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Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

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- - . - - . ·

Cinquième année. — N0 84

Prix du numéro IO centimes

Les consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Samedi 17 Octobre 1891.

B u r e a u x : R u e N e u v e , 1 9

ABONNEMENTS

Un au : Six mois :

Suisse . . . 6 fr. 3 fr.

Union postale . 12 » 6 »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

ANNONCES

Provenant de la Suisse . . 20 et. la ligne

» de l'étranger. . 25 » » Minimum d'une annonce 50 centimes

Paraissant le mercredi et le samedi, à Bienne

Les annonces se paient d

.

ayance

Organe de la Société i n t e r c a n t o n a l e des i n d u s t r i e s d u J u r a , des C h a m b r é e de c o m m e r c e , des B u r e a u x de contrôle et des Syndicats i n d u s t r i e l s .

Comment Ton défend une mauvaise cause On nous écrit de Sainl-Imier :

« Dans voire dernier numéro, vous avez publié, sous le titre : « Un riche

« argument en faveur du nouveau tarif

« des péages » un article signalant le singulier argument publié pavYOslschweiz, journal que l'on a si justement appelé le

« Moniteur du renchérissement de la vie ».

Que YOstschwciz, qui a carrément pris altitude en faveur du nouveau tarif des péages, se donne beaucoup de mal pour faire triompher sa détestable cause, c'est dans l'ordre; mais qu'il se trouve, dans la région horlogôre, des journaux assez peu conscients des intérêts véritables de nos populations industrielles, pour ne pas faire campagne contre le nouveau tarif, que l'on pourrait appeler le tarif de. la faim, c'est vraiment étonnant.

« El cependant le fait existe, et je vous en donnerai pour preuve ce qu'insère notre journal local, le Jura bernois, sous la rubrique « Correspondance particu- lière du Jura bernois » :

« J'ai toujours dit, dans le journal, que je

« regrettais profondément que l'on ait frappé

« d'augmentations nouvelles certaines choses

« nécessaires à la vie, en tout premier lieu la

« viande de boucherie. Mais je doute qu'en

« repoussant le tarif on arrive à une diminu-

« tion quelconque. Je ne le crois point. Au

« surplus, il n'y a, pour être de mon avis,

« qu'à observer ce qui se passe chez nous en

« matière référendaire. Quand le peuple a

« fait un grand elTort, il se repose longtemps

« et ne songe plus à ce qu'il voulait. Donc, je

« répèle qu'on aurait dû adopter le nouveau

« tarif, mais, immédiatement après, organiser

« un vaste pétitionnement pour obtenir une

« réduction de certains droits, fort peu nom-

« breux, car, à part la viande, j'admets que

« nous n'avons pas à nous plaindre des droits

« sur les grains et les farines, les éléments

« les plus importants de noire alimentation.

« Eh bien, je ne pense pas me tromper en

« affirmantque le tarif de!89i une fois rejeté,

« on se contentera de nouveau de celui

« de 1887 ou à peu près. On aurait pu rêver

« un autre succès, bien plus favorable ,aux

« classes laborieuses. » •.:•••

« J'ai lu et relu ces lignes, mais j'avoue humblement ne pas être arrivé à en com- prendre le sens exact. Au milieu de cet amphigouri, je remarque ce colossal pa- radoxe « qu'en repoussant le tarif on n'ar- rivera pas à une diminution quelconque», ce qui revient à dire que* la diminution des droits d'entrée s'obtient par l'éléva- tion des droits de douane! Et cet autre, non moins colossal, « qu'on aurait dû adopter le tarif, mais, immédiatement après, organiser un vaste pétitionnement pour obtenir une réduction de certains droits, fort peu nombreux, elc. ». Et pourquoi cela? Parce que « quand le peuple a fait un grand effort il se repose longtemps et ne songe plus à ce qu'il voulait!!! > Ici, l'effort, c'est le référendum;

mais quel effort ne faut-il pas pour arri- ver... à ne pas comprendre le judicieux correspondant!

« Mais, pour Dieu, le peuple sait telle- ment bien ce qu'il veut que, loin de sui- vre le conseil un peu tardif qu'on lui donne, il a pétitionné avant et ne man- quera pas de prolester après, si le tarif volé par les Chambres, au mépris de la Constitution fédérale, venait malheureu- sement à être accepté par une majorité d'occasion.

