A NNALES DE LA FACULTÉ DES SCIENCES DE T OULOUSE
P IERRE P APILLON
Sur les surfaces polaires réciproques des conoïdes
Annales de la faculté des sciences de Toulouse 3
esérie, tome 25 (1933), p. 239-256
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SUR LES
SURFACES POLAIRES RÉCIPROQUES DES CONOÏDES
PAR PIERRE PAPILLON
Professeur agrégé au Prytanée Militaire de La Flèche (Sarthe).
SI. - Les conoïdes droits
possèdent
lesremarquables propriétés
dese
trans-former en eux-mêmes par les homothéties et les inversions axiales dont l’élément fondamental coïncide avec l’axe
cOlloïdaIC); l’équation
reste effectivement invariante par les substitutions
et
qui
traduisentanalytiquement
cesopérations.
-Moins
évidente,
mais de meilleurintérêt, apparaît
la transformation parpolaires réciproques
pour unequadrique
centrée ou non : nous exposerons ici les résultats essentiels de sonapplication.
S 2. - Polaire
réciproque
pour unparaboloïde. -
Soit(t)
Ainsi nommons-nous les deux transformations faisantcorrespondre
à tout pointM,
le
point Mg
tel que, sur laperpendiculaire
à l’axe(~)
menée parM~
et depied
~.,respectivement.
240
l’équation
de laquadrique directrice;
lapolaire réciproque
de la surface(s) d’équa-
tion
est
l’enveloppe
desplans
donc le lieu des
points caractéristiques
définis par lesystème
étant
posés
Les coordonnées de tout
point
sur la surface transformée(S)
sont, par suite,ces formules
généralisent
celles deLegendre, qui
serapportent
auparaboloïde
révo-lutif de
paramètre
i(= a
=b) .
.Les
lignes asymptotiques,
déterminées parl’équation
sont
conservées, puisque
laréciprocité
de la transformation entraîneet
qu’alors
§ 3. - Polaire
réciproque
d’un conoïde pour unparaboloïde :
: les axes sontconfondus. - Prenons pour surface
(s)
un conoïde droit d’axez’z,
doncd’équation
d’après
celaet
Il est d’ailleurs
plus élégant d’observer,
et de cette remarque résulteprécisément
le choix
actuel, qu’en (1),
Z se réduit à - z pourc’est
l’équation
aux dérivéespartielles
des conoïdes d’axe z’z . AlorsLa
polaire réciproque (S)
admet ainsil’équation
soit encore
La famille
des conoïdes droits coaxiaux setrans forme
en elle-même, dansl’ensemble,
parpolaires réciproques
relativement à toutparaboloïde
de même axe; leslignes
asymp-totiques
sont conservées..A ces
lignes répondent,
en coordonnéescylindriques,
leséquations{’1
Plus
précisément,
leschangements
de variables successifsfont
correspondre (2)
à(1);
ils définissent tour à tour : :la dilatation
orthogonale
pure deplan y0z
et de coefficiente
désignant
l’excentricité desconiques homothétiques qui
sectionnent horizontale- ment ladirectrice(~),
,la rotation d’axe z’0z et
d’angle 1.
la
contraposition
deplan xO y .
Ainsi,
lapolaire réciproque (S)
est la transformée de(s)
par leproduit
dont les deux derniers
facteurs, permutables,
constituent la formecanonique
duretournement
spatial ; conséquence immédiate,
.Les
points correspondants
des deux conoïdes déterminent dessegrnents
dont lesmilieux se situent dans un
plan
directeur commun, leplan tangent
au sommet de laquadrique
directrice.(4)
Ceséquations
ont été étudiées différemment dans les Thèses de PaulAppell
et deM. Émile Picard. Voir A. BUHL :
Lignes asymptotiques
etlignes
de courbure(Journal
de Mathé- matiques pures etappliquées, dirigé
par H. Série 9, t. 8, ig2g, p.l~5).
