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Augmentation de l'étincelle d'induction

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Academic year: 2021

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Texte intégral

(1)

HAL Id: jpa-00236819

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00236819

Submitted on 1 Jan 1873

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Augmentation de l’étincelle d’induction

C.-M. Guillemin

To cite this version:

C.-M. Guillemin. Augmentation de l’étincelle d’induction. J. Phys. Theor. Appl., 1873, 2 (1),

pp.129-130. �10.1051/jphystap:018730020012901�. �jpa-00236819�

(2)

I29 cette force est encore

perpendiculaire

à

ax’, ay’, az’,

et si l’ 011 pose

elle sera aussi

perpendiculaire à

la droite

qui

a pour

projections a, b,

y. Son intensité sera, si ()2 = a2 +

b2

+

y2, a

X as’

sin w,

(0 étant

l’angle

de as’ et de

ô ;

mais «

p, y

sont de

cos A,

do cos u

de cosv ,

r r r

si 8 est

l’angle

sous

lequel

on voit ds du

point x’,y’, z’,

et

a,

p., 11 les

angles

du

plan

passant

par ds

et le

poin t

avec les

plans

coor-

donnés ;

donc la force sera de r as,

sin w,

w étant

l’angle

de la nor-

male au

plan

avec ds’:

expression

de même forme que celle

qui correspond

à un courant

fermé,

et

plus simple

que la formule élé- mentaire

d’Ampère.

AUGMENTATION DE L’ÉTINCELLE D’INDUCTION;

PAR M. C.-M. GUILLEMIN.

(Société de Physique, séance du 14 mars 1873.)

Tout le monde connaît

l’expérience qui

consiste à mettre les deux armatures d’une bouteille de

Leyde

en communication avec

les deux bouts du fil induit de la bobine. La

longueur

de l’étincelle

est réduite dans des

proportions considérables;

mais son éclat et le

bruit

qu’elle

fait sont au contraire

augmentés.

J’ai voulu voir ce que

produiraient

de

grandes

surfaces métal-

liques isolées,

mises en contact avec les deux bouts du fil

induit,

ces dieux surfaces étant

éloignées

l’une de

l’autre,

de manière à ne

point produire

l’enet d’un condensateur.

Pour surfaces

métalliques, j’ai pris

des châssis ayant chacun

près

de i mètre carré recouverts de

toile,

doublés de

papier,

sur

lequel

on a collé des lames d’étain. L’étincelle éclate entre deux

pointes isolées, qu’on approche

ou

qu’on éloigne

à volonté l’une de l’autre.

Lorsqu’une

ou

plusieurs

lames d’étain

communiquent

avec l’un

des

pôles seulement,

l’étincelle n’est nullement

modifiée; mais?

dès

que l’autre

pôle

du fil induit est en contact avec des lames d’étain de

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphystap:018730020012901

(3)

I30

même surface que les

premières,

l’éclat de l’étincelle augmente et

sa

longueur

diminuc. L’accroissement de surface

produit

un accrois-

sement dans l’éclat et le bruit de

l’étincelle,

et une nouvelle diimi- nution dans sa

longueur.

Si l’une des surfaces

métalliques

est

plus grande

que

l’autre,

l’effet ne

dépasse

pas celui que

produiraient

deux surfaces

égales

à la

plus petite.

L’effet des lames devient

plus

sensible par le

rapprochement

des

pointes

de

l’excitateur,

et l’étincelle se

décompose

en un

grand

nombre de sillons de

feu; mais,

si l’on réduit la distance des

pointes

à 3 ou 4

centimètres,

l’ei’et des surfaces semblc

disparaître.

Quand,

au licu de ces

larges

lames de

métal,

on se sert de fils

métalliques

ou de rubans de

clinquant

de 20 à 3o millimètres de

largeur,

bien

isolés,

au moyen de supports de verre ou de cordons de

soie,

on

obtient,

à

égalité

de

surface,

des effets

beaucoup plus

intenses. 5o mètres de ces rubans

métalliques,

mis en contact avec

chaque

bout du fil

induit,

faisant un total de i oo

mètres,

augmentent

beaucoup

l’éclat et le hruit de l’étincelle.

Plus la bobine est

forte, plus

l’effet est

marqué;

c’est ce que

j’ai

constaté

récemment,

au moyen d’un

appareil puissant,

que IVI. Ruhmkoru a bien voulu mettre à ma

disposition.

Il faut avoir

soin,

pour obtenir le

plus grand

effet

possible,

de faire communi- quer les deux bouts du ruban

métallique

avec

chaque pointe.

Si le

ruban était

plus long,

il faudrait établir un

plus grand

nombre de

communications semblables.

En

général

les effets sont d’autant

plus

intenses que les surfaces

métalliques

isolées sont

plus grandes, plus divisées,

et que les dif- férentes

parties

sont

plus éloignées

les unes des autres.

NOTE SUR LE LOSANGE ARTICULÉ DU COMMANDANT DU GÉNIE PEAUCELLIER, DESTINÉ A REMPLACER LE PARALLÉLOGRAMME DE WATT;

PAR E. LEMOINE,

Ancien Élève de l’École Polytechnique.

Watt n’avait trouvé pour

guider

le mouvement

rectiligne

de la

tige

du

piston

dans les macliiiies à vapeur

qu’une

solution appro- chée connue sous le nom de

parallélogramuie

de Watt;

plusieurs

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