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Academic year: 2021

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(1)

HAL Id: jpa-00206859

https://hal.archives-ouvertes.fr/jpa-00206859

Submitted on 1 Jan 1969

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Traitement des configurations (d + s)n dans le formalisme des quasi-particules

S. Feneuille

To cite this version:

S. Feneuille. Traitement des configurations (d + s)n dans le formalisme des quasi-particules. Journal

de Physique, 1969, 30 (11-12), pp.923-926. �10.1051/jphys:019690030011-12092300�. �jpa-00206859�

(2)

TRAITEMENT DES CONFIGURATIONS

(d + s)N

DANS LE

FORMALISME

DES

QUASI-PARTICULES

Par S.

FENEUILLE,

Laboratoire Aimé-Cotton, C.N.R.S. II, 91-Orsay.

(Reçu

le 2

juillet 1969.)

Résumé. 2014 La factorisation des espaces

spin-en-haut

et

spin-en-bas

pour les

configu-

rations

électroniques mélangées

du

type (l

+

l’)N

est étudiée sur le cas

particulier

des confi-

gurations (d

+

s)N.

La classification des états est

précisée

et entre ceux-ci sont calculés les éléments de matrice réduits des

opérateurs

par

lesquels

sont définies les

quasi-particules.

Ces derniers

permettent

de calculer dans la seule

algèbre

des moments

angulaires

les éléments de matrice de

n’importe quel opérateur agissant

à l’intérieur des

configurations (d

+

s)N.

Abstract. 2014 The factorization of the

spin-up

and the

spin-down

space into two

parts

for mixed

configurations (l

+

l’)N

is studied in the

particular

case of

(d

+

s)N configurations.

The different states of these

configurations

are classified in this scheme. Reduced matrix éléments of the basic

operators

which define

quasi-particles

are calculated. By means of the

angular

momentum

algebra only,

matrix elements of any

operator acting

within the

(d

+

s)N configurations

can be found from these reduced matrix elements.

1. Introduction. -

L’emploi

des

quasi-particules

a

permis

tres r6cemment a

Armstrong et Judd [1]

d’in-

troduire un nouveau schema pour definir et classer les 6tats des

configurations

d’electrons

equivalents

IN.

Cette classification repose en fait sur une nouvelle

structure de groupe dans

laquelle

les espaces

spin-en-

haut et

spin-en-bas

introduits par Shudeman

[2]

sont

factoris6s en deux

parties 6gales.

Les etats correspon- dants dans

lesquels

seule est

pr6serv6e

la

parite

du

nombre de

particules

mais non ce

dernier, peuvent

etre consid6r6s comme resultant du

couplage

de quatre

moments

angulaires,

et aucune

ambiguite n’apparait

si 1 reste inf6rieur a 9. D’autre part, le calcul des 616-

ments de matrice de

n’importe quel op6rateur

ne fait

intervenir que des coefficients de

recouplage

et ne

necessite

1’emploi

d’aucun coefficient de

parent6

frac-

tionnelle. Ainsi sur le

plan formel,

les avantages de ce

nouveau schema sont donc

particulierement impor-

tants. Comme cela a

deja

ete

remarque

par

Armstrong

et

Judd [1],

la factorisation des espaces

spin-en-haut

et

spin-en-bas

peut etre

6galement

r6alis6e pour les

configurations m6lang6es

a deux types d’61ectrons du genre

(I

+

l’)N,

mais un certain nombre de diff6rences

apparaissent

par rapport au cas des electrons

equiva-

lents. Afin de

pr6ciser celles-ci,

nous avons choisi d’6tu-

dier de

façon

tres d6taill6e le cas

particulierement simple

des

configurations (d

+

s)N, qui

ont

deja

conduit a de nombreuses 6tudes dans une

approche

conventionnelle.

II.

Rappels

et

gdn6ralit6s.

- Pour les

configurations

d’61ectrons

equivalents lN,

la factorisation due a Shu- deman

[2] correspond

a la reduction

[1] :

ou les indices + ou - caract6risent 1’orientation des

spins.

La factorisation des espaces

spin-en-haut

et

spin-en-bas

dans

lesquels

la

parite

du nombre de par- ticules est conserv6e se traduit quant a elle par les reductions suivantes

[1] :

ou les

indices ;k,

fl., v

et §

caract6risent les

op6rateurs

de base a

partir desquels

sont construits les

g6n6ra-

teurs de chacun des groupes consid6r6s.

