Deuxième année.
Ν» 53' ' - - ~ " T r relier au Palâta fédéra
Samedi 7 juillet 1888.
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Certains faits qui se sont produits récemment ont appelé l'attention sur les conséquences qui résultent parfois, pour les ouvriers, de la façon dont certains patrons envisagent avoir rempli leur de- voir, lorsqu'ils ont donné l'avertissement de la quinzaine à leurs ouvriers.
Dans Ie cas qui nous a été signalé par une lettre publiée dans notre dernier numéro, il s'agit d'ouvriers travaillant dans un comptoir d'horlogerie non soumis aux dispositions de la loi fédérale sur le travail dans les fabriques ; ces dispositions, en ce qui concerne les questions de sa- laires sont évidemment applicables, par analogie, aux comptoirs ou ateliers qui n'occupent pas le nombre d'ouvriers suffi- sant pour être soumis à cette loi, dans son extension actuelle du moins.
L'article 9 de la loi est conçu comme suit:
A moins qu'une convention écrite n'en décide autrement, le contrat intervenu entre le fabricant et l'ouvrier peut pren- dre fin après un avertissement de 14 jours au moins, dont chaque partie peut prendre l'initiative le jour de paie ou le samedi, A moins de difficultés spéciales, l'ouvrier qui travaille aux pièces doit, en tous cas, terminer l'ouvrage commencé.
Et plus loin :
Les contestations qui pourraient s'élever au sujet de la résiliation réciproque du contrat ou au sujet d'autres points de ce contrat seront tranchées par le juge com- pétent.
S'agissant d'ouvriers payés à la journée, la résiliation du contrat ne peut guère donner lieu à des contestations. En effet, l'ouvrier est absolument garanti de son salaire jusqu'à la fin de la période d'aver- tissement et le patron a, conséqueraraent, un intérêt tout naturel à continuer à lui fournir du travail.
Il peut n'en pas être de môme, s'agis- sant d'ouvriers aux pièces.
Supposons que par suite d'une baisse proposée par le patron et refusée par les ouvriers, le premier ait donné la quinzaine aux seconds. Qu'arrive-tMl ?
Il ne manque pas d'ouvriers, dans un moment comme celui-ci surtout, disposés à accepter du travail aux conditions qui leur sont imposées par les fabricants. Si donc un fabricant a donné la quinzaine à ses ouvriers par suite de leur refus d'accepter une baisse,· son intérêt lui commande d'abréger U plus possible la période pendant laquelle il doit payer à l'ancien prix, puisqu'il court la chance, en cherchant ailleurs, de trouver des ouvriers, disposés à l'exécuter au prix nouveau.
Il cherche donc à concilier les exigences de la loi avec son intérêt particulier et il croit y être arrivé en donnant régulière- ment l'avertissement de la quinzaine tout en retirant, au point de le supprimer complètement, l'ouvrage aux ouvriers en cause.
Ceux-ci, sont bien obligés de s'en aller faute de pouvoir vivre de l'air du temps ; et la loi, apparemment observée, est restée lettre morte.
L'article 9 de la loi dit bien, qu'à moins de difficultés spéciales, l'ouvrier qui tra- vaille aux pièces doit, en tous cas, termi- ner l'ouvrage commencé. Mais s'agit-il de l'ouvrage commencé au moment de la dénonciation du contrat ou a-t-on voulu viser l'ouvrage non terminé au moment de l'échéance du contrat ?
La loi ne distingue pas, elle est absolu- ment muette à cet égard ; intentionnelle- ment peut-être, puisque selon l'une ou l'autre interprétation les intérêts de l'une ou de l'autre partie risquent d'être lésés.
Dans la pratique, nous pensons qu'il est plus juste et plus équitable que l'on s'en tienne à la seconde interprétation ; à celle qui veut que l'ouvrier termine en tous cas l'ouvrage commencé au moment de l'échéance du contrat, soit à l'expira- ration de la quinzaine.
Prenons des exemples :
Un ouvrier dont le travail consiste à découper à une machine un objet quel- conque contre un salaire de tant par pièce ou par cent, doit évidemment être occupé jusqu'à l'expiration de la quinzaine, puis- qu'il n'y a aucune solution de continuité dans son travail et qu'il ne peut, dans Ia pratique, y avoir conflit suri a question de Ouvrage à terminer.
