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Mesure par réactions nucléaires résonnantes du ralentissement et de la dispersion en énergie de protons

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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00207047

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Submitted on 1 Jan 1971

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Mesure par réactions nucléaires résonnantes du

ralentissement et de la dispersion en énergie de protons

J.F. Chemin, J. Roturier, G.Y. Petit

To cite this version:

J.F. Chemin, J. Roturier, G.Y. Petit. Mesure par réactions nucléaires résonnantes du ralentisse- ment et de la dispersion en énergie de protons. Journal de Physique, 1971, 32 (4), pp.219-223.

�10.1051/jphys:01971003204021900�. �jpa-00207047�

(2)

MESURE PAR RÉACTIONS NUCLÉAIRES RÉSONNANTES

DU RALENTISSEMENT ET DE LA DISPERSION EN ÉNERGIE DE PROTONS

J. F.

CHEMIN,

J. ROTURIER et G. Y. PETIT

Centre d’Etudes Nucléaires de

Bordeaux-Gradignan,

Le Haut

Vigneau, 33, Gradignan (Reçu

le 21 octobre

1970) ,

@

Résumé. 2014 Nous

présentons

une méthode de mesure de la perte

d’énergie

et de la

dispersion

en

énergie

de protons de 1 à 4 MeV. Notre méthode est basée sur l’utilisation des réactions nuclé aires résonnantes

27Al(p, 03B3)

28Si et

28Si(p,

p’

03B3)

28Si. Nous comparons nos mesures de ralen- tissement et de

dispersion

en

énergie

aux

prévisions théoriques

de

Bohr, Symon,

Vavilov et Tschalar.

Nous proposons une

expression analytique simple

pour rendre compte de la

dispersion

en

énergie

et nous

indiquons

les limites

d’applications

de cette méthode.

Abstract. 2014 A

simple

method

allowing

the determination of energy loss and

straggling

of

1-4 MeV proton is

presented.

Nuclear resonant reactions are used. We discuss

mainly

the data

conceming

the

straggling

which has been

compared

to theoretical work from

Bohr, Symon,

Vavilov

and Tschalar. We deduce from this

comparison

a

phenomenological expression

of the

straggling.

LE JOURNAL DE PHYSIQUE

Classification

Physics

Abstract

12.30

1. Introduction. - Les méthodes nucléaires

s’appli- quant

à des domaines divers de la

physique,

nécessitent la connaissance du ralentissement subi par des

particules chargées

dans des matériaux de structure

complexe.

Il nous a paru intéressant de considérer dans

quelles

conditions on

pourrait

décrire de

façon phéno- ménologique

ce ralentissement tant du

point

de vue de

la

perte d’énergie,

que de la

dispersion

du faisceau. La

description

au moyen d’une

expression simple

de la

fluctuation en

énergie

du faisceau

après

traversée du ralentisseur se révélant souvent essentielle pour per- mettre

l’analyse

des résultats obtenus au cours de ces

expériences,

nous avons étudié le

comportement

de

protons

dont

l’énergie

initiale est

comprise

entre 1 et

4 MeV

perdant

dans du cuivre entre

5 %

et

50 %

de

cette

énergie.

La méthode utilisée

permet

de mesurer le ralentissement de

particules chargées

et la

dispersion

en

énergie

de ces

particules

à la sortie de l’absorbant.

Nous

analysons

pour

cela,

la forme des courbes de résonances

qui apparaissent

dans les interactions nucléaires entre les

particules

étudiées et une cible

placée

immédiatement

après

l’absorbant. Dans une

première partie

nous

rappeions

les

principaux

résultats

théoriques

concernant le ralentissement et la

dispersion

en

énergie.

Nous décrivons la méthode de mesure

utilisée et nous discutons les résultats que nous avons

obtenus.

II.

Rappel

de résultats

théoriques.

- Lindhard et

al.

[1]

ont montré que le

pouvoir

d’arrêt nucléaire d’un élément

(dTfdx)n

est

négligeable

devant le

pouvoir

d’arrêt

électronique (dT/dx)e

pour des

protons

dont

l’énergie

reste

comprise

entre 1 et 4 MeV.