« Le correspondant du Jura bernois n'est pas grand prophète lorsqu'il dit que, si le tarif de 1891 est rejeté, on se con- tentera de celui de 1887 ou à peu près.

Mais on ne demande tien autre, et c'est précisément sur ce terrain que se sont placés les députés non protectionnistes des Chambres. Le tarif de 1887 nous armait suffisamment pour la négociation des traités de commerce, tandis que le fameux tarif, dit tarif de combat, sur le-

quel le peuple Suisse votera dimanche nous empêchera peut-être de conclure des traités; ce que prouve l'échec des négociations entamées jusqu'ici. Nous nous contenterons volontiers du maintien du statu quo ; et, ce que nous deman- dons, c'est la réduction des droits prévus par le nouveau tarif, sur tous les objets de première nécessité.

t La Fédération horlogere ayant pris une altitude nettement opposée au nou- veau tarif des péages, comme il convient à un organe défendant les intérêts vitaux de nos populations horlogères, c'est le motif pour lequel je vous communique ces quelques réflexions que vous voudrez bien insérer en bonne place. Quant au vote du corps électoral de Saint-Imier, il n'est pas douteux et on ne réussira pas à l'amener dans les eaux du protection- nisme. Nous voterons en masse : Non.

« L'un de vos lecteurs. »

Le tarif des douanes

« Le nouveau tarif est nécessaire à la conclusion des traités de commerce », nous dit-on.

Nous sommes d'un avis contraire : l'adop- tion du nouveau tarif serait nuisible à leur conclusion.

Le tarit de 1887 a fait ses preuves en 1888 et 1889 ; on lui en oppose un qui a déjà montré son impuissance. Cet argument a d'autant plus de valeur que la situation, telle qu'elle se présentait alors, était plus mauvaise que celle d'aujourd'hui.

Aujourd'hui, tous nos traités expirent en même temps, de sorte que nous pouvons user de tous nos moyens. L'Allemagne aban- donne nettement sa politique autonome qui était la cause principale du protectionnisme de l'Europe, et évolue vers le régime des traités de commerce à tarifs. Son but est, en multipliant ses relations commerciales avec les Etats de l'Europe et par contre-coup celles de ses Etats entre eux, d'isoler la

(2)

408 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

France dans sa politique prohibitive qu'elle semble vouloir adopter et de l'amener ainsi à des sentiments plus libéraux.

La Suisse doit entrer sans hésiter dans ce courant et mettre dans la balance le poids de sa production et de sa consommation, et de sa situation centrale. Si elle parvient à re- nouer ses relations commerciales avec l'Alle- magne, l'Autriche et l'Italie, ses chances de les renouer ensuite avec une France mieux inspirée augmenteront.

Le gouvernement allemand, qui doit, pour réussir au Reichstag, se pésenter devant lui avec un bloc systématique de traités, a besoin de nous; il en est de même de l'Autriche- Hongrie et de l'Italie, qui sont disposées à entrer dans les vues de l'Allemagne. Dans ces circonstances, si nous ne réussissions pas, c'est que nos exigences auraient été plus élevées que l'intérêt que nos trois voisins ont à nous attirer dans leur orbite. C'est dire qu'elles auraient été très élevées.

Hélas! il est bien à craindre qu'elles ne soient en réalité déjà montées à cette hau- teur. L'échec des négociations de Vienne est un signe fâcheux. Cet indice est corroboré d'une manière plus fâcheuse encore par les déclarations des partisans du nouveau tarif.

« Au cas où les négociations des traités de commerce n'aboutiraient pas, écrivent les membres protectionnistes de l'Assemblée fédérale, l'industriel, l'ouvrier, l'artisan et le paysan seraient également heureux du moins de ce que le marché suisse leur demeurerait acquis.. » C'est le bout de l'oreille. Dans la proclamation du comité protectionniste d'Ol- ten, l'oreille passe tout entière: on y voit clairement qu'il ne consent à des traités de commerce que s'ils ouvrent largement le marché extérieur sans pour cela empévher de fermer le marché intérieur. Autant dire qu'il n'en veut aucun.