Mais un ouvrier dont la besogne con- siste à exécuter une.certaine partie du travail d'une douzaine ou d'une demi- douzaine de montres, est placé dans des conditions différentes. Un repasseur d'une habileté moyenne peut produire de 12 à 24 repassages par jour selon le genre, la grandeur et l'état d'avancement des mou- vements qui sont mis entre ses mains.
Un ouvrier remonteur produira de 6 à 48 remontages. Qu'arriverait-il si, après avoir donné la quinzaine à cette catégorie d'ou- vriers, le fabricant était simplement tenu de leslaisser terminer l'ouvragecommencé?
Quelques heures pourraient suffire à l'exécution du travail exigé ou exigible d'après la première interprétation, puisque l'extrême division du travail toujours plus appliquée à l'industrie horlogère, permet à l'ouvrier de terminer, dans un délai relativement très court, le travail qui lui est confié. L'avertissement de la quinzaine n'aurait plus alors de signification réelle.
De plus, la loi a voulu surtout efficace- ment protéger l'ouvrier contre le danger d'un chômage immédiat résultant d'un renvoi sans avertissement; comme aussi le patron contre le risque d'une interruption forcée de l'exploitation de sa branche d'in- dustrie, que pourrait produire le départ sans avertissement suffisant, d'un certain nombre d'ouvriers.
Dans ces conditions, et pour ces motifs,
nous pensons que les intérêts des patrons
et des ouvriers ne seront, dans la presque
totalité des cas, réellement et équitable-
ment sauvegardés que si la partie de l'ar-
ticle 9 de la loi sur le travail dans les
' • . ' • ' " •
222
LAFÉDi DÉRATION HORLOGÈRE SUISSE
fabriques, que nous analysons est, en principe, interprétée comme suit :
L'ouvrage que Vouvrier est tenu de ter- miner et que le patron est tenu de laisser terminer à l'ouvrier en cas de résiliation du contrat, est celui qui était commencé au moment de l'échéance du contrat, soit
au moment où l'avertissement de 14 jours prévu par l'article 9 de la loi est arrivé à son terme.
NOUVELLES DIVERSES
Les associations des démocrates socialistes suisses ont, d'après le Sozialdemokrat, décidé à une grande majorité de dissoudre leur fédé- ration avec Winterthour comme Vorort, et de ne plus reconnaître comme autorité cen- trale que le comité d'action de la Fédération ouvrière suisse. Les délégués des associations se réuniront le 8 juillet à Aarau pour régler définitivement les questions de la dissolution, du compte rendu du comité central, du sort de l'actif social et du droit de copropriété du journal YArbeiterstimme. Il serait aussi ques- tion de la fondation d'un parti démocrate socialiste suisse. Des représentants du comité d'action et l'union générale des métiers prendront part aux délibérations.
— Un correspondant signale au Bund l'existence d'une compagnie nomade de mendiants, exploitant les fêtes, chant, tir, musique, etc. A Interlaken, on a pu la voir à l'œuvre, à l'occasion du tir cantonal. Le correspondant prétend que tous les disgra- ciés de la nature paraissaient s'être donné rendez-vous au pied des Alpes. Ces gens étaient en voyage d'affaires ou plutôt de pro- fession dans l'înlerlacus des Romains. Peu de jours après,la bande surgissait àBerthoud, et on se demande si ce monde appartient à celui de la saison. En tout cas, les autorités feraient bien de ne pas accorder aux étran- gers un droit refusé aux gens du pays, à moins que cette assistance volontaire ne soit prévue dans les traités, à titre de faveur.
E x p o r t a t i o n d ' h o r l o g e r i e . — L'agence consulaire des Etats-Unis à la Chaux-de-Fonds communique le tableau suivant de l'exporta- tion d'horlogerie du district consulaire de la Chaux-de-Fonds aux Etats-Unis d'Amérique du Nord, pendant le 2e trimestre de 1888, comparée avec la même période de l'année dernière :
1887 1888 Avril fr. 417,181»73 fr. 476,030*90 Mai » 467,125»18 » 595,702»82 Juin » 413,797»90 _ » 426,377 »33
fr. 1/298,104»81 fr. 1,498,611 »05 Différence en faveur du 2e trimestre 1888 fr. 200,506»23.
Différence en faveur du 1e r trimestre 1888 fr. 182,16i»24.
