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HAL Id: jpa-00205938

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Submitted on 1 Jan 1965

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Effet photovoltaique dans les couches évaporées de sulfure de cadmium

C. Pastel

To cite this version:

C. Pastel. Effet photovoltaique dans les couches évaporées de sulfure de cadmium. Journal de

Physique, 1965, 26 (3), pp.127-131. �10.1051/jphys:01965002603012700�. �jpa-00205938�

(2)

127.

EFFET PHOTOVOLTAIQUE DANS LES COUCHES ÉVAPORÉES DE SULFURE DE CADMIUM (1)

Par C. PASTEL,

Bureau d’Analyse et de Recherche Appliquées, 47, avenue V. Cresson, Issy-les-Moulineaux.

Résumé. - L’étude de l’effet photovôltaïque dans les couches minces évaporées de sulfure de

cadmium

a

conduit à définir

un

modèle pour

en

expliquer les caractères particuliers.

L’explication proposée consiste

en

une jonction NN’ entre deux régions la durée de vie des

électrons est très différente. La région N, dépourvue de centres pièges, la durée de vie est élevée ;

la région N’ la durée de vie, faible dans l’obscurité augmente sous l’effet de la lumière, par le

peuplement des centres pièges et la réduction de leur section efficace de capture.

Abstract - The photovoltaïc effect in cadmium sulphide thin films is described in terms of

a

model which includes

a

NN’ junction between two regions, where the free electron lifetimes

are

very different. In the N region, where the trap density is small, the lifetime is important, while

in the N’ region, where the density of traps balances the donor density, the dark lifetime is short and the effect of light is to increase it, by filling traps and reducing their

cross

section.

PHYSIQUE 26, 1965,

Introduction.

-

L’effet photovoltaique consiste

en l’apparition d’une difference de potentiel entre

deux regions d’un semi-conducteur soumis a une

illumination.

Les cellules photovoltaiques classiques sont

r6alis6es au moyen d’une jonction P-N obtenue par diffusion dans les monocristaux de grande surface.

La sensibilite spectrale est alors limit6e aux lon- gueurs d’onde inf6rieures a la limite d’absorption d’énergie suffisante pour creer des paires d’élec-

trons trous, et 1’effet photovoltaique r6sulte de I’action des porteurs minoritaires. La d6termi- nation th6orique des semi-conducteurs les mieux

adapt6s a la realisation de piles solaires fonction-

nant sur ce principe a conduit a choisir I’ars6niure de gallium et le tellurure de cadmium [1].

Quand leur technologie aura atteint un stade plus élaboré, ces deux composes seront amenes à remplacer avantageusement les photopiles en sili- cium, dans bien des probl6mes de conversion d’6nergle solaire. L’utilisation de monocristaux dans les probl6mes de conversion d’énergie solaire

n’est pas une condition importante car 1’epaisseur

utile est relativement faible. L’emploi des couches minces 6vapor6es sous vide permettra d’augmenter

la puissance massique de ces dispositifs, c’est-à-dire la puissance 6lectrique disponible par gramme de materiau.

Parmi les semi-conducteurs dont la technologie

de la couche mince est arriv6e a un stade avanc6 le sulfure de cadmium a une place de choix. Dans 1’etude de 1’effet photovoltaique dans le sulfure

de cadmium, il est g6n6ralement admis que le CdS

ne possede pas de niveaux accepteurs peu profonds,

et ne peut donc presenter une conductivite impor-

tante par les trous.

D’autre part, la sensibilite spectrale des photo-

piles au sulfure de cadmium est essentiellement limit6e aux energies inférieures a la largeur de la

bande interdite (2,4 eV), c’est-a-dire aux longueurs

d’onde superieures a la limite d’absorption qui est

situ6e a 5 100 A. Enfin, la dur6e de vie des trous dans ce materiau est si faible que leur effet, en

tant que porteur minoritaire ne saurait expliquer 1’importance des propri6t6s photovoltaiques du

sulfure de cadmium. C’est pourquoi un certain

nombre d’hypothèses a ete envisage pour com-

prendre le m6canisme de 1’effet photovoltaique. De

nombreux mod6les [2 a 7] ont 6galement 6t6 d6velopp6s pour rendre compte des caract6res

anormaux de 1’effet photovoltaique dans le sulfure de cadmium, sans qu’aucun de ces schemas soit

en accord avec 1’ensemble des résultats exp6-

rimentaux.