Nous avons calculé la

profondeur

de

pénétration

d’un

proton

en fonction de

l’énergie

entre

0,5

MeV et

4 MeV par pas de 20 keV.

Simultanément,

nous avons

obtenu la distance parcourue par un

proton d’énergie

initiale

To

à

partir

de la face d’entrée

lorsqu’il

lui reste

une

énergie TR.

Ces calculs ont été faits au moyen de l’ordinateur I. B. M. 360-44 de la Faculté des Sciences, à

partir

de la formule de Bethe :

me est la masse de l’électron.

N est le nombre d’atomes par

cm’

du milieu ralentis-

seur de numéro

atomique

Z.

f3

=

v/c.

I est le

potentiel

moyen d’ionisation du ralentisseur

(nous

avons

pris

les valeurs données par Williamson

et

Boujeot [2]).

T est

l’énergie cinétique

du

proton.

6max

est

l’énergie

maximum transférable à un élec- tron :

Nous nous sommes attachés

particulièrement

dans

le domaine

d’énergie considéré,

à la détermination de la

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01971003204021900

(3)

220

dispersion

en

énergie

des

particules.

Nous

souhaitons,

en

effet, pouvoir

déterminer à

partir

des

expressions

formulées par divers auteurs

[3], [4], [5], [7]

celle

qui

est la mieux

adaptée

au domaine

indiqué

dans l’intro- duction.

Bohr

[3],

se

plaçant

dans

l’hypothèse

d’un

grand

nombre de collisions

indépendantes

a montré que la

dispersion

est bien

représentée

par une fonction de Gauss dont la variance est :

Par suite des

hypothèses introduites,

cette théorie

s’applique

bien dans le cas des absorbants minces si le

paramètre

G défini ci-dessous

(3),

est

supérieur

à 10.

Symon [4]

et Vavilov

[5]

se sont

appliqués

à résoudre

le même

problème

pour des valeurs du

paramètre

G

quelconque.

La distribution n’est

plus

une fonction

de Gauss.

Lorsque

G

diminue,

la fonction de distri-

bution subit trois modifications :

- elle devient

asymétrique,

-

l’énergie

la

plus probable

s’écarte de

l’énergie

moyenne,

- la

largeur

à mi-hauteur diminue.

Ces trois modifications

peuvent

être évaluées quan- titativement au moyen de trois

paramètres appelés respectivement À, j

et b

(6).

En

particulier,

si on

appelle

u2

et

U2

les variances des distributions calculées au

moyen des théories de Bohr et de

Symon-Vavilov,

on

obtient :

Le

produit b2

G est

pratiquement égal

à l’unité

lorsque

G est

supérieur

à 5.

Récemment,

Tschalar

[7], [8]

a montré que dans le

cas où la

perte d’énergie

est

importante,

les collisions

ne

peuvent plus

être considérées comme

indépendantes

et

qu’en conséquence

les résultats de

Symon

et de

Vavilov ne

peuvent plus

être utilisés. La fonction de

distribution

f (T, x) peut

être décrite par

l’énergie

moyenne

Tav,

la variance 0"2’ et le moment réduit y3.

Les résultats de Tschalar sont

présentés

sous forme

graphique

et

s’appliquent jusqu’à

une

perte d’énergie

pouvant

atteindre 92

%

de

l’énergie

initiale.

Nous examinerons nos résultats

expérimentaux

en

fonction de ces trois théories dans leurs domaines

respectifs d’application.

III.

Dispositif expérimental.

- Dans la méthode

que nous

présentons ici,

nous

plaçons

derrière

l’élé-

ment dans

lequel

on

peut

mesurer le

ralentissement,

une cible où les

particules chargées ayant perdu

une

énergie

AE

provoquent

une réaction nucléaire réson- nante. Les échantillons à étudier ont été montés entre deux couronnes circulaires de telle

façon

que l’on

puisse

les

placer

dans le

porte-cible

sans

qu’il

y ait contact entre le ralentisseur et la cible. Les caractéris-

tiques

des résonances utilisées sont

indiquées

dans le

tableau I. Nous avons

enregistré

le

spectre

des rayonne- ments y émis avec un détecteur

Ge(Li)

dont le volume utile est 40

cm’.