P o l i t i q u e c o m m e r c i a l e . — Dans les cercles politiques français, on est d'avis que, par suite des effets de la guerre de tarifs, l'Italie prendra dans les prochaines négocia- tions sur le traité de commerce une attitude plus conciliante. D'un autre côté, on dit que la réponse du gouvernement français aux dernières propositions italiennes, réponse qui a dû être remise le 23 juin à l'ambassa- deur italien, Ie général Menabrea, contient déjà certaines concessions. (Pester Lloyd.)
— Le gouvernement français a autorisé l'admission temporaire pour les soies brutes et les articles en soies italiennes. En outre, le matériel d'emballage de cocons d i soie, sur lequel pesait le même droit que sur les cocons (50 centimes par kg), a été affranchi
de cette taxe. Les relations de la fabrique lyonnaise avec l'Italie, qui avaient fortement souffert de la guerre de tarifs, ont par là été quelque peu facilitées.
P o s t e s . — Le territoire sous le protectorat allemand de l'Afrique du Sud-Ouest et les îles Marschall dans l'Océan pacifique (Océanie) adhèrent, le premier depuis le 1e r juillet et les secondes depuis le 1e r octobre prochain, à la convention postale universelle du 1er juin 1878 et à l'acte additionnel de Lisbonne y relatif.
En conséquence, les objets de la poste aux lettres originaires de la Suisse à destination de ces pays seront soumis, pour le territoire sous le protectorat allemand de l'Afrique du Sud-Ouest à partir du 1e r juillet et pour les îles Marschall à partir du leroctobre prochain, aux mêmes taxes et conditions que ceux à destination des autres pays de l'Union.
Les estampilles de valeur des postes impé- riales allemandes sont employées dans les pays susindiqués et conséquemment les équi- valents de taxes sont les suivants :
pour 25 centimes = 20 pfennigs
» 10 » = 1 0 »
» 5 » = 5 » R e t r a i t «les b i l l e t s d e l a S o l o t l i u r - n i s c l t e B a n k e n l i q u i d a t i o n . (Art. 36 de la loi sur les billets de banque.) Avec le 1er juillet 1888 expire le délai jusqu'auquel les billets de laSolothurnischeBank en liqui- dation, appelés au retrai t les 26 décembre 1885, 30 juin 1887 et 31 décembre 1887, ont dû être remboursés par la Solothurner Kantonalbank et reçus en paiement ou échangés par l'inter- médiaire des autres banques d'émission suisses.
Les formalités légales ayant été remplies par la banque, le remboursement des billets de la Solothurnische Bank (B. 22) ne s'opérera à partir du 1er juillet 1888 et jusqu'au 31 dé- cembre 1915 que par la Caisse fédérale sui- vant les dispositions du règlement du 13 oc- tobre 1885.
P o s t e s . — Le National suisse reçoit de la direction du IVe arrondissement postal la lettre suivante :
Neuchâtel, 3 juillet 1888.
Monsieur le rédacteur,
Votre correspondant de Baden, après avoir donné à sa communication insérée dans le n" 154 du National relative « au manque de vin et de chocolat constaté par lui lors de l'ouverture de son coffre, à Baden», la publi- cité incontestablement très grande de votre journal, termine en disant: « L'attention de qui de droit doit être attirée sur le cas parti- culier pour, si possible, en prévenir le renou- vellement ».
Le personnel postal est ici trop directe- ment et trop gravement pris à partie, puis- qu'il est question «d'une fausse clef et d'un vol durant le trajet postal de Fenin à Baden», pour que nous puissions nous dispenser de procéder à une enquête administrative, et c'est à cette fin que nous venons prier votre correspondant, par votre obligeant intermé- diaire, de vouloir bien compléter son com- muniqué en nous indiquant l'adresse du destinataire et la destination, par poste, du colis spolié, de même que la date de sa con- signation au bureau des postes de Fenin.
Vous nous obligerez, Monsieur, en voulant bien donner à la présente la même publicité qu'au communiqué qui l'a dictée.
Agréez, Monsieur le rédacteur, avec nos remerciements anticipés, l'assurance de notre considération distinguée.
Direction du IVe arrondissement postal,
P. JEANRENAUD.
Note de la rédaction. — Nous avons écrit à nos correspondants pour les prier de four- nir les renseignements complémentaires né- cessaires à l'enquête.
