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Texte intégral

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Université Libre de Bruxelles

Faculté de Philosophie et Lettres

CONTRIBUTION A L’ETUDE DE LA TERMINOLOGIE GRAMMATICALE.

LA NOMENCLATURE DES FORMES VERBALES

Thèse présentée en vue de l’obtention du grade de Docteur en Philosophie et Lettres

Promoteur : Monsieur le Professeur Marc WILMET

Jonas Makamina BENA

Septembre 2003

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Non pas à moi, Seigneur, non pas à moi, mais à Ton Nom seul, donne gloire et louange.

Merci, mon Dieu, d’avoir placé sur ma route des parents, des formateurs et des amis qui m’ont aidé à te connaître et, ipso facto, à expérimenter ta miséricorde.

***

A Thérèse, Hermione, Rodrigue, Illich, Ivan et Gunhild Bena, mes compagnons de chaque jour dans ce pèlerinage précaire qu’est la vie sur la terre des hommes.

A toi aussi, feu Arnauld Bena

Nsunda, que le destin a inopinément

arraché – tu n’avais alors que dix

semaines d’existence terrestre ! – à

l’affection des tiens.

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Avant-propos

Ce travail n’est pas exclusivement mien. Ce serait un mensonge que de prétendre le contraire. C’est le fruit de la conjonction de nombreuses mains. Les unes, comme les mains expertes du promoteur, ont eu la tâche harassante de guider mes pas sur le chemin rocailleux de la recherche ; les autres m’ont procuré, soit un soutien moral et/ou matériel, soit de l’amitié.

Mes remerciements s’adressent d’abord à Monsieur le Professeur Marc Wilmet pour son investissement à la fois important et diversifié tout au long de la direction de cette thèse :

« Mon cher Professeur, merci pour tout ce que vous m’avez apporté dans le domaine du savoir. Votre science m’a aidé à mieux cerner de nombreux observables linguistiques, dissipant ainsi dans mon esprit d’importantes zones d’ombre.

Mais votre soutien ne s’est pas limité à la relation classique de maître à disciple. Dans bien des circonstances, vous m’avez aussi aidé à mieux gérer mes moments de doute et de remise en question.

Rassurez-vous, et ce n’est pas une simple formule de politesse, le souvenir de votre générosité ineffable survivra à l’inexorable fluidité du temps. »

J’associe à cet hommage Anne-Rosine, Michel (Pierrard), ainsi que l’ensemble du personnel du service de linguistique française de l’Université Libre de Bruxelles : Annick, Dan, Ivan, Laurence, Marie-Eve.

Je témoigne ensuite ma gratitude à ma famille (maman Judith, mes frères : Isaac-Emery, Rubin, Jean-Diderot, Jacques, Raul, Esaïe) et à ma belle-famille (mes beaux-parents : papa Damas et maman Hélène ; mes beaux-frères : Charles, Jean- Richard et Pierre-Richard ; mes belles-sœurs : Albertine, Elisabeth, Célestine, Véronique et Aline). Des uns et des autres, j’ai reçu, pour mon bien-être, un maximum d’aide et d’encouragements.

Je m’en voudrais, par ailleurs, s’il m’arrivait d’oublier les familles Broman, Jason, Kibangu, Nsilulu, Nsumbu, Ntoto, Torbjorn. Je leur témoigne mes sentiments de gratitude pour leur soutien matériel et/ou moral.

Enfin, je remercie Debbat, Hubert, Nicole (Manand), Odile (Hennecart), Thérèse (Badiakuau), ainsi que tous ceux qui, de près ou de loin, ont participé à la réalisation de cette thèse. Qu’ils se rassurent, je n’oubilerai pas un seul iota de leur apport à la construction de cet édifice, à la fois exigeant et exaltant, qu’est la rédaction d’une thèse de doctorat.

Bruxelles, le 14 septembre 2003.

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Introduction

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Le 18 février 1949, Gustave Guillaume (1973 : 107-108) brossait, dans sa leçon à l’Ecole pratique des Hautes Etudes, un tableau peu flatteur de la terminologie grammaticale :

La terminologie grammaticale – fixée par un long usage, par la tradition – est peu satisfaisante. Elle correspond à des vues qui sont pour une grande part étrangères au véritable mécanisme de la langue, ignoré de ceux qui ont établi cette terminologie, devenue celle de l’enseignement. A quoi il faut ajouter que la terminologie traditionnelle, de caractère philosophique, toute pénétrée de logique formelle, a eu cette infortune d’être retouchée inconsidérément par des esprits moins pénétrants que ceux qui l’avaient conçue.

