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Dimanche 14 Janvier 1894·.

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Les Consulats suisses à l'étranger reçoivent le journal.

Huitième Année. — N

0

5.

P r i x d u n u m é r o 10 c e n t i m e s

Dimanche 14 Janvier 1894·.

B u r e a u x : R u e d e l a S e r r e , 2 7 .

Uu a n : Six mois

Suisse . . . . Fr. 6>— Fr. 3 » - Union postale :> 12»— »

On s'abonne à tous les bureaux de poste

Paraissant le Jeudi et le Dimanche à la Ghaux-de-Fonds '

A N N O N C E S

Provenant de la Suisse 20ct.laligne

» de l'étranger 25 » » » Minimum d'une annonce 50 cent.

Les annonces se paient d'avance.

O r g a n e de la S o c i é t é i n t e r c a n t o n a l e d e s I n d u s t r i e s du J u r a , d e s C h a m b r e s rie c o m m e r c t , d e s Bureaux d e contrôle et d e s Syndicats professionnels.

L'horlogerie suisse en Allemagne Genève, le 10 janvier 1894.

Monsieur le rédacteur,

Les réflexions de la Suisse libérale auxquelles vous nie renvoyez ne répon- dent pas à la question qui fait le sujet de ma lettre du 5 courant et qui se ré- sume ainsi : Est-il logique de chercher des adhérents b. un texte de loi en vi- gueur et que chacun doit respecter?

Supposez, un instant, qu'un groupe de citoyens, animés des meilleures inten- tions, émus du préjudice causé à la ré- putation de leur pays par le nombre de ceux qui mettent la main dans la poche ou sur le bien cl'autrui, détachent un texte de loi relatif au vol, s'efforcent de le faire signer en informant que les noms des signataires seront publiés.

Peut-on penser qu'une telle mesure di- minuerait le nombre des voleurs ou faci- literait le travail de la police ? Poser une telle question, c'est la résoudre.

Mon but est de faire comprendre qu'en principe l'engagement signé par les soi- xante-six fabricants est une erreur qui crée une injustice, en ce qu'elle établit dans l'esprit de ceux qui sont chargés de faire respecter la loi une distinction, tandis que tous sont égaux et doivent l'être devant elle par l'obligation de la respecter.

Recevez, Monsieur le rédacteur, avec mes remerciements anticipés pour la publication de ces lignes, l'expression de mes meilleurs sentiments.

m

C. DÊGALLIER.

La comparaison que notre correspon- dant établit entre les voyageurs de com- merce suisses qui parcourent l'Allema- gne avec des marchandises et les voleurs qui mettent la main dans la poche des gens est un peu forte; il nous permettra de lui dire, en toute sincérité, qu'elle ne nous parait pas heureuse.

Il est vrai que le nombre des voleurs ne diminuerait pas, si bon nombre d'hon- nêtes gens signaient un engagement leur interdisant le vol. Mais ce n'est pas de cela qu'il s'agit, et comparaison n'est pas raison.

Sans doute que tous sommes égaux de- vaut la loi et que tous avons l'obligation de la respecter. Mais dans le cas qui a fait l'objet de l'initiaiive de la Chambre cantonale, quelques-uns ne la respectent pas. Le but des signataires a été de se dégager, tout en engageant, par l'exem- ple, les réfractaires à se mettre en règle.

Nous laissons notre correspondant, — dont nous reconnaissons les bonnes in- tentions,— admettre qn'm principe l'en- gagement pris par les signataires est une erreur. Mais nous envisageons, avec ces derniers, qu'en pratique c'est une excellente chose.

Or, dans les questions d'affaires, le point de vue pratique n'est pas à négli- ger, alors même qu'il pourrait donner lieu à quelques objections théoriques.

Droit au travail

Le Démocrate publie les lignes sui- vantes au sujet du droit au travail :

Droit au travail. — Les Chambres fédérales ont renvoyé à la session de m a r s l'initiative sur le droit au travail. Il n'y avait pas péril en la demeure et le résiliât du vole populaire n'est pas douteux.

