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Erratum à l'article: « Un problème de la dynamique expérimentale des corps solides et sa solution »

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00233476

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00233476

Submitted on 1 Jan 1937

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Erratum à l’article: “ Un problème de la dynamique

expérimentale des corps solides et sa solution ”

Ludwig Baumgardt

To cite this version:

(2)

80

naire sont donc attribuables à des

crctégories

diffé¡’entes

d’électrons. La

supraconduction

est une conduction

superposée.

L’état de

supraconduction

est limité

parTs;

l’état solide continue

pourtant

et est limité lui-même par

tt.

Nous avons rencontré

(1)

un cas

analogue

dans les

ferro-magnétiques

où l’état

ferromagnétique

est

limité par 4 f,

l’état solide par

tf.

L’état

ferromagnétique

a été

attri-bué à un réseau

électronique

d’orientation dont la

rupture

se fait à 0 et

qui

est au réseau

électronique principal

se

rompant

au

point

de fusion.

Nous sommes donc amenés à faire pour les

supra-conducteurs une

hypothèse

tout à fait

analogue.

Au réseau

électronique

constitué par les électrons

p est

superposé

un réseau

électronique supplémentaire,

constitué par des

électrons s,

donc un réseau s

qui

se

rompt

à

T,,.

Pour

pouvoir

réaliser ce réseau s les

élec-trons à 1 état s doivent être

capables

de faire des

con-tacts. Mais ces contacts doivent être d’une autre nature

que’eeux

des électrons p. Le contact des

électrons 1)

peut

être considéré comme la formation

temporaire

d’une

paire

d’électrons. On

peut

se

représenter

que la

paire

reste formée sur une

portion

finie de la

tangente

com-mune aux deux orbites

(contact

Le facteur

numérique

F,

de l’ordre de

300°,

est

caractéristique

de

ce

contact p.

Si l’on attribue des oscillations à l’électron (t) R. FORRER. Ann. de

Physique,

1936, 5, p. 7 t 9.

.s

périphérique,

des contacts sont

possibles quand

l’amplitude

est

égale

à la distance

atomique.

Il est

évident que la

rupture

d’un tel contact

ponctuel

est

incomparablement

plus

facile que celle d’un contact

linéaire d’un électron p. J’ai montré

(’)

que le facteur F d’un

contact p

prend

des valeurs discontinues

repré-sentées par la formule F ± mr où =

la01.,

rn un nombre entier et r = 14°. Cette

température

de

140

peut

être attribuée à un

phénomène

élémentaire de liaison entre électrons. Nous constatons que les

tempé-ratures de transition

T,

ne sont

qu’une

fraction de la

température

= 14°.

Le courant de

supraconduction

serait alors donné par le

déplacement

du réseau

électronique

s par

rap-port

au réseau p, la

périodicité

étant la même pour les

deux réseaux et

égale

à la

périodicité atomique.

Nous pouvons résumer ces considérations par cette

hypothèse :

L’état

supraconducteur

est caractérisé par

la

superposition

d’un réseau s à un résea2c p.

(2).

(1) Ann. de Physique, 1937, 7, p. 429.

(2) Par analogie avec le paramagnétigme croissant superposé au diamagnétisme au-dessus du point t) des alliages à faux

points de Curie (R FORRER et A. SERRES. C. 1?., 4934. 198, p. 1903) les électrons s doivent présenter au-dessus de

1’8

un paramagné-tisme croissant superposé qui s’exprime par la diminution du

diamagnétisme avec l’élévation de la température. Ce phénomène

a été observé par de HAAS et v,AN ALraErr (li. Akad.

1933. 36, p. 263) pour Zn, Cd, Pb, Tl (supraconducteurs) et non pour Cu, Ag, Au, (non-supraconducteurs).

Manuscrit reçu le 4er octobre 1936.

ERRATUM A L’ARTICLE : «

UN

PROBLÈME

DE LA

DYNAMIQUE EXPÉRIMENTALE

DES CORPS SOLIDES ET SA SOLUTION », par M.

Ludwig

BAUMGARDT,

Berlin. J. de

Physique,

1936,

t.

7,

p. 503-505.

P.

50~,

équation (2),

lire :

-P.

505,

équation

(9),

lire :

P.

~0~, ~~

colonne, ligne 33,

lire :

sa masse

égale

à

i~.10~.

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