’
Tout aussi bienpourrait
êtreinvoquée la dilatation D(
xOz, ; et l’on voitquel
rôle analogue jouent les deux plans de
symétrie paraboloïdaux,
ainsiqu’il
convenait àpriori.
Si ce
plan tangent
est unplan
desymétrie
ou l’axeparaboïdal
un axequaternaire
pour le conoïde, ou si ces
propriétés
coexistent - cequ’il peut
êtreplus
aisé d’ob-server sur la courbe ou sur la surface
dirigeant
ledit conoïde - la transformationgénérale
se réduit à l’une des suivantespuisqu’alors
toutecomposante
non écrite est d’effetnul;
ces mêmessymétries
sedécouvriront à l’invariance de
l’équation cartésienne,
renduerationnelle, malgré
lessubstitutions
et
Appartiennent
à cestypes
les surfaces(s) d’équations respectives
S 3. - Cas d’une directrice révolutive. -
Lorsque
l’équation
transformée s’écritce conoïde se déduit du
proposé
par le seul retournementConséquences.
- 1. . Si leplan tangent
au sommet duparaboloïde
est un élément.de
symétrie
pour leconoïde,
lapolaire réciproque
esttr°ansformée
par notation d’unangle
droit autour de l’axeparaboloïdal :
c’est un conoïdeégal
auprimitif.
l’el est,
particulièrement,
le cas des conoïdes à noyauquadrique d’équations
ce sont les lieux des
parallèles
auplan principal x0y
de laquadrique
centréequi
rencontrent z’ z et touchent cettequadrique(1).
2. Si l’axe
paraboloïdal
est un élément derépétition
d’ordre 4 pour leconoïde,
la
polaire réciproque
estcontraposée
pour leplan tangent
au sommet duparaboloïde.
3.
Enfin,
les conoïdes transformés en eux-mêmes sont ceux pourlesquels
leurs fonctions
f
sont les solutions del’équation
fonctionnellePassons en coordonnées
cylindriques ; l’équation
conoïdale étantla
fonction p
satisfait à la fonctionnelleAvant de la
résoudre,
nous pouvons formuler deux remarques :1° ° L’existence d’une solution assure celle des solutions dérivées et
intégrales
(1)
Le conoïde à noyausphérique
a étudié par M. MAURICE D’OCAGNE en son Cours de Géométrie pure etappliquée
de l’ÉcolePolytechnique
; i. T, gcar
(5)
entraîne2° Toute combinaison linéaire d’un nombre fini de solutions est une solution car
Ainsi s’obtient
très
particulièrement,
conduit au conoïde de Plücker :
Le conoïde de Plücker est sa propre
polaire réciproque
pour toutparaboloïde
derévolution
coaxial
leslignes asymptotiques
setransforment
en elles-mêmes(’).
La connaissance de la solution
particulière ~~o(6)
est d’autantplus précieuse qu’elle
provoque la résolution
complète
de(5).
Donnons à sa solutiongénérale
la formeles relations
hypothétiques
provoquent
en effet celle-ci :déterminant pour
03A6(03B8)
toute fonctionpériodique
et depériode 03C0 2, exprimable
aumoyen de la seule fonction circulaire
tg
26. .(t)
Ce sont,rappelons-le
brièvement, lesgénératrices
de la surface et des biquadratiques gauches tracées sur les paraboloïdes ayant l’axe et le sommet duparaboloïde
directeur, etprojetées
horizontalement suivant de certaines lemniscates de Bernouilli.Bref,
les conoïdesauto-polaires
pour toutparaboloïde
de révolution coaxial ontl’équation cylindrique
la fonction étant arbitraire.
Et l’on pourra
disposer
de cet arbitraire pourdonner,
parexemple,
auxlignes asymptotiques
de la surface tellesprojections
voulues sur sonplan
directeur : il suffirad’intégrer,
afin d’obtenir~~, l’équation
différentielle linéaire dupremier
ordre .
à second membre connu ; ceci fournit immédiatement
et
En résumé : :
Il existe
toujours,
à une translationprès
aulong
de l’axe duparaboloïde,
un conoïdeauto-polaire unique
dont leslignes asymptotiques,
autres que lesgénératrices,
admettentsur le
plan
directeur desprojections
données.Remarque.