Le droit au travail est un beau mot, et nous ne sommes pas de ceux qui croient qu'il n'y a rien à taire pour faciliter la recherche du tra- vail à ceux qui en manquent. Mais il faut bien avouer que ceux qui manquent d'ouvrage sont bien souvent ceux qui ne se soucient pas d'en trouver. II a été fait à cet égard des expérien- ces tristement concluantes.

Un M. Monniot, de Lyon, voulant se rendre compte de la valeur des plaintes des men- diants qui prétendaient ne pas trouver à tra- vailler, s'entendit avec un certain nombre d'industriels et de commerçants, qui promirent d'occuper trois jours, avec un salaire de 4 fr.

par jour, tous les hommes valides que M.

Monniot leur enverrait. En huit mois, celui-ci reçut 727 mendiants valides. A tous, il disait qu'il leur remettrait le lendemain une lettre à un de ses amis qui les occuperait. 415 ne r e - vinrent pas prendre la l e t t r e ; 138, après avoir reçu la lettre n'en firent pas u s a g e ; d'autres, après avoir travaillé un jour, ne se représen- tèrent pas Ie lendemain. En un mot, sur 727 individus qui avaient dit chercher do l'ouvrage, 18 seulement consentirent à travailler les trois jours consécutifs. ___ _.

Autre exemple. Pendant l'hiver de 1890, on avait organisé, aux environs du Champ de Mars, à Paris, des asiles, dans lesquels on fai- sait d-:s distributions de nourriture et où l'on gardait Ia nuit les plus misérables. L'hiver fini, les promoteurs de l'œuvre s'adressèrent à M. Robin, directeur d'une maison de travail, en lui demandant d'occuper ces pauvres gens.

Ils étaient 1,600. Or, savez-vous combien pro- fitèrent de cette oil're d'occupation ! 158, et s u r ce nombre 85 durent être congédiés parce qu'ils ne voulaient pas s'astreindre à un t r a - vail régulier.

Il ne faudrait sans doute pas exagérer la portée de ces exemples. Mais il n'en est p a s moins vrai que très nombreux sont ceux qui ont contracté des habitudes incompatibles avec l'accomplissement, du devoir du travail.

Pour ceux-là, il y a u r a lieu d'établir des mai- sons ou les autorités de police puissent envoyer les paresseux pour les forcer à prendre d'au- tres habitudes plus morales. C'est une des phases de la question complexe soulevée p a r l'initiative sur le droit au travail.

Le Genevois consacre les réflexions suivantes à l'article du Démocrate :

Les statistiques relatées par le Démo- crate ne sont certes pas probantes, il le reconnaît lui-même. Les mendiants qui tirent les sonnettes ne forment qu'une faible partie des pauvres, celle qui a perdu la vergogne, et, d'autre part, c'est notre système de charité qui tue la di- gnité chez ces malheureux et les fait glisser sur la pente de l'immoralité.

Mais sur le fond, nous sommes d'ac- cord.

Un des côtés les plus graves de la

question du paupérisme, une des lacunes

de l'assistance actuelle qui appelle le

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18 LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE plus prorapt remède, c'est le désordre

absolu qui règne dans la chanté publi- que et privée, collective ou individuelle, et l'immoralité qui en résulte. La pau- vreté honnête est confondue avec la mi- sère exploiteuse et le vice mendiant ; les vrais pauvres sont non seulement volés, mais déconsidérés, déshonorés par les exploiteurs.

Nous avons déjà signalé à plusieurs reprises cette lacune administrative et morale de la charité telle qu'elle se pra- tique aujourd'hui, ce vice de l'aumône.

Sans rien ajouter aux sommes qui se dépensent pour venir en aide aux mal- heureux, on arriverait, avec de l'ordre et de la méthode, à soulager toutes les infortunes, tandis que la misère aug- mente au lieu de diminuer : aucun ser- vice social ne présente un pareil cou- lage.

Le seul moyen de remédier au mal, c'est d'organiser la mutualité. Peu im- portent les mots et les étiquettes. A

T

otez ou ne votez pas le droit au travail ; si vous votez l'assurance contre les risques de force majeure, si vous constituez un vaste appareil social, avec une discipline générale et des organes d'application et de contrôle adaptés à la variété des con- ditions et des situations, vous arriverez à soulager sans humiliation les honnêtes gens atteints par le sort, à empêcher la chute et la déchéance des travailleurs, et à démasquer les fainéants et les vi- cieux. Pour ceux-là, la maison de cor- rection. Si la société fait son devoir vis- à-vis des individus, elle ne doit pas être dupe, elle a le droit d'exiger d'eux qu'ils remplissent leurs obligations envers elle.