Pour les

configurations m6lang6es

du type

(I

+

l)N,

les reductions

analogues

aux

pr6c6dentes

sont les sui-

vantes

[3], [1] :

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:019690030011-12092300

(3)

924

Le formalisme de base a

partir duquel

sont d6finis

les

g6n6rateurs

des divers groupes

R(2l

+ 2l’ +

2)

est

identique

a celui de la reference

[1],

mais il semble

preferable d’adopter

une notation

16g6rement

diff6-

rente mieux

adaptee

apparemment aux

configurations m6lang6es.

Nous definissons ainsi les

op6rateurs

de

base :

ou e et e’

peuvent prendre

les valeurs +

ou - 1 ;

a+

et

amsa mZa representent respectivement

les

ope-

rateurs creation et annihilation d’un electron dans

Fetat I slamsamza).

Comme on peut le voir en 6tudiant les relations de commutation avec les composantes du moment

angulaire I,

les

(2la

+

1) op6rateurs :

pour

lesquels e

et s’ sont

fix6s,

forment les

composantes

d’un tenseur de rang

la

que nous notons :

A

partir

de

ceux-ci,

il est

possible

de définir des

tenseurs

couples

et d’6tudier leurs relations de com-

mutation en utilisant la relation d’anticommutation suivante :

Dans le cas ou I et l’ sont de m6me

parit6,

on peut

montrer ainsi que les

composantes

des divers tenseurs :

peuvent

etre consid6r6es comme les

op6rateurs

infini-

t6simaux du

groupe RE’ (2l

+ 21’ +

2).

Suivant les valeurs donn6es a e et

E’,

il existe quatre ensembles distincts de

g6n6rateurs,

et

puisqu’un op6rateur quel-

conque d’un ensemble donne commute avec tous ceux

des autres

ensembles,

1’ensemble des

op6rateurs

cou-

pl6s

d6finis ci-dessus constitue les

op6rateurs

infinité-

simaux du

quadruple produit

de Kronecker 6crit

pr6c6demment.

Dans la reduction de

R(8l

+ 8l’ +

9) utilisee,

un

6tat

quelconque

de la

configuration (I

+

l’)N peut

etre ecrit :

dans cette

expression,

les

symboles

if/’ caract6risent des

representations

irr6ductibles de

R(2l

+ 2l’ +

2).

En

fait,

en utilisant les m6thodes de la reference

[1],

on

peut

montrer que T4i’ ne

peut prendre

que les valeurs

( 1 /2,1 /2,

...,

1/2)

et

(1/2, 1/2,

...,

- 1/2).

Plus

pr6cis6ment

dans le cas ou I et l’ sont de meme

parit6,

les 6tats

decouples ] T1i’+ I+ m+,

1j/- l-

m-)

s’ex-

priment

comme des combinaisons lin6aires d’états d6terminantaux

comportant

un nombre de

parti-

cules

pair

si w+ et W- sont diff6rents et

impair

s’ils

sont

identiques.

Ces combinaisons lin6aires

qui

ne

peuvent etre factoris6es ont une

expression g6n6rale qui

s’obtient pour l et l’

quelconques

de meme

parite

par utilisation des resultats

precedents

et des m6thodes

d6crites en

[1]; cependant,

les formules obtenues sont tres

complexes

et nous ne les 6crirons que dans le cas

particulier

des

configurations (d

+

s)N

que nous avons choisies pour illustrer ces m6thodes. En outre, devant la

parfaite sym6trie

des espaces

spin-en-haut

et

spin- en-bas,

nous ne nous int6resserons

qu’au premier,

les

resultats s’obtenant pour le second par

simple change-

ment de

signe

de ms.

III. Classification des dtats des

configurations (d + S)N.

- Dans la reduction

R(6) D R(3),

les

representations (1/2, 1/2,

..., ±

1/2)

se r6duisent

respectivement

a D3/2. Les 6tats

decouples

introduits

dans le

paragraphe precedent

sont donc au nombre

de 64 et

peuvent

etre 6crits dans une notation sim-

plifiée :

ou les e"

peuvent prendre

la valeur + ou -1 et cor-

respondent

aux

representations (1 /2, 1/2,

..., e"

1/2).