Le but de cette etude est de presenter un mod6le simple pour la photoconductivité extrins6que et

1’eff et photovoltaique dans le sulfure de cadmium,

et de determiner les possibilités de ce materiau

dans le champ de la conversion de 1’6nergie solaire [11].

I. Realisation des photopiles au sulfure de

cadmium. - Les couches de sulfure de cadmium de 10 a 15 microns d’épaisseur sont d6pos6es sur

des supports de verre pyrex rev6tus de dioxyde d’etain, transparent et conducteur, par les tech-

niques d’évaporation

«

Flash » d6crites par Bour-

geois [3].

Les couches obtenues sont constituées de micro- cristaux hexagonaux dont I’axe C est perpendi-

culaire au support, la mobilite electronique variant

suivant le degr6 de cristallisation de 3 4 30 cm2 V-l g-1. Au cours de 1’evaporation, une

deviation de stoechiométrie importante est eff ec-

tu6e pour que la conductivite des couches soit 6lev6e. Ceci est obtenu en introduisant des centres

Article published online by EDP Sciences and available at http://dx.doi.org/10.1051/jphys:01965002603012700

(3)

128

donneurs (exces de cadmium) dont 1’6nergie d’acti-

vation est de 0,05 eV environ. A la surface de ces couches, un film de cuivre de 600 a 800 A d’épais-

seur est 6vapor6, puis diffuse a 300 °C pendant

une vingtaine de minutes, de façon a obtenir une profondeur de diffusion de 5 microns environ.

Les cellules ainsi obtenues sont eclairees a travers le support de verre ; elles d6livrent, en

moyenne, sous une illumination de 1000 Lux,

une phototension en circuit ouvert de 170 mV et

un courant de court-circuit de 300 microamperes

par centimetre carr6.

II. Atude de 1’effet pnotovoltaique.

-

A) RÉ-

PONSE SPECTRALE.

-

La sensibilite spectrale des

cellules photovoltaiques est importante pour les longueurs d’onde comprises entrelalimite d’absorp-

tion (0,5 micron) et 1 micron. Deux types de réponses ont ete observes :

La premiere pr6sente un maximum aux environs

de 7 300 A. Ce comportement apparait quand les

couches de sulfure de Cadmium sont relativement peu conductrices (1016 electrons par cm3) ; ou quand le cuivre a diffuse assez prof ondement (fig. 2).

FIG. 1. - Types de réponses spectrales de la phototension.

La seconde pr6sente un maximum aux environs

de 6 200 Å. Elle correspond aux couches fortement conductrices (1018 electrons par cms), et on la

trouve 6galement lorsque Ie cuivre a peu diffuse) (fig. 1).

FIG. 2.

-

R6ponse spectrale

en

fonction de la profondeur

de diffusion du cuivre.

FIG. 3.

-

R6ponse spectrale a 77 °K et a 300 °K.

(4)

11 est int6ressant de remarquer que la r6ponse spectrale depend de la temperature. La figure 3

montre qu’une cellule ayant son maximum vers

6 200 A, a temperature ambiante, voit celui-ci

se d6placer vers 7 300 A, 6 la temperature de

I’azote liquide.

B) EFFET DE LA PUISSANCE LUMINEUSE. -- Le courant de court-circuit est sensiblement propor- tionnel a 1’eclairernent. Par contre, la phototension pr6sente un comportement plus complexe ; s’il s’agit des cellules de type I (maximum a 7 300 A),

la phototension est proportionnelle au logarithme

de la puissance lumineuse. S’il s’agit de cellules de

type I I (maximum a 6 200 Å), le comportement est

le meme, pour les faibles 6clairements (1 000 lux), puis la phototension est proportionnelle au loga-

rithme de la puissance lumineuse, avec une pente

trois fois plus grande que dans le premier cas ( fig. 4)

Pour les deux types de cellules, il apparait 6 haute

intensite lumineuse, une saturation de la photo-

tension : la valeur limite de la phototension est

de 350 mV.

FIG. 4.

-

Effet de la puissance lumineuse

sur

la phototension.

C) EFFET DE LA TEMPERATURE. - La variation de la phototension avec la temperature est de 2 mV

par OC. Cette valeur 6lev6e du coefficient de temp6-

rature peut etre consideree comme anormale pour

un semi-conducteur dont la bande interdite est aussi importante.