En 1888-89, les négociateurs suisses étaient MM. E. Blumer et Cramer-Frey. Aujour- d'hui, M. Blumer, suspect de tiédeur, a été remplacé par M. Hammer, le père du tarif de 1891, un homme fort honorable, mais imbibé de protectionnisme et de fiscalité.

Et M. Blumer se trouve parmi les adversaires les plus convaincus du nouveau tarif.

Cela ne monlre-t-il pasd'unemanière frap- pante à quel point le protectionnisme a, de- puis trois ans, élevé ses exigences et d'où vient le danger?

— Le département fédéral des finances et djs douanes publie que, d'après le relevé provisoire des rapports des différents dépar- tements, le budget fédéral de 1892 solderait par un déficit de près de dix-huit millions.

Cette publication n'a probablement pas lieu par un pur hasard quelques jours avant la votation du tarif des douanes. Elle est des- tinée à agir dans le sens de l'acceptation sur l'esprit des gens naïfs qui ignorent que de- puis des années ce premier calcul provisoire indique toujours un déficit, chaque départe- ment forçant un peu ses chiffres. Les exa- mens successifs par le département des finances, par le Conseil fédéral, par les com- missions de l'Assemblée fédérale et par les Chambres, ramènent généralement cet excé- dent de dépenses à un léger déficit qui se transforme en boni dans le compte d'Etat.

Encore le syndicat des bottiers On nous écrit à ce sujet :

« D'après ce qui se lit et ce qui se dit, le syndicat des fabricants d'ébauches et celui des fabricants de boîtes, aussi facilement dis- sous, seraient en bonne voie de reformation.

c Celui des boîtiers, tout particulièrement, I

semble vouloir revivre. Le projet de statuts élaboré par l'ancien contrôleur, M. A. Châ- telain, notaire, dont la- presse entretient ses lecteurs, recueille l'assentiment de tous les intéressés. Né de l'expérience acquise de l'existence... éphémère d'un premier syn- dicat des boîtiers d'argent, il est dans ses grands traits conforme aux aspirations des industriels de cette branche importante de la fabrication. L'entente, donc, devrait parfaite- ment pouvoir se taire sur les bases du projet.

« Mais, avant tout, il faut vouloir d'un syn- dicat, — la question de principe serait réso- lue ; même dans la grave décision de disso- lution du premier syndicat, l'opinion restait acquise à l'existence d'un syndicat. — Et, le voulant, les difficultés ne sont plus que des questions secondaires, faciles à sur- monter, qui ne doivent arrêter personne. N'y a-t-il pas un peu d'égoïsme personnel empê- chant une réalisation hâtive? C'est que le syndicat sauvegarde les intérêts de tous et on aimerait tant qu'il ne protège que les siens propres. Mais, si hardi que l'on soit et aussi favorable que vous soit la chance, personne ne peut méconnaître les avantages résultant de la connaissance des états de fabrication de fin de mois et des bulletins mensuels des engagements financiers, prévus par le projet.

Cela seul serait une raison suffisante à déter- miner l'adhésion spontanée de tous les patrons.

« Il n'est pas nécessaire d'être un observa- teur bien fin pour remarquer l'anomalie exis- tante et surtout existant dans nos milieux horlogers. Pour devenir ouvrier, il faut faire un apprentissage; pour être patron, cela n'est pas nécessaire : de la finance ou du crédit, cela suffit; que l'on sache s'en servir ou pas, peu importe. Si l'on examine le tra- vail produit par l'un et par l'autre, on en déduit que le dommage causé par un ouvrier incapable est purement matériel, ne s'éten- dant qu'à son travail. Quant à celui causé par un patron incapable, il est de beaucoup plus considérable parce qu'il s'étend sur l'indus- trie entière. Il est incompréhensible que l'on puisse s'élever au patronat, position sociale d'une importance extrême, sans aucun stage;

tandis que pour être classé ouvrier, position vis-à-vis de l'ensemble très intérieure, il faut gagner ses galons.

oc Le patron ne mérite réellement ce nom que lorsque l'expérience l'a consacré. Mais l'acquisition de cette expérience peut lui être aussi funesie qu'à la branche entière qu'il exploite et dont il a fait choix.