Ces 6tats

peuvent

etre obtenus en faisant

agir

successi-

vement les

op6rateurs :

sur quatre états de base

qui,

dans Ie formalisme de la reference

[I],

peuvent etre considérés comme des états vides de

quasi-particules,

et

qui s’expriment

au moyen des seuls

opérateurs

creation d’un electron

d, amsl :

1>1 == al/21 alJ2 2 ) °)

1

1>2 == alJ2-1 al/2-2 I o) 1>3 == ai/21 aV2-21 0) ; 03A64 = ai/2-1 at/2 210).

Un état

quelconque

construit de cette

façon

est

nécessairement fonction propre des

opérateurs

de

Weyl [4]

de

R)(6)

et

R+ (6) qui

s’ecrivent :

R+ (6) :

les valeurs propres

correspondantes

determinent

e"

et E’. Pour ce

qui

est de m+ et de m_, il suffit de remar-

quer pour les determiner que :

(4)

On

peut

montrer ainsi par

exemple

que :

(la

lettre b a ete utilis6e pour caract6riser les

op6ra-

teurs annihilation-creation d’un electron

s).

Les 63 au-

tres 6tats peuvent etre construits de la meme

maniere;

nous n’avons pas

jug6

utile de les

reproduire

ici.

Les 6tats

couples E+ 3/2, E’_’ 3/2, L+ M+), quant

à

eux, s’obtiennent bien sur a

partir

des

precedents,

mais on

peut 6galement

les

exprimer

comme combi-

naisons lin6aires des 6tats de

plus grande multiplicite

des

configurations (d

+

s)N.

Plus

pr6cis6ment,

on

peut

montrer que :

remarquons que chacun des 6tats se transforme comme

. une

representation

bien d6finie de

R(6)

que nous avons d’ailleurs

indiqu6e

ci-dessus.

IV.

Opdrateurs.

- Tout

op6rateur agissant

a l’in-

t6rieur des

configurations (d

+

s)N peut

etre

exprime

comme combinaison lin6aire de

produits d’op6rateurs

annihilation-creation d’électrons d ou s; ceux-ci peu-

vent etre obtenus a

partir

des seuls

0 (2) (e, e’)

et

0(0) (e, e’),

et en

consequence n’importe quel op6rateur peut

etre 6crit a 1’aide de ces derniers. Il s’ensuit que tout 616-

ment de matrice pourra etre

exprime

a 1’aide d’un certain nombre de coefficients de

recouplage [5]

et des

seuls elements de matrice r6duits des tenseurs

0(2) (E, e’)

et

0(0) (E, E’).

En outre, il est clair que les tenseurs

pr6-

cedents pour

lesquels e

= 1

agissent uniquement

sur

1’espace spin-en-haut,

tandis que ceux pour

lesquels

E = -1

n’agissent

que sur

1’espace spin-en-bas,

et

que toutes choses

6gales

par

ailleurs,

leurs elements de matrice r6duits sont

égaux.

Nous avons choisi de les determiner dans

1’espace spin-en-haut;

pour

cela,

nous

avons

calcul6,

et cela est

trivial,

les elements de matrice des

op6rateurs 0121(+ el)

et

0(0)(+, e’)

entre les

6tats

decouples

definis

prec6demment,

et nous en avons

deduit les elements de matrice r6duits

correspondants

par

application

du th6or6me de

Wigner-Eckart.

Nous

avons obtenu finalement :

bien evidemmemt,

les

op6rateurs 0(2)(+ +)

et

0(0)(+ -) n’agissent

que sur la

partie

1 du

systeme,

tandis que les

op6rateurs 03B8q2 ( + -)

et

0(0) (+ +) agissent unique-

ment sur la

partie 2; cependant,

nous constatons,

comme cela a

deja

ete

precise, qu’il

n’est pas

possible

de factoriser les 6tats en deux

parties ind6pendantes.