III. Atude de la photoconductivitd.

-

L’etude

de 1’effet photovoltaique seul ne permet pas de

d6gager les lignes generales d’une interprétation th6orique, car il se produit au sein d’un materiau dans lequel la distribution des impuret6s est hete-

rog6ne. L’étude de la photoconductivite des

couches homog6nes de sulfure de cadmium dop6es

au cuivre donne des indications plus intéressantes.

On constate tout d’abord qu’il faut deux impu-

ret6s antagonistes en quantités définies pour avoir

une photoconductivite importante. En dopant des

couches de sulfure de cadmium a 1’aide d’exces de cadmium et de cuivre, nous avons retrouve la

courbe que Goerke [9] avait relev6e en utilisant

comme centre donneur des halog6nes (fig. 5).

FIG. 5.

-

Effet des concentrations d’impuretés

sur la conductivite.

L’6tude de cette courbe fondamentale montre que les densités d’halog6nes donneurs et de cuivre jouent un role antagoniste et laisse sugg6rer que le cuivre joue un role de pi6ge. Trois types de comportement se distinguent nettement sur cette

courbe :

10 Quand la densite de donneur est grande, ou

la densite de cuivre faible, l’échantillon est conduc-

teur et peu photosensible.

20 Quand la densite de donneur est faible ou

la densite de cuivre grande, l’échantillon est

isolant, quelque soit l’éclairement.

30 Quand les densités de chaque impureté sont adaptees, la photoconductivité apparalt.

Sur la base de ces résultats, nous allons définir

un modele simple à deux niveaux :

I. Un niveau donneur, qui, en pratique est

(5)

130

introduit par un exe6s de cadmium, un metal trivalent, ou un halog6ne. L’énergie d’activation de ce niveau est assez faible pour qu’il soit ionis6 a temperature ambiante.

II. Un niveau pi6ge, plus profond, introduit par le cuivre. Les niveaux pieges introduits par le cuivre peuvent avoir des energies d’activation différentes en fonction de la densite introduite. Le niveala principal, situe a 0,4 eV sous la bande de

conduction, a ete, en particulier, mis en evidence par 1’6tude de la conductivite en fonction de la

temperature, par absorption optique et par le relev6 de la distribution spectrale de la photo-

conductivite. Le niveau plus profond (0,7 eV) a 6t6

mis en evidence par 1’etude de la photoconductivite [10]. Pour simplifier l’exposé, nous supposerons tout d’abord la presence d’un seul niveau a 0,4 eV

sous la bande de conduction.

Les deux types d’impuretés ainsi caractérisés

jouent un role antagoniste sur la conductivite. Les trois types de comportement relev6s sur la figure 5

sont expliqu6s a 1’aide du schema 6.

FIG. 6.

-

Mod6le.

1er Cas.

-

Densite de donneurs importante

devant celles des pieges. La dur6e de vie des

electrons est grande, car le pi6geage est reduit.

La conductivite est donc 6lev6e.

2e Cas.

-

Densite de donneurs faible devant celle des pieges. Le pi6geage devient le phenomene preponderant. Tous les electrons lib6r6s thermi-

quement a partir des niveaux donneurs sont pieges et ne participent pas a la conduction : 1’6chantillon est isolant.

3e Cas.

-

Densite de pieges et de donneurs voisines.

Dans le noir, les electrons lib6r6s thermiquement

a partir des centres donneurs sont pieges sur les

centres accepteurs et la dur6e de vie 6tant tr6s

faible, 1’6chantillon est isolant. L’eff et de la lumi6re est de faire une transition entre la bande de valence et la bande de pi6ge. Les centres pieges, charges n6gativement par ces electrons issus de la bande de valence, voient le potentiel r6pulsif coulombien augmenter, ce qui diminue leur section efficace de

capture. La cin6tique de pi6geage est plus lente,

la dur6e de vie des electrons libres augmente et 1’echantillon devient conducteur sous 1’effet de la lumière.

Ce modele d6velopp6 pour la photoconductivite extrins6que, rend compte des différents pheno-

mènes.

-

Necessite de deux types d’impuretés de role oppose avec un rapport des concentrations d6fini.

-

Saturation aux hautes intensités lumineuses,

ou tous les pieges sont utilises, et, donc 1’effet du

photon supplémentaire est nul.

-

La photoconductivite est importante pour

les energies inf6rieures a la largeur de la bande interdite. En introduisant d’autres niveaux pieges,

il rend compte de la variation de la r6ponse spec-

trale avec la densite de cuivre introduit.