Ce point de vue est, aujourd’hui comme hier, partagé par la plupart des grammairiens lato sensu. Pour illustrer notre propos, voici quelques prises de position représentatives de la tendance générale :

Nicolas Beauzée (1767 : 500-501) :

Mais cette analyse […] m’a montré, dans la décomposition des Temps usités chez les différents peuples de la terre, des idées élémentaires qu’on avoit pas assez démêlées jusqu’à présent; dans la nomenclature ancienne, des imperfections d’autant plus grandes, qu’elles étoient tout-à-fait contraires à la vérité; dans tout le système enfin, un désordre, une confusion, des incertitudes […].

Robert-Léon Wagner (1947 : 59) :

[…] presque tous les termes de la nomenclature en usage dans nos grammaires « sont » inexacts et trompeurs.

Gérard Moignet (1981 : 163) :

La nomenclature de la grammaire didactique traditionnelle, qui n’est pas la tradition grammaticale, est notoirement incohérente. […] la terminologie grammaticale traditionnelle est défectueuse.

Louis Holtz (1981 : 11) :

Il est un domaine en particulier où la simplification et la réduction imposées à l’école aboutissent à des résultats désastreux : c’est celui de la terminologie. La grammaire ne gardant plus que le souvenir lointain de ses fondateurs, n’est plus capable de justifier elle-même les concepts dont elle use. Elle ne discerne plus les nuances et tombe même dans l’incohérence.

Le verdict des uns et des autres est à la fois sévère et amer : la terminologie grammaticale est incertaine, incohérente, inexacte, incomplète, contraire à la vérité, trompeuse, confuse, désordonnée, défectueuse, voire désastreuse. L’on ne pouvait faire meilleur état des lieux !

Ces appréciations négatives rejoignent, par ailleurs, la position des membres

de la commission chargée de rédiger la nomenclature grammaticale de 1910

(France) :

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Les mots que nous conservons ne se recommandent ni par leur signification propre, ni par leur valeur historique; tout le monde sait que le vocabulaire grec laisse beaucoup à désirer; la plupart des termes employés ont un sens très vague : article, pronom, adverbe; quelques-uns n’en ont pas du tout : imparfait, plus-que-parfait, subjonctif (Yvon et Lanusse, 1929 : 10).

Tout compte fait, les linguistes reconnaissent unanimement que le métalangage grammatical est défaillant. Ce ne sera donc pas notre propos dans cette thèse.

En revanche, ce travail s’efforcera de répondre aux trois questions suivantes : 1° une terminologie « parlante » est-elle possible et nécessaire en grammaire ? 2°

quelle(s) piste(s) les linguistes devraient-ils explorer pour rationaliser la nomenclature et la description des formes verbales ? 3° comment les grammairiens ont-ils forgé, au fil des siècles, la nomenclature des formes verbales ?

L’essentiel de notre réflexion scientifique concernera évidemment la troisième question. Elle se passe donc, pour le moment, de tout commentaire. Quant aux première et deuxième questions, elles ont germé dans notre pensée à cause de l’indifférence – feinte ou réelle ? – des linguistes à l’égard de la nécessité d’un engagement terminologique conséquent. Marc Wilmet (1997 : 107) parle carrément de « mépris » :

Les linguistes affichent volontiers leur mépris à l’égard de la terminologie. Ils n’ont que partiellement raison. On sait depuis Michel Foucault (1966) que l’image d’une science en progrès constant est idéalisée. Les conquêtes de la réflexion humaine, comme les civilisations, sont mortelles, il sera quelquefois prudent de les fixer dans un vocable […]. Isidore de Séville ne nous avait pas attendu : “Si nomina nescis, perit et cognitio rerum.”

Ce manque d’intérêt se transforme même en un douloureux sentiment – c’est notre propre jugement de valeur – de résignation chez tel ou tel savant. Relevons quelques cas de figure :

Antoine Meillet (1936 : 31)

1

:

Etant traditionnels, les termes qu’on emploie dans la grammaire [...] sont, pour la plupart, peu

satisfaisants et plus propres à induire en erreur qu’à suggérer des idées justes. [...] mais il n’est

guère de terme employé en morphologie qui n’offre de graves inconvénients : les meilleurs sont

ceux qui ne suggèrent aucun sens, aucun emploi défini, qui sont des noms arbitraires. Toutefois

un terme qui suggère une idée fausse perd son venin dès qu’on l’a défini d’une manière exacte.

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[…] Aussi n’y a-t-il pas lieu, à mon sens, d’entreprendre aucune réforme de la terminologie grammaticale. Le mieux qu’on puisse faire est d’adopter purement et simplement la terminologie consacrée par l’usage […]. Autrement dit les mots de la nomenclature grammaticale ne seront jamais meilleurs que lorsque, par eux-mêmes, étymologiquement, ils ne signifieront plus rien et ne seront que les signes, arbitrairement choisis, renvoyant à des réalités perçues et délimitées avec justesse. Les mots de la nomenclature grammaticale, pour le linguiste qui les adopte – et doit les adopter – sans critique, ne doivent pas être plus que les signes conventionnels dont se sert la mathématique pour la désignation symbolique des concepts lui appartenant.

