusqu’à x;

et il a

appelé

incidence

principale celle correspond

à une diffé-

rence de

phase égale

à z’ 2 la reflexion étant

positive

ou négative

suivant que le retard

porte

sur l’um ou 1 autre des ray on

princi-

paux. Ces résultats de M. Jamin sont d’ailleurs entièrement con-

formes à ceux que donne la théorie de

Cauchy.

La réflexion

métallique

dillère de la réflexion sur les corps trans-

parents

par deux caractères : l’intensité des rayons réfléchis pour la lumiirc

polarisée perpendiculairement

au

plan

d’incidence n’est

jamais très-faible,

et la dinerence de

phase

se manifeste dès que l’on

quitte

l’incidence normale pour varies d’une manière lente

jusqu’à

l’incidence rasante, ou elle est encore d’une demi-circon-

férence. Ici la théorie n’a encore atteint le même

perfection

que pour les corps

transparents ,

mais par des considérations que

bous ne pouvons

développer,

Cauchy a été conduit à attribuer aux

métaux un indice de réfraction variable avec l’incidence, cet in-

dice,

pour l’incidence

principale,

étant d’ailleurs un peu

plus petit

que

celuidue

donnerait la loi de Brexster M. Jannin a vérité aussi que la théorie de

Cauchy

pour la réflexion

métallique

rend un

compte

suflisant des

phénomènes;

il a constaté., en outre, ce que ne faisait pas

prévoir

la théori, que l’incident

principale

va en décroissant

(5)

354

du rouge au

v iolet,

c’est-à-dire que l’indice de rétraction irait en

décroissant du rouge

au violet,

et que les métaux

posséderaient

une

dispersion

anormale.

Enfin certains corps, en

particulier

ceux

qui présentent

le

phé-

noniéne de la coloration

superficielle,

se

comportent

comme les corps

transparents

pour certaines couleurs et, pour

d’autres,

comme

s’ils étaient

métalliques. Cettepropriété

a été

constatée,

par

exemple,

sur le fer

oligiste

et

l’indigo

par M. Van der

Willigen :

l’incidence

principale

pour les couleurs il faible réflexion

augmente quand

la

longueur

d’onde

diminue ;

mais cette incidence

augmente

avec la

longueur

d’onde pour les couleurs vis-a-vis

desquelles

ces substances

présentent

un

grand pouvoir

réflecteur. 31.

Lundquist

s’cst pro-

posé

d’étudier à ce

point

de vue les couleurs

d’aniline,

dont il a été

tant

question

dans ces dernières

années, depuis

que M. Christianscn

a annoncé leur

dispersion

anormale.

Pour obtenir une surface

parfaitement polie

avec ces substances

cristallines,

M.

Lundquist

les

dépose

par couches successives sur la face

hypoténuse

d’un

prisme

de crown

rectangle

et

isoscèlc.

Il a sur-

tout

opéré

sur la

fuchsine,

en

déposant

sur le

prisme

une solution

concentrée d’acétate de

rosaniline, mélangée

d’une certaine

quantité

d’arsénite

de même base pour

empêcher

la cristallisation. Le

dépôt

était abandonné

quelque tcmps

à

lui-même, puis

recouvert d’a il

vernis.

Le

rapport

des

amplitudes

des rayons

principaux

et la différence

de

phase

ont été déterminés par la méthode de M.

JaIlli11; l’appareil

était

d’ailleurs

éclairé par la lumière

prise

dans un

spectre

pur.

Voici

quelques-uns

des résultats pour des raies définies dont les lon- gueurs d’onde Y, sont

exprimées

en millionièmes de millimètre :

(6)

On

voit,

par ce

tableau,

que l’incidence principale A croit d’abord du rouge

au jaune

pour décroitre

ensuite,

et demeure à peu

près

constante dans

l’indigo

et le violet. La

ligne

sui, aiite donne les

valeurs de

l’angle O,

dont le carré de la tanger

port

des

pouvoirs

réflecteurs pour la lumière

polarisée

àaii, un

plan perpendiculaire

ou

parallèle

au

plan

d’incidence.

On

voit,

par

li1,

(lue la substance se comporte comme un d

transparentpour

les rayons

les moins réfrangibles

et romme un metal pour lcs autres. La

dispersion serait,

en effet

normale pour

les raies

B et

C,

et anormale du

jaune

an violet. Les valeurs de nn

qui donc

nent l’indice de réfraction par

rapport

an crown pour les

normaux conduiscnt aux mêmes

conséquences.

M.