Dans le domaine économique, l'ordre est toujours une conséquence de la jus- tice. Soyons équitables envers les petits, et ils deviendront les meilleurs garants de la paix sociale ; négligez vos obliga- tions envers eux, repoussez leurs reven- dications légitimes, vous créerez néces- sairement un élément de guerre, un foyer de passions, de colère et de révo- lution.

Exposition de Chicago

Chaux-de-Fonds, Ie 13 janvier 1894.

Monsieur le rédacteur,

Le numéro du 11 courant de la Fédération horlogère annonce que les montres non vendues à l'Exposition de Chicago ont été embarquées le 23 décembre.

Elles sont, par conséquent, arrivées au H a - vre fin décembre et devraient être en mains des exposants depuis plusieurs jours. \'euillez avoir l'obligeance de renseigner les exposants sur la cause de ce retard, s. v. p.

Agréez, Monsieur, mes respectueuses salu- tations. Un exposant.'

Nous croyons savoir que le retard apporté à la réexpédition, à chaque exposant, des montres arrivées à Bàle depuis quelques jours déjà, provient de formalités à remplir auprès des autorités de la douane suisse.

On sait qu'à teneur de règlements élaborés après la rupture des négociations commercia- les avec la France, tous les colis d'horlogerie entrant en Suisse doivent passer par les bu- reaux de douanes de La Chaux-de-Fonds ou de Genève. Les articles horlogers venant de Chicago, étant dans des conditions spéciales, il a été demandé, par le commissaire suisse à l'exposition, que l'on dérogeât à la règle. La vérification se fera à Bàle et les colis seront expédiés, de cette ville, à leurs possesseurs, dans le courant de la semaine prochaine.

Allégements de droits dans le trafic de perfectionnement

D'après l'article 5 de la loi sur les douanes du 28 juin 1893, entrée en vigueur le 1e r janvier 1894, le Conseil fédéral peut accorder une ré- duction ou l'exemption complète des droits pour les produits importés temporairement de l'étranger, dans le but d'être perfectionnés ou réparés en Suisse, ou pour ceux envoyés de Suisse à l'étranger dans le même but, et que l'on réimporte en Suisse, pour autant que des intérêts spéciaux le commandent, qu'aucun intérêt majeur ne s'y oppose et à la condition que la nature essentielle de la marchandise ne soit pas altérée par le travail de perfection- nement.

Se tondant sur cette disposition qui est ve- nue remplacer l'article 2, dernier alinéa, de l'ancienne loi sur les péages, le département des douanes déclare révoquées, pour le 30 juin prochain, toutes les autorisations d'expédition avec passavant pour marchandises importées en Suisse pour y être perfectionnées (trafic de per- fectionnement actif), dans ce sens que, dès la date ci-dessus, on ne délivrera plus de passa- vant sur la base des autorisations actuelles, la décharge des passavants délivrés jusqu'à cette date demeurant accordée_dans les délais fixés par ceux-ci.

En même temps, toutes les maisons établies en Suisse qui se proposent d'importer à l'ave- nir, de l'étranger, des marchandises pour les perfectionner et les réexporter ensuite, sont invitées à faire parvenir à la direction géné- rale des douanes suisses, d'ici au 31 m a r s pro- chain au plus tard, leurs demandes de réduc- tion ou d'exemption de droits dans le sens de l'article 5 de la nouvelle loi sur les douanes.

On indiquera dans ces demandes :

1« la nature de la marchandise, en y joi- gnant, autant que* possible, des échan- tillons :

2o le pays d'origine;

3° le genre de perfectionnement que la m a r - chandise doit subir en S u i s s e ;

4° si la réexportation a u r a lieu à l'adresse de l'expéditeur primitif ou à une autre destination et, cas échéant, à laquelle ; 5° les bureaux de douanes suisses par les-

quels s'effectueront l'importation et l'ex- portation ;

Go si ce mouvement a déjà été autorisé avant le 1e r janvier 1894, auquel cas l'autorisation devra être jointe à la de- mande.