Les tenseurs

mono6lectroniques independants

du

+ -

spin : V(O)(s, s), V(k)(d, d), V(2)(d, s)

et

V(2)(d, s) [6]

peuvent

etre

s6par6s

en deux

parties n’agissant

respec- tivement que sur les espaces

spin-en-haut

et

spin-en-

bas. Pour ce

qui

est de la

composante spin-en-haut,

celle-ci s’6crit pour les diff6rents

op6rateurs :

Soit en utilisant les relations d’anticommutation des

op6rateurs

de

base,

soit en remarquant que le sym- bole 6

- j 2 2 2

est nul et que la condition

3/2 3/2 3/2 )

triangulaire (3/2, 3/2, 4)

n’est pas

satisfaite,

on voit

imm6diatement que les elements de matrice r6duits

diagonaux

en

E;

et el’ sont

identiquement

nuls pour

V(2) (d, d), V(4) (d, d )

et

V(2) (d, s) ;

il est clair

6galement

que les elements de matrice r6duits non

diagonaux

(5)

926

en

ei’

et c " sont tous nuls pour

V(’)(d, d), V(3)(d, d)

+

et

V(2) (d, s),

comme cela aurait pu 6tre

pr6vu puisque

ceux-ci constituent les

op6rateurs

infinitésimaux du groupe

R+(6)

consid6r6. 11 s’ensuit que

pour k

different

de zero :

ainsi,

ces relations

qui,

dans les tables de Nielson et

Koster

[7],

semblaient

accidentelles,

trouvent ici leur

explication.

Les tenseurs

monoelectroniques dependant

du

spin

ne peuvent

plus

etre factorisés suivant l’orientation des

spins; cependant,

ils peuvent etre construits a 1’aide des seuls

op6rateurs 0 12) (e, s’)

et

0(0) (s, e’).

Ceci est

vrai en

particulier

pour

l’op6rateur W(ll)O(d, d) qui

est

proportionnel

au

couplage spin-orbite

des electrons d et l’on obtient sans difficult6 les elements de matrice de cet

op6rateur

a

partir

des seuls elements de matrice r6duits de

9(2) (E, e’).

Toute interaction a deux corps

ind6pendante

du

spin

comme 1’interaction coulombienne par

exemple

peut etre

s6par6e

en trois

parties [8].

Deux d’entre

elles, biélectroniques, agissent respectivement

dans les

espaces

spin-en-haut

et

spin-en-bas,

et peuvent d’ail- leurs etre nulles comme dans

l’op6rateur

associ6 a

H2(d, s)

par

exemple;

la troisieme r6sulte du

couplage

de deux

op6rateurs monoélectroniques agissant

respec- tivement dans les espaces

spin-en-haut

et

spin-en-bas.

Les elements de matrice de cette derni6re

partie

s’obtiennent directement a

partir

de ceux des

op6ra-

teurs

monoélectroniques

d6finis

precedemment. Quant

aux interactions

biélectroniques agissant

sur un seul

espace, elles

s’expriment

la encore tres facilement a

partir

des

op6rateurs

de

base;

on obtient par

exemple,

pour la

partie bielectronique (agissant

dans

1’espace spin-en-haut)

de

l’op6rateur

associ6 a

G2(d, s) :

La encore, le calcul d’un tel

op6rateur

est trivial.

Dans tous les cas et comme pour

les

electrons

6qui-

valents,

on constate que la forme

prise

par les

op6ra-

teurs dans ce schema est

beaucoup plus compliqu6e

que dans une

approche conventionnelle; cependant,

la forme des

6tats, elle,

est extremement

simple

et,

finalement,

le calcul des elements de matrice se reduit a de pures

questions

de

recouplage

de divers moments

angulaires,

et se conduit ainsi dans la seule

algebre

du

groupe

R(3).

Les avantages de ce nouveau schema sur le

plan

formel sont donc

identiques

pour les

configura-

tions d’61ectrons

equivalents

et les

configurations m6lang6es

du type

(l

+

l’)’,

et permettent de mieux

comprendre

la sous-structure du modele en couches

6lectroniques.

Remerciements.

- Je

tiens a remercier ici le Docteur L.

Armstrong Jr

et le Professeur B. R.

Judd

pour la

communication,

avant

publication,

de leur manuscrit

sur les

quasi-particules,

et pour les discussions fruc-

tueuses que nous avons pu avoir ensemble. Mes remerciements s’adressent

6galement

au Professeur

B. G.

Wybourne qui

m’a fait

part

de ses travaux sur

ce

sujet.

BIBLIOGRAPHIE

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ARMSTRONG Jr

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