Ce détecteur

permet

de mesurer

l’énergie

des

rayonnements

y à mieux que 1 keV

près,

et par

conséquent,

de déterminer sans

équivoque

la

résonance recherchée. Il est associé à une chaîne d’am-

plification

Tennelec

(TC 200)

et à un

analyseur

d’am-

plitude intertechnique (BM 96).

Nous utilisons

égale-

ment un détecteur à scintillation

INa(Tl) (5"

x

5")

pour faire une recherche

rapide

de

l’énergie jie

réso-

nance. La

perte d’énergie

dans une

épaisseur x

de

ralentisseur,

est donnée par

To

étant

l’énergie

initiale des

protons correspondant

au maximum de la fonction de distribution. L’erreur TABLEAU 1

Caractéristiques

des résonances utilisées

(4)

expérimentale est 1 d(AT) 1 1 d(TO) 1 + 1 d(TR) 1.

La

valeur de

l’énergie

du faisceau de

protons

accélérés

par le Van de Graaff de 4 MeV du Centre est obtenue par mesure du

champ magnétique

de

déflexion,

et

l’ensemble des erreurs sur les mesures donne une

pré-

cision de + 3 keV à 4 MeV.

Les cibles sont

préparées

par

évaporation

sur un

support

de tantale. Comme

ralentisseur,

nous avons utilisé du cuivre

préparé

par

laminage.

Les feuilles de

cuivre sont ensuite

décapées

et

pesées

pour déterminer leur

épaisseur

x. Le nombre de réactions nucléaires résonnantes induites par ces

protons

dans la cible

d’épaisseur t

sera donné par la relation

(5).

Mi est le nombre d’atomes de la cible par

cm3,

no est le nombre de

protons incidents, a(Ti)

est la section efficace de la

réaction, 0153(r, T ;, e)

décrit la fluctuation en

énergie

des pro- tons dans la cible.

Si la

largeur

du niveau de résonance est

faible,

si x > t, et enfin si on

peut négliger

la fluctuation en

énergie

du faisceau de

protons

devant la fluctuation introduite par le

ralentisseur,

nous obtenons

après

un calcul

simple :

Dans ce cas, la

quantité N(To, t)

mesurée

expéri-

mentalement pour différentes valeurs de

To, permettra

d’obtenir à une constante

près

la fonction de distri- bution en

énergie

des

protons

à la sortie du ralentisseur

f (T, TR, x).

IV. Résultats

expérimentaux.

- Le tableau Il

donne l’ensemble des résultats que nous avons obtenus.

Nous avons

reporté

sur la

figure 1,

la

comparaison

FIG. 1. - Comparaison entre les calculs de la perte d’énergie et

nos résultats expérimentaux.

entre les valeurs de la

perte d’énergie

calculées comme

nous l’avons

indiqué

dans la

première partie,

et les

valeurs mesurées. Nous constatons que dans la

plupart

des cas l’écart est inférieur à 5 keV. Nous

justifions

ainsi le choix du

potentiel

d’ionisation

adopté

dans

nos calculs.

Nous

allons, maintenant,

examiner les résultats des

mesures de la fonction de distribution

f (T, x)

que nous

pouvons caractériser par sa

largeur

à mi-hauteur. Les valeurs de G

correspondant

aux différents cas étudiés sont

reportées

sur le tableau II. Nous y

indiquons également

la valeur de

Qs, 68, WB largeur

à mi-hauteur

TABLEAU Il

Paramètres

théoriques

et

expérimentaux

des

fonctions

de distribution en

énergie

(5)

222

de la distribution de Gauss et la

largeur

à mi-hauteur

expérimentale Wexpo

Nous nous trouvons dans le domaine de recouvre-

ment des théories de Bohr et de

Symon-Vavilov

et nous

allons discuter dans

quelle

mesure

l’analyse simple

de

Bohr

s’y applique.

Il nous

paraît raisonnable,

dans ces

conditions,

de chercher à

représenter

la fonction de distribution obtenue

expérimentalement

par une expres-

sion faisant intervenir une fonction de Gauss

G(T, x) qui

se superpose au bruit de fond

B(T)

avec

Les coefficients ci ont été déterminés au moyen d’une méthode des moindres carrés recherchant la valeur minimum du

paramètre Z’.