Sur la base de ces données et sur l'avis d'experts, soit après que des représentants de l'industrie intéressée auront été entendus, on décidera, dans chaque cas, s'il y a lieu d'accorder un allégement et si celui-ci peut être accordé sous la forme d'une exemption totale des droits ou sous celle d'une réduction de droits.

Les différentes demandes seront examinées sur la base de la réserve, inscrite dans la loi, que ces autorisations ne doivent être accor- dées que « si des intérêts spéciaux du com- merce le commandent, et qu'aucun intérêt majeur ne s'y oppose »; en outre, on tiendra compte des dispositions spéciales des traités

de commerce, en sorte qu'il s'écoulera un temps assez long avant qu'on puisse répondre aux demandes.

Les maisons qui n'enverraient leur demande qu'après le 31 m a r s ne sauraient donc comp- ter sur une réponse avant la fin de juin 1894, vu le nombre probablement très grand des demandes à examiner.

Les autorisations actuellement accordées pour les marchandises exportées à l'étranger po'ir être perfectionnées et être ensuite réimpor- tées en Suisse (trafic de perfectionnement) resteront en vigueur jusqu'à nouvel avis. Le département des douanes se réserve toutefois de retirer, moyennant avis donné suffisam- ment à l'avance, les autorisations qui, lors de la revision générale qui sera entreprise, se- raient jugées inconciliables a v : c les nouvelles dispositions de Ia loi, pour autant qu'elles n'ont pas été accordées sur la base d'une dis- position des traités de commerce.

Berne, le 6 janvier 1894.

Département fédéral des douanes

Registre du commerce

Basé sur les considérants ci-après, le Con- seil fédéral a, en date du 29 décembre écoulé, écarté comme non fondé un recours que Lui a adressé Γ Union suisse contre les mauvais débiteurs (société pour la réforme du crédit), à Zurich, au sujet de son inscription dans le registre du commerce.

A teneur de l'article 71G du code fédéral des obligations (Titre XXVIII) peuvont être ins- crites dans le registre du commerce les socié- tés qui poursuivent un but de bienfaisance, de récréation, religieux, scientifique, artistique ou tout autre but intellectuel ou moral, c'est- à-dire ne présentant pour leurs membres aucun intérêt économique. P a r conlre, celles qui poursuivent « un but économique commun·» ne peuvent; conformément à l'article 678 C. O.

(Titre XXVII) être inscrites dans le registre du commerce qu'autant qu'elles ne constituent pas une des sociétés définies aux titres XXIX à XXVI C. O. Les associations poursuivent un but économique commun, c'est-à-dire présen- tant pour leurs membres un intérêt économique;

elles cherchent à leur procurer un avantage économique quelconque et se distinguent par là nettement des autres « sociétés ». Celles-ci peuvent aussi poursuivre un but économique ou financier appréciable, mais l'avantage en revient à des tiers et non à leurs membres.

La recourante a pour but de procurer à ses membres, et à eux seulement, un avantage financier. Elle cherche d'une part à les proté- ger contre un dommage et de l'autre à aider au recouvrement des dettes en souffrance.

C'est là un but purement économique. Au moyen du mode d'avertissement prévu dans le règlement de l'association et de rencaisse- ment qu'elle se charge d'effectuer pour ses membres, elle cherche à faire rentrer les créances dues à ses membres par suite de leurs opérations économiques. Elle poursuit donc un but analogue à celui des unions poul- ies avances et le crédit, que l'on peut considé- rer comme Ie type de l'association. L'argument tiré du fait que la « société pour la réforme du crédit » ne cherche pas à réaliser de gain est dépourvu de valeur. La loi ne dispose nulle part qu'une société doive poursuivre un but semblable pour former une association ; en exigeant à l'article 680, chiffre 7, que les sta- tuts contiennent des dispositions concernant

« l a supputation et le partage des bénéfices, si l'association a un but lucratif», elle ne considère le gain que comme purement éventuel et elle impose des règles particulières aux associa- tions qui poursuivent un but lucratif (article 703 du code des obligations).