Holger Sten (1952 : 9) :

Nous dirons encore deux mots avant de passer à des études des formes : Ces formes, il faudra leur donner des noms, ne serait-ce qu’à titre d’étiquettes. Quels noms faudrait-il choisir ? Evidemment il serait très bien de trouver des dénominations qui correspondent exactement aux fonctions des formes. Mais sera-t-on jamais d’accord sur les valeurs des formes ? Un certain pessimisme sur ce point est du moins admissible, et il est peu souhaitable que chaque conception individuelle apporte une terminologie. Il sera donc encore mieux d’employer des étiquettes vides de sens.

Robert-Léon Wagner et Jacqueline Pinchon (1962 : 10) :

En attendant qu’on la [la terminologie] réforme nous ne voyons pas l’intérêt de la renouveler. Une innovation individuelle en entraînerait d’autres, et en fin de compte personne ne s’y retrouverait plus.

Berrendonner (1983 : 10) défend aussi la même thèse : le recours au formalisme. Quant à Saussure (1916 : 31), Bondy (1960 : 128-129, 141) et Bonnard (1965 : 163)

2

, ils privilégient, comme D’Olivet (1786 : 496)

3

bien avant eux, la définition des termes au détriment de leur adéquation avec les faits de langue qu’ils dénomment. Enfin, Hjelmslev (1928 : 57) subordonne le choix du vocabulaire technique au goût de chaque grammairien.

A la lumière de la position des uns et des autres, il est évident que les grammairiens – peu importe qu’ils soient théoriciens et/ou praticiens – proposent, soit de tolérer la terminologie traditionnelle, soit de recourir à des signes conventionnels i.e. d’utiliser, pour reprendre cette expression de Sten, «des étiquettes vides de sens». Alternative qui n’offre, selon nous, aucune solution satisfaisante.

Les différentes thèses reprises ci-dessus représentent malheureusement, avouons-le avec regret, l’attitude de la plus grande partie des linguistes contemporains. Nous les récuserons brièvement, l’une après l’autre, dans le corps de cette dissertation.

2

En matière des choix terminologiques, Henri Bonnard conseille la prudence : « Il faut donc être très

modeste, très prudent et ne s’attaquer qu’aux termes vraiment nocifs, en cherchant à modifier leur

définition plutôt qu’à les remplacer par d’autres. »

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Avant de continuer cette introduction, nous avons un aveu à faire : en dehors des prises de position plus ou moins isolées auxquelles nous avons jusqu’ici fait allusion, il existe de nombreux travaux sur la terminologie grammaticale. Certains, comme les différents codes de terminologie grammaticale, les articles d’Henri Yvon (1953 , 1954, 1956) et celui d’Henri Bonnard (1965), ainsi que la thèse de Jozef Mertens (1968), vont même dans la même direction que notre projet de recherche.

Quelle est, dès lors, l’originalité de notre thèse ?

Contrairement aux autres travaux, nous allons au préalable répertorier, chez les grammairiens, les critères définitoires et classificatoires des formes verbales avant d’en retenir les plus pertinents. Notre description critique des différentes dénominations en usage pendant la « période cible » – ce sera la matière de la 2

e

partie de ce travail – se construira sur la base des critères que nous aurons sélectionnés.

Les codes de terminologie feront l’objet d’une critique en règle dans la suite de ce texte. Nous allons, par conséquent, nous limiter à dire, à ce niveau, que leur mode de conception n’a rien à voir avec notre démarche scientifique. A en croire certaines indiscrétions, les membres des différentes commissions se décidaient parfois sur le parti à prendre à l’issue d’un vote !

Quant à Yvon et Bonnard, leurs choix terminologiques, fondés quasi exclusivement sur le sens, sont loin d’être satisfaisants. Le mépris des critères syntaxiques et morphologiques constitue de leur part une grave erreur de jugement.

Citons, à l’appui de notre propos, des exemples précis. Yvon (1956 : 165-167) proposera les termes suppositif probable (= futur et futur antérieur) et suppositif incertain (= conditionnel présent et conditionnel passé). Tandis que Bonnard (1965 : 165-166) défendra la validité du terme gérondif et pensera un moment, mais sans se déterminer vraiment, à l’usage des termes fictif et irréel pour désigner le mode

« conditionnel ».

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points: 1° il concerne un siècle, le XVII

e

, contre un peu plus de quatre siècles (de 1531 à 1997) ; 2° à notre avis, il se présente sous la forme d’un compte-rendu, d’un inventaire chronologique, plus ou moins désintéressé

5

, des termes appliqués au

« verbe français » au XVII

e

siècle, alors que notre texte se veut une description critique; 3° il porte sur le « verbe français », un sujet plus englobant

6

que le nôtre (nous ne nous intéresserons qu’aux « formes verbales »).