- On vérifie sanspeine
que cette solution renferme lestypes
décelésen finale du
paragraphe
2.~ 4. - Dans un
plan rapporté
à unsystème
cartésien normal construisons lespoints
m(9, z)
et~I ~ ~ 2 ,
- z ,qui
secorrespondent
à travers leproduit
permu- tableleurs lieux
développent
les sections des conoïdes(s)
et(S)
par lecylindre
de révo-lution coaxial et de rayon unitaire.
Nous pouvons donc établir une
corrpspondance polaire
entre conoïdes au moyen d’undéplacement
hélicoïdal d’un demi-tour et de pasréduit -
effectué sur toutecourbe
plane :
deux transforméesdirigent, après
enroulement sur uncylindre
derayon
unitaire,
deux conoïdes droits coaxiaux aucylindre
et l’un est lapolaire
réci-proque de l’autre pour un
paraboloïde
révolutif de même axe.Si les courbes transformées se
confondent,
de même les conoïdes : ce sont leurs proprespolaires.
_S 5. - Cas d’une directrice
équilatère.
-Lorsque
l’équation
transformée s’écritce conoïde se déduit du
proposé
par le seuldéplacement
où
désigne
lapremière
bissectrice des axesx’Ox, y’Oy,
c’est-à-dire unegénératrice principale
duparaboloïde.
L’autre
génératrice principale, ô’90ô$,
doitjouer, logiquement,
un mêmerôle;
et en effet
puisque
z’z est axe desymétrie
pour les conoïdes. -Par
suite,
les conoïdesauto-polaires
sont ceux pourlesquels
lesgénératrices prin- cipales
ô’ ~ ô sont des axes desymétrie.
Inversement,
Tout conoïde droit
possédant
un axe binaireperpendiculaire
à l’axe conoïdal- - il en existe nécessairement un second - est sa propre
polaire réciproque
pour tout’
paraboloïde équilatère
dont lesgénératrices principales
sont ces axes binaires.L’exemple
leplus simple
est celui du conoïded’équation
les
projections
de seslignes asymptotiques
sur leplan directeur, d’équations polaires
sont les Kreuzcurven issues des circonférences de centre O .
S 6. - Polaire
réciproque
d’un conoïde pour unparaboloïde :
les axes sontperpendiculaires.
- Prenons pour surface(s)
un conoïde droit d’axex’x,
doncd’équation
d’après
celaet
La
polaire réciproque (S)
admet ainsil’équation
La
famille
des conoïdes droits coaxiaux setransforme,
parpolaires réciproques
relativement à tout
paraboloïde
d’axeperpendiculaire
auprécédent,
en celle des conoïdes donl l’axe est laperpendiculaire
commune aux deuxpremiers.
La transformation d’ensemble ne diffère pas d’une
contraposition
pour le bissec- teur du dièdrex O y .
Plus
précisément,
leschangements
de variablesfont
correspondre (7)
à(6);
ils définissent tour à tour :_
une dilatation pure normalement à
z’z;
-x’x ety’y
en sont les directionsprin- cipales,
a - 1 et b - i les coefficientsprincipaux
-, ,la
contraposition
deplan 03B41
Oz . .On
aperçoit
aisément les conclusions relatives à unparaboloïde
révolutif ouéqui-
latère.
§ 7. - Polaire
réciproque
d’un conoïde pour unequadrique
centrée coaxiale. -1. Soit
l’équation
de laquadrique
directrice, enlaquelle
des coefficientspeuvent
être’imagi-
naires purs s’il
s’agit
d’unhyperboloïde;
lapolaire réciproque
de la surface(s) d’équation
est
l’enveloppe
desplans
donc le lieu des
points caractéristiques
définis par lesystème
"Les coordonnées de tout
point
sur la surface transformée(S)
sont, parsuite,
en
particulier,
s’obtiennent pour une directricesphérique
de rayon unitaire les for-mules .
puisqu’ici
Un calcul de
quelque étendue,
mais sans autredifficulté,
démontre la conservation deslignes asymptotiques.