Lundquist vérifié,

en outre, que les résultats relatjis aux

raies D, E,

F. l. V.

pour les incidences

comprises

entre zéro est 60

degrés,

peuvent être

représentés

cxactement par les formules de la réflexion

métallique,

et que les lois de la réflexion sur les corps

transparents

conviennent

parfaitement

pour les raies B et C. Enfin LI réflexion sur la surface

de

séparation

du crown et de la fuchsine est

négative

pour les rayons rouges, tandis que,

quand

la réflexion a lieu dans l’air sur la

fuchsine,

elle est

positive

pour toutes les couleurs. On peut d’ail- leurs

partir

des valeurs de A et de O obtenues à la réflexion dans l’air sur la fuchsine pour calculer les valeurs des mêmes

quantités

relatives à la rénexion dans lc crown; la concordance des résultats ainsi obtenus avec ceux due donne l’observation est aussi satis- faisante que le

comporte

la diilérencc des coiiditioiis du ces deux

expéricnces .

M.

Lundquist

a mesuré encore le

pouvoir

réflecteur de la fuchsine pour la lulniére

polarisée

dans la scction

principale,

en modifiant

un peu la méthode de M. Jamin. La lumière incidente passe d’abord par un collimateur muni d’un

prisme

de Rochon, qui fournit deux faisceaux voisins : l’un d’eux tombe sur la surface nue du

prisme

de crown, l’autre sur la fuchsine , et l’on détermine le

rapport

des intensités des deux faisceaux réfléchis à l’aide d’un analyseur. Con- naissant l’Intensité de la lumière réfléchie totalement ou non snr le verre, on en déduit aisément ! l’intensité du faisceau réfléchi sur la

fuchsine,

et par suite le

pouvoir

réflécteur.

Les résultats obtenus ainsi pour les raies

D,

E et F ont

présenté

un accord très-satisfaisant a,, ce les formules

théoriques.

On voit,

(7)

d’après

les

nombres,

que, pour la réflexion

normale,

il y aura

pré-

dominance de la

lumière jaune

et verte, et que l’inv erse devra se

produire

pour une incidence voisine de 80

degrés .

On

peut

ainsi

prévoir

les colorations diverses que

présentent

les rayons réfléchis sur la fuchsine

lorsquela

lumière incidente est de la lumière blanche.

Ces

expériences

de 31.

Lundquist, déjà

si

intéressantes,

ne pa- raissent d ailleurs

qu’une

sorte de

préambule

à des recherches

plus

étendues.

E. MASCART.

E. VILLARI. 2014 Ricerche sperimentali intorno alcune proprietà fisiche del legno ta- gliato parallelamente e perpendicolarmente alle sue fibre ( Recherches expérimen-

tales sur quelques propriétés physiques du bois taillé parallèlement et perpendicu-

Iairement aux fibres ); Atti della R. Accademia delle Scienze fisiche e matematiche di Napoli, t. I II ; I867.

Les corps

qui

ne

présentent

pas la même élasticité suivant les diverses directions autour d’un même

point

offrent dans leurs pro-

priétés physiques

des différences

correspondantes

suivant ces mêmes

directions. M.

Villari,

dans une série intéressante

d’expériences,

a étudié à ce

point

de vue diverses variétés de bois.

Quoique

ces

expériences

soient

déjà anciennes,

ellcs ne nous semblent pas être très-connues dcs

physiciens :

nous croyons devoir les leur

signaler.

L’auteur s’est

occupé :

1 ° De la dilatation du bois par la

chaleur;

20 De la dilatation du bois par

l’action

de l’eau dont on l’im-

bibe ;

3° De la conductibilité du bois pour l’électricité

statique;

De la conductibilité du bois pour l’électricité

voltaïque.

La

première

série de recherches a été faite au moyen d’un appa- reil dont voici le

principe.

La barre à étudier est

placée

verticalement dans une étuve à va-

peur d’eau

analogue à

celle de

l’appareil

des chaleurs

spécifiques

de

1B1.

Regnault.

Au

voisinage

est une barre verticale de fer entourée d eau a

telnpérature

constante. Cette seconde barre

porte

un

pla-

teau

susceptible

de se fixer à diverses

hauteurs,

et

qui

sert de sup-

port

a une

espèce

de fléau de balance en verre muni d’un couteau

dont l’un des bras est

décuple

de l’autre. Le bras le

plus

court est

terminé par une

pointe

en bois

qui appuie

sur le bout de la barre

que l’on

étudie ;

un

poids suspendu

au fléau du mème côté du cou-

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