R é c l a m e l i o r l o g è r e a m é r i c a i n e . Le Genevois publie, dans son dernier nu- méro, l'article suivant que nous reproduisons en laissant à son auteur toute la responsa- bilité de ses affirmations et en espérant que la personne visée s'empressera d'y donner la réponse attendue par les intéressés à l'in- dustrie horlogère suisse :
On nous écrit de Caracas (Venezuela) : Je pense vous intéresser et en même temps remplir un patriotique devoir en vous signa- lant l'annonce ci-jointe publiée dans la <aAmé- rica», journal de New-York, écrit en espa- gnol et répandu à profusion dans toute l'Amé- rique du Sud, l'Amérique centrale et le Me- xique."
Si vous voulez bien joindre ma faible voix au cri d'alarme poussé par l'horlogerie suisse et par notre brave Genevois en particulier, vous rendrez non seulement service aux hor- logers et aux industriels en général, mais encore vous donnerez une leçon à ces ora- teurs d'exposition qui ne pèsent pas leurs paroles et compromettent pour longtemps peut-être l'industrie de leur pays en cédant à certains entraînements, sans songer aux conséquences désastreuses des paroles incon- sidérées qui leur échappent.
Je ne sais si M. Favre-Perret a réellement prononcé le discours que lui prête l'annonce de la « America » mais voici cependant ce que tout Américain peut lire chaque semaine dans ce journal etprobablementdans d'autres non moins répandus :
Lors de l'Exposition centenaire de Phila- delphie, le commissaire suisse, M. Ed. Favre- Perret acheta, pour son usage particulier une de ces montres américaines et dans son fa- meux (1) discours devant la Société d'horlo- gerie de Genève, s'exprima de la manière suivante à l'égard desqualités de ces montres.
« A mon arrivée à Genève, je montrai la pièce à un de nos premiers experts qui me demanda la permission de la démonter. Je l'examinai auparavant et voici les résultats que je notai : variation journalière (la montre étant suspendue) 1 Jj2 secondes ; en diverses positions dans une chambre chaude : de 4 à 8 secondes. La variation était très faible et aussitôt après l'avoir observée, je remis la montre à l'expert pour la démonter. Au bout de quelques jours, il me donna exactement les mêmes chifires que j'avais observés.
J'étais stupéfait ; les résultats sont incroya- bles ; il ne se trouverait pas une montre comme celle-là parmi cinquante mille des nô- tres (sic). Ec cependant, Messieurs, cette montre, je l'ai prise au hasard dans un mon- ceau (!!!) Cet exemple prouve qu'une montre américaine est préférable à une montre suisse ! »
Si réellement, M. Favre-Perret a prononcé ces paroles, il a droit à tout ce que vous vou- drez, mais certainement pas à la reconnais- sance de ses concitoyens.
Le plus joli comble c'est qn'après avoir dé- crié la montres suisse comme dessus,Ia même maison annonce: «Montres suisses pour dames garanties 4 dollars.» O. M.
B r e v e t s d ' i n v e n t i o n . — Le Conseil fé- déral vient de publier la loi sur la propriété industrielle — brevets d'invention ; le délai référendaire expirera le 20 octobre. Le Con- seil fédéral fixera ensuite la date d'entrée en vigueur de la loi.
P é a g e s . — Les receltes des péages du 1er au 30 juin 1888 ont été de 1,988,923 fr. 09 c , contre 1,918,209 fr. 67 en 1887. Du l"r jan- vier au 30 juin 1888, elles se sont élevées à 12,168,141 fr. 41, contre 11,310,239 fr. 37 en 1887 ; plus-value en 1888, 857,902 fr. 04.
(1) Hélas que trop fameux ! ce discours a fait le lourde l'Amérique et j'en ai entendu parler plusieurs fois.
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LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE
223Syndicat des r e p a s s e u r s , d é m o n t e u r s e t ' r e m o n t e u r s .
Le jeudi 5 juillet courant, avait lieu à Ville- ret une assemblée de cette section, à laquelle assistaient le Comité fédératif du Syndicat ainsi que les deux présidents de la section des repasseurs et r e m o n t e u r s et faiseurs d'é- chappements de St-Imier.
Cette assemblée était bien revêtue, les membres présents ont décidé à l'unanimité de reprendre énergiquement le travail de propagande et de travailler à grouper tous les ouvriers repasseurs, d é m o n t e u r s et remon- teurs qui ne font pas encore partie de notre Syndicat.
En outre d e provoquer u n e g r a n d e assem- blée des sections du Vallon de St-Imier, à Corgémont pour y traiter la question d e s tarifs m o y e n s ; le jour et l'heure seront fixés ultérieurement. Le Comité fédéralif.
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