2. Prenons pour surface
(s)
un conoïde droit d’axez’z,
doncd’équation
choix que demandent les
for’mules (9) puisque
Z se réduità I z
devant la conditioncaractéristique
et dont il est naturel d’étudier l’extension au cas des directrices centrées les
plus générales.
Il vient
et la
polaire réciproque (S) présente l’équation
le théorème initial du
paragraphe
2 s’étend sous la forme suivante :La famille
des conoïdes droits coaxiaux setrans forme
enelle-même,
dansl’ensemble,
parpolaires réciproques
relativement à toutequadrique
centrée de même axe leslignes
asymptoliques
sont conservées.S 8. - Cas d’une directrice révolutive. -
Lorsque
l’équation
transformée s’écritce conoïde se déduit du
proposé
par la transformation(1)
Cette inversionplane
fait correspondre à toutpoint Mt
le pointM2
tel que, sur laperpendiculaire
auplan a?0y
menée par le pointMt
et depied
p.,on observera que
Conséquences.
- 1. . Si leplan équatorial
de laquadrique
est un élément d’anal-lagmatie plane
pour leconoïde,
lapolaire réciproque
esttransformée
par rotation d’unangle
droit autour de l’axe révolutif : c’est un conoïdeégal
auprimitif.
Avec une
puissance
d’inversion différant de cellequi
provoque l’invariance duconoïde,
laprécédente polaire
subit une dilatation pure normalement auplan équa-
torial.
On reconnaît de suite à ces conoïdes
l’équation implicite
2. Si l’axe de révolution est un axe de
répétition
d’ordre 4 pour leconoïde,
lapolaire réciproque
est inversée pour leplan équatorial.
3.
Enfin,
les conoïdes transformés en eux-mêmes sont ceux pourlesquels
.leurs fonctions
f
sont les solutions del’équation
fonctionnelleet, en coordonnées
cylindriques,
celles deFormulons à son
sujet quelques
remarques :10 La
multiplication
membre à membre des relationsqui
donnemontre que toute
solution 03C6, périodique
et depériode
7C,s’exprime
au moyen detg
6.2° L’existence d’une solution
(()0(6) 1
assure celle de la solution(() .0 CC’ a )
car la relationhypothétique
détermine
3° Dans le cas d’un
ellipsoïde directeur,
la moyennegéométrique
d’un nombrefini de solutions est une solution car c~ est ici
positif
et les relationsentraînent successivement
et
Dans le cas d’un
hyperboloïde
le théorème intéresse un nombrepair
de solutions.La
plus
irnmédiateapparemment correspond
au conoïdecas
particulier
de§ 9. - Résultats
géométriques.
- Des considérationsanalytiques permettent.
d’apporter,
en un sens,quelques précisions
aux résultats antérieurs.Soit la
quadrique
laplus générale
sanspoint double, d’équation
avec
et la famille des conoïdes droits d’axe
z’Oz, produits
par les droites(g) d’équa-
tions
paramétriques
en
lesquelles
a,~,
zo sont fonctions d’un mêmeparamètre.
Les
polaires réciproques
forment une famille de surfacesréglées (S), qu’engen-
drent les
conjuguées (G)
desgénératrices (g)
si unpoint
m décrit en effet(g),
sonplan polaire,
dontl’enveloppe
est(S),
tourne autour de(G).
Or,
ceplan polaire possède l’équation
de sorte que celles de
(G)
s’écriventLa
première
montre que(G) prend
constammentappui
sur l’intersection desplans
c’est-à-dire sur le diamètre
conjugué (fI)
duplan
directeur conoïdalx O y ;
la secondeque
(G)
repose encore sur l’intersection desplans
c’est-à-dire sur la droite
conjuguée (A)
de l’axe conoïdal z’Oz .Soit enfin
(c)
une courbe de(s),
que(g)
rencontre en unpoint
n; leplan tangent
en n
possède
unpôle
dont le lieu est une courbe(r),
troisième directrice de(S).