Enfin, il permet de donner une explication simple de 1’effet photovoltaique.

IV. Modele pour 1’effet photovoltaique.

-

Nous allons, pour simplifier, définir un modele a un seul niveau, c’est-a-dire que nous supposerons tout

FIG. 7.

-

Gradient de la concentration

de cuivre apres recuisson.

(6)

d’abord que l’énergie d’activation des pieges est ind6pendante de la densite de cuivre introduite.

En assimilant la courbe de la densite de cuivre a une fonction escalier, on distingue dans la couche de sulfure de Cadmium deux regions (fig. 7) :

La region frontale I dans laquelle la densite de piege est inférieure a la densite de donneurs. Cette

region est donc conductrice.

La region II dans laquelle la diffusion du cuivre

a ete controlee de façon a ce que la densite moyenne de pieges soit semblable a celle des donneurs. Cette

region est donc photosensible, d’apr6s le modele de

photoconductivite. Entre ces deux regions dans lesquelles le niveau de Fermi .n’occupe pas la meme position, apparait une barri6re de potentiel.

L’eff et de la lumiere est de remplir les pieges

dans la region II, lorsque 1’energie des photons correspond a la distance entre la bande de valence

et la bande de pieges, soit 2 eV. Cette energie correspond a une longueur d’onde de 6 200 A.

La region II devient conductrice et le quasi

niveau de Fermi se d6place vers la bande de

conduction : une phototension apparait, qui corres- pond au d6calage entre les niveaux de Fermi ; la

valeur maximale de la phototension est inférieure

a la hauteur de la barri6re Vo

n02 est le nombre de porteurs de la r6gion II, dans

le noir. n2 est le nombre de porteurs, dans cette

meme region, lorsqu’elle est eclairee.

Le rapport de ces densités de porteurs est 6gale

au rapport de photoconductivite dont la d6ter-

mination expérimentale situe la valeur a 107 aux

intensités lumineuses 6lev6es.

La valeur de la phototension doit done etre de

l’ordrè de grandeur de 400 mV.

Les phototensions maximales observ6es sont de 350 mV, avec une puissance lumineuse de 80 mW/em2. L’accord entre les predictions th6oriques

et les résultats expérimentaux est donc correcte.

Ce modele permet d’expliquer 1’ensemble des

résultats expérimentaux relev6s dans 1’6tude de 1’ eff et photovoltaique.

- La valeur de la phototension est faible

devant la largeur de bande. Elle depend loga- rithmiquement de l’éclairement.

- La r6ponse spectrale de 1’effect photovoltaique

est limit6e aux energies inférieures a la largeur de

la bande interdite.

- La dependance avec la temperature est impor- tante, car 1’energie d’activation des centres d’impu-

ret6s est assez f aible.

Des calculs plus d6taill6s relatifs aux sections efficaces de capture de pieges de differentes

energies d’activation permet d’expliquer sim- plement la variation de la r6ponse spectrale et de

la r6ponse en puissance en fonction des variations des densités d’impuretés [11, 12].

Conclusion.

-

Le modele propose permet une explication simple de 1’ensemble des résultats

expérimentaux obtenus lors de 1’etude de la photo-

conductivite et de 1’effet photovoltaique dans le

sulfure de Cadmium. C’est un instrument de travail commode qui a deja permis d’améliorer les perfor-

mances des photopiles r6a]is6es par une judicieuse

diminution de la resistance s6rie.

L’application de 1’effet photovoltaique a la

conversion de 1’energie solaire est deja entrée dans

sa phase active, puisque nous disposons de cellules

de petite surface dont le rendement est de l’ordre de 1 %. Des 6chantillons de surface plus grande, d6pos6es sur support plastique souple et 16ger ont deja 6t6 realises. Le rendement, pour l’instant n’excède pas 0,3 %, mais la puissance massique

est deja tres int6ressante.

Remerciements.

-

Nous remercions M. Bal- kanski d’avoir dirig6 ce travail, M. Philippe Moch

des discussions intéressantes, M. Pierre Bourgeois,

de la mise en ceuvre des techniques d’évapora-

tion et M. Michel Charneau et Claude Motte qui

ont assure la realisation des photopiles.

Cette etude a ete effectu6e avec le soutien financier de la Direction des Recherches et des

Moyens d’Essais.

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Références

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