Sur la

figure 2,

nous avons

reporté

les résultats

FIG. 2. - Fonction de distribution de protons de 3,5 MeV absorbés dans une feuille de cuivre d’épaisseur 10,34 p.

obtenus

après absorption

de

protons

de

3,5

MeV dans

une feuille de cuivre

d’épaisseur 10,30

gm correspon- dant à une valeur de G

égale

à

10,5.

Cette courbe

montre

qu’il

est

possible

de

remplacer

avec une erreur

peu

importante,

la distribution

expérimentale

par une fonction

f (T, x)

déduite de la théorie de Bohr. Pour chacune des autres distributions obtenues

expérimen- talement,

nous avons déterminé les valeurs du para- mètre

X2

normalisées par

rapport

au

paramètre Cl.

Elles sont

reportées

dans le tableau II. Nous pouvons évaluer cas par cas l’erreur commise en assimilant la

FIG. 3. - Fonction de distributions normalisées pour des protons absorbés dans des feuilles de cuivre de 1,27 Jl1I1,

1,528 pm, 2,29 um et 3,73 pm

FIG. 4. - Comparaison entre les variances de la fonction de distribution expérimentale et les variances calculées au moyen

des théories de Bohr, Symon et Tschalar.

(6)

distribution

expérimentale

à une

expression représentée

par

l’équation (6).

Dans ces

conditions,

il nous

paraît justifié

de diviser

les résultats obtenus en trois

catégories :

a)

ceux pour

lesquels

il y a accord dans les limites de l’erreur mentionnée entre les valeurs de

Wexp

et

WB

et

dont la valeur du

paramètre X2

est

acceptable.

Sur la

figure 3,

nous avons

porté

les résultats de cette

catégorie

obtenus pour une

énergie TR

= 992

keV,

b)

le résultat obtenu à

partir

de la résonance

TR

= 3 099 keV

après

passage dans un absorbant de

1,27

gm. Dans ce cas la théorie de

Symon

pour les absorbants

minces,

laisse

prévoir

une distribution

légèrement dissymétrique,

ce que confirme

l’expérience

comme le montre la valeur du

paramètre x2.

Les valeurs

de

WeXp et WB

restent en bon

accord,

ce

qui s’explique puisque

la variation de

WeXp prévisible

est inférieure

aux limites de l’erreur

expérimentale.

c)

Les résultats pour

lesquels

les valeurs de

Zip

et

WB

ne se recouvrent pas. Ils

correspondent

aux

absorbants les

plus épais

et nous constatons

qu’alors Wexp

>

WB.

Tschalar

[8]

et

Symon [4]

laissent

prévoir

ce

phénomène.

Nous notons

cependant

que les valeurs

du

paramètre X2

sont

faibles, marquant

ainsi que les fonctions de distribution restent

symétriques.

Sur la

figure 4,

nous avons

porté

en fonction de

1

les valeurs des

paramètres UB

et

aT

regroupant

les résultats relatifs à la distribution en

énergie

des

protons après

ralentissement. Cette

figure

met en évidence les écarts entre certains de nos résultats

expérimentaux

et les valeurs

prévues

par Bohr.

Cepen- dant,

ces

divergences

restent de faible

importance

dans

l’ensemble du domaine considéré.

V. Conclusion. - La mise au

point

de la méthode de mesure

simple,

décrite

ici,

a été rendue

possible grâce

à

l’emploi

d’un détecteur à

jonction Ge(Li).

Nous

avons pu

analyser

les fonctions de distributions de

protons d’énergie

initiale

comprise

entre 1 et 4

MeV, perdant

entre

5 %

et 50

%

de leur

énergie.

Nous avons

montré que dans ce

domaine,

une

description phéno- ménologique

basée sur les résultats de la théorie de

Bohr,

conduit à des résultats très satisfaisants. L’erreur faite dans la

description

en

énergie

du faisceau par une distribution

gaussienne

est

largement

contrebalancée par

l’allègement

du formalisme

mathématique

que des

descriptions plus précises

auraient nécessité.

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