Ainsi,
La
polaire réciproque
d’un conoïde pour unequadrique
estgénéralement
unesurface
réglée
à trois directrices dont deux sontrectilignes.
_Cette surface a été étudiée par G.
Salmon(’) ;
ensupposant (F) algébrique,
dedegré
m et rencontrant les droites(A)
et(Il)
en 1, et (jpoints respectivement,
(S) a pour degréd’après
la formule deCayley-Salmon,
et(r), (.1), (II)
en sont deslignes multiples
d’ordres i,
m - ~,,
§ 10. -
Quand
une directricerectiligne
serejette
àl’infini,
la surface de Salmon devient conoïdale -oblique
ou droite -puisque l’appui
de(G)
sur cette directricen’est autre
qu’un parallélisme
entre droite etplan.
D’une
part, (A)
n’est à l’infini que si z’z est un diamètre pour laquadrique,
donc passe au centre de
l’ellipsoïde
et del’hyperboloïde
ou bien estparallèle
à l’axedu
paraboloïde.
D’autre
part, (H)
n’est à l’infiniqu’avec
unparaboloïde
dont l’axe estparallèle
à
x0y.
.Bref,
La
polaire réciproque
n’est un conoïdeque
si le centre de laquadrique
directrice sesitue sur l’axe conoïdal
donné,
à distancefinie
ouinfinie.
§ 11. -
Recherchons,
enterminant,
les circonstancesqui
conduisent à la rectitude du conoïderéciproque.
1. La
quadrique-directrice
estellipsoïdale
ouhyperboloïdale.
Rapportons
laquadrique
à ses axes, lui donnantl’équation
et soient oc,
~,
y desparamètres
directeurs de l’axeconoïdal ;
leséquations
de(II}
s’écrivent aussitôt
tandis que
(A)
est à l’infini dans leplan
(’) Cambridge
and Dublin Mathematical Journal ; vol. VIII, p. 45. L’éminentgéomètre
a
également
énuméré quelquessingularités
de ladite surface dans son Traité de Géométrie.Analytique
à trois dimensions : t. II,SS 467
et sqq.Si deux des trois coetlicients x,
~1, ;
sont nuls,l’orthogonalité
de la droite et duplan
se réalise : conoïdal se avec uu u.re ne laquudrique,
et c’est le casétudié au
paragraphe
7.Si l’un des coetficienls est nul, y par
exemple, l’orthogonalité exige
la
quadrique possède
l’une deséquations
ou esl
un
diamètreéquatorial
pour urnquadrique révolutive,
on c’estun diamètre d’une section
principale équilatère
pour ecn telhyperboloïde.
Si aucun des coefficients n’est nul,
l’orthogonalité impose
il
s’agit
du casprécédent
enlequel
L’hypothèse
duparagraphe 7
est la seulequi
transforme l’une en l’autre deux familles de conoïdesdroits,
laquadriquc-directrice
étantquelconque.
2. . La
quadrique-directrice
estparaboloïdale.
Dans un
premier
cas l’axeparaboloïdal
doit êtrepris parallèlement
à z’z; nousle situerons dans le
plan
xOz en toutegénéralité,
attribuant à laquadrique l’équa-
tion
L’orthogonalité
de la droite(II)
el, du
plan
exige
la nullité de C : : lesaxes
conoïdal etparaboloïdal
sontconfoltclus.
Dans un second cas, l’axe
paraboloïdal
doit êtrepris parallèlement
àx0y;
nousle situerons dans ce
plan
etparallèle
ày’y
en toutegénéralité,
attribuant à la qua-driqne l’équation
256
L’orthogonalité
de la droite(A)
et du
plan
exige
la nullité de C’ : les axes conoidal elparaboloïdal
sontperpendiculaires.
Les
hypothèses
desparagraphes
3 et 6 sont les seulesqui
transforment l’une enl’autre deux familles de conoïdes droits.
Décembre