« Le syndicat, lorsqu'il existe, est une sau- vegarde, non seulement pour l'ensemble, mais aussi pour donner des directions au débutant. Il empêche l'avilissement, souvent involontaire, en étendant sa protection sur tous. Il est, par le fait, le palliatif à la situa- tion aussi vague qu'incertaine dans laquelle nos industriels se meuvent.

« Combien le patron, ancien ou nouveau, doit être heureux lorsqu'il peut travailler sans être aux aguets, sans cette défiance con- tinuelle de lui-même ou de ses concurrents, et dans cette crainte perpétuelle ou de pa- tauger ou de subir des pertes, souvent trop fortes pour pouvoir les supporter !

« Le projet atténuerait certainement de beaucoup ces dernières et il nous semble que le syndicat des boîtiers d'argent, après une première expérience acquise, pourrait se former dans une organisation à peu près complète; celui des boîtiers d'or pourrait débuter avec les deux points du projet si- gnalés plus haut et en réglant le crédit ; il en serait de même pour celui des boîtiers métal.

Le tout réuni dans une seule main, un con- trôleur qui centraliserait toutes les informa- tions utiles. Les frais répartis équitablement sur toute la fabrication de la boite seraient

bien moindres relativement aux avantages à retirer. Petit à petit, et avec l'expérience, les syndicats compléteraient leur organisation par l'introduction de nouvelles mesures des- tinées à fortifier l'action commune. — Voilà, en un mot, ce qui facilement peut se faire en une centralisation des forces, dont l'éparpil- lement dans un champ d'activité aussi vaste que plein d'aléas ne peut être que préjudi- ciable à la fabrication raisonnée d'une des parties les plus importantes de notre indus- trie horlogère. « X. »

M. Cramer-Frey et le tarif des douanes M. Cramer-Frey, qui était retenu à Rome par les négociations du traité de commerce avec l'Italie lorsque le Conseil national adopta le postulat dont est sorti le tarif de 1891, a écrit le 8 septembre 1891 dans la Neue Zûrcher Zeilung :

« On peut différer d'opinion en toute bonne foi sur la valeur du nouveau tarif comme moyen de combat pour les négociations des traités de commerce. L'auteur dj ces 1 ignes n'a jamais été bien enthousiaste d'une revi- sion du tarif de 1887 faite spécialement dans ce but; il a, au contraire, regretté que l'As- semblée fédérale se fût, à plusieurs reprises, laissé entraîner à des exagérations protec- tionnistes qui ont provoqué en une cerlaire mesure l'agitation référendaire. »

Voilà un aveu qui, quoique intentionnelle- ment un peu voilé, n'en est pas moins pré- cieux.

Mouvement libre-échangiste Le mouvement contraire au tarif s'accen tue et l'opposition grossit de jour en jour. A mesure que la votation approche, les élec- teurs prennent connaissance du tarif et cher- chent à se rendre compte des effets qu'il aura pour leur bourse. Le résultat de cette étude ne saurait être douteux. Aussi, dans la Suisse orientale, dans les régions mêmes où le pro- tectionnisme a pris naissance, les gros pro- ducteurs intéressés aux élévations de droits ne sont-ils plus seuls à avoir la parole.

Dans le canton de Zurich, la Zùricher Post, de M. le conseiller Curti, mène une vi- goureuse campagne contre le renchérisse- ment de la vie, et, parmi les grands indus- triels eux-mêmes, l'idée protectionniste ren- contre une vigoureuse opposition.

Nous avons sous les yeux une adresse signée par les chefs de trois -impôttintes fa- briques de soieries de Thalvveil et d'Adlisweil;

lesmaisons.T.Sclnvarzenbach-Landis,S:hwar- zenbach et Weidmann, et l'usine mécanique de tissage de soie d'Adlisweil, adresses des- tinées à leurs ouvriers, dont le nombre s'é- lève, nous dit-on, à plus de six mille. E'ie résume en peu de mots les arguments des adversaires de la protection douanière, et démontre, en particulier, que, s'il est certain que l'application du nouveau tarif fera π n- chérir les denrées nécessaires à l'existence, il n'y a pas le moindre espoir de voir les salaires hausser dans la même proportion.