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LA FEDERATION HORLOGERE SUISSE 19

Brevets d'invention

Horlogerie et Bijouterie

L I S T E DES B R E V E T S E N R E G I S T R É S E n r e g i s t r e m e n t s

Cl. 64, no 7250. 25 novembre 1893, 6 V4 h. p. — Encliquctage perfectionné pour montres de tous genres. — Dubail, Monnin, Frossard c$· C'e, Porrentruy (Suisse), ayants cause de l'in- venteur «Bailly, Charles,» Porrentruy. M a n - dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Cl. 64, no 7300. 22 septembre 1893, 6 h. p. — Nouveau système d'échappement à ancre.—

Audemars, Henri, T a v a n n e s (Suisse). Man- dataire : Imer-Schneider, E., Genève.

Nationalité française

A teneur d'une loi française promulguée le 22 juillet 1893, les personnes nées en France d'une mère née elle-même en France, seront

•considérées en France comme étant irrévoca- blement de nationalité française, si elles ne répudient pas la nationalité française dans le délai d'un an à partir de l a promulgation de ladite loi, et cela même dans le cas ou le père

«st citoyen suisse et n'est lui-môme pas né en F r a n c e . — Cette disposition s'applique aux personnes actuellement majeures et môme aux personnes ne résidant pas en France.

P o u r les formalités d'option, s'adresser, sans aucun retard, au département fédéral des af- faires étrangères à Berne, aux chancelleries d'Etat des divers cantons, à la légation de la Confédération suisse à Paris, ou aux diverses légations et consulats suisses p. l'étranger.

Berne, 28 juillet 1893.

Département fédéral des affaires étrangères.

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Protestation

Monsieur le rédacteur d e l à Fédération horlogère En ville.

Monsieur le rédacteur,

Je lis dans le numéro 4, du 11 janvier 1894, de votre journal, un communiqué de la Confi- dentia de Berne, qui se dit organe pour la p r o - tection du crédit, affichant publiquement mon nom et demandant aux autres journaux de le répandre noté d'infamie.

P a r une action devant les tribunaux, je de- manderai justice de cette diffamation répétée par les mille voix de la publicité. J c réduirai à néant les allégations de l a ConfidentU, qui croit pouvoir donner plus de créance à ses allégations en proclamant d'avance s a res- ponsabilité. On n'est pas plus audacieux !

Soutenant des rapports d'affaires avec tout le monde horloger, habitant La Chaux-de- Fonds depuis dix mois environ, où je me fais l'honneur d'avoir le privilège d'excellentes et nombreuses relations, je dois protester avec indignation contre l'avis de l a Confidentia à mon égard, que vous avez reproduit.

Toutes les personnes qui me connaissent savent combien est odieuse l'injure qui m'est faite, chacun comprendra la perfidie qui con- siste à couvrir d'ignominie un honnête homme en le dénonçant témérairement et gratuitement pour ce qu'il n'a j a m a i s été et ce qu'il n'est pas.

Veuillez, j e vous prie, publier la présente protestation dans les colonnes de votre pro- chain numéro et agréer, Monsieur le rédac- teur, l'expression de mes sentiments de la plus parfaite estime. Otto K A E S E B E R G .

Cote de l'argent

du 12 Janvier 1893

Argent fin en grenailles fr. 120»— le kilo.

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20 LA FEDERATION HORLOGÈRE SUISSE

REUNION

des fabricants, négociants et chefs d'ateliers en horlogerie mercredi J'7 janvier 1804, à 8

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/

2

heures du soir

d a n s I a g r a n d e s a l l e d u B i e l e r h o l * , 1e r é t a g e . O R D R E DU J O U R

1° Création d'une Chambre de l'Industrie et du Commerce pour le canton de Berne et, éventuellement de secrétariats spéciaux.

Rapporteur : M. F. Reymond.

2« Extension des communications téléphoniques de Bienne avec les localités voisines, et spécialement avec les centres horlogers.

Rapporteur : M. Henri T h a l m a n n .

Toutes les personnes qui s'intéressent à ces questions sont cordia-

lement invitées. · 2407-1 Société de fabricants d'horlogerie et chefs d'ateliers de Bienne et environs.

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ayant fini son apprentissage de 3 ans dans une maison de fabrication et exportation d'horlogerie et sachant français et allemand cherche place.

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S'adresser pour renseignements à M. Ch. Barbier,

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