En somme, notre objectif est triple : 1° montrer brièvement et, après chaque thèse contraire, qu’une terminologie explicative est à la fois nécessaire et possible ; 2° essayer de re(dé)nommer les modes verbaux, en nous appuyant sur des modèles existants – nous puiserons notamment à pleines mains dans les théories sur la chronogénèse (Gustave Guillaume) et sur le repère (Marc Wilmet) ; 3° contribuer (c’est le but principal de ce travail), ne fût-ce que modestement, à la réécriture de l’histoire de la terminologie grammaticale : nous avons retenu, à cette fin, la période allant de 1531 à 1997.

La recherche en linguistique – l’allégation couvre d’ailleurs l’ensemble des sciences – exige du chercheur des choix théoriques préalables. C’est le prix à payer pour assurer au travail un minimum de validité et, in fine, aux résultats un degré élevé de fiabilité. L’on réduit ainsi dès le départ le risque de dispersion, de dérapage et d’apories.

Nous nous proposons de préciser, dans un premier temps, le sens des paramètres théoriques qui sous-tendent l’ensemble de la dialectique dans ce travail, avant de procéder, dans un second temps, à une critique plus ou moins systématique des termes appliqués aux formes verbales tout au long de 466 années concernées par cette thèse.

Cette précision de sens concernera les concepts «grammaire», «terminologie»

et «verbe». L’on reconnaîtra, dans la triade, les chaînons essentiels du thème de notre recherche. L’explication de ces concepts et l’inventaire des critères définitoires des formes verbales constitueront la matière de la première partie de cette dissertation.

5

Mertens refuse de prendre position. C’est un observateur neutre, pour ne pas dire indifférent.

6

Mertens (1968) aborde l’étude du verbe par le biais des variables plus ou moins éloignées de notre

préoccupation : «différentes conjugaisons » (pp. 9-18), « verbes auxiliaires vs verbes principaux »

(pp. 18-23), « verbes réguliers vs verbes irréguliers » (pp. 23-27), « verbes personnels vs verbes

(10)

La signification de chacun de ces trois concepts de base (grammaire et verbe

7

, en particulier) – confessons-le d’emblée – se laisse difficilement saisir. Elle se meut au fil des siècles et au gré de courants et d’écoles linguistiques. Nous en donnerons un aperçu historique depuis les origines des spéculations sur le langage dans l’antiquité grecque jusqu’au terme final de la période de nos investigations.

Cet aperçu nous offrira, par ailleurs, un exutoire pour effleurer quelques problèmes majeurs inextricablement liés à la genèse et à l’histoire de la linguistique.

L’option, de notre part, de la perspective diachronique offrira l’occasion de saisir les invariants et les changements sémantiques successifs. En revanche, de brèves touches synchroniques permettront de confronter entre eux divers points de vue contemporains.

A propos de l’importance de l’histoire dans les études linguistiques, nous reprenons à notre compte cette prévention de Marc Wilmet (1976 : 8) :

En soi, l’histoire n’est pas explicative, elle constate; elle met toutefois au jour les ressorts secrets de l’évolution, invitant le linguiste à rechercher l’accord profond de la vision historique et de la vision descriptive, complémentaires, nullement antagonistes.

Dix-huit années plus tard, Jean-Claude Chevalier (1994 : 4) défendra plus ou moins le même point de vue, en même temps qu’il stigmatisera l’attitude des défenseurs de la thèse contraire :

[...] du côté du lecteur grammairien, l’histoire est éclairante. Un certain état d’esprit contemporain, techniste, récuse toute utilité à une histoire, même récente, jugée dépassée. Pour nous, nous estimons que, dès les origines, dès les philosophes grecs, a été défini un champ de concepts qui n’a pas tellement changé ; il est utile de confronter les modèles nouveaux à ces modèles anciens ; on gagne souvent du temps, de l’efficacité et de l’esprit critique.

Dans cette thèse, l’histoire se taillera la part du lion. Les "balises théoriques" –

c’est en effet le titre que nous avons choisi pour la première partie – joueront ainsi

un rôle propédeutique par rapport à l’ensemble de la réflexion spéculative. Leur rôle

sera d’éclairer a priori notre approche des observables linguistiques construits par

d’autres et de faciliter, nous l’espérons, la description critique de la nomenclature

des formes verbales qui constituera l’essentiel de la deuxième et dernière partie de

(11)

Nous avons donné un titre révélateur à cette partie : « la nomenclature des

formes verbales du XVI

e

au XX

e

siècles : entre modernisme et traditionalisme ». Il

coiffe bien l’évolution en dents de scie dont nous rendrons compte dans la suite de

ce texte.

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