L i s t e d e e m a r c h a n d e h o r l o g è r e ac- tuellement à la Chaux-de-Fonds à l'hôtel de la Fleur - de - Lis : Liste dressée jeudi l.~>

octobre 1891, à 5 heures du soir: MM.

Tsitsopoido, Constantinople. — Ronsberger, Vienne. — Zipper, Lemberg. — Samck, Vienne.

Le rédacteur responsable: Fritz HUGUENIN.

(3)

LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE 409

Tableau comparatif

des poinçon ïements effectués et des essais faits par les bureaux de contrôle des ouvrages d'or et d'argent

p e n d a n t l e 3m o t r i m e s t r e d e c h a c u n e des a n n é e s 1890 e t 1891.

Bnreaux Boîtes poinçonnées

Boucs payant ilouhlc taxe, et Imites refusées au poinçonnement

Biennc . . . Noirmont . . Porrcnlruy . . Sl-Imier . . Tranioliin . . Grange; (Soleure)1)

SchalThouse Chaux-ile-Fonds Fleuricr. . . Loclo . . . Neuehâtel . . Genève . . . Total Plus 1891 Moins 1891

Boîtes d'or 1 8 9 0

Pièces

175 4 840 1,126 4 846 204 432 97 617 1,885 21,757

6,806 14'!,0882

1 8 9 1

Pièces

2,493 3,491

758 4,633 212 376 75,676 1,693 17,227

5,761 112,320

33,-768

Boîles d'argent 1 8 9 0

Pièces

80,611 27,453 7S,140 77,945 71,571 46,346 16/99 12,826 17,160 15,458 5,408 10,354 482,998*

1 8 9 1

Pièces

97,647 26,267 76,750 56,5Sl 85,179 42,453 13,321 10,413 15,137 13,386 5,289 9,708 452,131

30,867

Total des boîtes 1 8 9 0

Pièces

80,786 32 293 75,140 79,071 76,417 46,550 17,331 110,443 19,045 40,215 5,408 17,160 629,086

2

12,8 % b,l 11,9 12,6 12,2 7,4 2,8 17,6 3,0 6,4 0,9 2,7 100*

1 8 9 1

Pièces

100,140 29,758 76,750 57,339 89,812 42,665 13,697 86,089 16,830 30,613 5,289 15,469 564,451 64,635

1890

% Pièces 17,7

5,3 13,6 10,2 16,0 7,6 2,4 15,2 3,0 5,4 0,9 2,7 100 10,3

131 494 18 720 24 383

436

26 127

20 2,436 2

1891

Pièces

474 144 290 212 260 1*0 259 3) 62 146

Objets de bijouterie et d'orfèvreriepoinçonnés

Essais de lingots d'or et d'argent

1 8 9 0

Pièces

1,189

5,173 112 2 5 17 1,178 1.9971

439 7,706a

15,4 S/o

67,1 1.5 0,0 0,1 0,2 15,3

1 8 9 1

Pièces

1,091

5,192 154 28 36 1,668 1001I 8,169

463

rt/n

13,4

63,6 1,9 0,3 0,4 20,4 100 6,0

1 8 9 0

Nombre

321 114 90 147 129 86 . 107 2,059

216 179 7:3 18

23,679

% 8,7 3,1 2,4 4,0 3,5 2,3 2,9 56,0 5,9 2,0 0.5

1 8 9 1

Nomlire

510 79 123 136 136 184 84 1,943 179 145 97 43

!I00 3,659 20

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13,9 2,1 3,1 B,7 3,7 5 0 2,3 53,2 4,9 4,0 2,6 1,2 100 0,5 ') Ouvert le lOmai 1890. 2Dans les totaux de 1890 sont compris les chires du bureau de Mudretsch, qui a fusionné avec celui ieBienneau 1 " janvier 1891.

D é p a r t e m e n t f é d é r a l des affaires é t a n g è r e s , B u r e a u i é d é i - n l d e s m a t i è r e s d ' o r e t d ' a r g e n t .

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Le; calibres système , , G l a s l r i i t t e

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410 LA FÉDÉRATION HORLOGÈRE SUISSE

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151 ra 151

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